En
conseil des ministres mercredi, le gouvernement togolais est
revenu sur les cas de fraude qui ont été commis lors de la dernière
édition de l’examen de BAC II. Au cours de cette session de
Baccalauréat, un quarantaine de candidats ont été épinglés pour
« fraudes ». Et d’après le communiqué du Conseil des ministres, ils
seront « sanctionnés ».
Il ressort d’après le même communiqué que ces cas de fraude ont survenu au Collège Saint Joseph et au Lycée technique d’Adidogomé, deux centres d’examen de Lomé et ont mis en cause, 38 candidats venus de 7 établissements scolaires et deux candidats libres. Aussi, indique-t-on que ces « fraudes constatées ont trait à des échanges d’épreuves, à la possession de documents compromettants ou de téléphones portables pendant les épreuves ».
Il est aussi révélé par le ministre Guy Madjé Lorenzo de la Communication de la culture, des arts, des sports et de la formation civique, porte-parole du gouvernement, qui faisait le compte rendu des travaux, qu’ « après délibérations, le Conseil de discipline qui s’est réuni le 17 septembre 2015 a proposé contre les fautifs, diverses sanctions qui vont de l’annulation pure et simple du BAC II pour certains candidats à l’annulation avec suspension de un à trois ans pour d’autres de passer ledit examen ».
Des propositions de sanctions qui ont été finalement « entérinées » par le Conseil de discipline le 8 octobre dernier.
C’est en tout cas une vigilance du ministère de l’enseignement supérieur et de la recherche et une « rigueur » du Conseil de discipline qui ont permis d’en arriver là. Les aptitudes de ces deux entités ont été saluées par le Chef de l’Etat togolais, Faure Gnassingbé.
A noter qu’au cours des mêmes travaux, l’exécutif a adopté un décret relatif à l’ouverture très prochaine d’un Faculté des sciences de la santé à l’université de Kara. Cette mesure est justifiée par une volonté de répondre au besoin croissant en personnel de santé de haut niveau ressenti par les populations togolaises et qui exige un cadre de formation adéquat dans le domaine de la santé. Une fois ouverte, cette faculté de l’université de Kara contribuera au décongestionnement de celle de Lomé et devra répondre aux demandes de formation qui croissent année après année.
G.K
Il ressort d’après le même communiqué que ces cas de fraude ont survenu au Collège Saint Joseph et au Lycée technique d’Adidogomé, deux centres d’examen de Lomé et ont mis en cause, 38 candidats venus de 7 établissements scolaires et deux candidats libres. Aussi, indique-t-on que ces « fraudes constatées ont trait à des échanges d’épreuves, à la possession de documents compromettants ou de téléphones portables pendant les épreuves ».
Il est aussi révélé par le ministre Guy Madjé Lorenzo de la Communication de la culture, des arts, des sports et de la formation civique, porte-parole du gouvernement, qui faisait le compte rendu des travaux, qu’ « après délibérations, le Conseil de discipline qui s’est réuni le 17 septembre 2015 a proposé contre les fautifs, diverses sanctions qui vont de l’annulation pure et simple du BAC II pour certains candidats à l’annulation avec suspension de un à trois ans pour d’autres de passer ledit examen ».
Des propositions de sanctions qui ont été finalement « entérinées » par le Conseil de discipline le 8 octobre dernier.
C’est en tout cas une vigilance du ministère de l’enseignement supérieur et de la recherche et une « rigueur » du Conseil de discipline qui ont permis d’en arriver là. Les aptitudes de ces deux entités ont été saluées par le Chef de l’Etat togolais, Faure Gnassingbé.
A noter qu’au cours des mêmes travaux, l’exécutif a adopté un décret relatif à l’ouverture très prochaine d’un Faculté des sciences de la santé à l’université de Kara. Cette mesure est justifiée par une volonté de répondre au besoin croissant en personnel de santé de haut niveau ressenti par les populations togolaises et qui exige un cadre de formation adéquat dans le domaine de la santé. Une fois ouverte, cette faculté de l’université de Kara contribuera au décongestionnement de celle de Lomé et devra répondre aux demandes de formation qui croissent année après année.
G.K
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