Cette
pièce, on l’a connu sous l’intitulé original « Ali Baba et les 40
voleurs », mais on le vivra le 12 avril prochain à la salle de spectacle
de l’Agora Senghor sous une autre forme. Celle d’une adaptation de
Nadine Yassine-Hijazie qui lui donne l’intitulé, « Ali Baba et les 4
voleurs » contrairement aux 40 voleurs de l’histoire originale racontée
par Shéhérazade, un personnage imaginaire des Contes des Mille et Une
Nuit.
Dans la version qui lui est propre, Nadine « veut emmener, transporter et conduire le public à comprendre le bien-fondé de sa vision artistique influencée par le métissage des arts, cultures, expériences, partages et échanges qui se cohabitent facilement, tout ceci pour le bonheur des Hommes ».
Durant une présentation d’une heure trente minutes, le public aura à découvrir un podium transformé par la décoration, la lumière et les costumes qui permettent à la metteuse en scène, avec l’aide de sa fidèle équipe composée d’élèves, d’étaler tout leur savoir-faire en innovant de spectacle en spectacle.
Sans trop s’écarter de la version originale qui se veut un véhicule de véritables valeurs, Nadine a su faire de ce conte une leçon de vie en mettant en avant les qualités et les défauts des différents personnages. Ainsi, alors qu’Ali Baba incarne la droiture et la générosité, son frère Kassim n’est que cupidité et arrogance et son épouse symbolise la prétention, ces vils caractères rivalisent avec la malhonnêteté des voleurs. A ne pas oublier Morgiane, qui se rapproche d’Ali Baba par son côté altruiste, et arrive avec sa volonté et son courage à faire face à toute situation.
Aux dires de la metteuse en scène, Nadine Yassine-Hijazie, l’idée de cette présentation coiffée par La Croq’en tine, était de « faire grandir ses élèves en les aidant à développer une assurance en eux, une autonomie et une responsabilité vis-à-vis à d’un groupe », « faire connaître les artistes, qu’elle sélectionne en fonction de ses besoins, leur donner son savoir et recevoir de leur compétence », de « donner au public du bonheur, de spectacle en spectacle où très souvent rendez – vous est fixé à : l’émotion – l’évasion – sourire – joie et pleur » et enfin de « s’améliorer de production en production afin de montrer sa reconnaissance à ses fidèles sponsors ». On attend de voir si « sésame » acceptera de s’ouvrir à la demande d’Ali Baba version Nadine Yassine-Hijazie.
Pour son affirmation comme metteuse en scène, Nadine Yassine-Hijazie était à l’école de ses aînés tels Mme Yvonne Ahiaba, professeur au Lycée Français et de Gnim Atakpama, Ecrivain Conteur togolais, créateur de l’association la Cour des contes, promoteur du festival Contes Solidaires.
G.K, Lomé
Dans la version qui lui est propre, Nadine « veut emmener, transporter et conduire le public à comprendre le bien-fondé de sa vision artistique influencée par le métissage des arts, cultures, expériences, partages et échanges qui se cohabitent facilement, tout ceci pour le bonheur des Hommes ».
Durant une présentation d’une heure trente minutes, le public aura à découvrir un podium transformé par la décoration, la lumière et les costumes qui permettent à la metteuse en scène, avec l’aide de sa fidèle équipe composée d’élèves, d’étaler tout leur savoir-faire en innovant de spectacle en spectacle.
Sans trop s’écarter de la version originale qui se veut un véhicule de véritables valeurs, Nadine a su faire de ce conte une leçon de vie en mettant en avant les qualités et les défauts des différents personnages. Ainsi, alors qu’Ali Baba incarne la droiture et la générosité, son frère Kassim n’est que cupidité et arrogance et son épouse symbolise la prétention, ces vils caractères rivalisent avec la malhonnêteté des voleurs. A ne pas oublier Morgiane, qui se rapproche d’Ali Baba par son côté altruiste, et arrive avec sa volonté et son courage à faire face à toute situation.
Aux dires de la metteuse en scène, Nadine Yassine-Hijazie, l’idée de cette présentation coiffée par La Croq’en tine, était de « faire grandir ses élèves en les aidant à développer une assurance en eux, une autonomie et une responsabilité vis-à-vis à d’un groupe », « faire connaître les artistes, qu’elle sélectionne en fonction de ses besoins, leur donner son savoir et recevoir de leur compétence », de « donner au public du bonheur, de spectacle en spectacle où très souvent rendez – vous est fixé à : l’émotion – l’évasion – sourire – joie et pleur » et enfin de « s’améliorer de production en production afin de montrer sa reconnaissance à ses fidèles sponsors ». On attend de voir si « sésame » acceptera de s’ouvrir à la demande d’Ali Baba version Nadine Yassine-Hijazie.
Pour son affirmation comme metteuse en scène, Nadine Yassine-Hijazie était à l’école de ses aînés tels Mme Yvonne Ahiaba, professeur au Lycée Français et de Gnim Atakpama, Ecrivain Conteur togolais, créateur de l’association la Cour des contes, promoteur du festival Contes Solidaires.
G.K, Lomé
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