Un nouveau rebondissement dans l’affaire
du prophète du Christ Maranatha Mashia’h de l’Eglise Clinique Immanuel
Temple du Saint Esprit (ECITSE). Comme annoncé précédemment,
l’acharnement sans précédent se poursuit dans les coulisses contre la
personne de l’Intendant Général de l’Eglise ECITSE, interpellé depuis
plus d’un mois et gardé à la prison civile de Lomé. Aux dernières
nouvelles, certains pontes du régime dont le directeur général
Kudjow-Kum Pekemsi de la LONATO ne seraient pas en marge de la
machination ourdie contre le prophète du Christ Maranatha Mashia’h, de
son vrai nom Moungonga Saturnin.
En effet, M. Kudjow-Kum Pekemsi est un
parent à Mlle Pekemsi Tchilalo, une fidèle très proche du « prophète »
et interpellée le même jour que ce dernier. Des indiscrétions racontent
qu’en début de semaine, le DG de la LONATO serait allé voir son ami de
longue date, le Procureur Général près la Cour d’appel de Lomé, afin que
par son intervention sa nièce Pekemsi Tchilalo soit libérée. Le
Procureur Général aurait en retour proposé à Mlle Pekemsi Tchilalo
d’enfoncer le « prophète » en disant qu’il est l’auteur de la
grossesse de Mlle Dorcas Tatangue, une fidèle de l’Eglise également
interpellée dans la même affaire, et qu’il est ipso facto le père du
garçon né de cette jeune dame il y a trois mois. Toujours d’après la
même source, il aurait été demandé à Tchilalo Pekemsi de déclarer que le
prophète est également l’auteur des fausses déclarations d’acte de
naissance du fils de Dorcas Tatangue et du bébé qu’il aurait eu avec sa
propre épouse Shalom Blessing également détenue à la prison civile de
Lomé. Et si les faits venaient à être confirmés par la nièce du DG de la
LONATO, ils conforteraient la thèse de trafic d’enfants et de fausses
déclarations d’identité, une partie des charges retenues contre le
prophète.
Il convient de rappeler que Mlle
Tchilalo Pekemsi est l’une des plus proches fidèles du prophète et de
son épouse ; et de là, obtenir confirmation des faits de sa part lui
permettrait de recouvrer sa liberté à elle et d’écrouer pour un bon
temps le prophète et son épouse à la prison civile de Lomé.
Depuis l’interpellation du prophète du
Christ Maranatha Mashia’h, les charges retenues contre lui ne font que
changer de dénomination. Une stratégie visant à le maintenir dans la
cellule de la prison civile de Lomé.
En attendant que la lumière soit faite dans cette ténébreuse affaire, le feuilleton continue et c’est le Wait and see !
C. T.
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