Les sociétés Togocel et Togo Télécom
travaillent désormais ensemble dans la nouvelle entité nommée Groupe
Togo Télécom. La fusion des deux sociétés a été officiellement annoncée
samedi à la 12e Foire internationale de Lomé.
« Nous sommes désormais ensemble pour être plus solide et mieux servir
la population. Nous offrons pour le moment les mêmes services comme
avant. Du côté de la téléphonie mobile, il y a toujours la 3G et du côté
du fixe, il y a l’offre ADSL de Togo Télécom. Togo Cellulaire et Togo
Télécom travaillent ensemble pour mieux servir la population. C’est déjà
une surprise et peut-être avant la fin de l’année, il y aura d’autres
surprises », a expliqué Laurent Kouffessi, le Directeur marketing de
Togocel.
Pour le Groupe Togo télécom, le client attend la satisfaction de ses
besoins et de ses demandes surtout en matière d’internet. Il est
constant.
A l’occasion, la filiale Togo Télécom a présenté ses nouvelles offres
ADSL aux clients. C’est la résultante de la restructuration de la
société et de la rénovation du réseau entamée depuis des mois.
Désormais, la connexion internet ADSL de débit 1 méga coûtera 34 000 au
lieu de 74 000. Le but selon le Directeur marketing de Togo Telecom est
de faire en sorte que l’Internet ne soit plus un luxe mais devienne un
outil.
«Togo Télécom revient pour offrir le meilleur mais avec une
particularité. J’annonce que dans les prochaines semaines, nous allons
nous déployer sur le terrain, faire du porte à porte pour expliquer aux
populations que la qualité sera désormais servie à un meilleur prix »,
indique Steve Amadon, le Directeur Marketing de Togo Telecom.
Le Groupe Togo Télécom offre désormais des services mobiles et des services de la ligne fixe.
Togo breaking news
Monday, November 30, 2015
Tolérance zéro de la CEET pour les consommateurs
Depuis
le 16 novembre dernier, les consommateurs de l’énergie électrique
fournie par la Compagnie Energétique Electrique du Togo (CEET) dans la
ville de Dapaong et ses environs subissent des coupures électriques pour
plusieurs causes dont le non paiement des factures de consommation
électrique. Bon nombre de ménages ont des arriérés de factures ; ces
arriérés drainent la compagnie dans un déficit dont le montant va à plus
de 250 millions à recouvrir selon une source proche de la compagnie à
Dapaong. Ce qui a obligé la compagnie à passer à des sanctions avec des
coupures d’électricité dans les maisons.
A Dapaong, des ménages et services sous le coup de la sanction. Et quelques soient le nombre de factures impayées, il faut avoir purgé tout le montant avant de voir sa ligne électrique rétablie. Il fallait donc payer la totalité des frais dus pour que l’on ne se décide à rétablir l’électricité. Et point n’est besoin de débauche d’énergie pour s’attendre à quelque négociation.
Pour certains des consommateurs rencontrés, la faute n’est pas la leur si les factures sont cumulées. « Ce n’est pas notre faute, on fait deux à trois mois sans facture de la part de la CEET. On ne comprend pas pourquoi ce grand retard d’arrivée des factures ou des fois sans arrivée de ces factures mais que les arriérés se retrouvent sur les dernières factures qui sont suivies des ordres de coupure. Aussi, on constate que les relevés sont faux, on réclame jusqu’en vain et en fin de compte, c’est pour venir nous sevrer de leur courant », a confié tout furieux, Damigou.
Et quand ces consommateurs se décident à venir éponger leurs factures, devant le guichet de la CEET à Dapaong, ce sont des heureux d’attente et un parcours de combattant.
Si la CEET se veut intransigeante en réclamant de ces consommateurs la totalité des frais dus, la question est de savoir si des consommateurs qui doivent jusqu’à plus d’un million de F cfa sont également à même de solder leurs factures, eux qui par le passé avaient souvent négocié avec les agents releveurs pour ne pas se voir sevrer de courant. Ces agents parviendront-ils à faire plier dans les longues négociations, les inspecteurs de la CEET dépêchés depuis le siège à Lomé ?
En tout cas, en se fondant sur certaines carences dans le service qui leur est fourni, les consommateurs et clients de la CEET à Dapaong rencontrés cette semaine par un de nos reporters n’ont qu’une seule plainte : le remaniement de l’équipe des agents releveurs qu’ils accusent d’accomplir de manière médiocre leur mission. D’autres encore qui ne croient pas vraiment que la CEET n’accède à leur doléance pensent déjà à la possibilité de s’offrir des « Cash power », pour pouvoir maitriser au mieux leurs consommations.
V.G. Savanes (Télégrammes 228)
A Dapaong, des ménages et services sous le coup de la sanction. Et quelques soient le nombre de factures impayées, il faut avoir purgé tout le montant avant de voir sa ligne électrique rétablie. Il fallait donc payer la totalité des frais dus pour que l’on ne se décide à rétablir l’électricité. Et point n’est besoin de débauche d’énergie pour s’attendre à quelque négociation.
Pour certains des consommateurs rencontrés, la faute n’est pas la leur si les factures sont cumulées. « Ce n’est pas notre faute, on fait deux à trois mois sans facture de la part de la CEET. On ne comprend pas pourquoi ce grand retard d’arrivée des factures ou des fois sans arrivée de ces factures mais que les arriérés se retrouvent sur les dernières factures qui sont suivies des ordres de coupure. Aussi, on constate que les relevés sont faux, on réclame jusqu’en vain et en fin de compte, c’est pour venir nous sevrer de leur courant », a confié tout furieux, Damigou.
Et quand ces consommateurs se décident à venir éponger leurs factures, devant le guichet de la CEET à Dapaong, ce sont des heureux d’attente et un parcours de combattant.
Si la CEET se veut intransigeante en réclamant de ces consommateurs la totalité des frais dus, la question est de savoir si des consommateurs qui doivent jusqu’à plus d’un million de F cfa sont également à même de solder leurs factures, eux qui par le passé avaient souvent négocié avec les agents releveurs pour ne pas se voir sevrer de courant. Ces agents parviendront-ils à faire plier dans les longues négociations, les inspecteurs de la CEET dépêchés depuis le siège à Lomé ?
En tout cas, en se fondant sur certaines carences dans le service qui leur est fourni, les consommateurs et clients de la CEET à Dapaong rencontrés cette semaine par un de nos reporters n’ont qu’une seule plainte : le remaniement de l’équipe des agents releveurs qu’ils accusent d’accomplir de manière médiocre leur mission. D’autres encore qui ne croient pas vraiment que la CEET n’accède à leur doléance pensent déjà à la possibilité de s’offrir des « Cash power », pour pouvoir maitriser au mieux leurs consommations.
V.G. Savanes (Télégrammes 228)
Sunday, November 29, 2015
Crash simulé à l’aéroport international Gnassingbé Eyadéma
Plusieurs
morts et de nombreux blessés, c’est le bilan issu du crash du vol AC
4149 de type Boeing 737 de la Compagnie Air Charter, à l’aéroport
international Gnassingbé Eyadéma ce samedi à 8 heures 07 minutes-TU. En
provenance de Ouagadougou au Burkina Faso à destination de Lomé au Togo,
l’avion qui transportait des Africains et des Européens, s’est écrasé à
l’atterrissage à 500 mètres du seuil 22 de la piste.
Une panique généralisée, suivie d’une
scène de désolation (photo) sans précédent s’est alors produite audit
aéroport. Les parents des victimes, venus accueillir les membres de leur
famille, se sont effondrés dès l’annonce de la nouvelle par les
autorités aéroportuaires, a constaté l’Agence de presse Afreepress.
Interrogées, certaines personnes
choquées par cette nouvelle surprenante, n’ont pas caché leur désolation
et amertume. « Je suis foutue, ma mère que j’attends avec impatience,
ne sera malheureusement plus de ce monde. Je n’ai plus personne », a
lancé Juliette, une Togolaise. Paul, un Congolais, visiblement atteint
et secoué par cet accident qui vient d’emporter deux (2) membres de sa
famille, a perdu son latin.
Les mouvements des secouristes et des
éléments des forces de sécurité dans le hall de l’aéroport et sur
l’esplanade, qui pour brancarder les personnes psychologiquement
atteintes par ce crash, qui pour empêcher les uns et les autres de
prendre d’assaut le tarmac de l’aéroport, ne sont jamais vus au Togo.
Même les rues adjacentes ont connu un fort trafic, du fait de
l’évacuation par les ambulances de ceux qui sont évanouis, à
l’infirmerie.
Ce méli-mélo aura duré quatre (4) heures
d’horloge, de la minute où le crash est annoncé jusqu’à l’évacuation
du dernier blessé.
Cependant, il s’agit en réalité d’une
simulation de crash d’avion dénommée « exercice plan d’urgence de Lomé
(EPULO 2015), organisée par la Société aéroportuaire Lomé Tokoin (SALT)
pour éprouver le plan d’urgence de l’aéroport international Gnassingbé
Eyadéma.
« Le scénario consistait à évaluer la
coordination des différents secours en cas de crash d’avion sur le site
aéroportuaire qui entraine des morts et des blessés. Le défi, grand,
était de voir le délai dans lequel les secours pouvaient être organisés.
S’ils pouvaient être organisés rapidement, on a la chance de sauver des
vies humaines », a déclaré Gilbert Pagnou, Superviseur du Comité de
planification de l’exercice.
Pour le lieutenant-colonel John
Bararmna-Boukpessi, chef sous-centre de recherche et de sauvetage, à
voir l’intervention des éléments, il y a satisfaction « totale », en ce
qui concerne aussi bien la rapidité et la coordination de l’opération
que l’organisation des secours.
Ce scénario s’inscrit dans un double
cadre. Nationalement, le plan Organisation de la réponse de sécurité
civile (plan ORSEC), fait obligation aux différentes entités qui gèrent
les secours d’avoir un plan sectoriel éprouvé de temps en temps, afin de
voir si les mécanismes mis en place pour sauver les vies humaines sont
fonctionnels.
Au plan international, l’Organisation de
l’aviation civile internationale (OACI) fait obligation à tout
gestionnaire d’aéroport de mettre en œuvre un plan d’urgence dont le
fonctionnement est éprouvé de façon périodique.
Telli K.
Afreepress
Afreepress
Violences à Mango: Deux conseils des ministres en moins de 72 heures
Le Gouvernement était en Conseil des ministres extraordinaire le samedi 28 novembre 2015.
Le deuxième Conseil des ministres tenu en moins de 72 heures.
Voici en intégralité le communiqué ayant sanctionné le conseil des ministres.
Depuis le 06 novembre 2015, la ville de Mango est secouée par des manifestations et des actes de violences contestant le Projet sous régional intitulé « Projet de Renforcement du Rôle de Conservation du Système National d’Aires Protégées du Togo (PRAPT) ».
Ces actes ont entrainé des pertes en vies humaines, et des blessés au sein de la population et des forces de sécurité.
Dans ce contexte, une enquête judiciaire a été diligentée en vue de situer toutes les responsabilités. C’est dans ce cadre qu’une cinquantaine de personnes ont été interpellées.
Face à cette situation, le gouvernement a suspendu ledit Projet pour favoriser un climat d’apaisement et permettre des concertations approfondies avec les populations concernées.
Toutes les personnes interpelées ont été libérées, à l’exception de trois inculpés qui demeurent à ce jour détenues pour les besoins de la procédure judiciaire.
De même à titre conservatoire, des mesures disciplinaires ont été prises à l’encontre des éléments des forces de sécurité et de défense qui ont fait usage de leurs armes. La procédure à l’encontre de ces derniers sera exercée conformément à leurs statuts.
En dépit de toutes ces mesures de décrispation, des manifestations et actes de violence ont continué de se produire.
C’est dans ces circonstances que le Directeur régional des services de Police pour la région des Savanes a été lynché à mort, le jeudi, 26 novembre 2015, alors qu’il tentait de calmer un groupe de jeunes manifestants.
Le lendemain, vendredi 27 novembre 2015, un manifestant a succombé à ses blessures par balle dans des circonstances non encore élucidées.
Le gouvernement déplore, une fois de plus cette escalade inacceptable de violence aux conséquences dramatiques.
Dans le souci de ramener résolument le calme et la sérénité et de faire prévaloir l’autorité de l’Etat, le gouvernement a pris les mesures suivantes :
la nomination immédiate d’un nouveau préfet de l’Oti ;
l’installation sans délai du nouveau chef de canton de Mango ;
le repli des éléments de force de 3eme catégorie (militaires) initialement réquisitionnés par l’autorité compétente locale;
la poursuite diligente de la procédure judiciaire.
Le gouvernement renouvelle ses condoléances et sa compassion aux familles éplorées et souhaite un prompt rétablissement aux blessés. Il réitère son appel à la retenue et à l’apaisement et réaffirme que c’est par le dialogue et la concertation que des solutions durables peuvent être trouvées.
Fait à Lomé, le 28 novembre 2015
Le conseil des ministres
Le deuxième Conseil des ministres tenu en moins de 72 heures.
Voici en intégralité le communiqué ayant sanctionné le conseil des ministres.
Depuis le 06 novembre 2015, la ville de Mango est secouée par des manifestations et des actes de violences contestant le Projet sous régional intitulé « Projet de Renforcement du Rôle de Conservation du Système National d’Aires Protégées du Togo (PRAPT) ».
Ces actes ont entrainé des pertes en vies humaines, et des blessés au sein de la population et des forces de sécurité.
Dans ce contexte, une enquête judiciaire a été diligentée en vue de situer toutes les responsabilités. C’est dans ce cadre qu’une cinquantaine de personnes ont été interpellées.
Face à cette situation, le gouvernement a suspendu ledit Projet pour favoriser un climat d’apaisement et permettre des concertations approfondies avec les populations concernées.
