Le
dimanche 13 avril 2014 à Berlin a été publié le 3è volet du 5ème
rapport du Groupe intergouvernemental d’experts sur l’évolution du
climat (GIEC). Ce rapport d’environ une trentaine de page est destiné
aux décideurs de tous les pays du monde afin d’opérer des choix en
faveur de la protection de l’environnement. Près de 1200 projections ont
été analysées et 235 scientifiques de 57 pays ont participé à sa
rédaction.
Le premier volet de ce rapport publié en septembre 2013 s’est intéressé à l’état des connaissances scientifiques sur le réchauffement et le deuxième sur l’impact et l’adaptation du changement climatique en cours sur les sociétés et écosystèmes en mars 2014.
La forte croissance de la quantité des gaz à effet de serre inquiète la communauté scientifique car à en croire les résultats du rapport De 2000 à 2010, les émissions ont augmenté de 2,2 % par an contre 0,4 % en moyenne au cours des trois décennies précédentes. Ces chiffres mettent à nu l’échec des choix de politique publique en faveur de la sauvegarde de l’environnement. Selon les experts du GIEC ? Il faut limiter d’ici la fin du siècle la concentration des gaz à effet de serre dans l’atmosphère à 450 ppm (partie par million), valeur associée par les scientifiques à un réchauffement de 2 °C. Ceci suppose de réduire les émissions mondiales entre 40 % et 70 % d’ici 2050 et de les ramener à un niveau proche de zéro, d’ici la fin du siècle. A défaut, le seuil des 2 °C sera franchi dès 2030. La sauvegarde de la planète passe nécessairement par une fusion des efforts et la transformation de nos modes de vie car, selon le président du GIEC, Rajendra Pachauri, « La lutte contre le changement climatique réclame une coopération internationale sans précédent, et la transformation des modes de vie ».
Les experts s’attendent aussi à ce que le réchauffement climatique entrainerait des événements météorologiques, tels que les sécheresses, pluies diluviennes sans compter les impacts sur la sécurité alimentaire dans les pays en développement. Les secteurs agricoles, économiques, énergétiques, des transports, et de l’habitat etc.…. doivent subir une véritable révolution. Sans oublier le développement massif des techniques de captage et de stockage du CO2 ainsi que des programmes de reforestation pour créer des puits de carbone.
DJAHO MANDELA/LA VERTE
TELEGRAMME 228
Le premier volet de ce rapport publié en septembre 2013 s’est intéressé à l’état des connaissances scientifiques sur le réchauffement et le deuxième sur l’impact et l’adaptation du changement climatique en cours sur les sociétés et écosystèmes en mars 2014.
La forte croissance de la quantité des gaz à effet de serre inquiète la communauté scientifique car à en croire les résultats du rapport De 2000 à 2010, les émissions ont augmenté de 2,2 % par an contre 0,4 % en moyenne au cours des trois décennies précédentes. Ces chiffres mettent à nu l’échec des choix de politique publique en faveur de la sauvegarde de l’environnement. Selon les experts du GIEC ? Il faut limiter d’ici la fin du siècle la concentration des gaz à effet de serre dans l’atmosphère à 450 ppm (partie par million), valeur associée par les scientifiques à un réchauffement de 2 °C. Ceci suppose de réduire les émissions mondiales entre 40 % et 70 % d’ici 2050 et de les ramener à un niveau proche de zéro, d’ici la fin du siècle. A défaut, le seuil des 2 °C sera franchi dès 2030. La sauvegarde de la planète passe nécessairement par une fusion des efforts et la transformation de nos modes de vie car, selon le président du GIEC, Rajendra Pachauri, « La lutte contre le changement climatique réclame une coopération internationale sans précédent, et la transformation des modes de vie ».
Les experts s’attendent aussi à ce que le réchauffement climatique entrainerait des événements météorologiques, tels que les sécheresses, pluies diluviennes sans compter les impacts sur la sécurité alimentaire dans les pays en développement. Les secteurs agricoles, économiques, énergétiques, des transports, et de l’habitat etc.…. doivent subir une véritable révolution. Sans oublier le développement massif des techniques de captage et de stockage du CO2 ainsi que des programmes de reforestation pour créer des puits de carbone.
DJAHO MANDELA/LA VERTE
TELEGRAMME 228
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