Le rapport d’activités de la Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI), sur les législatives du 25 juillet 2013, a été remis au Chef de l’Etat Faure Gnassingbé le 08 octobre 2013. Selon le Vice-président de la CENI, Me Jean-Claude Homawoo, « du travail a été fait ». Cependant, la perfection n’étant pas de ce monde, le rapport a déploré le fait que le Code Electoral n’a pas conféré un minimum de prérogatives à la CENI de se prononcer, ne serait-ce que sur la liste provisoire de candidature ; car, ce déficit, selon lui, a empêché bon nombre de candidats de participer aux élections, suite à la sentence de la Cour Constitutionnelle qui est inattaquable. Ainsi, une recommandation, à améliorer cette situation, a été mentionnée dans le rapport.
« Au niveau des recommandations, surtout au niveau du Code Electoral dans la procédure de candidature, nous nous sommes aperçus qu’il n’y a pas une situation permettant à la CENI de se prononcer sur la liste définitive provisoire des candidats avant de la transmettre à la Cour Constitutionnelle ; ce qui a fait que certains dossiers se sont vus rejeter par la Cour et il n’y avait pas d’occasion à corriger », déclarait Me Jean Claude Homawoo le 04 décembre 2013 dans l’émission « TALK » de « Africa 24 », émission animée par Babylas Bolton. Aussi l’occasion lui a-t-il permis de souligner certaines choses qui sont à revoir dans le fonctionnement de la CENI : il s’agit de la communication et de la transmission des résultats.
Toutefois, il a indiqué que, de tout le processus électoral, l’on peut dire que de « dur travail a été fourni », quand bien même « aucune chose n’est parfaite dans ce monde ».
Bien avant de souligner ce « déficit » au niveau du Code Electoral, Me Homawoo a indiqué que les dernières élections ont quand même profité au Togo sur deux plans. D’une part, sur le plan sociopolitique, « les élections législatives ont permis la décrispation de la tension sociopolitique, de surcroit en amont, grâce à la participation des partis politiques qui refusaient d’y aller », a-t-il évoqué, avant de poursuivre d’autre part que les dernières élections législatives ont montré un acquis démocratique au Togo. C’est le fait que « les Togolais ont compris que les élections, ce n’est pas de la casse, de la violence », a conclu le Vice-président de la CENI, Jean-Claude Homawoo.
F.A / F.S (Telegramme228)
« Au niveau des recommandations, surtout au niveau du Code Electoral dans la procédure de candidature, nous nous sommes aperçus qu’il n’y a pas une situation permettant à la CENI de se prononcer sur la liste définitive provisoire des candidats avant de la transmettre à la Cour Constitutionnelle ; ce qui a fait que certains dossiers se sont vus rejeter par la Cour et il n’y avait pas d’occasion à corriger », déclarait Me Jean Claude Homawoo le 04 décembre 2013 dans l’émission « TALK » de « Africa 24 », émission animée par Babylas Bolton. Aussi l’occasion lui a-t-il permis de souligner certaines choses qui sont à revoir dans le fonctionnement de la CENI : il s’agit de la communication et de la transmission des résultats.
Toutefois, il a indiqué que, de tout le processus électoral, l’on peut dire que de « dur travail a été fourni », quand bien même « aucune chose n’est parfaite dans ce monde ».
Bien avant de souligner ce « déficit » au niveau du Code Electoral, Me Homawoo a indiqué que les dernières élections ont quand même profité au Togo sur deux plans. D’une part, sur le plan sociopolitique, « les élections législatives ont permis la décrispation de la tension sociopolitique, de surcroit en amont, grâce à la participation des partis politiques qui refusaient d’y aller », a-t-il évoqué, avant de poursuivre d’autre part que les dernières élections législatives ont montré un acquis démocratique au Togo. C’est le fait que « les Togolais ont compris que les élections, ce n’est pas de la casse, de la violence », a conclu le Vice-président de la CENI, Jean-Claude Homawoo.
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