Toutes les personnes interpelées ont été libérées, à l’exception de trois inculpés qui demeurent à ce jour détenues pour les besoins de la procédure judiciaire.
De même à titre conservatoire, des mesures disciplinaires ont été prises à l’encontre des éléments des forces de sécurité et de défense qui ont fait usage de leurs armes. La procédure à l’encontre de ces derniers sera exercée conformément à leurs statuts.
En dépit de toutes ces mesures de décrispation, des manifestations et actes de violence ont continué de se produire.
C’est dans ces circonstances que le Directeur régional des services de Police pour la région des Savanes a été lynché à mort, le jeudi, 26 novembre 2015, alors qu’il tentait de calmer un groupe de jeunes manifestants.
Le lendemain, vendredi 27 novembre 2015, un manifestant a succombé à ses blessures par balle dans des circonstances non encore élucidées.
Le gouvernement déplore, une fois de plus cette escalade inacceptable de violence aux conséquences dramatiques.
Dans le souci de ramener résolument le calme et la sérénité et de faire prévaloir l’autorité de l’Etat, le gouvernement a pris les mesures suivantes :
la nomination immédiate d’un nouveau préfet de l’Oti ;
l’installation sans délai du nouveau chef de canton de Mango ;
le repli des éléments de force de 3eme catégorie (militaires) initialement réquisitionnés par l’autorité compétente locale;
la poursuite diligente de la procédure judiciaire.
Le gouvernement renouvelle ses condoléances et sa compassion aux familles éplorées et souhaite un prompt rétablissement aux blessés. Il réitère son appel à la retenue et à l’apaisement et réaffirme que c’est par le dialogue et la concertation que des solutions durables peuvent être trouvées.
Fait à Lomé, le 28 novembre 2015
Le conseil des ministres
Saturday, November 28, 2015
Hit radio poursuit son processus d’implantation en Afrique subsaharienne
Après
le Burkina Faso, le Burundi, le Congo Brazza, la Côte d’Ivoire, le
Gabon, les Îles Comores, le Niger, la République centrafricaine (RCA),
le Sénégal, le Tchad et le Togo, la radio 100% musicale et de
divertissement pour les jeunes (18-35ans), Hit Radio va poursuivre très
bientôt l’extension de son réseau dans d’autres pays d’Afrique
subsaharienne.
Il s’agit de l’Angola, la Guinée
équatoriale, la Mozambique et Sao Tome et Principe. L’information a été
portée à la connaissance de la presse à Lomé ce vendredi par le
Directeur régional Afrique de Hit Radio, Eli Kodjoakou, a constaté
l’Agence de presse Afreepress.
Une fois cette extension débutée en
décembre 2012 en Afrique subsaharienne faite, le nombre de pays dans
lesquels Hit radio émet en Afrique subsaharienne, sera au nombre de
quinze (15). Au grand bonheur des jeunes de ces pays où la radio a
obtenu des licences de diffusion.
Basée au Maroc et émettant depuis le 27
mai 2015 sur la 104.7 au Togo, cette radio a pour particularité de
s’engager à développer un programme spécifique pour chaque pays afin
d’accompagner le développement de la scène musicale par la diffusion de
talents musicaux locaux.
« Nous mettons plus l’accent sur la
musique autochtone, nous essayons de faire le mieux que nous pouvons.
C’est une radio qui finance les mesures d’urgence, nous avons pris sur
nous d’aider », a souligné M. Kodjoakou.
Selon lui, cette radio, surnommée
« radio de la nouvelle génération », donne le tempo dans tous les pays
où elle s’installe avec des hits savamment choisis et dosés qui
correspondent à chaque instant aux attentes des auditeurs.
Les chansons de plusieurs artistes à la
vogue comme Chris Brown, Davido, David Guetta, Serge Beynaud, Toofan,
Ariana Grande, Booba, Adèle, Tiwa Savage et Calvin Harris sont proposées
sur les antennes.
Au Togo, Hit radio propose aux auditeurs
essentiellement du hip hop, du Rap et du R&B avec une
programmation musicale de 45% togolaise.
Créée en 2006 par un Franco-marocain, elle compte à ce jour 100 fréquences en Afrique et en Europe.
Bernadette A.
Afreepress
Afreepress
Togo: Des acteurs « non violents » se concertent
Une cinquantaine de et
représentants d’institutions de la République, d’organisations de
la société civile et de corps habillés sont appelés à mieux accompagner
le Haut commissariat au renforcement de l’unité et de la réconciliation
nationale (HCRURN). Ils ont suivi une séance de formation de trois (3)
jours à Lomé, grâce à l’appui du Programme des Nations Unies pour le
développement (PNUD).
La
rencontre s’est déroulée du 23 au 25 novembre 2015. Les participants
ont été mieux outillés à jouer pleinement leur rôle en matière de
médiation, de prévention de conflits, de négociation, de communication
et de leadership dans le processus de réconciliation.
« Il nous faut connaitre les causes du conflit, se connaitre et s’approprier les outils à les régler de manière collaborative » a fait observer Awa Nana, présidente du HCRURN.
Cette formation est la suite d’une série de rencontre et de formations entreprises et exécutées à Sokodé et à Notsè.
Des
consultations nationales et une campagne de sensibilisation pour
l’établissement d’une architecture de paix durable ont commencé le 26
novembre 2015 à Lomé et devront s’étendre sur toute l’étendue
du territoire nationale.
Africa rdv
Togo/ FIL12 : Ecobank a le 7ème
La Foire internationale de Lomé est à son septième jour. Il porte la griffe de la banque panafricaine Ecobank.
La 7ème journée de la 12ème Foire
Internationale de Lomé est marquée par Ecobank qui a encore fait des
heureux gagnants. Pour clôturer sa campagne de dépôts qui s’est déroulée
du 1erMai au 31Décembre 2014, la banque panafricaine profite de la fête
foraine pour faire sa cérémonie officielle de remise de prix aux
Lauréats. « Cette campagne vise à encourager les clients d’Ecobank à
systématiser les dépôts sur leurs comptes », confie Eusèbe Afoutou le
représentant du Directeur Général d’Ecobank.
18gagnants au total notamment, un super
gros lot d’une voiture 4×4 de marque Hundaï remporté par Yang Lu Jun; et
17autres lots composés de smartphones, tablettes, réfrigérateurs, home
cinéma, Tv écran LED et bien d’autres encore.
Cette journée est également pour
Ecobank, l’occasion de promouvoir deux autres produits innovants de
banque en ligne tels Internet Banking et l’OMNI qui est un produit
destiné aux entreprises.
Africa rdv
Friday, November 27, 2015
Togo - Un gendarme tué à Mango
L’information vient d’être confirmée par notre correspondant sur place. L’agent des forces de l’ordre tué par les manifestants ce matin à Mango est un gendarme.
Il a été tué dans les locaux de la mairie de la ville, pendant que les manifestants ont envahi les lieux et les ont saccagés.
Selon les témoins, le gendarme se serait approché des manifestants pour négocier avec eux et trouver un terrain d’entente. Mais ceux-ci, très surexcités, ont pris à partie le gendarme qui n’a malheureusement pas pu échapper au lynchage.
A voir les images (que nous ne pouvons pas publier ici pour ne pas choquer les âmes sensibles) qui sont parvenues à notre rédaction, le pauvre gendarme aurait reçu de grosses pierres sur la tête et le visage. Il gisait au sol, tout le visage ensanglanté.
Tout simplement triste !
icilome
Il a été tué dans les locaux de la mairie de la ville, pendant que les manifestants ont envahi les lieux et les ont saccagés.
Selon les témoins, le gendarme se serait approché des manifestants pour négocier avec eux et trouver un terrain d’entente. Mais ceux-ci, très surexcités, ont pris à partie le gendarme qui n’a malheureusement pas pu échapper au lynchage.
A voir les images (que nous ne pouvons pas publier ici pour ne pas choquer les âmes sensibles) qui sont parvenues à notre rédaction, le pauvre gendarme aurait reçu de grosses pierres sur la tête et le visage. Il gisait au sol, tout le visage ensanglanté.
Tout simplement triste !
icilome
ECOBANK-Togo profite de sa journée à la 12ème Foire de Lomé pour faire des heureux gagnants
Aujourd’hui au Togo, le taux de
bancarisation s’élève à 12% voire 13% contrairement à 87% dans les pays
du Maghreb. Au nombre de la dizaine de banques qui officient sur le
territoire togolais, il y a en bonne place la banque panafricaine,
Ecobank.
Ce jeudi 26 novembre lui est dédié à la 12ème Foire internationale de Lomé, ouverte il y a sept (7) jours sur le site du Centre Togolais des expositions et foire de Lomé (Togo 2000).
C’est l’occasion choisie par la banque panafricaine pour primer et couronner les différents lauréats retenus pour sa campagne de dépôts qui court du 1er mai au 31 décembre 2014, a constaté l’Agence de presse Afreepress.
Quatre (4) clients sur 851 éligibles ont gagné un Smartphone, quatre (4) autres clients sur 123 éligibles ont gagné une tablette, trois (3) clients sur cinquante (50) éligibles ont gagné un réfrigérateur, trois (3) clients sur treize (13) ont gagné un Home cinéma, trois (3) clients sur vingt quatre (24) éligibles ont gagné une télévision LED. Le super gros lot, un véhicule 4x4 de marque HYUNDAI ix 35 d’une valeur de 17.000.000 de francs CFA a été enlevé par un Chinois du nom de Yang Lu Jun. Selon les organisateurs, la cérémonie de remise de lots vient encourager ses clients à systématiser les dépôts sur leurs comptes afin d’éviter les risques liés à la conservation et la manipulation d’espèces.
«Nous pouvons estimer que cette campagne est une réussite grâce à vous chers clients. Nous allons profiter de cette journée pour attirer le plus possible de personne, de public vers nos stands ou nous avons prévu faire la démonstration de deux (2) produits innovants que nous avons mis à la disposition de nos clients pour leur faciliter la vie, pour leur donner plus de satisfaction » a laissé entendre Eusèbe Afoutou, représentant du Directeur général d’ECOBANK-Togo.
Selon lui, la 12ème Foire internationale de Lomé est une opportunité pour ECOBANK d’apporter sa contribution à la réussite de ce cadre de rencontre, à travers la fourniture de services bancaires aux opérateurs économiques ainsi qu’aux visiteurs de la foire.
« Nous disposons d’une gamme variée de produits innovants de produits que nous ne cessons d’améliorer pour répondre aux besoins de nos clients. Nous saisissons l’occasion qui nous est donnée cette année pour faire la promotion de deux (2) produits innovants de banque en ligne, à savoir internet ‘’internet banking’’ communément appelé ‘’Banque par internet’’, réservée à nos clients personnes physiques d’une part et d’autre part, le produit ‘’OMNI’’ destiné aux entreprises », a-t-il souligné.
Ce jeudi 26 novembre lui est dédié à la 12ème Foire internationale de Lomé, ouverte il y a sept (7) jours sur le site du Centre Togolais des expositions et foire de Lomé (Togo 2000).
C’est l’occasion choisie par la banque panafricaine pour primer et couronner les différents lauréats retenus pour sa campagne de dépôts qui court du 1er mai au 31 décembre 2014, a constaté l’Agence de presse Afreepress.
Quatre (4) clients sur 851 éligibles ont gagné un Smartphone, quatre (4) autres clients sur 123 éligibles ont gagné une tablette, trois (3) clients sur cinquante (50) éligibles ont gagné un réfrigérateur, trois (3) clients sur treize (13) ont gagné un Home cinéma, trois (3) clients sur vingt quatre (24) éligibles ont gagné une télévision LED. Le super gros lot, un véhicule 4x4 de marque HYUNDAI ix 35 d’une valeur de 17.000.000 de francs CFA a été enlevé par un Chinois du nom de Yang Lu Jun. Selon les organisateurs, la cérémonie de remise de lots vient encourager ses clients à systématiser les dépôts sur leurs comptes afin d’éviter les risques liés à la conservation et la manipulation d’espèces.
«Nous pouvons estimer que cette campagne est une réussite grâce à vous chers clients. Nous allons profiter de cette journée pour attirer le plus possible de personne, de public vers nos stands ou nous avons prévu faire la démonstration de deux (2) produits innovants que nous avons mis à la disposition de nos clients pour leur faciliter la vie, pour leur donner plus de satisfaction » a laissé entendre Eusèbe Afoutou, représentant du Directeur général d’ECOBANK-Togo.
Selon lui, la 12ème Foire internationale de Lomé est une opportunité pour ECOBANK d’apporter sa contribution à la réussite de ce cadre de rencontre, à travers la fourniture de services bancaires aux opérateurs économiques ainsi qu’aux visiteurs de la foire.
« Nous disposons d’une gamme variée de produits innovants de produits que nous ne cessons d’améliorer pour répondre aux besoins de nos clients. Nous saisissons l’occasion qui nous est donnée cette année pour faire la promotion de deux (2) produits innovants de banque en ligne, à savoir internet ‘’internet banking’’ communément appelé ‘’Banque par internet’’, réservée à nos clients personnes physiques d’une part et d’autre part, le produit ‘’OMNI’’ destiné aux entreprises », a-t-il souligné.
Le Groupe NSIA fait son show à la 12ème Foire internationale de Lomé
La journée du Groupe d’assurances NSIA à
la Foire internationale de Lomé (FIL) a été célébrée ce jeudi à travers
une caravane sur le site du Centre togolais des expositions et foire de
Lomé (Togo 2000), a constaté l’Agence de presse Afreepress.
Pour les responsables de cette structure, il est question à travers cette journée de rappeler aux publics togolais que NSIA est toujours là pour répondre à leur besoin en termes d’assurances.
