Une
fois encore, le Campus universitaire de Lomé a fait l’objet
d’échauffourées entre étudiants et forces de l’ordre occasionnant la
destruction de biens publics dont un véhicule de la Police brûlé.
A l’origine, les étudiants exigent la réouverture de la cité C et le maintien des prix des cités à 4000 FCFA au lieu de 12500, l’achat de nouveaux bus universitaires, la multiplication des artères de bus, l’organisation des devoirs et des reprogrammations, la délivrance rapide des relevés de notes et attestations, l’électrification du campus universitaire, entre autres.
En rappel, ces revendications étaient sur la table des négociations depuis l’année précédente, doléances dont le gouvernement avait promis trouver une issue. Ce 21 janvier, les choses ont tourné très mal. Les forces de l’ordre peinent à venir à bout des étudiants visiblement très remontés contre leur arrivée dans le temple du savoir. Conséquence : des blessés de par et d’autre ont été enregistrés avec une dizaine d’interpellation dont des civils.
Selon le ministre en charge de l’Enseignement supérieur, Nicoué Broohm, ces violences auraient pour auteurs des individus autres que les étudiants et que le Mouvement pour l’Epanouissement de l’Etudiant Togolais (MEET), auteur de la manifestation, est manipulé par des mains politiques.
D’autres estiment que le gouvernement pourrait prévoir cette situation s’il avait établi un dialogue franc et sincère avec les étudiants. Autrement, il aurait pu poser le problème en des termes clairs en prenant l’engagement par rapport aux moyens disponibles.
En attendant l’évolution des enquêtes, l’ambiance est morose sur le Campus.
Emergence Togo
A l’origine, les étudiants exigent la réouverture de la cité C et le maintien des prix des cités à 4000 FCFA au lieu de 12500, l’achat de nouveaux bus universitaires, la multiplication des artères de bus, l’organisation des devoirs et des reprogrammations, la délivrance rapide des relevés de notes et attestations, l’électrification du campus universitaire, entre autres.
En rappel, ces revendications étaient sur la table des négociations depuis l’année précédente, doléances dont le gouvernement avait promis trouver une issue. Ce 21 janvier, les choses ont tourné très mal. Les forces de l’ordre peinent à venir à bout des étudiants visiblement très remontés contre leur arrivée dans le temple du savoir. Conséquence : des blessés de par et d’autre ont été enregistrés avec une dizaine d’interpellation dont des civils.
Selon le ministre en charge de l’Enseignement supérieur, Nicoué Broohm, ces violences auraient pour auteurs des individus autres que les étudiants et que le Mouvement pour l’Epanouissement de l’Etudiant Togolais (MEET), auteur de la manifestation, est manipulé par des mains politiques.
D’autres estiment que le gouvernement pourrait prévoir cette situation s’il avait établi un dialogue franc et sincère avec les étudiants. Autrement, il aurait pu poser le problème en des termes clairs en prenant l’engagement par rapport aux moyens disponibles.
En attendant l’évolution des enquêtes, l’ambiance est morose sur le Campus.
Emergence Togo
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