Dama Dramani, le président de l’Assemblée nationale
C'est mercredi que reprend la
première séance de la session extraordinaire qui a démarré mardi sur
demande du chef de l’Etat, Faure Gnassingbé pour procéder à l'élection
des membres de la Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI) et
de six (6) membres de la Cour constitutionnelle. Les travaux qui ont
commencé n'ont pas abouti pour faute de consensus notamment sur la
composition de la CENI.
Au Togo, la CENI est composée de dix-sept (17) membres, dont 5 de la
majorité parlementaire, 5 de l’opposition parlementaire, 3 des partis
extra-parlementaires, 3 de la société civile et un de l’administration
publique.
Les partis politiques présents à l'Assemblée nationale n'ont toujours pas trouvé de consensus sur la composition de la CENI. Les difficultés concernent les 5 sièges revenant à l'opposition parlementaire, les 3 places des partis extra-parlementaires et les 3 autres de la société civile.
« Au niveau de chaque groupe parlementaire, des partis extra-parlementaires, et de la société civile, qui doivent composer la CENI, il faut qu’il y ait un conciliabule pour savoir qui mettre où, parce que beaucoup de candidatures ont été enregistrées et il faut trier pour prendre les bonnes personnes », a indiqué Christophe Tchao, le président du groupe parlementaire UNIR.
L'opposition exige que les 5 places revenant à la majorité soient partagées entre le parti au pouvoir et son allié, l'UFC qui est au gouvernement. Mais Unir ne l'entend pas de cette oreille et veut donner une place à l'UFC sur le quota de l'opposition parlementaire.
Cette situation avait amené la Coalition Arc-en-ciel à ne pas envoyer les noms de ses représentants à l'Assemblée nationale jusqu'à récemment. Pendant ce temps, l’Alliance Nationale pour le Changement (ANC) et son allié l’Alliance des Démocrates pour le Développement Intégral (ADDI) ont, chacun en ce qui le concerne, envoyé au Parlement cinq noms chacune au titre des 5 places de l’opposition parlementaire au sein de la CENI.
La CENI pourra-t-elle être composée de façon consensuelle pour éviter tout problème dans la suite du processus électoral? Cette question pourra trouver sa réponse mercredi en fin de journée au cas où les conciliabules annoncées ont abouti. Togo Breaking news
Les partis politiques présents à l'Assemblée nationale n'ont toujours pas trouvé de consensus sur la composition de la CENI. Les difficultés concernent les 5 sièges revenant à l'opposition parlementaire, les 3 places des partis extra-parlementaires et les 3 autres de la société civile.
« Au niveau de chaque groupe parlementaire, des partis extra-parlementaires, et de la société civile, qui doivent composer la CENI, il faut qu’il y ait un conciliabule pour savoir qui mettre où, parce que beaucoup de candidatures ont été enregistrées et il faut trier pour prendre les bonnes personnes », a indiqué Christophe Tchao, le président du groupe parlementaire UNIR.
L'opposition exige que les 5 places revenant à la majorité soient partagées entre le parti au pouvoir et son allié, l'UFC qui est au gouvernement. Mais Unir ne l'entend pas de cette oreille et veut donner une place à l'UFC sur le quota de l'opposition parlementaire.
Cette situation avait amené la Coalition Arc-en-ciel à ne pas envoyer les noms de ses représentants à l'Assemblée nationale jusqu'à récemment. Pendant ce temps, l’Alliance Nationale pour le Changement (ANC) et son allié l’Alliance des Démocrates pour le Développement Intégral (ADDI) ont, chacun en ce qui le concerne, envoyé au Parlement cinq noms chacune au titre des 5 places de l’opposition parlementaire au sein de la CENI.
La CENI pourra-t-elle être composée de façon consensuelle pour éviter tout problème dans la suite du processus électoral? Cette question pourra trouver sa réponse mercredi en fin de journée au cas où les conciliabules annoncées ont abouti. Togo Breaking news
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