«NSIA assurances au Togo diffuse des produits performants qui répondent aux exigences de la clientèle, à des conditions de souscription particulièrement avantageuses comme assurance automobile, maladie, hospi, accidents, NSIA-Voyage, transports, dommages aux biens, multirisque habitation, multirisque professionnelle et responsabilité », a déclaré Mme Kolani, responsable commerciale de NSIA. L’occasion a permis de présenter cette grande maison d’assurances. Selon la responsable commerciale, la NSIA Togo est le fruit du partenariat entre les compagnies du Groupe NSIA et des opérateurs économiques privés togolais. « C’est également est un modèle unique d’intégration dans le secteur de l’assurance en Afrique », a-t-elle ajouté.
« Nous ne sommes pas là seulement que pour les grandes entreprises mais aussi pour les PME et PMI, bref toutes les couches sociales. Quand vous venez à NSIA pour votre assurance, c’est que votre désir sera satisfait. A travers cette foire, l’occasion nous est donnée de toucher la plupart des Togolais. Nos attentes, c’est de toucher la plupart de la population togolaise. Les gens n’ont pas cette mentalité de parler assurance alors qu’elle est nécessaire », a-t-elle expliqué.
Afreepress
Pour les responsables de cette structure, il est question à travers cette journée de rappeler aux publics togolais que NSIA est toujours là pour répondre à leur besoin en termes d’assurances.
«NSIA assurances au Togo diffuse des produits performants qui répondent aux exigences de la clientèle, à des conditions de souscription particulièrement avantageuses comme assurance automobile, maladie, hospi, accidents, NSIA-Voyage, transports, dommages aux biens, multirisque habitation, multirisque professionnelle et responsabilité », a déclaré Mme Kolani, responsable commerciale de NSIA. L’occasion a permis de présenter cette grande maison d’assurances. Selon la responsable commerciale, la NSIA Togo est le fruit du partenariat entre les compagnies du Groupe NSIA et des opérateurs économiques privés togolais. « C’est également est un modèle unique d’intégration dans le secteur de l’assurance en Afrique », a-t-elle ajouté.
« Nous ne sommes pas là seulement que pour les grandes entreprises mais aussi pour les PME et PMI, bref toutes les couches sociales. Quand vous venez à NSIA pour votre assurance, c’est que votre désir sera satisfait. A travers cette foire, l’occasion nous est donnée de toucher la plupart des Togolais. Nos attentes, c’est de toucher la plupart de la population togolaise. Les gens n’ont pas cette mentalité de parler assurance alors qu’elle est nécessaire », a-t-elle expliqué.
Afreepress
Thursday, November 26, 2015
«L’amour en ligne de mire» : la première série policière togolaise
«L’Amour en ligne de mire » la série
policière togolaise a été lancée officiellement hier en présence des
officiels, des médias et des cinéphiles aussi bien acteurs, réalisateurs
et publics dans la salle de conférence de l’hôtel Agla.
Première série du genre dans le monde cinématographique togolais, « l’amour en ligne de mire » est une série de 12 épisodes de 15 minutes chacune et relate l’histoire de Kévin Norman un jeune inspecteur de police à qui fut confiée la protection d’un cadre de société dont la vie était menacée par des mercenaires engagés par un concurrent. Intrigue, suspens, trahison, drame et vengeance avec en toile de fond une belle histoire d’amour sont au rendez-vous dans cette série.
Cette série vient sensibiliser les populations sur les dangers que représentent la corruption et le gangstérisme dans nos sociétés et met surtout l’accent sur les efforts consentis par les services de sécurité pour venir à bout de ces fléaux, comme le souligne le réalisateur Kevin Amah AHO « ‘L’amour en ligne de mire’ est une série policière qui vient dénoncer le gangstérisme dans notre pays et rend hommage à toutes les forces de sécurité qui ont laissé leur vie en essayant de protéger la population. En même temps elle décourage le gangstérisme et l’escroquerie ainsi que la corruption aussi bien au sein de la société que de la police.»
Démarrée depuis 2012 la série totalement réalisée sur fond propre à hauteur de 26 244 000 FCFA débutera en projection en Février 2016 d’abords en salle au Grand Rex et connaitra ensuite sa diffusion sur la chaine de télévision LCF.
L’ancien ambassadeur du Togo en France, conseiller technique représentant le ministre de la communication, de la culture, des arts et de la formation civique a tenu à féliciter le jeune réalisateur et son équipe pour les efforts fournis en vue de la réussite de la série, et tout en mettant le point sur la plus-value économique que représente le cinéma pour les pays, a réitéré par sa voix au nom du ministre l’engagement du gouvernement à accompagner de pareilles initiatives.
L'auteur
Kevin Amah AHO alias Kévin Macile fait, sans aucun doute, partie de la nouvelle génération de jeunes réalisateurs qui écrivent actuellement les nouvelles pages du cinéma togolais. Déjà au début des années 2000 le jeune réalisateur découvre sa passion pour le 7e art. Mais ce n'est qu'en 2009 qu'il décidera d'en faire une profession à travers une formation en réalisation cinématographique à Accra.
Focus Infos
Première série du genre dans le monde cinématographique togolais, « l’amour en ligne de mire » est une série de 12 épisodes de 15 minutes chacune et relate l’histoire de Kévin Norman un jeune inspecteur de police à qui fut confiée la protection d’un cadre de société dont la vie était menacée par des mercenaires engagés par un concurrent. Intrigue, suspens, trahison, drame et vengeance avec en toile de fond une belle histoire d’amour sont au rendez-vous dans cette série.
Cette série vient sensibiliser les populations sur les dangers que représentent la corruption et le gangstérisme dans nos sociétés et met surtout l’accent sur les efforts consentis par les services de sécurité pour venir à bout de ces fléaux, comme le souligne le réalisateur Kevin Amah AHO « ‘L’amour en ligne de mire’ est une série policière qui vient dénoncer le gangstérisme dans notre pays et rend hommage à toutes les forces de sécurité qui ont laissé leur vie en essayant de protéger la population. En même temps elle décourage le gangstérisme et l’escroquerie ainsi que la corruption aussi bien au sein de la société que de la police.»
Démarrée depuis 2012 la série totalement réalisée sur fond propre à hauteur de 26 244 000 FCFA débutera en projection en Février 2016 d’abords en salle au Grand Rex et connaitra ensuite sa diffusion sur la chaine de télévision LCF.
L’ancien ambassadeur du Togo en France, conseiller technique représentant le ministre de la communication, de la culture, des arts et de la formation civique a tenu à féliciter le jeune réalisateur et son équipe pour les efforts fournis en vue de la réussite de la série, et tout en mettant le point sur la plus-value économique que représente le cinéma pour les pays, a réitéré par sa voix au nom du ministre l’engagement du gouvernement à accompagner de pareilles initiatives.
L'auteur
Kevin Amah AHO alias Kévin Macile fait, sans aucun doute, partie de la nouvelle génération de jeunes réalisateurs qui écrivent actuellement les nouvelles pages du cinéma togolais. Déjà au début des années 2000 le jeune réalisateur découvre sa passion pour le 7e art. Mais ce n'est qu'en 2009 qu'il décidera d'en faire une profession à travers une formation en réalisation cinématographique à Accra.
Focus Infos
TOGO: Les députés togolais à l'école de la Gestion axée sur les résultats
Quelques jours après avoir été
formés sur le contrôle de l’action gouvernementale, les parlementaires
togolais se sont retrouvés mercredi dans l’hémicycle pour s’outiller sur
le suivi-évaluation et la Gestion Axée sur les Résultats (GAR).
En effet, il est reconnu généralement en Afrique que les parlements peinent encore à demander des comptes au pouvoir exécutifs notamment en ce qui concerne l’exécution de la loi portant budget d’exercice. Le Togo ne fait pas l’exception. Les parlementaires togolais ne disposent pas encore des capacités techniques pour le suivi-évaluation et la gestion axée sur les résultats.
C’est pour pallier à cette lacune que les partenaires du Togo ont appuyé l’Assemblée nationale à initier une telle session de formation qui donnera aux députés, les outils pour mieux appréhender les politiques publiques en matière de gouvernance économique et financier.
Pour la 3e Vice-présidente du Parlement, Patricia Dagban-Zonvidé, cette session qui renforce leur capacité dans l’exercice de la mission de législation et de contrôle de l’action du gouvernement vient à point nommé pour le fait qu’elle se tient en prélude à la session budgétaire de l’année 2015 qui s’ouvre bientôt.
Durant deux jours, une dizaine de communications vont meubler la formation des députés dont: planification du développement au Togo : historique, expérience et radiocopie ; nouveau système de planification et gestion intégrée du développement au Togo ; chaîne planification-programmation-budgétaire-Exécution-Suivi-Evaluation… la GAR ; budget programme et Cadre de Dépenses à Moyen Terme ; et le cadre méthodologique d’élaboration de programme d’investissement public.
Togo breaking news
Wednesday, November 25, 2015
Le GREAT appelle à mettre fin à la pauvreté énergétique au Togo
« Les énergies renouvelables :
source de progrès et de développement durable », c’est sur ce thème que
se déroule la douzième foire internationale de Lomé ouverte depuis
vendredi. C’est également sur ce thème que le Groupe de Réflexion sur
les Energies Alternatives (GREAT) a échangé avec la presse mardi sur le
site de ladite foire.
Poursuivant sa mission de mener des réflexions et des actions de plaidoyer pour la réduction de la pauvreté énergétique au Togo, GREAT avec cette conférence de presse attend partager avec l’opinion nationale ses perspectives d’accès à l’énergie dans le pays.
C’est une rencontre qui fait suite au constat selon lequel beaucoup de gens se plaignent du coût assigné pour la dotation des énergies renouvelables au Togo.
« Nous avons remarqué qu’il y a beaucoup de débats autour de la thématique 'énergies renouvelables', et en tant qu’acteurs nous vivons des réalités quand nous voyons des clients qui se plaignent qu’ils ont besoin d’énergies mais ils n’ont pas de moyens. Aussi avons-nous remarqué qu’il y a un manque de volonté politique ; c’est ce qui nous a amené à entamer une discussion avec les acteurs impliqués dans ce domaine pour mettre fin à la pauvreté énergétique au Togo », a fait comprendre Michel Houdégadji, Vice - Président du GREAT.
L’occasion faisant le larron, ces premiers responsables du GREAT ont saisi de l’occasion pour informer les journalistes sur le vocable énergie renouvelable même.
Selon eux, une énergie est dite renouvelable lorsqu’elle provient de sources que la nature renouvelle en permanence. Elle s’oppose à une énergie non renouvelable dont les stocks s’épuisent. Les énergies renouvelables proviennent du soleil et de la terre.
Les spécialistes ont montré que les énergies renouvelables sont divisées en six (6) catégories que sont l’énergie hydraulique, énergie éolienne, énergie solaire, énergie de la géothermie, énergie de la biomasse et les énergies marines.
Pour rappel, le GREAT regroupe des acteurs de divers regroupements d’entreprises, d’ONG et associations régulièrement enregistrées et œuvrant dans les domaines de l’énergie et de l’environnement.
TOGO BREAKING NEWS
Recherche de climat sociopolitique apaisé au Togo/Les acteurs des institutions de la République formés sur la prévention des conflits
Pour un rôle accru dans le processus de
la réconciliation, le Haut Commissariat à la Réconciliation et au
Renforcement de l’Unité (HCRRUN) en collaboration avec le Programme des
Nations Unies pour le Développement (PNUD) a organisé ce lundi 23
novembre à Lomé, à l’endroit des différents acteurs des institutions de
la république, un atelier de renforcement des capacités sur la
prévention des conflits, la médiation, la négociation, la communication
et leadership.
Cette formation de trois (3) jours s’adresse notamment aux représentants du Haut Commissariat à la Réconciliation et au Renforcement de l’Unité (HCRRUN), de la Haute Autorisation de l’Audiovisuel et de la communication (HAAC), de la Commission Nationale des Droits de l’Homme (CNDH), de l’assemblée Nationale et des partis politiques.
Il s’ agira de susciter la prise de conscience et d’anticipation des acteurs concernés par la formation puis les doter des connaissances en matière de médiation, de prévention, de communication et de leadership dans le processus de réconciliation ; renforcer leurs capacités pour une mobilisation des actions de dissémination et de plaidoyer en faveur de la paix et de la prévention des conflits aux plans technique et politique ; les amener à utiliser tous les moyens de communication pour une alerte précoce.
Les discussions porteront sur l’introduction au conflit, l’identification précoce des risques de conflit et mesures d’actions rapides, l’implication des jeunes, la participation des femmes et les questions de genre.
La Présidente de HCRRUN, Awa Nana a indiqué que connaître les causes des conflits et savoir avec quels outils les gérer, sont des opportunités pour les acteurs de construire un avenir meilleur dans lequel les conflits surviennent, mais sont gérés de façon collaborative.
Selon M. Evalo Wiyao, Premier rapporteur à HCRRUN, il est question au cours de ces sessions de formation d’aider les acteurs nationaux à construire la paix, à donner à ceux-ci toutes les chances de naître, d’exister et puis de se consolider. « C’est la gestion harmonieuse de conflits dans une société qui donne le résultat qu’on peut appeler la paix. », a-t-il expliqué.
Cette formation de trois (3) jours s’adresse notamment aux représentants du Haut Commissariat à la Réconciliation et au Renforcement de l’Unité (HCRRUN), de la Haute Autorisation de l’Audiovisuel et de la communication (HAAC), de la Commission Nationale des Droits de l’Homme (CNDH), de l’assemblée Nationale et des partis politiques.
Il s’ agira de susciter la prise de conscience et d’anticipation des acteurs concernés par la formation puis les doter des connaissances en matière de médiation, de prévention, de communication et de leadership dans le processus de réconciliation ; renforcer leurs capacités pour une mobilisation des actions de dissémination et de plaidoyer en faveur de la paix et de la prévention des conflits aux plans technique et politique ; les amener à utiliser tous les moyens de communication pour une alerte précoce.
Les discussions porteront sur l’introduction au conflit, l’identification précoce des risques de conflit et mesures d’actions rapides, l’implication des jeunes, la participation des femmes et les questions de genre.
