Participera ou ne participera pas au prochain gouvernement ? La question restera entière jusqu’à l’annonce de la composition de la prochaine équipe gouvernementale d’Arthème Ahoomey-Zunu, dans la journée d’aujourd’hui ou dans le courant de cette semaine. En tout cas pour l’instant et sans concertation préalable autour du président national et des autres responsables du parti, si on se réfère au communiqué rendu public ce jour par un comité dit de réflexion de la réunion des cadres de l‘UFC (Union des Forces de Changement), « toute personne déclarée membre du prochain gouvernement y siègera en son nom propre et non sous l’étiquette de l’UFC ».
Les membres de ce comité constatent qu’ « une minorité d’individus n’ayant aucune représentativité mettant en avant leurs intérêts personnels au détriment de la survie du parti s’active autour du président national, Gilchrist Olympio, pour aller occuper les quelques postes qui sont octroyés ». Un comportement décrié par les membres du Comité de réflexion qui s’insurgent contre le fait que « l’idée même d’une large concertation autour du président national pour débattre de la participation ou non à ce gouvernement a été battue en brêche poussant ainsi le président national dans des prises de décisions fatales au parti ».
Pour éviter tout problème, comme ce fut d’ailleurs le cas en mai 2010, conduisant à la scission au sein du jadis principal parti de l’opposition politique togolaise, les cadres réitèrent leur proposition d’une réunion d’urgence. Et ce n’est que cette réunion préalable qui doit permettre de s’accorder sur les thèmes « d’une discussion formelle avec le parti au pouvoir pour définir les modalités de cette collaboration au regard de la récente expérience ».
A titre d’information, l’UFC a été sollicitée par le biais de son président national pour participer à la nouvelle équipe gouvernementale. Une sollicitation qui semble ouvrir l’appétit vorace de certains qui ne penseraient même plus à l’avenir du parti.
M.G, Lomé (Telegramme228)
Les membres de ce comité constatent qu’ « une minorité d’individus n’ayant aucune représentativité mettant en avant leurs intérêts personnels au détriment de la survie du parti s’active autour du président national, Gilchrist Olympio, pour aller occuper les quelques postes qui sont octroyés ». Un comportement décrié par les membres du Comité de réflexion qui s’insurgent contre le fait que « l’idée même d’une large concertation autour du président national pour débattre de la participation ou non à ce gouvernement a été battue en brêche poussant ainsi le président national dans des prises de décisions fatales au parti ».
Pour éviter tout problème, comme ce fut d’ailleurs le cas en mai 2010, conduisant à la scission au sein du jadis principal parti de l’opposition politique togolaise, les cadres réitèrent leur proposition d’une réunion d’urgence. Et ce n’est que cette réunion préalable qui doit permettre de s’accorder sur les thèmes « d’une discussion formelle avec le parti au pouvoir pour définir les modalités de cette collaboration au regard de la récente expérience ».
A titre d’information, l’UFC a été sollicitée par le biais de son président national pour participer à la nouvelle équipe gouvernementale. Une sollicitation qui semble ouvrir l’appétit vorace de certains qui ne penseraient même plus à l’avenir du parti.
M.G, Lomé (Telegramme228)
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