Depuis le 25 juillet 2013 où le Togo a organisé les élections législatives sans les locales, l’opinion se demande quand auront-elles lieu alors. Pour Gilbert Bawara, Ministre de l’Administration Territoriale, de la Décentralisation et des Collectivités Locales, la tenue desdites élections est toujours d’actualité et toutes les parties de la vie sociopolitique s’y attellent afin de les organiser « avec méthode et détermination ». Pour cela, des discussions sont en cours entre le gouvernement, les partis politiques et les organisations de la société civile. Et, « le moment venu, le gouvernement fera part du contenu des échanges », a-t-il dit. Mais, il a délporé certaines « polémiques stériles » et « absurdes » qui ont cours autour de cette concertation.
Dans un entretien que le Ministre Bawara a eu avec les confrères de « republicoftogo », il a confirmé les concertations qui ont eu lieu, il y a quelques jours, avec des partis et regroupements de partis politiques, ainsi que des organisations de la société civile ; il tient d’ailleurs, au nom du gouvernement, a qualifié la participation de ces derniers aux concertations, de « positive ». Ainsi, « le moment venu, le gouvernement fera part du contenu des échanges qui viennent d’avoir lieu et des résultats auxquels nous sommes parvenus », a-t-il rassuré.
En effet, en se réservant de parler de ce qui a été dit au cours de la rencontre et de ce à quoi les participants sont parvenus, Gilbert Bawara a quand même donné le motif de ces concertations. Le gouvernement « souhaite être à l’écoute, recevoir les idées, les préoccupations et les propositions de toutes les parties » ; car, « on ne peut pas annoncer des élections locales sans avoir pris en compte ce que les uns et les autres ont à dire », a-t-il ajouté.
Pour le Ministre de l’Administration Territoriale, de la Décentralisation et des Collectivités Locales, il est vrai que les élections locales relèvent d’une grande importance pour le Togo, d’autant plus qu’elles seront un signe de décentralisation « porteuse d’une profonde transformation politique, économique et sociale. Aussi ces élections pourront « être le symbole d’une nouvelle citoyenneté, d’une nouvelle conception de l’Etat ». Mais, ce n’est pas pour autant que le gouvernement va se donner au jeu d’ « annonces intempestives avant d’avoir posé des actes concrets tendant vers l’opérationnalisation de la décentralisation ».
Au demeurant, Gilbert Bawara a répondu aux auteurs de certaines allégations selon lesquelles, le gouvernement entend se passer des élections locales, en cherchant à convaincre l’opposition, de partager les Délégations Spéciales de nos villes. Ces allégations relatives aux concertations que le gouvernement a eues avec les partis politiques et les Organisations de la Société Civile, constituent des « polémiques stériles », selon le Ministre Bawara ; lesquelles polémiques le gouvernement ne pourra se permettre d’entretenir. Par conséquent, cette manière de penser, aux yeux de Gilbert Bawara, est « tout simplement absurde », du moment où le gouvernement ne pourra pas envisager une chose et son contraire.
Car, « nous ne pouvons pas être en train de rechercher les voies et moyens de relancer la perspective d’organisation d’élections locales, de donner une impulsion nouvelle au processus de décentralisation, de faire en sorte que les organes des collectivités locales soient crédibles et démocratiques » et « en même temps envisager des moyens non démocratiques de gestion des villes. C’est tout simplement absurde », a-t-il fait savoir.
F.A / F.S (Telegramme228)
Dans un entretien que le Ministre Bawara a eu avec les confrères de « republicoftogo », il a confirmé les concertations qui ont eu lieu, il y a quelques jours, avec des partis et regroupements de partis politiques, ainsi que des organisations de la société civile ; il tient d’ailleurs, au nom du gouvernement, a qualifié la participation de ces derniers aux concertations, de « positive ». Ainsi, « le moment venu, le gouvernement fera part du contenu des échanges qui viennent d’avoir lieu et des résultats auxquels nous sommes parvenus », a-t-il rassuré.
En effet, en se réservant de parler de ce qui a été dit au cours de la rencontre et de ce à quoi les participants sont parvenus, Gilbert Bawara a quand même donné le motif de ces concertations. Le gouvernement « souhaite être à l’écoute, recevoir les idées, les préoccupations et les propositions de toutes les parties » ; car, « on ne peut pas annoncer des élections locales sans avoir pris en compte ce que les uns et les autres ont à dire », a-t-il ajouté.
Pour le Ministre de l’Administration Territoriale, de la Décentralisation et des Collectivités Locales, il est vrai que les élections locales relèvent d’une grande importance pour le Togo, d’autant plus qu’elles seront un signe de décentralisation « porteuse d’une profonde transformation politique, économique et sociale. Aussi ces élections pourront « être le symbole d’une nouvelle citoyenneté, d’une nouvelle conception de l’Etat ». Mais, ce n’est pas pour autant que le gouvernement va se donner au jeu d’ « annonces intempestives avant d’avoir posé des actes concrets tendant vers l’opérationnalisation de la décentralisation ».
Au demeurant, Gilbert Bawara a répondu aux auteurs de certaines allégations selon lesquelles, le gouvernement entend se passer des élections locales, en cherchant à convaincre l’opposition, de partager les Délégations Spéciales de nos villes. Ces allégations relatives aux concertations que le gouvernement a eues avec les partis politiques et les Organisations de la Société Civile, constituent des « polémiques stériles », selon le Ministre Bawara ; lesquelles polémiques le gouvernement ne pourra se permettre d’entretenir. Par conséquent, cette manière de penser, aux yeux de Gilbert Bawara, est « tout simplement absurde », du moment où le gouvernement ne pourra pas envisager une chose et son contraire.
Car, « nous ne pouvons pas être en train de rechercher les voies et moyens de relancer la perspective d’organisation d’élections locales, de donner une impulsion nouvelle au processus de décentralisation, de faire en sorte que les organes des collectivités locales soient crédibles et démocratiques » et « en même temps envisager des moyens non démocratiques de gestion des villes. C’est tout simplement absurde », a-t-il fait savoir.
F.A / F.S (Telegramme228)
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