La Présidente de HCRRUN, Awa Nana a indiqué que connaître les causes des conflits et savoir avec quels outils les gérer, sont des opportunités pour les acteurs de construire un avenir meilleur dans lequel les conflits surviennent, mais sont gérés de façon collaborative.
Selon M. Evalo Wiyao, Premier rapporteur à HCRRUN, il est question au cours de ces sessions de formation d’aider les acteurs nationaux à construire la paix, à donner à ceux-ci toutes les chances de naître, d’exister et puis de se consolider. « C’est la gestion harmonieuse de conflits dans une société qui donne le résultat qu’on peut appeler la paix. », a-t-il expliqué.
Tuesday, November 24, 2015
Lutte contre les Maladies non Transmissibles La Campagne « moi-même » est lancée
Le
programme Nationale de Lutte contre les Maladies non Transmissibles a
procédé à Lomé au lancement de la deuxième campagne médiatique dénommée
« Moi-même ». À travers le concept, le gouvernement compte sensibiliser
les populations sur les risques liés aux Maladies Non transmissibles
(MNT) et les exhortées à adopter une mode de vie saine.
La campagne a été couplée d’une table ronde des partenaires sur la lutte contre les MNT. Occasion pour le gouvernement togolais de solliciter plus d’actions et d’appui des partenaires afin d’éradiquer les MTN dans notre pays.
Selon les estimations d’un forum économique mondial et de l’université de Havard, les maladies non transmissibles coûteront à l’économie mondiale au cours des 20 prochaines années plus de 30 000 milliards de dollars US soit 48% du PIB mondiale en 2010. Au Togo en 2012, les statistiques mondiales de la santé de l’OMS montrent que les MNT y compris les traumatismes ont été responsables de 772 décès sur 100 000 habitants contre 679 décès sur 100 000 habitants pour les maladies infectieuses.
Un état des lieux qui renforce le gouvernement togolais dans son engagement à mettre tout en œuvre pour booter hors les maladies non transmissibles au Togo.
« Cette rencontre organisée par la coordination nationale de Lutte contre les maladies non transmissibles s’inscrit dans les activités prévues dans le planas stratégiques intégrées qui va prendre fin cette année. Elle consiste à faire une concertation avec les partenaires techniques et financiers et surtout ceux du système des nations Unies pour les inviter à accompagner l’action nationale de lutte contre les maladies non transmissibles », a indiqué Dr Kokou Happy Agoudavi, coordonnateur national du programme.
Les maladies non transmissibles font parties des premiers causes de morbidité et de mortalité dans le monde. Elles portent un double coup au développement en entrainant des milliards de dollars de perte pour les revenues.
Les partenaires participants à cette table ronde ont réitéré leur engagement et entière disponibilité au gouvernement togolais dans sa politique de lutte contre les MNT.
Lomé (T228)
La campagne a été couplée d’une table ronde des partenaires sur la lutte contre les MNT. Occasion pour le gouvernement togolais de solliciter plus d’actions et d’appui des partenaires afin d’éradiquer les MTN dans notre pays.
Selon les estimations d’un forum économique mondial et de l’université de Havard, les maladies non transmissibles coûteront à l’économie mondiale au cours des 20 prochaines années plus de 30 000 milliards de dollars US soit 48% du PIB mondiale en 2010. Au Togo en 2012, les statistiques mondiales de la santé de l’OMS montrent que les MNT y compris les traumatismes ont été responsables de 772 décès sur 100 000 habitants contre 679 décès sur 100 000 habitants pour les maladies infectieuses.
Un état des lieux qui renforce le gouvernement togolais dans son engagement à mettre tout en œuvre pour booter hors les maladies non transmissibles au Togo.
« Cette rencontre organisée par la coordination nationale de Lutte contre les maladies non transmissibles s’inscrit dans les activités prévues dans le planas stratégiques intégrées qui va prendre fin cette année. Elle consiste à faire une concertation avec les partenaires techniques et financiers et surtout ceux du système des nations Unies pour les inviter à accompagner l’action nationale de lutte contre les maladies non transmissibles », a indiqué Dr Kokou Happy Agoudavi, coordonnateur national du programme.
Les maladies non transmissibles font parties des premiers causes de morbidité et de mortalité dans le monde. Elles portent un double coup au développement en entrainant des milliards de dollars de perte pour les revenues.
Les partenaires participants à cette table ronde ont réitéré leur engagement et entière disponibilité au gouvernement togolais dans sa politique de lutte contre les MNT.
Lomé (T228)
Travaux d’optimisation sur le réseau TOGOCEL
Lomé,
le 20 novembre 2015- Dans le but d’offrir un service de qualité à sa
clientèle, TOGO CELLULAIRE se prépare à opérer une série de travaux
majeurs d’optimisation sur son réseau dans les jours et mois à venir.
Ces travaux pourraient occasionner quelques perturbations lors de l’utilisation de certains services.
A cet effet, elle porte à la connaissance de ses clients qu’une première série de travaux aura lieu dans la nuit du samedi 21 au dimanche 22 novembre 2015.
TOGO CELLULAIRE recommande à ses clients éventuellement touchés par ces perturbations d’effectuer une action toute simple : éteindre et rallumer le téléphone.
TOGO CELLULAIRE tient d’ores et déjà, à présenter ses excuses pour les désagréments et témoigne toute sa reconnaissance à sa clientèle pour sa confiance et sa fidélité.
Pour obtenir plus d’informations : togocel@togocel.tg
Ces travaux pourraient occasionner quelques perturbations lors de l’utilisation de certains services.
A cet effet, elle porte à la connaissance de ses clients qu’une première série de travaux aura lieu dans la nuit du samedi 21 au dimanche 22 novembre 2015.
TOGO CELLULAIRE recommande à ses clients éventuellement touchés par ces perturbations d’effectuer une action toute simple : éteindre et rallumer le téléphone.
TOGO CELLULAIRE tient d’ores et déjà, à présenter ses excuses pour les désagréments et témoigne toute sa reconnaissance à sa clientèle pour sa confiance et sa fidélité.
Pour obtenir plus d’informations : togocel@togocel.tg
Togo / Tilapiagate : La société Andaman écope d'une légère amende
La société chinoise Andaman, qui a importé au Togo des tilapias déclarés avariés par le laboratoire de recherche de l’université du Togo aurait écopé d’une amende d’un million de Fcfa.
Il s’agit de 24 tonnes de tilapias importés au Togo mais qui après avoir été déclarés avariés, ont été incinérés la semaine dernière à Adétikopé par le ministre Oura Koura Agadazi. Ces tilapias contiennent un taux des résidus vétérinaire de 28% alors que le taux normal est de 10%.
La société incriminée vient d'être sanctionnée. Elle devra payer une amende d’un million de nos francs. Une sanction qualifiée de trop légère par certains observateurs. Surtout si l’on tient compte de la gravité de la situation engendrée par ladite société.
Cette dernière a mis en danger la vie des millions de Togolais alors qu’elle savait pertinemment que les tilapias sont de qualité douteuse et dangereuse pour la santé.
Hormis cela, il a été aussi révélé que les activités de la société chinoise Andaman sont illégales, car cette dernière n’a aucune autorisation d’importation des produits.
Il convient aussi de noter que la société et ses complices, pour éviter que l’affaire ne fasse objet de publication dans la presse, ont soudoyé deux journalistes avec un chèque d’un montant de 5 millions de francs cfa. Cela prouve à suffisance qu’elle était consciente de la mauvaise qualité des tilapias.
Toutes ces choses font dire à certains que la sanction infligée à la société Andaman est trop légère. D’autres ont même souhaité que cette société soit purement et simplement interdite d’activités au Togo.
Ils redoutent une éventuelle récidive et s'interrogent sur les raisons qui ont motivé cette légère sanction infligée à la société Andaman. Tout porte à croire que les autorités feignent ignorer la gravité de l'acte posée par la société Andaman.
SJ - icilome
Togo:: Les crimes à Lomé : De simples opérations de braqueurs ou des rituels ?
Cambrioler et tuer n’ont rien de commun. Presque chaque jour, on signale des vols de moto, avec à la clé, l'assassinat du propriétaire de l'engin. Mais quand on commence par arracher la tête des personnes volées, on se pose des questions sur les dessous de ces actes déguisés en vols.
Qu’appelle-t-on voleur ? Qu’appelle- t-on meurtrier au Togo ? lançait un commentateur à la suite d’un article dénonçant les vols suivis de meurtres qui provoquent la vindicte populaire dans la capitale togolaise. Il convient encore une fois de se demander pourquoi ôter la vie à sa victime, quand on a déjà réussi à la déposséder de tous ses biens.
Déjà ce Lundi matin, on signale encore de nouvelles victimes à plusieurs endroits de la capitale. On parle même de victimes décapitées ou égorgées alors que les brigands auraient réussi à toute aise à s’octroyer les engins et tout le contenu des sacs de leurs victimes.
Devant ces horreurs, les supputations gagnent du terrain. « Ces actes n’ont rien à voir avec le vol. C’est des sacrifices humains déguisés en vols à mains armées », nous a lancé un ancien combattant sur les lieux d’un énième crime.
Une révélation quoique non vérifiée n’aurait rien de faux. Il est vraisemblable que ces crimes soient essentiellement commandités par certaines personnes à des fins rituelles.
Dans une société où seuls les résultats comptent, bien de personnes se sont alliés à des forces obscures pour parvenir à une aisance matérielle. Des alliances qui doivent être honorées chaque fin d’année par des sacrifices humains et des et rituels macabres. Pour un rang social donné, une protection surnaturelle, une promotion, on est prêt à sacrifier leurs proches d’une façon très lamentable.
« Vue la tournure que prennent ces forfaits, je pense que ces jeunes à qui on charge de rapporter du sang, essaient de faire d’une pierre deux coups. On cherche une victime à qui on peut soutirer le maximum en attendant de se faire payer par le commanditaire pour le sang ou l’organe qu’on lui rapportera », nous confiait un riverain devant le cadavre d’un professeur d'informatique la semaine dernière.
Le blanchiment d’argent fait la loi au Togo et l’incapacité des autorités judiciaires à déterminer qui gagne combien pour quel style de vie est d’un avantage notoire pour ceux qui se font de l’argent avec du sang de leurs frères.
Depuis des semaines, la pratique semble être au summum. Quand il faut une perte en vie humaine à chaque cas de vol, c’est évident, le vol n’était pas le premier mobile des brigands.
En effet, pour chaque crime, des autopsies ne sont pas faites pour découvrir quelle quantité de sang la victime aurait perdu, ni quel organe lui aurait été amputé. Des prérequis sciemment ou inconsciemment ignorés, ne favorisant aucune lumière sur les meurtres.
Aucun rapport public n’est établi après les crimes ; et la lenteur des autorités à prendre des mesures idoines pousse à des soupçons. On se rappelle encore, comme hier, de la série d’assassinats d’une vingtaine de jeunes filles qui impliquait Simliya Kpatcha, l’assassin, et les commanditaires Bruno Amah et Kpiki Sama Raphaël, tous des cadres dans l'administration, qui voulaient garantir leurs postes avec du sang humain.
La panique a pris place dans la capitale et le « sauve-qui-peut » semble être le mot d’ordre.
« Nous vous prions de nous garantir un minimum de sécurité », a criée à chaudes larmes, une jeune commerçante terrifiée par le meurtre odieux d’un de ses proches.
A.L - icilome
Qu’appelle-t-on voleur ? Qu’appelle- t-on meurtrier au Togo ? lançait un commentateur à la suite d’un article dénonçant les vols suivis de meurtres qui provoquent la vindicte populaire dans la capitale togolaise. Il convient encore une fois de se demander pourquoi ôter la vie à sa victime, quand on a déjà réussi à la déposséder de tous ses biens.
Déjà ce Lundi matin, on signale encore de nouvelles victimes à plusieurs endroits de la capitale. On parle même de victimes décapitées ou égorgées alors que les brigands auraient réussi à toute aise à s’octroyer les engins et tout le contenu des sacs de leurs victimes.
Devant ces horreurs, les supputations gagnent du terrain. « Ces actes n’ont rien à voir avec le vol. C’est des sacrifices humains déguisés en vols à mains armées », nous a lancé un ancien combattant sur les lieux d’un énième crime.
Une révélation quoique non vérifiée n’aurait rien de faux. Il est vraisemblable que ces crimes soient essentiellement commandités par certaines personnes à des fins rituelles.
Dans une société où seuls les résultats comptent, bien de personnes se sont alliés à des forces obscures pour parvenir à une aisance matérielle. Des alliances qui doivent être honorées chaque fin d’année par des sacrifices humains et des et rituels macabres. Pour un rang social donné, une protection surnaturelle, une promotion, on est prêt à sacrifier leurs proches d’une façon très lamentable.
« Vue la tournure que prennent ces forfaits, je pense que ces jeunes à qui on charge de rapporter du sang, essaient de faire d’une pierre deux coups. On cherche une victime à qui on peut soutirer le maximum en attendant de se faire payer par le commanditaire pour le sang ou l’organe qu’on lui rapportera », nous confiait un riverain devant le cadavre d’un professeur d'informatique la semaine dernière.
Le blanchiment d’argent fait la loi au Togo et l’incapacité des autorités judiciaires à déterminer qui gagne combien pour quel style de vie est d’un avantage notoire pour ceux qui se font de l’argent avec du sang de leurs frères.
Depuis des semaines, la pratique semble être au summum. Quand il faut une perte en vie humaine à chaque cas de vol, c’est évident, le vol n’était pas le premier mobile des brigands.
En effet, pour chaque crime, des autopsies ne sont pas faites pour découvrir quelle quantité de sang la victime aurait perdu, ni quel organe lui aurait été amputé. Des prérequis sciemment ou inconsciemment ignorés, ne favorisant aucune lumière sur les meurtres.
