La
52ème Journée de la Femme Africaine, c’est ce 31 juillet 2014. Se
soumettant à l’exercice d’un message à l’endroit de la gent féminine, la
ministre en charge de l’Action sociale, de la Promotion de la femme et
de l’Alphabétisation, Mme Dédé Ahoéfa Ekoué, était devant la presse ce
mercredi 30 juillet. Ceci avec pour objectif de plaider une nouvelle
fois pour des actions en faveur de l’avancée des femmes dans le domaine
des sciences et technologies. Un plaidoyer qui va dans la droite ligne
du thème annuelle de cette célébration qui est : « Rôle des femmes et
des filles dans l’Education, les Sciences et les Technologies en vue
d’une Renaissance Africaine ».
Selon Mme Ekoué, la journée de la femme africaine offre l’opportunité de capitaliser et d’amplifier les bonnes pratiques qui ont permis de faire avancer les filles et les femmes.
Elle a énuméré comme pratiques positives et optimales, « la création des lycées scientifiques », « l’octroi des bourses scolaires aux filles les plus méritantes dans les filières scientifiques, techniques et industrielles », « la sensibilisation des filles aux métiers de l’industrie », « la multiplication des centres de formation en vue de faciliter l’accès aux apprenants et apprenantes », « l’exigence d’un quota minimum de 25% accordé aux filles lors du recrutement de Lycée technique », « la nomination des femmes aux postes de responsabilité dans des domaines scientifiques », « l’accompagnement des femmes professeurs d’universités, des femmes professeurs du secondaire », « la formation et l’accompagnement des femmes dans les métiers techniques »…
Occasion également pour Mme Ekoué et son département de célébrer les femmes pionnières tel que la Professeur Glitho, doyen honoraire de la faculté des Sciences, la Professeur titulaire Kissem Tchangaï Walla, commandeur des Palmes académiques, et de saluer les actions des organisations qui œuvrent pour l’avancée des femmes dans les filières et dans les métiers scientifiques et technologiques.
Pour finir, le membre du gouvernement a formulé le vœu qu’à travers cette journée, l’on lance « un mouvement d’acteurs de tous les secteurs en faveur de la pleine réalisation du potentiel des filles et des femmes dans les sciences et les technologies pour donner une impulsion forte au développement de notre pays en ligne avec nos ambitions légitimes de prospérité et de bien être social pour tous ».
M.G, Lomé (Telegramme228)
Selon Mme Ekoué, la journée de la femme africaine offre l’opportunité de capitaliser et d’amplifier les bonnes pratiques qui ont permis de faire avancer les filles et les femmes.
Elle a énuméré comme pratiques positives et optimales, « la création des lycées scientifiques », « l’octroi des bourses scolaires aux filles les plus méritantes dans les filières scientifiques, techniques et industrielles », « la sensibilisation des filles aux métiers de l’industrie », « la multiplication des centres de formation en vue de faciliter l’accès aux apprenants et apprenantes », « l’exigence d’un quota minimum de 25% accordé aux filles lors du recrutement de Lycée technique », « la nomination des femmes aux postes de responsabilité dans des domaines scientifiques », « l’accompagnement des femmes professeurs d’universités, des femmes professeurs du secondaire », « la formation et l’accompagnement des femmes dans les métiers techniques »…
Occasion également pour Mme Ekoué et son département de célébrer les femmes pionnières tel que la Professeur Glitho, doyen honoraire de la faculté des Sciences, la Professeur titulaire Kissem Tchangaï Walla, commandeur des Palmes académiques, et de saluer les actions des organisations qui œuvrent pour l’avancée des femmes dans les filières et dans les métiers scientifiques et technologiques.
Pour finir, le membre du gouvernement a formulé le vœu qu’à travers cette journée, l’on lance « un mouvement d’acteurs de tous les secteurs en faveur de la pleine réalisation du potentiel des filles et des femmes dans les sciences et les technologies pour donner une impulsion forte au développement de notre pays en ligne avec nos ambitions légitimes de prospérité et de bien être social pour tous ».
M.G, Lomé (Telegramme228)
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