L’escroc Ivoirien Jean-Claude Yao Yao écroué
malgré ses réseaux à la présidence. Enlèvements et demandes de rançons.
Prisons remplies de détenus militaires.
Faure Gnassingbé coupable…ou victime ?
Le Togo ne finit pas de surprendre. Chaque jour qui se lève affiche ses faces cachées. Le pays devient, à chaque instant, une terre d’accueil pour les escrocs de tout acabit avec la complicité active des fonctionnaires tapis à la présidence et dans d’autres sphères décisionnelles.
Il y a quelques jours, la Direction Centrale de la Police Judiciaire ( DCPJ ) mettait la main sur un escroc de classe exceptionnelle du nom de Jean-Claude Yao Yao. Cette scène scandaleuse est en train de passer par perte et profit. Mais si on se rappelle de comment le cas Bertin Sow Agba a été instrumentalisé au point de justifier la garde en détention des pontes du régime comme l’ex-ministre de l’Administration territorial Pascal Bodjona, nous estimons qu’il faut en faire cas.
Arrivé au Togo, le monsieur Jean-Claude Yao Yao se fait introduire par des entrées à la présidence. Très vite il se fait accorder un prêt bancaire par le truchement des mêmes appuis. Il installe le siège de son escroquerie « Mines Afrique-Europe, sarl » dans une villa en face de l’ancien immeuble Air Burkina sur le boulevard Jean Paul II. Le PDG de la sulfureuse société du nom de Mine- Afrique-Europe SARL, dit être spécialisé dans les mines.
L’homme commence tout-feu-tout flamme. Entre les rencontres de haut niveau ici et là, le monsieur était escorté par la police et le siège de son escroquerie hautement gardé jusqu’ici par des corps habillés armées jusqu’aux dents. Il avale tout ce qu’il rencontre sur son passage. C’est ainsi que, en escroc averti, même les meubles de son siège ont été le fruit d’une escroquerie dont la victime sera un pauvre tapissier du non de Julien que nous avons pu interroger à Adéwi.
Logeant ses supposés partenaires ici et là dans les hôtels de la capitale, Lomé, c’est quand le sieur Jean-Claude Yao Yao est déjà dans les nasses de la police que les différents prestataires de services qui l’ont aidé à s’installer ont commencé par se bousculer à sa porte pour réclamer chacun son dû. Nous avons pu rencontrer certains d’entre eux désemparés et surpris que le monsieur n’ait pas daigné payer leurs différents services malgré un gros prêt bancaire qui lui a permis de s’installer à grand bruit.
L’escroc Jean-Claude Yao Yao filme l’immeuble de la LONATO en chantier à Kodjoviakopé qu’il envoie à des partenaires pour leur faire croire que son siège régional est en construction au pays de Faure Gnassingbé. Entre rendez-vous avec officiers et grandes autorités, à peine arrivé le monsieur et sa société sont respectés. Dès qu’il a commencé par faire tomber les victimes, il « tape un canadien au dos », c’est-à-dire, il escroque un Canadien en lui proposant du faux or. Ce dernier se plaint à l’ambassade des États-Unis d’Amérique au Togo, qui « représente » les intérêts canadiens dans ce pays; la plus proche ambassade du Canada ayant compétence sur le Togo se trouvant à Accra au Ghana.
Après la plainte, l’ambassade des USA fait bouger les lignes et la police met la main sur le Kidam qui loge depuis quelques semaines à la prison civile de Lomé, malgré la farouche opposition de ses réseaux. La tâche n’a pas été facile pour la police, tant l’homme avait des appuis ici et là surtout à la présidence, sa porte d’entrée. Il a fallu des réseaux parallèles puissants pour convaincre le président de la République, Faure Essozimna Gnassingbé, que le monsieur Jean-Claude Yao Yao n’est qu’un vulgaire escroc. Le PR tape la main sur la table et les agents ont eu les coudées franches pour mettre le grappin sur celui qui se réclamait d’Henry Konan Bédié.
