Tuesday, February 4, 2014
TOGO:: Préfecture du golfe, un lieu de prostitution
Quand on ne se soucis pas du bien être de la population et aux soldats, tout en les maintenant dans la misère qui ne dit pas son nom, et quand les soldats sont mal payé, ces derniers se trouve dans l’obligation de se débrouiller autrement pour arrondir leurs fins du mois.
Après la dénonciation du journal l’Alternative par apport a ce qu’est devenu l’école primaire la Marina, qui dans le passé était une référence glorieuse...
Cette école est devenue un haut lieu où les soldats posté là pour la sécurité du prisonnier personnel de Faure Gnassingbé, ont transformé les salles de classes de l’école la Marina, à un lieu de baisodrome, où on les élèves trouvent tous les matins des préservatifs utilisés dans les classes.
Il y a quelques jours l’équipe du journal La Nouvelle, a été à l’école primaire de la Marine pour en savoir plus après la publication de l’article de notre confrère. Sur le lieu, on nous fait savoir que depuis l’article du journal l’Alternative, les soldats ont quitté les lieux.
Dieu merci. Heureusement que les bons et vrais journaux privés sont là. Si non bonjours les dégâts dans la République
Nous interpellons les autorités, si il y en a encore vraiment dans le pays, que la préfecture du golfe est un haut lieu des prostituées.
Tous les soirs et surtout les week-end, ce lieu de service public se transforme en hôtel, auberge et endroit de passe, où les prostituées de la zone s’y rendrent avec leurs clients pour passer leur temps de jambes en l’air.
Tout se passe avec la complicité des agents postés là, pour garder et sécuriser le bâtiment.
Pour avoir accès aux bureaux et satisfirent son libido avec les prostituées, il suffit de donner entre 500 et 1000f CFA aux soldats et c’est bon.
Les bâtiments de l’administration publique, ne doivent pas devenir un hôtel de passage les nuits pour les prostituées et leurs clients.
Il faut dire que au plus haut niveau du sommet de l’Etat, les jambes en l’air sont une devise, mais de grâce il faut épargner les administrations publiques. Si ce n’est pas possible de réglementer ça, il faut tout simplement inscrire la prostitution dans la constitution du pays.
Il est a noté que d’autres lieux comme la HAAC aussi sont des endroits de jambes en l’air dans les bureaux.
Source: Journal La Nouvelle
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