Selon le magazine « Jeune Afrique », dans son édition 2014 consacrée aux économies des pays africains, le Togo se classe 30ème sur le plan économique parmi les 54 pays qui composent le continent noir. A en croire ce magazine, le Togo espère faire d’énormes progrès dans plusieurs domaines. Il s’agit, entre autres de la poursuite du programme d’investissements publics, de la relance des secteurs du phosphate, du coton, du bâtiment. « Une relance qui intervient dans un contexte difficile », souligne le magazine. Un progrès qui occasionnerait au Togo, selon le magazine, une croissance de 6 % de moyenne durant les trois prochaines années, si les performances enregistrées sur le plan agricole se poursuivent de façon exponentielle.
S’agissant du contexte difficile dont parle le magazine « Jeune Afrique », on se souvient des incendies des deux grands marchés du Togo que sont les marchés de Kara et de Lomé, en début d’année, plus précisément les 09 et 11 janvier 2013. Ces incendies criminels que qualifie le magazine de « catastrophe économique et social », ont causé des pertes, selon les sources proches de l’Etat togolais, estimées à l’époque à six (6) milliards de FCFA, soit 0,3% du PIB national et ont laissé sur le carreau, plusieurs commerçants dont leurs activités se limitent aujourd’hui au chômage.
Ces atouts, dont a parlé le magazine, ne laissent pas indifférent le Fonds Monétaire International (FMI), qui du coup, devrait accorder un financement de 41 milliards de FCFA au Togo, sur trois (3) ans.
Signalons qu’au classement général, le Togo devance les pays comme le Burkina Faso, le Malawi, l’Ethiopie et le Rwanda.
M.A / FS (Telegramme228)
S’agissant du contexte difficile dont parle le magazine « Jeune Afrique », on se souvient des incendies des deux grands marchés du Togo que sont les marchés de Kara et de Lomé, en début d’année, plus précisément les 09 et 11 janvier 2013. Ces incendies criminels que qualifie le magazine de « catastrophe économique et social », ont causé des pertes, selon les sources proches de l’Etat togolais, estimées à l’époque à six (6) milliards de FCFA, soit 0,3% du PIB national et ont laissé sur le carreau, plusieurs commerçants dont leurs activités se limitent aujourd’hui au chômage.
Ces atouts, dont a parlé le magazine, ne laissent pas indifférent le Fonds Monétaire International (FMI), qui du coup, devrait accorder un financement de 41 milliards de FCFA au Togo, sur trois (3) ans.
Signalons qu’au classement général, le Togo devance les pays comme le Burkina Faso, le Malawi, l’Ethiopie et le Rwanda.
M.A / FS (Telegramme228)
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