Pour le fils de Siou, seul des quatre
(4) candidats malheureux de la présidentielle du 25 avril 2015 à prendre
part à la cérémonie solennelle de prestation de serment de Faure
Gnassingbé, « invoquer la partialité de la Cour constitutionnelle n'est
pas très constructif ».
« C'est cette cour qui nous a donnés
nos quitus pour participer à cette élection, nous avons enregistré nos
signatures dans le bureau du président Assouma. Mieux, la Cour
constitutionnelle a été saisie par CAP 2015 dans l'affaire de la
nouvelle disposition du bulletin de vote. Je ne fais pas de réquisitoire
contre CAP 2015, mais comme d'habitude, j'aurai tellement aimé que les
irrégularités dont certaines nous ont été rapportées, soient traitées
par la Cour constitutionnelle, qui aurait cette fois-ci été mise
réellement à l'épreuve », a rappelé Gerry Taama à Jean-Pierre Fabre.
Arrivé en quatrième position du scrutin présidentiel, Gerry Taama a obtenu 1,03% des voix.
Joseph A.
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