C’est en présence du secrétaire
général du ministère de l’Enseignement supérieur et de la recherche,
Koffi Mawunyo Agbenoto, représentant son ministre qui a ouvert les
travaux dudit colloque.
Initié par le laboratoire de recherche
sur la littérature africaine et francophone (LARLAF) de l’Université de
Lomé, ce colloque permettra aux participants de proposer des solutions
pour aplanir les divergences des écarts, de la transgression, les
conflits identitaires, d’altérité, et culturelles dans le monde.
Durant trois (3) jours, les participants
venus de la France, du Canada, de la Chine, de la Côte d’ivoire, du
Benin et du Togo auront à débattre dans le domaine de la littérature.
Ils auront à s’appuyer sur les textes pour identifier ce qui relève de
la transfrontalité (la traversée des frontières) et ce qui est écart et
norme.
« Quand on parle de la littérature on va
au-delà des frontières et à cette rencontre, on va échanger et
ensuite changer les contextes de la transfrontalité, comment accepter
l’autre parce qu’il n’est pas de notre frontière ou de notre milieu », a
déclaré Tchassim Koutchoukalo, présidente à l’organisation dudit
colloque.
« Aujourd’hui il y a la montée de la
sexualité, et de l’intégrisme religieux. Ce sont les frontières que
les gens ne veulent pas accepter, il faut accepter son prochain dans son
état, dans sa situation », a-t-elle ajouté.
Elisabeth S.
Afreepress
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