Depuis
sa création son parti a été surtout actif lors des élections
présidentielles au Togo. Et sur les différents sujets brûlant de
l’actualité politique du pays, son PRR (Parti pour le Renouveau et la
Rédemption) de Nicolas Lawson n’a aucunement fait économie de ses
positions. Et comme pour celui des réformes politiques que les partis
réclament aujourd’hui, certains par la rue et d’autres encore par des
discussions de coulisse, Nicolas Lawson et son parti sont d’avis que ces
réformes sont indispensables.
Mais seulement que le parti ne se voit pas en coalition avec quelque regroupement de partis politiques et surtout l’idée d’une entrée dans le derniers de ces regroupements, CAP 2015 qui a porté son choix sur le président de l’ANC, Jean-Pierre Fabre, comme candidat unique à la présidentielle de 2015. Pour lui, la question du pays dépasse les limites d’un regroupement et encore qu’il y a besoin d’un esprit nouveau, ce qu’il ne retrouve pas dans la démarche et les agissements des leaders de CAP 2015. « L’unité de la nation est au-delà de nos petits regroupements, de nos susceptibilités et de nos recherches de prééminence et d’égo. Le Cap 2015 et ceux qui le composent sont sans idée et esprit nouveau pour pouvoir s’imposer dans la classe politique », a-t-il déclaré hier au cours d’une sortie médiatique.
Exactement sur la question des réformes constitutionnelles et institutionnelles, Nicolas Lawson n’a jamais pardonné surtout à certains de ses collègues opposants du régime de Lomé, leur radicalisme qui n’a pas permis de sauver les acquis du CPDC (Cadre Permanent de Dialogue et de Concertation) rénové. Un cadre de discussion au sein duquel son parti et les autres formations politiques autour de la table se sont accordés sur les réformes surtout la question des deux tours pour la présidentielle et la limitation du nombre de mandats. Mais depuis lors, il ne comprend pas au nom de quel patriotisme, ces avancées réalisées ont été balayées du revers de la main par certains acteurs qui aujourd’hui battent les pavés pour réclamer les mêmes choses.
Pour la présidentielle de 2015, le PRR et son président ne semblent pas être chauds pour y prendre part.
M.G, Lomé (Telegramme228)
Mais seulement que le parti ne se voit pas en coalition avec quelque regroupement de partis politiques et surtout l’idée d’une entrée dans le derniers de ces regroupements, CAP 2015 qui a porté son choix sur le président de l’ANC, Jean-Pierre Fabre, comme candidat unique à la présidentielle de 2015. Pour lui, la question du pays dépasse les limites d’un regroupement et encore qu’il y a besoin d’un esprit nouveau, ce qu’il ne retrouve pas dans la démarche et les agissements des leaders de CAP 2015. « L’unité de la nation est au-delà de nos petits regroupements, de nos susceptibilités et de nos recherches de prééminence et d’égo. Le Cap 2015 et ceux qui le composent sont sans idée et esprit nouveau pour pouvoir s’imposer dans la classe politique », a-t-il déclaré hier au cours d’une sortie médiatique.
Exactement sur la question des réformes constitutionnelles et institutionnelles, Nicolas Lawson n’a jamais pardonné surtout à certains de ses collègues opposants du régime de Lomé, leur radicalisme qui n’a pas permis de sauver les acquis du CPDC (Cadre Permanent de Dialogue et de Concertation) rénové. Un cadre de discussion au sein duquel son parti et les autres formations politiques autour de la table se sont accordés sur les réformes surtout la question des deux tours pour la présidentielle et la limitation du nombre de mandats. Mais depuis lors, il ne comprend pas au nom de quel patriotisme, ces avancées réalisées ont été balayées du revers de la main par certains acteurs qui aujourd’hui battent les pavés pour réclamer les mêmes choses.
Pour la présidentielle de 2015, le PRR et son président ne semblent pas être chauds pour y prendre part.
M.G, Lomé (Telegramme228)
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