De sources renseignées, Faure Gnassingbé a dû même couper, à un moment donné, ses communications pour esquiver les nombreux coups de fils de ceux qui étaient prêts à tout donner pour éviter la prison à Jean-Claude Yao Yao. C’est à cela que se réduit désormais la « très renseignée » République togolaise qui devient une porte d’entrée VIP pour scorpions cafards et chauves souris. Si un escroc de ce genre était rentré au pays par le canal d’un pauvre journal comme « Le Rendez-vous », on peut comprendre car nos moyens sont limités pour suivre la traçabilité des éventuels partenaires et savoir qui ressemble à quoi. Mais ici, le crime rentre au pays par la grande porte, la Présidence de la République qui est supposée disposer du capital humain et matériel assez sophistiqués pour savoir qui fait quoi.
Il vous souvient aussi que lors du scandale des tilapias, c’est aussi de la présidence que des agents ont envoyé des coups de fils, d’abord pour libérer les deux Chinois et ensuite pour demander à ce que leurs marchandises empoisonnées leur soient restituer. Il a fallu la résistance du ministre de l’agriculture, le colonel Ouro-Koura Agadazi, pour tenir tête aux intimidations.
Quelle est cette race de fonctionnaires tapis dans les couloirs de la présidence pour étaler le tapis rouge aux escrocs ? Nous laissons la réponse au temps. A moins que lui-même sache comment s’installent ces escrocs dans son pays, si le locataire du palais de la marina, Faure Essozimna Gnassingbé, ne prend garde en faisant le ménage, c’est son image déjà pas très jolie, qui prend un coup.
Pour un pays qui négocie difficilement une image très peux élogieuse, quand une ambassade comme celle des USA se plaint d’escroquerie, ce n’est pas une bonne publicité pour la politique. A moins que cela aussi fasse parti des promesses électoralistes de l’esprit nouveau, c’est-à-dire, ouvrir le pays à toutes les dérives au nom de la libre circulation des hommes et des biens et de la globalisation !
Le Rendez-Vous -
Faure Gnassingbé coupable…ou victime ?
Le Togo ne finit pas de surprendre. Chaque jour qui se lève affiche ses faces cachées. Le pays devient, à chaque instant, une terre d’accueil pour les escrocs de tout acabit avec la complicité active des fonctionnaires tapis à la présidence et dans d’autres sphères décisionnelles.
Il y a quelques jours, la Direction Centrale de la Police Judiciaire ( DCPJ ) mettait la main sur un escroc de classe exceptionnelle du nom de Jean-Claude Yao Yao. Cette scène scandaleuse est en train de passer par perte et profit. Mais si on se rappelle de comment le cas Bertin Sow Agba a été instrumentalisé au point de justifier la garde en détention des pontes du régime comme l’ex-ministre de l’Administration territorial Pascal Bodjona, nous estimons qu’il faut en faire cas.
Arrivé au Togo, le monsieur Jean-Claude Yao Yao se fait introduire par des entrées à la présidence. Très vite il se fait accorder un prêt bancaire par le truchement des mêmes appuis. Il installe le siège de son escroquerie « Mines Afrique-Europe, sarl » dans une villa en face de l’ancien immeuble Air Burkina sur le boulevard Jean Paul II. Le PDG de la sulfureuse société du nom de Mine- Afrique-Europe SARL, dit être spécialisé dans les mines.
L’homme commence tout-feu-tout flamme. Entre les rencontres de haut niveau ici et là, le monsieur était escorté par la police et le siège de son escroquerie hautement gardé jusqu’ici par des corps habillés armées jusqu’aux dents. Il avale tout ce qu’il rencontre sur son passage. C’est ainsi que, en escroc averti, même les meubles de son siège ont été le fruit d’une escroquerie dont la victime sera un pauvre tapissier du non de Julien que nous avons pu interroger à Adéwi.
