Les murs de la hiérarchie professionnelle à LLT (Lydia Ludic Togo) ont
été brisés le temps des festivités y marquant la célébration du 1er mai
2014. Une tradition en réalité dans cette société.
Le
personnel et la direction de LLT (société spécialisée dans les jeux
& loisirs) se sont fondus harmonieusement dans diverses équipes de
football et de basket-ball ce 1er mai 2014 à Lomé, sur le terrain de la
Paroisse Universitaire de Lomé.
Parmi
les joueurs de cette journée dédiée aux travailleurs aux quatre coins
du monde, il y avait le DG de LLT: Alexander Qader. Après près de quatre
heures de rudes mais amicales confrontations, c'est l'équipe de M.
Qader qui s'est classée première au terme du tournoi de football.
Plus
à l'aise dans les airs, les techniciens de LLT ont enlevé de leur côté
la première place dans le tournoi de basket-ball. Les champions dans les
deux disciplines ont eu droit à des récompenses symbolisées par des
médailles. Vaincus comme vainqueurs ont très tôt intégré l'esprit de ces
retrouvailles professionnelles autour du sport, en communiant dans une
ambiance guillerette dès la fin des matches. Photos-souvenirs,
embrassades et réjouissances collégiales ont matérialisé cet état
esprit.
Derrière
ces parties de football et de basket-ball, les joueurs de ce 1er mai
2014 ont rejoint le reste leurs collègues de service autour de partages
de différents mets, plus succulents les uns que les autres. L'ambiance
conviviale qui a marqué cette journée s'est prolongée avec des pas de
danse exécutés par les plus athlétiques sur des musiques modernes et
traditionnelles.
Le
26 avril dernier, le personnel de LLT avait déjà croisé les crampons
avec l'équipe de foot des clients de ses salles de jeux, sur la pelouse
du Centre aéré de la BCEAO. Score final, l'équipe de LLT conduite par
son capitaine A. Qader avait été défaite sur le fil, 0-1.
Lydia
Ludic Togo est une filiale de Grupo Pefaco basée à Barcelone (Espagne).
Créée en 1995 par Francis Perez et Olivier Cauro, la société compte
plus de 3.000 employés, dont 423 au Togo.
Par E.G.
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