Aucun rapport public n’est établi après les crimes ; et la lenteur des autorités à prendre des mesures idoines pousse à des soupçons. On se rappelle encore, comme hier, de la série d’assassinats d’une vingtaine de jeunes filles qui impliquait Simliya Kpatcha, l’assassin, et les commanditaires Bruno Amah et Kpiki Sama Raphaël, tous des cadres dans l'administration, qui voulaient garantir leurs postes avec du sang humain.
La panique a pris place dans la capitale et le « sauve-qui-peut » semble être le mot d’ordre.
« Nous vous prions de nous garantir un minimum de sécurité », a criée à chaudes larmes, une jeune commerçante terrifiée par le meurtre odieux d’un de ses proches.
A.L - icilome
Monday, November 23, 2015
TOGO :: Situation tendue à Avédji: Le mandat social de Faure Gnassingbé mis à rude épreuve par le Secrétaire général de la justice, Komlan Missite
La situation est actuellement tendue à Avédji, une banlieue de Lomé. Cela risque de provoquer une nouvelle crise qui va mettre à mal la paix sociale. Et pour cause. Komlan Missité, Secrétaire général de la Justice, membre de l’Union pour la République (Unir) ne veut pas sentir ses voisins.
L’affaire fait grand bruit à Avédji. Là -bas, une relation de voisinage mal gérée, risque de créer une tension sociale. Décidé à en découdre avec ses voisins, des forces de l’ordre téléguidés par un agent de justice en complicité avec Me Eklou, ont débarqué manu militari ramasser les matériels de sonorisation d’une Ong qui vient en appui aux plus démunis du Togo à travers une formation en entrepreneuriat et autres.
Mais des explications fournies par le fondateur de l’Ong "Le Leadership des sentinelles Libérés" (la Tour des Cités), Bernard Kogon se dit victime de l’abus d’autorité du sieur Missité, secrétaire général de la Justice.
"Nous avons baillé un terrain entier que nous avions transformé en un centre formation et qui abrite le siège de notre association depuis 2012. Mais, dès que nous avions commencé à aménager le lieu, nous avons fait l’objet de plusieurs pressions voire harcèlement de la part du sieur Missité qui est notre voisin immédiat. M. Missité nous a convoqué auprès de ses amis tant à la justice qu’au ministère de l’intérieur. N’ayant pas eu gain de cause, il a adressé une requête au Procureur de la République. Les multiples démarches de Missité pour que nous abandonnions le lieu sont restées vaines, car, ceux auprès de qui il se plaignait, n’ont rien trouvé d’anormal. Décidé à aller jusqu’au bout, il s’est tourné vers un huissier en la personne de Me Klouvi à qui il a demandé d’entreprendre des actions contre nous. Ce dernier nous avait convoqué dans son bureau où je lui ai dit ce que nous faisons sur les lieux", a expliqué Bernard Kogon.
Et d’ajouter : "Nous ne faisions pas de tapages nocturnes, ni des veillées de prières et autres. Seuls les dimanches où nous nous retrouvons pour des prières comme cela se fait dans toutes les églises au Togo les dimanches. Les jours ouvrables sont consacrés à la formation de milliers de femmes et jeunes filles".
A en croire Kogon, depuis trois années qu’ils sont voisins au sieur Missité, pas de paix du cœur. La relation de voisinage n’existe pas. Car, Missité nous dit, qu’il ne veut pas de bruit quand il est de retour du service où quand il est à la maison. Or, les bruits dont il est question, sont les micros et les hauts parleurs que nous utilisons lors de la formation quotidienne.
Afin de sauvegarder la relation, le centre qui ferme ses portes à 20 heures, est obligé de le fermer à 17h 30. Mais, M. Missité n’est pas toujours satisfait. Il a mis ses menaces à exécution le 19 novembre 2015, un jeudi pour venir ramasser nos matériels de sonorisation.
M. Kogon dit mener des démarches auprès de Puis Agbétomey. Ce dernier qui ne trouve pas de justificatif du harcèlement du sieur, "nous a conseillé d’introduire une requête en référé pour ce Lundi. Ce qui fut fait".
"Nous attendons donc lundi pour se retrouver devant le juge pour voir clair", a indiqué M. Kogon tout furieux.
En attendant, de milliers de femmes et autres jeunes qui viennent apprendre gratuitement dans ce centre veulent exprimer leur colère. Pour ne pas perturber la paix sociale, M. Kogon lance un appel à Faure Gnassingbé afin qu’il soit informé de l’abus de pouvoir dont font preuve, ceux qui sont censés maintenir la dynamique de sa vision pour un Togo émergent. « Trop c’est trop », dit-il M. Kogon.
Toutes nos tentatives pour avoir M. Missité sont vaines. Nous y reviendrons avec plus de détails.
ICILOME
L’affaire fait grand bruit à Avédji. Là -bas, une relation de voisinage mal gérée, risque de créer une tension sociale. Décidé à en découdre avec ses voisins, des forces de l’ordre téléguidés par un agent de justice en complicité avec Me Eklou, ont débarqué manu militari ramasser les matériels de sonorisation d’une Ong qui vient en appui aux plus démunis du Togo à travers une formation en entrepreneuriat et autres.
Mais des explications fournies par le fondateur de l’Ong "Le Leadership des sentinelles Libérés" (la Tour des Cités), Bernard Kogon se dit victime de l’abus d’autorité du sieur Missité, secrétaire général de la Justice.
"Nous avons baillé un terrain entier que nous avions transformé en un centre formation et qui abrite le siège de notre association depuis 2012. Mais, dès que nous avions commencé à aménager le lieu, nous avons fait l’objet de plusieurs pressions voire harcèlement de la part du sieur Missité qui est notre voisin immédiat. M. Missité nous a convoqué auprès de ses amis tant à la justice qu’au ministère de l’intérieur. N’ayant pas eu gain de cause, il a adressé une requête au Procureur de la République. Les multiples démarches de Missité pour que nous abandonnions le lieu sont restées vaines, car, ceux auprès de qui il se plaignait, n’ont rien trouvé d’anormal. Décidé à aller jusqu’au bout, il s’est tourné vers un huissier en la personne de Me Klouvi à qui il a demandé d’entreprendre des actions contre nous. Ce dernier nous avait convoqué dans son bureau où je lui ai dit ce que nous faisons sur les lieux", a expliqué Bernard Kogon.
Et d’ajouter : "Nous ne faisions pas de tapages nocturnes, ni des veillées de prières et autres. Seuls les dimanches où nous nous retrouvons pour des prières comme cela se fait dans toutes les églises au Togo les dimanches. Les jours ouvrables sont consacrés à la formation de milliers de femmes et jeunes filles".
A en croire Kogon, depuis trois années qu’ils sont voisins au sieur Missité, pas de paix du cœur. La relation de voisinage n’existe pas. Car, Missité nous dit, qu’il ne veut pas de bruit quand il est de retour du service où quand il est à la maison. Or, les bruits dont il est question, sont les micros et les hauts parleurs que nous utilisons lors de la formation quotidienne.
Afin de sauvegarder la relation, le centre qui ferme ses portes à 20 heures, est obligé de le fermer à 17h 30. Mais, M. Missité n’est pas toujours satisfait. Il a mis ses menaces à exécution le 19 novembre 2015, un jeudi pour venir ramasser nos matériels de sonorisation.
M. Kogon dit mener des démarches auprès de Puis Agbétomey. Ce dernier qui ne trouve pas de justificatif du harcèlement du sieur, "nous a conseillé d’introduire une requête en référé pour ce Lundi. Ce qui fut fait".
"Nous attendons donc lundi pour se retrouver devant le juge pour voir clair", a indiqué M. Kogon tout furieux.
En attendant, de milliers de femmes et autres jeunes qui viennent apprendre gratuitement dans ce centre veulent exprimer leur colère. Pour ne pas perturber la paix sociale, M. Kogon lance un appel à Faure Gnassingbé afin qu’il soit informé de l’abus de pouvoir dont font preuve, ceux qui sont censés maintenir la dynamique de sa vision pour un Togo émergent. « Trop c’est trop », dit-il M. Kogon.
Toutes nos tentatives pour avoir M. Missité sont vaines. Nous y reviendrons avec plus de détails.
ICILOME
Le Togo, une référence en matière de volontariat
L’Agence Nationale du Volontariat au Togo
(ANVT) a tenu un point de presse pour la restitution des travaux de la
mission d’une délégation de l’Agence Nigérienne du Volontariat pour le
Développement (ANVD) le vendredi 20 novembre 2015 à son siège à Lomé.
L’objectif de cette visite est de capitaliser les expériences auprès de l’ANVT pour renforcer les capacités nigériennes ; ceci pour pouvoir mettre en place l’ANVD et mieux l’orienter vers le développement durable, a déclaré à la presse le Directeur Général de l’ANVD, HASSANE Hamidine.
Pour le directeur général de l’ANVT, AGBANGBA Omar, l’agence du Togo constitue une référence en Afrique et dans le monde avec plus de 41000 jeunes inscrits et environ 8000 jeunes mobilisés dans des services.
Radio Lome
L’objectif de cette visite est de capitaliser les expériences auprès de l’ANVT pour renforcer les capacités nigériennes ; ceci pour pouvoir mettre en place l’ANVD et mieux l’orienter vers le développement durable, a déclaré à la presse le Directeur Général de l’ANVD, HASSANE Hamidine.
Pour le directeur général de l’ANVT, AGBANGBA Omar, l’agence du Togo constitue une référence en Afrique et dans le monde avec plus de 41000 jeunes inscrits et environ 8000 jeunes mobilisés dans des services.
Radio Lome
TOGO : : Libre opinion/Et si l’Opposition m’était contée!
Il était une grande figure de
l’opposition politique et le Président de l’Assemblée nationale du
Niger, deuxième ou troisième personnalité de l’Etat nigérien… jusqu’au
scandale retentissant dans lequel il est empêtré… Il s’enfuit comme un
lâche et vulgaire malfrat à Paris, laissant son épouse incarcérée à
Niamey !
Il, c’est bien sûr Hama Hamadou ! Lui et sa femme sont accusés ni plus ni moins de trafic d’enfants volés ! Mme Hamadou aurait eu un bébé, mais personne ne l’a vue, les mois précédents, porter une grossesse ! Pire, plusieurs bébés achetés au Nigeria, transitent par le Bénin (où des certificats de naissance fournis par des médecins véreux leur sont établis), et atterrissent comme par miracle, dans les bras des épouses d’hommes politiques ou d’hommes d’affaires nigériens !
Le pot aux roses fut découvert quand une personnalité nigérienne exhibe fièrement six bébés (des jumeaux pour chacune de ces 3 épouses !), en affirmant que ses trois épouses venaient d’accoucher de ces six enfants ! Le problème, c’est que les pauvres bébés n’avaient pas le même âge, même pour la même épouse !
Plusieurs personnes furent arrêtées et écrouées…
La justice nigérienne demande tout simplement à l’Honorable Hama Hamadou et à son épouse de faire un test ADN pour justifier la paternité et la maternité de leur bébé, mais l’Opposant refuse et évoque l’Islam, sa religion, qui interdirait les textes ADN ! Et comme ce raisonnement idiot du Président de l’Assemblée Nationale nigérienne ne suffisait pas, c’est un député de son parti, qui se fend d’une déclaration sur RFI, le jeudi 19 novembre, pour soutenir son patron ! Le journaliste complaisant de RFI ne lui a pas posé cette simple question pour le confondre et confondre Hama Hamadou :
« Et si Hama Hamadou était accusé d’avoir violé puis assassiné une mineure, et que la justice lui demandait de faire un test ADN pour le disculper, va-t-il refuser en invoquant l’Islam, et préférer être pendu pour ce double crime ? »
Actuellement, l’opposant Hama Hamadou, naguère gardien du Temple du Pouvoir Législatif, est arrêté à sa descente d’avion et incarcéré comme un vulgaire voyou à la prison civile ! On met toutes les conneries et tous les crimes sur le dos de la religion musulmane et d’Allah, et tous ceux qui font cela iront tous moisir en enfer !
La religion musulmane est une religion respectable et respectée et nul n’a le droit de l’avilir, Messieurs et Mesdames les faux musulmans !
Cela fait des siècles que Mahomet a conquis le cœur de plusieurs dizaines de millions d’hommes et de femmes sur tous les 5 continents, et en parcourant un Coran en français, qu’un de mes patients, Imam de son état, m’a offert il y a 4 ans, je n’ai trouvé nulle part trace du texte ADN dans le livre sacré… Au demeurant, les tests ADN ne sont pratiqués dans le monde qu’il y a à peine 50 ans au plus, et on ne voit pas comment Mahomet pourrait en parler dans le Coran et l’interdire…
Si j’étais le journaliste de RFI, j’aurais demandé à l’Honorable, pourquoi Hama Hamadou n’a pas adopté un bébé d’un orphelinat ou un enfant abandonné d’une institution gérée par les religieuses de Lomé (il y en a des dizaines), quand il était venu assister à la rentrée solennelle de l’Assemblée nationale togolaise ? Son épouse aurait séjourné quelques mois à Lomé avant, et le couple rentrerait, triomphant, à Niamey, avec un beau bébé légal dans les bras, en prétextant même devant les nigériens qu’elle a accouché à Lomé… Hama Hamadou serait toujours Président de l’Assemblée nationale, ne serait pas parti en exil à Paris, et ne se retrouverait pas actuellement en détention !
Dites-moi, Hama Hamadou est-il vraiment un politicien ou un plaisantin, chef de file de l’opposition au Parlement du Niger ?
