Le problème de chefferie au Togo devient
de plus en plus récurrent au Togo. Et pourtant chaque peuple, chaque
tribu, chaque communauté est régi par des us et coutumes dont les
dispositions prévoient déjà la succession après la mort d’un chef.
Seulement voilà, pendant plus de deux décennies, la succession à la chefferie est devenue une bataille parfois violente entre des fils d’une même communauté. Dès lors, le lien parental ou le cordon ancestral qui lie les collectivités se brise malheureusement à l’occasion du choix d’un chef. La vie communautaire issue de la solidarité légendaire prend également un coup, d’où l’apparition d’une division due aux querelles intestines issues de ces problèmes de chefferie qui décrédibilisent l’autorité coutumière, car, un chef choisi, même s’il est reconnu officiellement sans l’adhésion de son peuple, est, du coup, désavoué par ses administrés.
Seulement voilà, pendant plus de deux décennies, la succession à la chefferie est devenue une bataille parfois violente entre des fils d’une même communauté. Dès lors, le lien parental ou le cordon ancestral qui lie les collectivités se brise malheureusement à l’occasion du choix d’un chef. La vie communautaire issue de la solidarité légendaire prend également un coup, d’où l’apparition d’une division due aux querelles intestines issues de ces problèmes de chefferie qui décrédibilisent l’autorité coutumière, car, un chef choisi, même s’il est reconnu officiellement sans l’adhésion de son peuple, est, du coup, désavoué par ses administrés.
C’est ainsi que les habitants ne se sont
entendus sur un choix. Pour prétendre dénouer la tension, les autorités
politiques optent pour deux chefs, une solution préjudiciable à la
fraternité voire à la vie communautaire dans la localité. Une situation
qui, à en croire certains anthropologues ou sociologues, arrange tant
bien que mal le pouvoir RPT-UNIR en place, dont la politique est celle
de diviser pour mieux les dominer.
Dans la plupart des cas, les chefs imposés à certaines localités ne répondent pas souvent aux critères de moralité et de sagesse recommandés par nos us et coutumes, tant, ces autorités coutumières impopulaires n’ont aucune probité. Certains usurpent les trônes avec l’appui les anciens et nouveaux barons.
Dans la plupart des cas, les chefs imposés à certaines localités ne répondent pas souvent aux critères de moralité et de sagesse recommandés par nos us et coutumes, tant, ces autorités coutumières impopulaires n’ont aucune probité. Certains usurpent les trônes avec l’appui les anciens et nouveaux barons.
Tout porte à croire que c’est
l’immixtion des politiques dans le choix d’un chef, contraire à la
tradition ou à la culture ancestrale, qui provoque des conflits qui
aboutissent parfois à la haine ethnique. Or, ces problèmes de chefferie
liés aux conflits ethniques et fonciers enveniment davantage la
situation qui commence à devenir une bombe à retardement, difficile à
neutraliser. Dans les cas de Totsi, Cacaveli, Akpadapé, Notsè et autres
localités. On constate que les protégés du pouvoir passent par le
circuit illégal en utilisant des moyens peu orthodoxes afin d’avoir
l’onction officielle de leurs dossiers.
De là, certains agents véreux du Ministère de l’Administration et de la décentralisation prompts à la corruption, toutes autres choses qui sont contraires à la bonne gouvernance et qui contribuent à l’exacerbation des conflits de chefferie au Togo. « Mieux vaut prévenir que guérir », sinon le Togo est assis sur une braise. Entre nous, le décret de nomination au lieu de décret de reconnaissance, ne contribue t- elle pas à cette situation?
Tout porte à croire que ce sont les autorités politiques qui nomment un chef dans une localité sans l’assentiment des administrés.
De là, certains agents véreux du Ministère de l’Administration et de la décentralisation prompts à la corruption, toutes autres choses qui sont contraires à la bonne gouvernance et qui contribuent à l’exacerbation des conflits de chefferie au Togo. « Mieux vaut prévenir que guérir », sinon le Togo est assis sur une braise. Entre nous, le décret de nomination au lieu de décret de reconnaissance, ne contribue t- elle pas à cette situation?
Tout porte à croire que ce sont les autorités politiques qui nomment un chef dans une localité sans l’assentiment des administrés.
Angelo G.
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