Actualités Infos Togo / Hausse du prix des produits pétroliers / Rencontre PM-Centrales syndicales
Pour
porter la voix des populations qui peinent à digérer la dernière
augmentation du prix des produits pétroliers, les centrales syndicales
ont sollicité des discussions entre elles et le gouvernement. Après une
rencontre sans issue le lundi dernier, les deux parties se sont de
nouveau retrouvées hier avec le Premier Ministre. Bilan des travaux :
des mesures d’accompagnement ont été promises par le gouvernement ; mais
seulement, lesdites mesures feront, incessamment, l’objet de
discussions entre les syndicats et le patronat au niveau du Conseil
National du Dialogue Social (CNDS).
Pour Bernadette Balouki Léguzim, Ministre du Commerce et de la Promotion du Secteur Privé, les discussions d’hier se sont structurées en deux points. D’une part, « le Premier Ministre a eu à expliquer les causes pour lesquelles nous avons été amenés à augmenter les prix, après trois ans de blocage », a-t-elle évoqué. D’autre part, a-t-elle ajouté, le Premier Ministre a aussi expliqué aux centrales syndicales « les mesures d’accompagnement qui vont accompagner cette augmentation d’ici peu ». Ainsi, sur la base des discussions, a poursuivi Mme Balouki-Léguzim, « des promesses ont été faites aux centrales syndicales, comme quoi, il y aura une rencontre au CNDS entre les syndicats et le patronat, pour débattre des différentes mesures d’accompagnement pour aider toute la population ».
Du côté des centrales, la rencontre d’hier a eu lieu suite à celle du lundi dernier où aucune issue n’a été trouvée « aux revendications qui étaient axées sur l’augmentation du prix des produits pétroliers », a souligné Euphrem Tsikplonou, porte-parole des centrales syndicales. Pour sa part, la rencontre d’hier a permis au Premier Ministre et les centrales syndicales, non seulement de voir « comment déblayer le terrain », mais aussi de voir « ce que le gouvernement peut faire à cette augmentation qui a donné encore un coup au panier de la ménagère ».
Au demeurant, a terminé Euphrem Tsikplonou, il a été « décidé de continuer les discussions au sein du Conseil National du Dialogue Social pour qu’enfin on puisse voir comment appliquer la vérité des prix et débattre des mesures d’accompagnement à prendre pour que le Togolais ne sente pas trop cette augmentation » ; il a rappelé que, quoi qu’il advienne, l’augmentation, doit « normalement dépendre du prix des produits à l’international ».
F.A / F.S (Telegramme228)
Pour Bernadette Balouki Léguzim, Ministre du Commerce et de la Promotion du Secteur Privé, les discussions d’hier se sont structurées en deux points. D’une part, « le Premier Ministre a eu à expliquer les causes pour lesquelles nous avons été amenés à augmenter les prix, après trois ans de blocage », a-t-elle évoqué. D’autre part, a-t-elle ajouté, le Premier Ministre a aussi expliqué aux centrales syndicales « les mesures d’accompagnement qui vont accompagner cette augmentation d’ici peu ». Ainsi, sur la base des discussions, a poursuivi Mme Balouki-Léguzim, « des promesses ont été faites aux centrales syndicales, comme quoi, il y aura une rencontre au CNDS entre les syndicats et le patronat, pour débattre des différentes mesures d’accompagnement pour aider toute la population ».
Du côté des centrales, la rencontre d’hier a eu lieu suite à celle du lundi dernier où aucune issue n’a été trouvée « aux revendications qui étaient axées sur l’augmentation du prix des produits pétroliers », a souligné Euphrem Tsikplonou, porte-parole des centrales syndicales. Pour sa part, la rencontre d’hier a permis au Premier Ministre et les centrales syndicales, non seulement de voir « comment déblayer le terrain », mais aussi de voir « ce que le gouvernement peut faire à cette augmentation qui a donné encore un coup au panier de la ménagère ».
Au demeurant, a terminé Euphrem Tsikplonou, il a été « décidé de continuer les discussions au sein du Conseil National du Dialogue Social pour qu’enfin on puisse voir comment appliquer la vérité des prix et débattre des mesures d’accompagnement à prendre pour que le Togolais ne sente pas trop cette augmentation » ; il a rappelé que, quoi qu’il advienne, l’augmentation, doit « normalement dépendre du prix des produits à l’international ».
F.A / F.S (Telegramme228)
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