Un autre plaisantin politicien, chef de file de l’opposition togolaise, est Jean-Pierre Fabre, le patron de l’ANC. Il serait aussi certainement en prison, si le pouvoir togolais était un peu méchant, mais il est cependant déjà inculpé. Jugez-en vous-mêmes :
Il y a quelques mois, un incendie ravageait, à quelques jours d’intervalle, les marchés de Kara et de Lomé. Emoi dans tout le pays ; la justice, s’est bien sûr saisie du dossier et plusieurs suspects sont inculpés et arrêtés. Sans attendre l’aboutissement de l’enquête, Mr Jean-Pierre Fabre appose sa signature sur le bas d’un document qui publie les conclusions d’une enquête bidon, menée par un certain avocat véreux (selon les termes du journal Forum), Me Zeus Ajavon, le coordinateur du Collectif Sauvons le Togo (CST), qui a fait beaucoup de bruits il y a quelques mois, mais qui reste muet depuis…
Les conclusions de cette enquête-bidon sont pompeusement publiées ... avec, ... les photos du chef d’Etat -major général actuel des Forces Armées Togolaise (FAT), de l’ex- aide de camp du Président Faure Gnassingbé, de l’Ex- directrice générale des Impôts, et de quelques officiers et cadres de l’administration togolaise… Au total, 7 personnalités, que l’enquête-bidon accuse ni plus ni moins d’être les commanditaires des incendies ! Au cours de l’enquête officielle, les enquêteurs découvrent des explosifs enterrés dans la cour du siège du Parti ANC !
Et ce Fabre « est fier » d’être chef de file de l’opposition togolaise ! Il serait depuis des mois en prison que personne ne crierait au scandale !
Voici deux exemples édifiants de deux leaders de l’opposition africaine. Des exemples de ce genre font légion sur notre continent, de Kinshasa à Ndjamena, de Brazzaville à Conakry, de Dakar à Bujumbura… On trouve moins de ces zozos d’Accra à Nairobi, de Lusaka à Dodoma, de Monrovia à Freetown, de Lagos à Gaborone…
Général de Gaule, réveillez-vous et dis-nous pourquoi l’Afrique francophone exhibe de tels politiciens plaisantins !
Dr David IHOU, Consultant en Géopolitique et stratégie Sécuritaire ..
Il, c’est bien sûr Hama Hamadou ! Lui et sa femme sont accusés ni plus ni moins de trafic d’enfants volés ! Mme Hamadou aurait eu un bébé, mais personne ne l’a vue, les mois précédents, porter une grossesse ! Pire, plusieurs bébés achetés au Nigeria, transitent par le Bénin (où des certificats de naissance fournis par des médecins véreux leur sont établis), et atterrissent comme par miracle, dans les bras des épouses d’hommes politiques ou d’hommes d’affaires nigériens !
Le pot aux roses fut découvert quand une personnalité nigérienne exhibe fièrement six bébés (des jumeaux pour chacune de ces 3 épouses !), en affirmant que ses trois épouses venaient d’accoucher de ces six enfants ! Le problème, c’est que les pauvres bébés n’avaient pas le même âge, même pour la même épouse !
Plusieurs personnes furent arrêtées et écrouées…
La justice nigérienne demande tout simplement à l’Honorable Hama Hamadou et à son épouse de faire un test ADN pour justifier la paternité et la maternité de leur bébé, mais l’Opposant refuse et évoque l’Islam, sa religion, qui interdirait les textes ADN ! Et comme ce raisonnement idiot du Président de l’Assemblée Nationale nigérienne ne suffisait pas, c’est un député de son parti, qui se fend d’une déclaration sur RFI, le jeudi 19 novembre, pour soutenir son patron ! Le journaliste complaisant de RFI ne lui a pas posé cette simple question pour le confondre et confondre Hama Hamadou :
« Et si Hama Hamadou était accusé d’avoir violé puis assassiné une mineure, et que la justice lui demandait de faire un test ADN pour le disculper, va-t-il refuser en invoquant l’Islam, et préférer être pendu pour ce double crime ? »
Actuellement, l’opposant Hama Hamadou, naguère gardien du Temple du Pouvoir Législatif, est arrêté à sa descente d’avion et incarcéré comme un vulgaire voyou à la prison civile ! On met toutes les conneries et tous les crimes sur le dos de la religion musulmane et d’Allah, et tous ceux qui font cela iront tous moisir en enfer !
La religion musulmane est une religion respectable et respectée et nul n’a le droit de l’avilir, Messieurs et Mesdames les faux musulmans !
Cela fait des siècles que Mahomet a conquis le cœur de plusieurs dizaines de millions d’hommes et de femmes sur tous les 5 continents, et en parcourant un Coran en français, qu’un de mes patients, Imam de son état, m’a offert il y a 4 ans, je n’ai trouvé nulle part trace du texte ADN dans le livre sacré… Au demeurant, les tests ADN ne sont pratiqués dans le monde qu’il y a à peine 50 ans au plus, et on ne voit pas comment Mahomet pourrait en parler dans le Coran et l’interdire…
Si j’étais le journaliste de RFI, j’aurais demandé à l’Honorable, pourquoi Hama Hamadou n’a pas adopté un bébé d’un orphelinat ou un enfant abandonné d’une institution gérée par les religieuses de Lomé (il y en a des dizaines), quand il était venu assister à la rentrée solennelle de l’Assemblée nationale togolaise ? Son épouse aurait séjourné quelques mois à Lomé avant, et le couple rentrerait, triomphant, à Niamey, avec un beau bébé légal dans les bras, en prétextant même devant les nigériens qu’elle a accouché à Lomé… Hama Hamadou serait toujours Président de l’Assemblée nationale, ne serait pas parti en exil à Paris, et ne se retrouverait pas actuellement en détention !
Dites-moi, Hama Hamadou est-il vraiment un politicien ou un plaisantin, chef de file de l’opposition au Parlement du Niger ?
Un autre plaisantin politicien, chef de file de l’opposition togolaise, est Jean-Pierre Fabre, le patron de l’ANC. Il serait aussi certainement en prison, si le pouvoir togolais était un peu méchant, mais il est cependant déjà inculpé. Jugez-en vous-mêmes :
Il y a quelques mois, un incendie ravageait, à quelques jours d’intervalle, les marchés de Kara et de Lomé. Emoi dans tout le pays ; la justice, s’est bien sûr saisie du dossier et plusieurs suspects sont inculpés et arrêtés. Sans attendre l’aboutissement de l’enquête, Mr Jean-Pierre Fabre appose sa signature sur le bas d’un document qui publie les conclusions d’une enquête bidon, menée par un certain avocat véreux (selon les termes du journal Forum), Me Zeus Ajavon, le coordinateur du Collectif Sauvons le Togo (CST), qui a fait beaucoup de bruits il y a quelques mois, mais qui reste muet depuis…
Les conclusions de cette enquête-bidon sont pompeusement publiées ... avec, ... les photos du chef d’Etat -major général actuel des Forces Armées Togolaise (FAT), de l’ex- aide de camp du Président Faure Gnassingbé, de l’Ex- directrice générale des Impôts, et de quelques officiers et cadres de l’administration togolaise… Au total, 7 personnalités, que l’enquête-bidon accuse ni plus ni moins d’être les commanditaires des incendies ! Au cours de l’enquête officielle, les enquêteurs découvrent des explosifs enterrés dans la cour du siège du Parti ANC !
Et ce Fabre « est fier » d’être chef de file de l’opposition togolaise ! Il serait depuis des mois en prison que personne ne crierait au scandale !
Voici deux exemples édifiants de deux leaders de l’opposition africaine. Des exemples de ce genre font légion sur notre continent, de Kinshasa à Ndjamena, de Brazzaville à Conakry, de Dakar à Bujumbura… On trouve moins de ces zozos d’Accra à Nairobi, de Lusaka à Dodoma, de Monrovia à Freetown, de Lagos à Gaborone…
Général de Gaule, réveillez-vous et dis-nous pourquoi l’Afrique francophone exhibe de tels politiciens plaisantins !
Dr David IHOU, Consultant en Géopolitique et stratégie Sécuritaire ..
Togo : Marches « anti-Faune » à Lomé et Atakpamé, en soutien aux populations de l’Oti
La population dans la rue contre la brutalité de la soldatesque de Faure à Mango
Des militants du regroupement politique, le Combat pour l’Alternance Politique en 2015 (CAP 2015), et des ressortissants de la préfecture de l’Oti à Lomé ont marché et tenu un meeting hier samedi dans la capitalise togolaise pour protester contre les violences survenues à Mango et dire par la même occasion non à la protection de la faune au détriment de la vie et de la dignité humaines.
Pour la déclaration lue au point de chute de la marche, la plage en face de l’ancienne présidence à Lomé, le CAP 2015 dit non au projet de la faune à Mango, rejette les explications fournies par le gouvernement sur les évènements et a profité de cette sortie pour réitérer l’appel à l’organisation des élections locales et la mise en place d’une administration locale légitime au Togo.
Vêtus pour certains de couleur orange et d’autre en bigarrés avec de brassards rouge et noir attachés au bras, une grande banderole avec ces mots « Non à la protection de la faune au détriment de la vie et de la dignité humaines » indique au passant l’objet de la manifestation.
La déclaration signée par Mme Brigitte Adjamagbo-Johnson, la présidente du CAP 2015, a été présentée par Eric Dupuy, le chargé à la Communication du parti ANC. D’entrée de jeu la déclaration a rappelé que « Le vendredi 6 et le samedi 7 novembre 2015, les forces de défense et de sécurité ont réprimé dans le sang, une manifestation pacifique des pulpations de l’Oti, massivement mobilisées dans les rues de Mango, pour protester contre la réinstauration des mesures de délimitation es aires de faune au détriment de l’espace vital des êtres humains ».
Après ce rappel, la CAP 2015 a présenté ses condoléances aux familles et à la population de l’Oti et exige l’indemnisation des familles victimes, la prise en charge des blessés, la libération de tous les manifestants, la levée de l’état de siège à Mango et la fin du harcèlement et des kidnappings des jeunes dans la préfecture de l’Oti.
Marche anti-faune à Lomé
En profitant de cette occasion, le CAP 2015a ressorti une doléance politique en attente dans le pays. A ce propos, Adjamagbo-Jonhson a écrit que « le temps est venu d’opérer les réformes politiques et électorales prescrites par l’APG et permettant l’organisation d’élections propres dans notre pays ». En réclamant les élections locales, le CAP 2015 a ajouté que « le temps est venu de respecter les engagements n. 1.6 et 1.7 pris à Bruxelles en 2004 et maintes fois renouvelés et relatifs à l’organisation des élections locales et à la mise en place d’une administration locale légitime au Togo ».
Ajoutons que des ressortissants de Mango qui ont pris part à cette marche suivie de meeting ont, par la voix de leur porte-parole Abdloudjibar, fait part de leur désarroi et qu’ils entendent poursuivre leurs manifestations aux cotés de tous les partis et organisations qui souhaitent défendre la survie de leurs parents. Pour se faire entendre encore, les ressortissants de Mango projettent de manifester à Lomé le samedi 28 novembre 2015 pour la cause de leurs parents dans l’Oti.
Brigitte Kafui Adjamagbo-Johnson a dirigé la marche de CAPA 2015 à Atakpamé
Les militants du CAP 2015 et les populations d’Atakpamé sont sorties nombreuses pour prendre part à une grande marche pacifique suivie d’un meeting, dénoncer les exactions commises sur leurs compatriotes de Mango et exprimer aux populations de l’OTI meurtries, la compassion et la solidarité du Peuple Togolais. Les manifestants ont battu le pavé pour crier haro sur la bêtise humaine orchestrée par le régime en place et l’armée.
C’est la présidente du CAP2015 et Secrétaire générale de la Convention Démocratique des Peuples Africains (CDPA) Brigitte Kafui Adjamagbo-Johnson, ayant fait le déplacement dans ladite localité, qui était en tête de peloton pour dénoncer cette barbarie militaire et apporter aux populations de Mango le soutien de CAP2015. Elle avait à son côté, un responsable local de l’Alliance Nationale pour le Changement (ANC), K. Kekeh.
Marche anti-faune a Atakpamé
27 Avril
Des militants du regroupement politique, le Combat pour l’Alternance Politique en 2015 (CAP 2015), et des ressortissants de la préfecture de l’Oti à Lomé ont marché et tenu un meeting hier samedi dans la capitalise togolaise pour protester contre les violences survenues à Mango et dire par la même occasion non à la protection de la faune au détriment de la vie et de la dignité humaines.
Pour la déclaration lue au point de chute de la marche, la plage en face de l’ancienne présidence à Lomé, le CAP 2015 dit non au projet de la faune à Mango, rejette les explications fournies par le gouvernement sur les évènements et a profité de cette sortie pour réitérer l’appel à l’organisation des élections locales et la mise en place d’une administration locale légitime au Togo.
Vêtus pour certains de couleur orange et d’autre en bigarrés avec de brassards rouge et noir attachés au bras, une grande banderole avec ces mots « Non à la protection de la faune au détriment de la vie et de la dignité humaines » indique au passant l’objet de la manifestation.
La déclaration signée par Mme Brigitte Adjamagbo-Johnson, la présidente du CAP 2015, a été présentée par Eric Dupuy, le chargé à la Communication du parti ANC. D’entrée de jeu la déclaration a rappelé que « Le vendredi 6 et le samedi 7 novembre 2015, les forces de défense et de sécurité ont réprimé dans le sang, une manifestation pacifique des pulpations de l’Oti, massivement mobilisées dans les rues de Mango, pour protester contre la réinstauration des mesures de délimitation es aires de faune au détriment de l’espace vital des êtres humains ».
Après ce rappel, la CAP 2015 a présenté ses condoléances aux familles et à la population de l’Oti et exige l’indemnisation des familles victimes, la prise en charge des blessés, la libération de tous les manifestants, la levée de l’état de siège à Mango et la fin du harcèlement et des kidnappings des jeunes dans la préfecture de l’Oti.
