Qui
succèdera à Thierry Lakougnon, président du CNJ (Conseil National de la
Jeunesse) – Togo depuis 2008 et dont le mandat d’ailleurs prolongé est
arrivé à expiration et qui, frappé par l’âge ne pourrait plus être
candidat à sa propre succession ? La question est la bienvenue puisque
ce mercredi, la Commission nationale de renouvellement (CNR) des
instances, qétait en conférence de presse et a annoncé le congrès
national pour le 20 janvier prochain.
Et pour en arriver là, du chemin a été parcouru. « Nous sommes dans le dernier tournant pour aller tout droit au congrès national. Il fallait commencer les élections à la base pour permettre à la commission d’avoir un fichier électoral. Le fichier obtenu est composé des présidents des préfectures, des présidents d’arrondissement et des membres du bureau exécutif national sortant. Aujourd’hui nous avons tous les instruments en main pour aller à ce congrès ». C’est ce qu’a indiqué, le président de la CNR, Régis Aniglo. Selon les détails révélés toujours par ce dernier, « pour une Commission nationale de renouvellement des instances, la première des choses, il fallait se plancher sur les textes qui doivent gouverner cette institution. Après, il fallait se déplacer sur le terrain pour procéder à l’organisation des votes. Concrètement, nous avons pu organiser le vote dans 31 préfectures où ces préfectures sont dotées des conseils préfectoraux de jeunesse et également à Lomé dans les arrondissements. Les 5 arrondissements ont été dotés de conseils de jeunesse. Et les six régions y compris Lomé-Commune, ont leurs conseils régionaux de jeunesse ».
La Commission n’a pas passé sous silence les difficultés qui ont jalonné le parcours. « Les difficultés sont liées aux critères d’âge et aux critères de résidence. Pour être membre d’un conseil de préfecture de la Kéran par exemple, vous ne pouvez pas habiter Lomé et y être membre. Les gens ne savaient pas ces conditions d’éligibilité ».
Tout ceci étant désormais derrière, le Congrès national peut désormais avoir lieu. Et aussi pour pallier au problème de sous information par rapport à la candidature pour les postes dans le bureau exécutif, la CNR a annoncé au cours de cette rencontre avec la presse, la réouverture des candidatures à compter de ce mercredi 08 janvier pour prendre fin le 14 janvier prochain.
Selon les précisions données par rapport aux critères il faut avoir entre 18 et 32 ans au plus le jour des élections, être de nationalité togolaise, être résident à Lomé et être membre du Comité national, jouir de ses droits civiques et d’une bonne moralité, et enfin, avoir foi dans les buts et objectifs du Conseil.
G.K, Lomé (Telegramme228)
Et pour en arriver là, du chemin a été parcouru. « Nous sommes dans le dernier tournant pour aller tout droit au congrès national. Il fallait commencer les élections à la base pour permettre à la commission d’avoir un fichier électoral. Le fichier obtenu est composé des présidents des préfectures, des présidents d’arrondissement et des membres du bureau exécutif national sortant. Aujourd’hui nous avons tous les instruments en main pour aller à ce congrès ». C’est ce qu’a indiqué, le président de la CNR, Régis Aniglo. Selon les détails révélés toujours par ce dernier, « pour une Commission nationale de renouvellement des instances, la première des choses, il fallait se plancher sur les textes qui doivent gouverner cette institution. Après, il fallait se déplacer sur le terrain pour procéder à l’organisation des votes. Concrètement, nous avons pu organiser le vote dans 31 préfectures où ces préfectures sont dotées des conseils préfectoraux de jeunesse et également à Lomé dans les arrondissements. Les 5 arrondissements ont été dotés de conseils de jeunesse. Et les six régions y compris Lomé-Commune, ont leurs conseils régionaux de jeunesse ».
La Commission n’a pas passé sous silence les difficultés qui ont jalonné le parcours. « Les difficultés sont liées aux critères d’âge et aux critères de résidence. Pour être membre d’un conseil de préfecture de la Kéran par exemple, vous ne pouvez pas habiter Lomé et y être membre. Les gens ne savaient pas ces conditions d’éligibilité ».
Tout ceci étant désormais derrière, le Congrès national peut désormais avoir lieu. Et aussi pour pallier au problème de sous information par rapport à la candidature pour les postes dans le bureau exécutif, la CNR a annoncé au cours de cette rencontre avec la presse, la réouverture des candidatures à compter de ce mercredi 08 janvier pour prendre fin le 14 janvier prochain.
Selon les précisions données par rapport aux critères il faut avoir entre 18 et 32 ans au plus le jour des élections, être de nationalité togolaise, être résident à Lomé et être membre du Comité national, jouir de ses droits civiques et d’une bonne moralité, et enfin, avoir foi dans les buts et objectifs du Conseil.
G.K, Lomé (Telegramme228)
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