Logeant ses supposés partenaires ici et là dans les hôtels de la capitale, Lomé, c’est quand le sieur Jean-Claude Yao Yao est déjà dans les nasses de la police que les différents prestataires de services qui l’ont aidé à s’installer ont commencé par se bousculer à sa porte pour réclamer chacun son dû. Nous avons pu rencontrer certains d’entre eux désemparés et surpris que le monsieur n’ait pas daigné payer leurs différents services malgré un gros prêt bancaire qui lui a permis de s’installer à grand bruit.
L’escroc Jean-Claude Yao Yao filme l’immeuble de la LONATO en chantier à Kodjoviakopé qu’il envoie à des partenaires pour leur faire croire que son siège régional est en construction au pays de Faure Gnassingbé. Entre rendez-vous avec officiers et grandes autorités, à peine arrivé le monsieur et sa société sont respectés. Dès qu’il a commencé par faire tomber les victimes, il « tape un canadien au dos », c’est-à-dire, il escroque un Canadien en lui proposant du faux or. Ce dernier se plaint à l’ambassade des États-Unis d’Amérique au Togo, qui « représente » les intérêts canadiens dans ce pays; la plus proche ambassade du Canada ayant compétence sur le Togo se trouvant à Accra au Ghana.
Après la plainte, l’ambassade des USA fait bouger les lignes et la police met la main sur le Kidam qui loge depuis quelques semaines à la prison civile de Lomé, malgré la farouche opposition de ses réseaux. La tâche n’a pas été facile pour la police, tant l’homme avait des appuis ici et là surtout à la présidence, sa porte d’entrée. Il a fallu des réseaux parallèles puissants pour convaincre le président de la République, Faure Essozimna Gnassingbé, que le monsieur Jean-Claude Yao Yao n’est qu’un vulgaire escroc. Le PR tape la main sur la table et les agents ont eu les coudées franches pour mettre le grappin sur celui qui se réclamait d’Henry Konan Bédié.
De sources renseignées, Faure Gnassingbé a dû même couper, à un moment donné, ses communications pour esquiver les nombreux coups de fils de ceux qui étaient prêts à tout donner pour éviter la prison à Jean-Claude Yao Yao. C’est à cela que se réduit désormais la « très renseignée » République togolaise qui devient une porte d’entrée VIP pour scorpions cafards et chauves souris. Si un escroc de ce genre était rentré au pays par le canal d’un pauvre journal comme « Le Rendez-vous », on peut comprendre car nos moyens sont limités pour suivre la traçabilité des éventuels partenaires et savoir qui ressemble à quoi. Mais ici, le crime rentre au pays par la grande porte, la Présidence de la République qui est supposée disposer du capital humain et matériel assez sophistiqués pour savoir qui fait quoi.
Il vous souvient aussi que lors du scandale des tilapias, c’est aussi de la présidence que des agents ont envoyé des coups de fils, d’abord pour libérer les deux Chinois et ensuite pour demander à ce que leurs marchandises empoisonnées leur soient restituer. Il a fallu la résistance du ministre de l’agriculture, le colonel Ouro-Koura Agadazi, pour tenir tête aux intimidations.
Quelle est cette race de fonctionnaires tapis dans les couloirs de la présidence pour étaler le tapis rouge aux escrocs ? Nous laissons la réponse au temps. A moins que lui-même sache comment s’installent ces escrocs dans son pays, si le locataire du palais de la marina, Faure Essozimna Gnassingbé, ne prend garde en faisant le ménage, c’est son image déjà pas très jolie, qui prend un coup.
Pour un pays qui négocie difficilement une image très peux élogieuse, quand une ambassade comme celle des USA se plaint d’escroquerie, ce n’est pas une bonne publicité pour la politique. A moins que cela aussi fasse parti des promesses électoralistes de l’esprit nouveau, c’est-à-dire, ouvrir le pays à toutes les dérives au nom de la libre circulation des hommes et des biens et de la globalisation !
Le Rendez-Vous -
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