Marche anti-faune à Lomé
En profitant de cette occasion, le CAP 2015a ressorti une doléance politique en attente dans le pays. A ce propos, Adjamagbo-Jonhson a écrit que « le temps est venu d’opérer les réformes politiques et électorales prescrites par l’APG et permettant l’organisation d’élections propres dans notre pays ». En réclamant les élections locales, le CAP 2015 a ajouté que « le temps est venu de respecter les engagements n. 1.6 et 1.7 pris à Bruxelles en 2004 et maintes fois renouvelés et relatifs à l’organisation des élections locales et à la mise en place d’une administration locale légitime au Togo ».
Ajoutons que des ressortissants de Mango qui ont pris part à cette marche suivie de meeting ont, par la voix de leur porte-parole Abdloudjibar, fait part de leur désarroi et qu’ils entendent poursuivre leurs manifestations aux cotés de tous les partis et organisations qui souhaitent défendre la survie de leurs parents. Pour se faire entendre encore, les ressortissants de Mango projettent de manifester à Lomé le samedi 28 novembre 2015 pour la cause de leurs parents dans l’Oti.
Brigitte Kafui Adjamagbo-Johnson a dirigé la marche de CAPA 2015 à Atakpamé
Les militants du CAP 2015 et les populations d’Atakpamé sont sorties nombreuses pour prendre part à une grande marche pacifique suivie d’un meeting, dénoncer les exactions commises sur leurs compatriotes de Mango et exprimer aux populations de l’OTI meurtries, la compassion et la solidarité du Peuple Togolais. Les manifestants ont battu le pavé pour crier haro sur la bêtise humaine orchestrée par le régime en place et l’armée.
C’est la présidente du CAP2015 et Secrétaire générale de la Convention Démocratique des Peuples Africains (CDPA) Brigitte Kafui Adjamagbo-Johnson, ayant fait le déplacement dans ladite localité, qui était en tête de peloton pour dénoncer cette barbarie militaire et apporter aux populations de Mango le soutien de CAP2015. Elle avait à son côté, un responsable local de l’Alliance Nationale pour le Changement (ANC), K. Kekeh.
Marche anti-faune a Atakpamé
27 Avril
Sunday, November 22, 2015
TOGO :: Le parti «Le NID» était à la marche samedi
Le parti politique « Le NID » était
également à la marche samedi. C’était le président de ce parti, Gabriel
Sassou Anyron qui a assisté à la manifestation aux côtés des
responsables du CAP 2015.
C’est la première fois qu’on remarque cet homme à une manifestation organisée par CAP 2015.
On se rappelle encore la proposition faite par Le Nid à propos du rassemblement des forces d’Ablodé pour mener la lutter pour l’alternance au Togo. Gabriel Sassou Dosseh-Anyron a souhaité une coalition entre l’Ufc de Gilchrist Olympio, l’Anc de Jean-Pierre Fabre, le Fpd de Djimon Oré et son parti Le Nid.
Une proposition que la plupart de ces partis rejettent déjà. L’idée n’enchante d’ailleurs pas les autres partis qui la trouvent absurde et dénuée de tout bon sens.
Déjà le 11 octobre dernier, on avait aperçu le président de «Le Nid» à la plage lors de l’apothéose du 5e anniversaire de la création de l’ANC. Ce qui lui a permis de dire, quelques jours plus tard, qu’il est en négociation avec le parti de Jean-Pierre Fabre pour mettre sur place le front dont il est question.
Une information qu’a démentie Eric Dupuy, Secrétaire à la Communication à l’Anc, sur radio Victoire Fm. On ose croire que cette présence à la marche samedi est un signe d’un rapprochement entre les deux partis.
I.K
C’est la première fois qu’on remarque cet homme à une manifestation organisée par CAP 2015.
On se rappelle encore la proposition faite par Le Nid à propos du rassemblement des forces d’Ablodé pour mener la lutter pour l’alternance au Togo. Gabriel Sassou Dosseh-Anyron a souhaité une coalition entre l’Ufc de Gilchrist Olympio, l’Anc de Jean-Pierre Fabre, le Fpd de Djimon Oré et son parti Le Nid.
Une proposition que la plupart de ces partis rejettent déjà. L’idée n’enchante d’ailleurs pas les autres partis qui la trouvent absurde et dénuée de tout bon sens.
Déjà le 11 octobre dernier, on avait aperçu le président de «Le Nid» à la plage lors de l’apothéose du 5e anniversaire de la création de l’ANC. Ce qui lui a permis de dire, quelques jours plus tard, qu’il est en négociation avec le parti de Jean-Pierre Fabre pour mettre sur place le front dont il est question.
Une information qu’a démentie Eric Dupuy, Secrétaire à la Communication à l’Anc, sur radio Victoire Fm. On ose croire que cette présence à la marche samedi est un signe d’un rapprochement entre les deux partis.
I.K
Guy Madjé Lorenzo, la ballade de Zurich au stade de France
La crise qui mine le football togolais n’est pas sur le point de connaître son épilogue. Autant les acteurs de la discipline continuent la guerre de tranchée, autant les gouvernants, particulièrement le ministère en charge des Sports peinent à trouver la bonne approche pour trouver définitivement une solution à cette longue crise.
Le 7 novembre dernier, le congrès extraordinaire pour l’adoption des nouveaux textes s’est soldé par un échec notamment une motion dite de censure du Comité de normalisation.
A la suite de cet échec, le ministre de la Communication, de la Culture, des Sports et de la Formation civique, Guy MadjéLaurenzo par un jeu de réseau obscur s’est déplacé à Zurich en Suisse pour rencontrer le Président par intérim de la FIFA, Issa Hayatou. Aucun rendez formel n’a été pris.
Conséquence, une fois à Zurich le ministre de la communication n’a trouvé aucun interlocuteur. Issa Hayatou étant hospitalisé, l’administration de la FIFA n’avait aucun rendez-vous formel avec le ministre togolais. Même le Secrétaire Général par intérim Markus Kattner n’a pu le recevoir selon des sources renseignées. Après donc une ballade en Suisse, le ministre Guy Madjé Laurenzo s’est retrouvé au stade de France le 13 novembre pour suivre le match France-Allemagne.
Il était donc au stade lorsque les terroristes se sont fait exploser aux alentours. Il est ensuite rentré bredouille au pays. Comment un ministre de la République qui agit au nom de l’Etat togolais ne peut pas demander une rencontre (correspondance avec accusé de réception) officielle à la FIFA au lieu de se rabattre sur des démarcheurs pour solliciter une rencontre informelle ? Quel respect sa personnalité et partant l’Etat togolais peut avoir de la FIFA lorsqu’un ministre des Sport rase les murs pour rencontrer les officiels de la FIFA ?
Il est de notoriété publique que le Comité de Normalisation avec à sa tête Antoine Folly s’est enlisé et a plus compliqué la situation qu’il ne le fallait. D’où les voix légitimes qui appellent à une résolution définitive de la crise en concertation avec la FIFA.
Pour y arriver, l’approche doit être une démarche d’un Etat avec tous ses attributs avec la FIFA. Visiblement le nouveau ministre des Sports à force de jouer les partisans semble se perdre dans les labyrinthes nauséabondes de la crise qui a plongé le football togolais au fond du gouffre.
Mensah K. (L'ALTERNATIVE)
Le 7 novembre dernier, le congrès extraordinaire pour l’adoption des nouveaux textes s’est soldé par un échec notamment une motion dite de censure du Comité de normalisation.
A la suite de cet échec, le ministre de la Communication, de la Culture, des Sports et de la Formation civique, Guy MadjéLaurenzo par un jeu de réseau obscur s’est déplacé à Zurich en Suisse pour rencontrer le Président par intérim de la FIFA, Issa Hayatou. Aucun rendez formel n’a été pris.
Conséquence, une fois à Zurich le ministre de la communication n’a trouvé aucun interlocuteur. Issa Hayatou étant hospitalisé, l’administration de la FIFA n’avait aucun rendez-vous formel avec le ministre togolais. Même le Secrétaire Général par intérim Markus Kattner n’a pu le recevoir selon des sources renseignées. Après donc une ballade en Suisse, le ministre Guy Madjé Laurenzo s’est retrouvé au stade de France le 13 novembre pour suivre le match France-Allemagne.
Il était donc au stade lorsque les terroristes se sont fait exploser aux alentours. Il est ensuite rentré bredouille au pays. Comment un ministre de la République qui agit au nom de l’Etat togolais ne peut pas demander une rencontre (correspondance avec accusé de réception) officielle à la FIFA au lieu de se rabattre sur des démarcheurs pour solliciter une rencontre informelle ? Quel respect sa personnalité et partant l’Etat togolais peut avoir de la FIFA lorsqu’un ministre des Sport rase les murs pour rencontrer les officiels de la FIFA ?
Il est de notoriété publique que le Comité de Normalisation avec à sa tête Antoine Folly s’est enlisé et a plus compliqué la situation qu’il ne le fallait. D’où les voix légitimes qui appellent à une résolution définitive de la crise en concertation avec la FIFA.
Pour y arriver, l’approche doit être une démarche d’un Etat avec tous ses attributs avec la FIFA. Visiblement le nouveau ministre des Sports à force de jouer les partisans semble se perdre dans les labyrinthes nauséabondes de la crise qui a plongé le football togolais au fond du gouffre.
Mensah K. (L'ALTERNATIVE)
29ème Journée de l’industrialisation de l’Afrique : le Togo n’a pas manqué au rendez-vous
Chaque 20 novembre et ce depuis 1989, la communauté internationale commémore la journée de l’industrialisation de l’Afrique. Au Togo, la 29ème édition de cette journée a été célébrée dans les locaux de l’industrie de TRANSAM.P, en présence de la ministre du Commerce, de l’industrie, de la promotion du secteur privé et du tourisme, Bernadette Legzim-Balouki.
Cette année, le thème choisi est :
« développer les petites et moyennes entreprises pour éradiquer la
pauvreté et créer des emplois pour les femmes et les jeunes ».
Initiée par l’Assemblée générale des
Nations Unies, cette célébration offre l’occasion d’aborder les
problèmes liés au développement industriel durable et d’évaluer les
stratégies d’atteinte des objectifs visant à faire des Africains des
partenaires égaux.
Rappelant les engagements post 2015,
l’objectif pour le développement durable (ODD) en la matière précise que
les Etats doivent mettre en place une infrastructure résilience,
promouvoir une industrialisation durable qui profite à tous, encourager
l’innovation et avoir pour principaux cibles à l’horizon 2030 : doubler
l’emploi et faciliter l’accès des PME/PMI aux services financiers et aux
prêts à des conditions favorables.
« Pour ce qui concerne le Togo, dans
l’axe 1 de son document de Stratégie de croissance accélérée et de
promotion de l’emploi, le pays s’est engagé à faire des PME/PMI le fer
de lance pour lutter contre le chômage et la pauvreté. Cet engagement
vient d’être repris dans notre projet de document de politique
industrielle qui, dans son axe 3, prévoit dans les actions prioritaires
de favoriser la création des PME/PMI pour les jeunes et les femmes afin
d’augmenter significativement la vie de la population », a indiqué le
ministre en charge de l’industrie.
Pour le Directeur général de TRANSAM.P
Anani Mekle-Kokou, les PME/PMI permettent de développer des industries
compétitives, d’augmenter les chances de petites entreprises,
d’exploiter pleinement leur potentiel économique et d’améliorer
l’allocation efficace des ressources rares.
« Pour ce faire, la mise en place d’un
mécanisme sophistiqué et flexible pour le financement de ce secteur
représente un enjeu majeur. Un secteur privé florissant et robuste est
également primordial pour créer un environnement permettant aux PME de
se développer et créer des emplois, stimuler la croissance et créer des
opportunités pour les femmes et les jeunes », a-t-il précisé.
Joseph A.
Afreepress
Afreepress
Les agents de soins des unités périphériques renforcent leurs compétences et capacités en santé oculaire de l’enfant
La cécité est un véritable problème de santé dans la plupart des pays en
voie de développement ; selon l’Organisation Mondiale de la Santé
(OMS), 285 millions de personnes sont atteintes de déficiences visuelles
dont 39 millions d’aveugles et près de 90% de celles qui présentent une
déficience visuelle, vivent dans les pays en développement où 80% de
l’ensemble des déficiences visuelles sont évitables ou curables ;
environ 82% des aveugles sont âgés de 50 ans et plus.
En vue d’apporter une ou des solutions efficaces, rapides et durables, la Croix Rouge Togolaise, en partenariat avec la Fondation Lions Club International de l’Allemagne, du Ministère allemand de la coopération (BMZ), de Christoffel Blinden Mission (CBM) et de la Télé vision Allemande (RTL), a organisé un atelier de formation pour les agents de soins des unités périphériques pour le renforcement de leurs compétences et capacités en santé oculaire de l’enfant. L’atelier se tient en trois sessions du 16 au 21 novembre à l’hôtel Carolli de Dapaong.
La présente activité s’inscrit dans le cadre de l’exécution du projet « Prévention des déficiences visuel les chez l’enfant au Togo » ; pour Benjamin Satchi, chargé de ce projet, « le présent atelier va outiller les acteurs de la santé pour une prise en charge efficace des déficiences visuelles de l’enfant, les agents vont, durant chaque session de deux jours, apprendre les signes cliniques qui indiquent ou révèlent les différents signes de déficiences visuelle chez les enfants.
L’organisation des sessions de formation est assurée par la Croix Rouge Togolaise avec l’appui technique et financier de CBM, une organisation internationale chrétienne de développement inclusif dont l’engagement est de participer à l’amélioration de la qualité de vie des personnes en état de handicap dans les pays les plus démunis. Cette organisation est basée au Togo depuis 1984 ; Lomé est le bureau régional Ouest Africain de CBM.
V .G. Savanes (T228)
En vue d’apporter une ou des solutions efficaces, rapides et durables, la Croix Rouge Togolaise, en partenariat avec la Fondation Lions Club International de l’Allemagne, du Ministère allemand de la coopération (BMZ), de Christoffel Blinden Mission (CBM) et de la Télé vision Allemande (RTL), a organisé un atelier de formation pour les agents de soins des unités périphériques pour le renforcement de leurs compétences et capacités en santé oculaire de l’enfant. L’atelier se tient en trois sessions du 16 au 21 novembre à l’hôtel Carolli de Dapaong.
