Une autobiographie qui relate les
mauvais et bons moments de la vie de l’auteur depuis son enfance, en
passant par son début de carrière footballistique au Togo et à
l’étranger jusqu’à la fin précipité par l’attentat en 2010 contre le bus
des Eperviers du Togo dans l’enclave de Cabinda en Angola.
Ces genres d’accidents ont été, selon
l’auteur de cet ouvrage, pour lui depuis le début de sa carrière
sportive au pays, « un pain quotidien ». Mais contrairement aux
autres, celui de Cabinda était différent, dans sa longue collection,
parce que les autres n’avaient pas mis fin à sa carrière.
« Quand j’étais au pays plus précisément
à l’Etoile Filante, lors d’un voyage au Ghana pour un match amical,
notre délégation a été également victime d’un accident qui m’a coûté une
blessure au bras dont je me souviendrai toujours même si je suis sorti
saint et sauf », a-t-il ajouté.
Pour lui, on ne peut jamais forcer son
destin, car dit-il, « dans la vie lorsqu’une porte se ferme, il y a
une autre qui s’ouvre automatiquement ».
Pour rappel, Kodjovi Obilalé Dodo
faisait de la délégation des Eperviers du Togo qui a été victime en 2010
d’une attaque dans l’enclave de Cabinda alors qu’elle se rendait en
Angola pour prendre part à la Coupe d’Afrique des nations (CAN).
Modeste K.
Afreepress
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