Dans
la plupart des préfectures du Togo, l’éducation dans le scolaire
connaît des difficultés : manque d’infrastructures, déficit
d’enseignement de qualité et manque d’enseignants sont quelques unes de
ces difficultés.
Dans la préfecture de la Kéran, précisément dans le canton de Nadoba (à 60 km, à l’Est de Kanté), les populations, soucieuses de l’avenir de leurs enfants ont crée un Lycée en 2013. Ce dernier a commencé avec la classe de seconde sous un hangar. Déterminées, les populations ont pu obtenir un financement de la part d’un ancien député du parti au pouvoir pour la construction d’un bâtiment de trois classes équipées de tables-bancs.
D’après une source, ce dernier a eu du mal à s’en sortir avec les barons de son parti (UNIR). Selon notre source, le geste de ce dernier a été mal apprécié par ses aînés qui l’accusent de vouloir s’offrir une certaine popularité et s’attirer la sympathie des populations à leur détriment. La suite ce sera une manœuvre pour faire refuser de reconnaitre par les pouvoirs publics cet établissement scolaire d’initiative locale. Notre source en veut pour preuve, la reconnaissance accordée à d’autres établissements scolaires qui ont vu le jour, après la création du Lycée de la communauté de Nadoba.
A cette allure, la question est de savoir quel sera le sort des candidats que le lycée communautaire de Nadoba compte présenter pour les prochaines épreuves du Baccalauréat 2ème partie.
Les parents de ces élèves disent s’en remettre au gouvernement et plus précisément au ministre des enseignements primaires et secondaires, pour qu’une solution rapide y soit trouvée, si tant est qu’on veut prôner l’éducation pour tous au Togo.
V.G, Correspondant Savanes
Dans la préfecture de la Kéran, précisément dans le canton de Nadoba (à 60 km, à l’Est de Kanté), les populations, soucieuses de l’avenir de leurs enfants ont crée un Lycée en 2013. Ce dernier a commencé avec la classe de seconde sous un hangar. Déterminées, les populations ont pu obtenir un financement de la part d’un ancien député du parti au pouvoir pour la construction d’un bâtiment de trois classes équipées de tables-bancs.
D’après une source, ce dernier a eu du mal à s’en sortir avec les barons de son parti (UNIR). Selon notre source, le geste de ce dernier a été mal apprécié par ses aînés qui l’accusent de vouloir s’offrir une certaine popularité et s’attirer la sympathie des populations à leur détriment. La suite ce sera une manœuvre pour faire refuser de reconnaitre par les pouvoirs publics cet établissement scolaire d’initiative locale. Notre source en veut pour preuve, la reconnaissance accordée à d’autres établissements scolaires qui ont vu le jour, après la création du Lycée de la communauté de Nadoba.
A cette allure, la question est de savoir quel sera le sort des candidats que le lycée communautaire de Nadoba compte présenter pour les prochaines épreuves du Baccalauréat 2ème partie.
Les parents de ces élèves disent s’en remettre au gouvernement et plus précisément au ministre des enseignements primaires et secondaires, pour qu’une solution rapide y soit trouvée, si tant est qu’on veut prôner l’éducation pour tous au Togo.
V.G, Correspondant Savanes
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