Monday, December 16, 2013

Djambi, l’Enfant du bon Combat

 Le 27 décembre prochain, une trentaine de jeunes africains et togolais seront sur scène à la Salle Agora Senghor de la paroisse universitaire Saint Jean Apôtre de Lomé pour présenter à la jeunesse, la comédie musicale intitulée « Djambi, l’Enfant du bon combat ».
 
« Djambi, l’Enfant du bon combat », est une histoire édifiante écrite par 2 jeunes, un Togolais, un Tchadien et mise en scène par un Rwandais.
Cette comédie musicale retrace les expériences d’un jeune issu d’une famille très pauvre. Jeune garçon, Djambi va réussir à l’école mais une fois à l’université, sera confronté à plusieurs difficultés et tentations de la vie.
Mais, toujours persévérant et prêt à tout pour réussir, le jeune pauvre va se hisser au sommet de la réussite malgré toutes les vicissitudes rencontrées.
«La comédie musicale Djambi raconte l'histoire d'un jeune garçon du nom de Djambi. Il est venu au monde dans un village où il perd sa mère en naissant. Doté d’un père qui n’a pas voulu le mettre à l’école, il va pourtant aller à l’école et après son bac, il va en ville pour poursuivre ses études à l'université. Là, les difficultés sont encore plus grandes avec des propositions sexuelles de personnes âgées, de devenir un membre d’une secte. Mais en dépit de toutes ses propositions qui pouvaient lui faciliter la vie, il n'a cessé de garder sa foi ancrée dans le seigneur. A la fin, sa persévérance paye, il trouve du boulot », a expliqué Joseph Youssouf Bello, chargé de la communication du Comité d’Organisation de la Comédie musicale.
Cette histoire racontée au travers d’une comédie musicale est un message véhiculé à la jeunesse qui se trouve aujourd’hui face à un défi, pouvoir prendre le temps pour faire le bon choix dans la vie et réussir.
La comédie sera présentée par plusieurs nationalités, notamment des Tchadiens, des Burkinabé, des Rwandais, des Béninois, des Camerounais et des Togolais.
Après cette première présentation, la comédie sera offerte en spectacle une fois en janvier et deux fois en février 2014.
Telli K. 
 AfreePress 

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