Crise
à OBUTS ou pas ? Nul ne saurait le dire. Mais pour ce que l’on sait,
c’est que depuis hier mercredi 12 février 2014, l’ancien membre du
bureau du MCA (Mouvement Citoyen pour l’Alternance) qui a rejoint OBUTS
(Organisation pour Bâtir dans l’Union un Togo Solidaire) après son
arrestation juste à la veille de la présidentielle de 2010 et sa
libération plusieurs mois plus tard, Mensan Guillaume Coco, a rendu sa
démission au président national de ce parti.
Selon les termes de la lettre de démission qu’il a adressée à Mensan Agbéyomé Kodjo, « les objectifs de Guillaume Coco et de OBUTS restent « toujours les mêmes ». Il a dès lors justifié sa démission par des raisons personnelles qu’il s’est abstenu de dévoiler. « Nos objectifs demeurent mais pour des raisons personnelles, j’ai jugé mieux de démissionner pour me remettre à la disposition du peuple togolais tout entier à qui j’ai fait un serment solennel », pouvait-on lire dans cette correspondance.
C’est en tout cas une démission qui ouvre une vacance de poste à la tête de la jeunesse de OBUTS puisque c’est le poste de Président de la Jeunesse qu’occupait le démissionnaire depuis qu’il a rallié ce parti de l’opposition politique togolaise et membre du CST (Collectif Sauvons le Togo).
P.S, Lomé (Telegramme228)
Selon les termes de la lettre de démission qu’il a adressée à Mensan Agbéyomé Kodjo, « les objectifs de Guillaume Coco et de OBUTS restent « toujours les mêmes ». Il a dès lors justifié sa démission par des raisons personnelles qu’il s’est abstenu de dévoiler. « Nos objectifs demeurent mais pour des raisons personnelles, j’ai jugé mieux de démissionner pour me remettre à la disposition du peuple togolais tout entier à qui j’ai fait un serment solennel », pouvait-on lire dans cette correspondance.
C’est en tout cas une démission qui ouvre une vacance de poste à la tête de la jeunesse de OBUTS puisque c’est le poste de Président de la Jeunesse qu’occupait le démissionnaire depuis qu’il a rallié ce parti de l’opposition politique togolaise et membre du CST (Collectif Sauvons le Togo).
P.S, Lomé (Telegramme228)
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