Sunday, September 28, 2014

Les avocats de Kpatcha Gnassingbé dénoncent une campagne d’intoxication attribuée à leur client

Dans une déclaration rendue publique les avocats de Kpatcha Gnassingbé informent l’opinion que des individus scandaient dans le quartier Agbalépodogan libérez Kpatcha Gnassingbé sinon pas d’élections présidentielles en 2015. La même phrase était lisible sur certaines clôtures de maison dans le même quartier.


Les avocats de Kpatcha Gnassingbé et Co accusés soutiennent que leur clients ne connaissent ni d’Adam, ni d’Eve ces individus. Les conseils du député de la Kozah estiment que ces individus sont manipulés par des mains invisibles dans le but de faire échouer les démarches de conciliation initiées par madame le chef canton de Pya en vue de trouver une issue favorable au dossier Kpatcha Gnassingbé.

Les avocats de l’ex ministre de la défense parlent de machinations et invitent les autorités togolaises à donner une suite favorable à cette initiative du chef canton de Pya.

Kpatcha Gnassingbé et 06 autres personnalités civiles et militaires sont toujours en détention dans les prisons du Togo dans l’affaire de complot contre la sureté intérieure de l’état alors même que la cour de justice de la CEDEAO depuis plus d’un an a condamné l’état togolais à dédommager les personnes torturées dans ce dossier et demandée instamment que le Togo fasse cesser les violations sur les requérants dont le droit à un procès équitable a été violé.

Les avocats de Kpatcha Gnassingbé ont engagé une procédure d’urgence auprès de la juridiction sous régionale afin qu’elle explicite davantage son arrêt quant à la libération des détenus. Les décisions de la cour s’appliquent aux etats membres de la CEDEAO qui doivent l’exécuter de bonne foi a rappelé dans une interview sur kanal k une radio suisse, le magistrat togolais Koffi Kounté, ancien président de la commission nationale des droits de l’homme en exil depuis 03 ans pour avoir publié un rapport attestant que des prévenus dans l’affaire Kpatcha ont été torturés.

No comments:

Post a Comment