Saturday, February 7, 2015
TOGO : Le ministre Colonel Yark, le Capitaine Akakpo et Toyi Gnassingbé Une question se pose sur les miliciens du régime RPT/UNIR et son clan. Entre le ministre de la sécurité, le Colonel Yark Arouna Damehane , l’ancien directeur de la SRI, le Capitaine Ayéwalagni Akakpo et Toyi Gnassingbé:
- 1) Qui est le responsable des miliciens ?
- 2) Qui entretient les miliciens ?
- 3) Qui arme les miliciens ?
- 4) Qui épaule les miliciens ?
- 5) Qui finance les miliciens ?
Tant de questions sans réponses.
Au Togo depuis la nuit des temps, un groupe bien identifié sème la violence, des bavures etc…, sans que aucune autorité de la sécurité nationale (police et gendarmerie) ne réagisse.
Après constat des faits, analyse et investigation, les résultats sont claire. Les miliciens agirent bel et bien pour le compte du régime RPT/UNIR et son clan.
Les bavures que causent ces miliciens sont toujours restées impunies.
Les causes sont multiples :
- 1) Le génocide de 2005 dont les miliciens ont participé activement aux massacres de la population sous contrôle de Kpatcha et Toyi Gnassingbé.
-
- 2) Les chaos semé par les miliciens le 12 et 13 juin 2012 à Déckon, au cours de la manifestation du CST, dont Ekoué Glokpor était le chef des milices ce jour. Ce dernier est un protégé et travaille pour le Colonel Yark Arouna Damehane.
-
- 3) L’interdiction et l’empêchement des miliciens pour la tenue du meeting du CST et la Coalition Arc-en-ciel, le 4 septembre 2012 à Kara.
-
- 4) Les bavures et les chaos semé par les miliciens avec des machettes, coupe coupes, gourdins cloutés et autres sur les militantes, les militants et les sympathisants du CST, en présence des forces de l’ordre, le 15 septembre 2012 à Doumasséssé (Adéwui) un quartier de Lomé, suite à l’appel du CST pour une marche pacifique contre les dérives et les mauvaises gestions du pays par le gouvernement.
-
On se rappelle que ce jour le Capitaine Akakpo était sur les lieux tout en achetant des boissons aux miliciens. Pris de peur et de panique, ce Capitaine a fait une sortie médiatique sur une radio privée pour nier les allégations contre sa personne.
Après les bavures et les massacres du 15 septembre 2012, une enquête a été diligentée par le ministre de la sécurité et de la protection civile, le Colonel Yak.
Eh bien, depuis la fin de son enquête ou il disait que les auteurs des massacres ont été identifiés et que son rapport était transmis à la justice. Jusqu’à ce jour les personnes incriminées dans son rapport non jamais été inquiété ni arrêté par cette justice aux ordres des tenants du pouvoir.
Aujourd’hui tout est claire qu’au Togo, il y a des gens qui peuvent se permettre tout jusqu’à tuer, mettre du feu aux marchés sans impunité et sans rendre compte à qui que se soit.
Les gouvernants et les dirigeants préfèrent arrêter et emprisonner des innocents pour des actes que eux-mêmes ils ont commis volontairement.
Les exemples :
- Le cas des incendies des marchés de Kara et de Lomé.
- Le cas des jeunes filles tuées dans les banlieux de Lomé (Agoè-nyvé etc).
- Le cas de faux coup d’Etat contre Kpatcha Gnassingbé et co-accusés.
- Le cas du faux dossier d’escroquerie internationale contre Pascal Bodjona et Sow Bertin Agba.
-Le cas des braquages du magasin Fontana et de l’aéroport de Lomé Tokoin.
Pour ne citer que ces cas, nous disons que vraiment la justice est aux ordres. Et si rien n’est fait, la République est en danger.
C’est honteux.
La Nouvelle
Subscribe to:
Post Comments (Atom)
No comments:
Post a Comment