Au
petit matin du 31 décembre dernier, un incendie a fait deux (02) morts,
une jeune maman de 18 ans et son nouveau-né de 02 mois, 04 blessés dont
un grave et une scierie complètement partie en feu dans le quartier
Doulassamé à Atakpamé.
Il était 2 h30 quand le feu a été signalé par des cris de détresse appelant au secours, des cris de ceux qui se sont réveillés pour faire leur besoin et ont aperçu des fumées et des flammes sortant de l’atelier de la scierie sise à côté d’un appartement à étage. Cet appartement abrite deux ONG, Akaralé, une structure de prise en charge des personnes vivantes avec le VIH/SIDA et ODHI, Organisation pour un Développement humain Intégral. Sous l’étage vivait le jeune couple Akpémado, avec leur nouveau né de 02 mois. Cette nuit du 30 au 31 décembre, ce couple et leur bébé ainsi que la sœur de la jeune dame et deux fillettes dormaient paisiblement dans leur chambre quand le feu s’est déclenché.
Selon les déclarations des premiers témoins, ils n’avaient même pas connaissance de ce qui se passait et c’est le frère jumeau de M. Akpémado (Atchou) qui était venu alerter ceux qui s’activaient pour éteindre le feu que son frère vit là-bas. Démunis, de matériels adéquats, les riverains ainsi que les sapeurs pompiers arrivés entre temps sur les lieux, ils ne réussiront qu’à sortir de la chambre Outcha Akpémado, sa belle sœur et les deux fillettes. Sa femme et le nouveau né étaient introuvables. Ce n’est qu’après avoir maîtrisé le feu que les deux corps, seront retrouvés calcinés. Les blessés sont actuellement à la réanimation au Centre Hospitalier Régional (CHR) d’Atakpamé sous des soins intensifs.
Outre ces morts, l’atelier de scierie ainsi qu’une partie des bureaux des ONG AKARALE et ODHI sont partis en fumée.
Arrivé sur les lieux quelques instants après le début des opérations de sauvetage des victimes, le procureur général près le Tribunal d’Atakpamé, Yao Klougan, s’est refusé d’aller à une conclusion active qui incriminerait un agent de sécurité à qui on aurait maintes fois interdit de mettre le feu à des ordures à quelques encablures des lieux. Il a promis des investigations plus fouillées pour déterminer la cause exacte de l’incendie.
A.I, Atakpamé (Telegramme228)
Il était 2 h30 quand le feu a été signalé par des cris de détresse appelant au secours, des cris de ceux qui se sont réveillés pour faire leur besoin et ont aperçu des fumées et des flammes sortant de l’atelier de la scierie sise à côté d’un appartement à étage. Cet appartement abrite deux ONG, Akaralé, une structure de prise en charge des personnes vivantes avec le VIH/SIDA et ODHI, Organisation pour un Développement humain Intégral. Sous l’étage vivait le jeune couple Akpémado, avec leur nouveau né de 02 mois. Cette nuit du 30 au 31 décembre, ce couple et leur bébé ainsi que la sœur de la jeune dame et deux fillettes dormaient paisiblement dans leur chambre quand le feu s’est déclenché.
Selon les déclarations des premiers témoins, ils n’avaient même pas connaissance de ce qui se passait et c’est le frère jumeau de M. Akpémado (Atchou) qui était venu alerter ceux qui s’activaient pour éteindre le feu que son frère vit là-bas. Démunis, de matériels adéquats, les riverains ainsi que les sapeurs pompiers arrivés entre temps sur les lieux, ils ne réussiront qu’à sortir de la chambre Outcha Akpémado, sa belle sœur et les deux fillettes. Sa femme et le nouveau né étaient introuvables. Ce n’est qu’après avoir maîtrisé le feu que les deux corps, seront retrouvés calcinés. Les blessés sont actuellement à la réanimation au Centre Hospitalier Régional (CHR) d’Atakpamé sous des soins intensifs.
Outre ces morts, l’atelier de scierie ainsi qu’une partie des bureaux des ONG AKARALE et ODHI sont partis en fumée.
Arrivé sur les lieux quelques instants après le début des opérations de sauvetage des victimes, le procureur général près le Tribunal d’Atakpamé, Yao Klougan, s’est refusé d’aller à une conclusion active qui incriminerait un agent de sécurité à qui on aurait maintes fois interdit de mettre le feu à des ordures à quelques encablures des lieux. Il a promis des investigations plus fouillées pour déterminer la cause exacte de l’incendie.
A.I, Atakpamé (Telegramme228)
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