« Aucun
sacrifice n’est trop grand quand il s’agit de la santé des populations
togolaise », diront certains. En tout cas, c’est en s’appropriant cette
assertion que les acteurs du secteur privé de la santé au Togo ont,
samedi dernier à Lomé, au terme d’une journée marathon de travail, mis
sur pied une plateforme pour coordonner leurs activités et servir
d’interlocuteur crédible vis-à-vis de l’Etat togolais et de ses
partenaires.
Du nom de Plateforme du Secteur Privé de la Santé au Togo (PSPS-Togo), cette plateforme est dirigée par un bureau de neuf membres présidé par Dr Moïse Fiadjoé, et dont le mandat est de deux ans. Premier président donc de cette plateforme, l’heureux élu semble déjà avoir une idée précise de l’ampleur des tâches qui les attendent. « La création de cette plateforme se justifie par le fait que la plupart des patients dans nos pays sont vus en priorité par les acteurs du secteur privé, mais malheureusement, les activités de ce personnel de la santé ne sont pas reconnues et ne sont pas très connues. Et même les indicateurs de la santé de nos pays ne reflètent pas les activités de ce pan du secteur de la santé. Donc il était très important que tous acteurs du secteur de la santé de nos pays se regroupent de façon à pouvoir se faire connaitre et à être une force de proposition et une force de concertation. Ainsi, ces acteurs du secteur privé de la santé peuvent être de vrais partenaires de l’Etat et pour que, le dialogue entre l’Etat et les autres partenaires, puisse se mettre en place », a-t-il déclaré avant de poursuivre que son « bureau se mettra très rapidement au travail. D’abord pour formaliser l’adhésion de toutes les associations au niveau de la plate forme, faire reconnaitre la plateforme par les autorités, faire connaitre les objectifs de la plateforme, et commencer à entreprendre un dialogue public-privé ».
Plaçant le PSPS Togo dans son contexte, Dr Fiadjoé a expliqué qu’il s’agit d’une plateforme qui « est à la fois un organe de concertation, un organe de proposition pour que le dialogue constitue un élément de base pour le partenariat public-privé. Notre bureau va très rapidement se mettre au travail pour que les différents éléments qui composent la plateforme puissent se connaitre, connaissent les besoins des uns et des autres de façon à pouvoir mettre en place un véritable mouvement pour le développement de la santé dans notre pays ».
Etant donné qu’aucune activité ne peut-être faite sans penser aux bénéficiaires des prestations de ces acteurs de la santé, le président de la PSPS-Togo a confié à la presse que, « les intérêts de la mise en place de cette plateforme pour les patients sont énormes ». Il a cité en exemple le fait que « lors que la plateforme va se mettre en place et va discuter sur le financement de la santé et le coût des actes de santé, ce serait pour améliorer l’accessibilité de nos populations à une certaine médecine de qualité. Donc, les patients bénéficient forcément de la mise en commun de tous les efforts des acteurs du secteur de la santé pour que nos populations se portent mieux ». Représenté à la cérémonie de clôture des travaux par un des collaborateurs du ministre de la Santé, le ministère de tutelle a souhaité voir cette plateforme aller de l’avant en se positionnant en un véritable interlocuteur de ce département de l’exécutif togolais.
Au cours des travaux qui ont abouti à l’élection du bureau exécutif de la PSPS, les responsables des différentes structures membres se sont imprégnées du rapport d’activités de la Cellule de coordination qui ont menées les actions jusqu’à cette assemblée générale constitutive, et ont étudié et adopté les statuts, le Règlement intérieur et des droits d’inscription et cotisation et la résolution créant les commissions permanentes .
G.K
Du nom de Plateforme du Secteur Privé de la Santé au Togo (PSPS-Togo), cette plateforme est dirigée par un bureau de neuf membres présidé par Dr Moïse Fiadjoé, et dont le mandat est de deux ans. Premier président donc de cette plateforme, l’heureux élu semble déjà avoir une idée précise de l’ampleur des tâches qui les attendent. « La création de cette plateforme se justifie par le fait que la plupart des patients dans nos pays sont vus en priorité par les acteurs du secteur privé, mais malheureusement, les activités de ce personnel de la santé ne sont pas reconnues et ne sont pas très connues. Et même les indicateurs de la santé de nos pays ne reflètent pas les activités de ce pan du secteur de la santé. Donc il était très important que tous acteurs du secteur de la santé de nos pays se regroupent de façon à pouvoir se faire connaitre et à être une force de proposition et une force de concertation. Ainsi, ces acteurs du secteur privé de la santé peuvent être de vrais partenaires de l’Etat et pour que, le dialogue entre l’Etat et les autres partenaires, puisse se mettre en place », a-t-il déclaré avant de poursuivre que son « bureau se mettra très rapidement au travail. D’abord pour formaliser l’adhésion de toutes les associations au niveau de la plate forme, faire reconnaitre la plateforme par les autorités, faire connaitre les objectifs de la plateforme, et commencer à entreprendre un dialogue public-privé ».
Plaçant le PSPS Togo dans son contexte, Dr Fiadjoé a expliqué qu’il s’agit d’une plateforme qui « est à la fois un organe de concertation, un organe de proposition pour que le dialogue constitue un élément de base pour le partenariat public-privé. Notre bureau va très rapidement se mettre au travail pour que les différents éléments qui composent la plateforme puissent se connaitre, connaissent les besoins des uns et des autres de façon à pouvoir mettre en place un véritable mouvement pour le développement de la santé dans notre pays ».
Etant donné qu’aucune activité ne peut-être faite sans penser aux bénéficiaires des prestations de ces acteurs de la santé, le président de la PSPS-Togo a confié à la presse que, « les intérêts de la mise en place de cette plateforme pour les patients sont énormes ». Il a cité en exemple le fait que « lors que la plateforme va se mettre en place et va discuter sur le financement de la santé et le coût des actes de santé, ce serait pour améliorer l’accessibilité de nos populations à une certaine médecine de qualité. Donc, les patients bénéficient forcément de la mise en commun de tous les efforts des acteurs du secteur de la santé pour que nos populations se portent mieux ». Représenté à la cérémonie de clôture des travaux par un des collaborateurs du ministre de la Santé, le ministère de tutelle a souhaité voir cette plateforme aller de l’avant en se positionnant en un véritable interlocuteur de ce département de l’exécutif togolais.
Au cours des travaux qui ont abouti à l’élection du bureau exécutif de la PSPS, les responsables des différentes structures membres se sont imprégnées du rapport d’activités de la Cellule de coordination qui ont menées les actions jusqu’à cette assemblée générale constitutive, et ont étudié et adopté les statuts, le Règlement intérieur et des droits d’inscription et cotisation et la résolution créant les commissions permanentes .
G.K
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