La présente activité s’inscrit dans le cadre de l’exécution du projet « Prévention des déficiences visuel les chez l’enfant au Togo » ; pour Benjamin Satchi, chargé de ce projet, « le présent atelier va outiller les acteurs de la santé pour une prise en charge efficace des déficiences visuelles de l’enfant, les agents vont, durant chaque session de deux jours, apprendre les signes cliniques qui indiquent ou révèlent les différents signes de déficiences visuelle chez les enfants.
L’organisation des sessions de formation est assurée par la Croix Rouge Togolaise avec l’appui technique et financier de CBM, une organisation internationale chrétienne de développement inclusif dont l’engagement est de participer à l’amélioration de la qualité de vie des personnes en état de handicap dans les pays les plus démunis. Cette organisation est basée au Togo depuis 1984 ; Lomé est le bureau régional Ouest Africain de CBM.
V .G. Savanes (T228)
TOGO :: Les installations de fabrication des produits Victago ont brûlé
Désastre
total ! C’est le constat que l’on pouvait faire hier à la suite d’un
incendie qui s’est déclenché dans l’immeuble a étage abritant les
installations de fabrication des produits Victago au quartier Kagomé, à
l’Est de Lomé. Selon les explications d’un responsable de l’unité du
service des Sapeurs pompiers dépêchée sur les lieux pour aider à
maitriser le feu, il a fallu une heure pour venir à bout de l’incendie
mais force a été de constater que « l’entreprise n’a pris aucune mesure
de sécurité pour pouvoir lutter contre un début d’incendie. Seule
l’entreprise pourra évaluer avec exactitude les dégâts. Mais les
produits qui étaient à l’intérieur ont été complètement brûlés ».
« Nous, nous avons réussi à limiter les propagations pour que le feu
n’atteigne pas les niveaux supérieurs. Il n’y a pas eu de perte en vies
humaines », a aussi ajouté ce responsable du service des Sapeurs
pompiers. Un appel a été lancé aux entreprises de ce genre, à « aller
vers les normes de sécurité incendie ». En tout cas, c’est un incendie
qui ne sera pas sans effet sur les activités de cette entreprise qui
propose certains produits pour le traitement de certains maux dont
souffrent les Togolais.
G.K
G.K
Saturday, November 21, 2015
TOGO : Esa forme les leaders de demain au MBA et DBA
L’Ecole
supérieure des affaires (Esa) entend insuffler à ses étudiants un
enseignement professionnalisé au leadership et à l’animation des équipes
de haut niveau en mettant en place à leur avantage, un parcours
professionnalisant à apporter des méthodes et des outils de conduite de
changement.
Réunis en conférence en fin de semaine
dans l’enceinte de l’école à Agoenyivé (Lomé), les étudiants de cette
école ont eu droit aux enseignements de Jean Michel Plane, Professeur de
classe exceptionnelle à l’Université Paul Valéry Montpellier III en
France, en visite de travail à Lomé dans le cadre du partenariat qui lie
l’Esa à l’Université française.
Trois (3) grands axes ont composé
l’essentiel de la conférence d’échanges entre les étudiants, les
responsables de l’Esa et le professeur français, notamment « Comment
devenir un vrai leader », la présentation de son nouvel ouvrage intitulé
« Théories du leadership » et la présentation du Master in Business
Administration, MBA, et le Doctorate in Business Administration, DBA.
Le thème de la conférence a abordé la
notion de leader et plus explicitement le « vrai leader ». « On ne naît
pas leader, on le devient. Le leader sait ce qu’il faut faire pour
développer en lui la capacité de vision et de créativité à prendre des
initiatives et à piloter des projets dans des domaines encore
émergents. On attend du leader créativité, renouvellement, création de
valeurs mais également l’importance de la spiritualité qui donnent la
force au leader et la capacité de mobilisation au niveau des équipes et
des projets », a lancé M. Plane (Photo).
L’ouvrage « Théories du leadership »
enseigne le développement des capacités de leadership et rend compte de
l’historicité et de la diversité des théories et des auteurs. Il traite
également des fondements théoriques du concept, des conceptions
contemporaines du leadership envisagées sous l’angle du partage, des
émotions, du charisme des enjeux, des opportunités et des ruptures.
« C’est un livre qui porte sur les
modèles classiques et contemporains du leadership pour aller vers des
approches beaucoup plus contemporaines », a précisé l’auteur du livre.
La présentation du MBA et du DBA a
permis aux étudiants de disposer d’assez d’infirmations sur ces diplômes
très recherchés dans le monde du travail aujourd’hui. La première
formation diplômante le Master in business administration se prépare en
un an au sein de l’Esa pour un niveau de licence avec une expérience
professionnelle et donne accès à un enseignement professionnalisé au
leadership tandis que le second, le Doctorate in business
administration, DBA, est accessible aux étudiants qui ont un niveau
Master avec une expérience professionnelle et un projet de recherche.
DBD
Afreepress
Afreepress
TOGO:: 12ème foire internationale de Lomé : Alioune Sarr plaide pour la multiplication de ces rencontres
Comment
relever le défi de la transformation des matières premières dans les
pays africains et faire d’eux des pays exportateurs de produits
manufacturés, puis améliorer les échanges commerciaux intra
communautaires ?
Selon les statistiques, les pays de
l’Union économique et monétaire ouest africaine (UEMOA) développent
seulement des échanges commerciaux de l’ordre de 15%, contrairement à
ceux entre pays européens qui sont de 70% ? Entre le Togo et le Sénégal,
ces échanges représentent seulement 34 milliards des francs CFA.
C’est le ciment sur lequel le Sénégal, pays d’honneur de la 12ème
Foire internationale de Lomé, ouverte ce vendredi, y a célébré sa
journée nationale ce samedi. C’est en présence des ministres sénégalais
et togolais du Commerce, respectivement Alioune Sarr et Bernadette
Legzim-Balouki, a constaté l’Agence de presse Afreepress.
« Les échanges commerciaux entre nos
pays sont trop faibles. Il faut créer les voie et moyens pour développer
davantage les échanges économiques et commerciaux entre nos deux pays
et permettre aussi au pays hôte de partager avec les autres pays ses
expériences », a souhaité la ministre togolaise.
Pour son collègue du Sénégal, il est de
bon ton que ces genres de rencontres soient multipliées, de façon à
permettre aux huit pays de l’UEMOA de pouvoir trouver des solutions pour
faire face à la compétition mondiale.
Elisabeth S.
Afreepress
Volontariat : Le Togo inspire le Niger
Une mission de l’Agence Nigérienne du
Volontariat pour le Développement (ANVD), présidée par son directeur
Hassane Amidine, vient de clôturer cinq jours de visite d’échange et de
travail au Togo.
« L’Agence Nationale du
Volontariat au Togo (Anvt) est dirigée par une équipe très compétente
techniquement avec un engagement inclusif ouvert », c’est en ces termes que s’est exprimé Hassane Amidine, ce vendredi 20 novembre 2015, lors d’une rencontre avec la presse.
Au cours de son séjour en terre
togolaise, la délégation nigérienne a eu à rencontrer les autorités
politiques, les partenaires et les volontaires pour jauger la mise en
œuvre des différents programmes en exécution.
Hassane Amidine dit avoir constaté un
engouement de la jeunesse à contribuer à la mise en œuvre des stratégies
de développement en cours dans le pays.
L’expérience togolaise étant internationalisée, l’Anvd espère tirer de bonnes pratiques du Togo qui selon M. Amidine « est plus en avance dans le processus de développement ».
Il est à noter que plus de 41000 jeunes
sont inscrits dans la base de données de l’Anvt, qui constitue l’un des
meilleurs programmes de développement en exécution dans la sous-région,
a-t-il souligné.
Rappelons que le programme du
volontariat est un outil innovant de renforcement de capacité et
d’insertion des jeunes à pouvoir se valoriser, améliorer leurs
compétitivités, s’intégrer et s’adapter à d’autres milieux.
Africa rdv
Friday, November 20, 2015
TOGO :: 26ème anniversaire de la Convention des Droits des Enfants : l’ONG BORNEfonden interpelle tous les acteurs
Ce vendredi, les Nations Unies célèbrent le 26ème
anniversaire de la Convention des droits des enfants, adoptée le
20novembre 1989. Engagée dans la lutte pour l’épanouissement total et
complet des enfants du monde entier en général et de ceux du Togo en
particulier, l’Organisation non gouvernementale BORNEfonden interpelle
tous les acteurs pour une protection « plus sûre » des enfants.
Pour parvenir à cet appel pour une
meilleure protection des enfants contre la violence, l’ONG
internationale a rendu public les résultats d’un sondage fait chez les
enfants.
« Sur un total de 6.000 enfants dont
l’âge est compris entre 10 et 12 ans interviewés, 38% pensent que les
adultes maltraitent les enfants parce qu’ils sont adultes, et cela fait
partie des comportements d’adultes. 52% ont affirmé que la maltraitance
des enfants est une forme de punition tandis que 13% disent que les
adultes maltraitent les enfants parce qu’ils avaient eux-mêmes été
victimes de violences », indique l’enquête dont copie a été faite à
l’Agence de presse Afreepress.
Ces chiffres sont sortis d’un grand
sondage effectué en mai 2015 dans 44 pays de l’Amérique, de l’Europe,
d’Asie pacifique et d’Afrique dont le Togo pour permettre aux enfants
eux-mêmes de se prononcer sur leurs difficultés.
« 42% ont identifié la maison et 41%
l’école comme lieu où ils sont le plus exposés au risque de violences
notamment les violences physiques et psychologiques de la part des
adultes. Seulement 15% des enfants maltraités en parleraient ou
dénonceraient un adulte, un enseignant ou même un tuteur s’ils sont
maltraités ou témoins de cas de maltraitances», continue l’étude.
Une bonne partie des enfants enquêtés
estiment que l’éducation est la clé pour lutter contre la maltraitance
des enfants, conclut ladite étude.
Préoccupée par ces statistiques, l’ONG
BORNEfonden appelle les autorités à divers niveaux entre autres les
parents, les organisations et les communautés à la base d’œuvrer
davantage à la protection de l’enfant à travers l’éducation,
l’amélioration des lois et l’expression d’un sentiment d’amour parental
en faveur des enfants.
L’objectif de l’organisation à travers
cette demande, est de mobiliser les acteurs de développement à renforcer
leurs capacités en matière de mécanisme de protection des enfants, de
mettre fin à l’impunité des auteurs de violences sur les enfants en vue
d’offrir à ces derniers, un cadre de vie plus sûr.
Pour rappel, l’ONG BORNEfonden est une
organisation de développement communautaire centrée sur l’enfant. Elle
est installée au Togo depuis 1992. Elle est membre de ChildFund Alliance
qui est un réseau de douze (12) ONG de développement actif dans 58 pays
dans le monde et focalisé sur l’enfant avec un budget annuel de 500
millions de dollars.
Denise A.
Afreepress
Afreepress
Concours d'agrégation : Deux (2) des huit (8) candidats togolais ont tiré leur épingle du jeu
Le Togo enregistre deux (2) nouveaux agrégés, maîtres de conférences à l’issue du 17ème
concours d’agrégation en sciences juridiques, politiques, économiques
et de gestion ouvert par le Conseil africain et malgache pour
l’enseignement supérieur (CAMES) depuis le 11 novembre dernier à Lomé.
Afreepress
Pour ce concours qui se déroule en terre
togolaise, huit (8) candidats ont été présentés par les universités
togolaises sur un total de 148 candidats venus de douze (12) pays.
Selon les informations, une cérémonie de
clôture de cette session est prévue pour se tenir ce vendredi et les
noms des deux (2) nouveaux agrégés seront connus.
Telli K.
Afreepress
Wednesday, November 18, 2015
Nutrition/Des Experts de la sous-région en parlent à Lomé
Un forum sous-régional sur le thème « Les
Objectifs liés à la nutrition en Afrique de l’Ouest : bilan,
opportunités et perspectives » est ouvert hier lundi 16 novembre à Lomé
par le ministre de la Santé, professeur Moustapha Mijiyawa. Objectif :
proposer des solutions efficaces et efficientes aux problèmes liés à la
malnutrition en vue de porter à l’échelle nationale les interventions
liées à la nutrition dans les différents pays de l’espace CEDEAO.
La cérémonie d’ouverture a connu la présence du ministre de la Santé, Prof Moustapha Mijiyawa, du directeur de l’Organisation Ouest Africain de la Santé-OOAS, et de plusieurs délégués venus des pays de l’espace CEDEAO.
Le nombre d’enfants de moins de 5 ans souffrant de malnutrition chronique est de 20 millions en 1990 et de 28 millions en 2014 soit une augmentation de près de 41 %. Au Togo, les résultats de la dernière enquête démographique et de santé (EDST 2003) montrent que près de 7% des enfants de moins de 5 ans souffrent de malnutrition aiguë, 27% des enfants de moins de cinq ans souffrent de malnutrition chronique. En dehors des malnutritions par carence, on enregistre l’émergence du surpoids qui affecte 2 % des enfants de 5 ans.
Le gouvernement togolais a mené plusieurs actions pour faire baisser le rythme du fléau dans le pays. « Face à cette situation, le ministère de la santé ne croise les bras.
Il y a des actions qui sont menées. Les actions c’est quoi ? Il y a des interventions spécifiques à la nutrition que le gouvernement togolais par l’intermédiaire du ministère de la santé est entrain de mettre en œuvre dans les régions, dans les centres sanitaires du pays. La supplémentation en micronutriment, en vitamine A et en fer. En routine ou pendant les campagnes c’est la promotion de l’allaitement maternelle exclusif aux enfants de 0 à 6 mois », a souligné le chef service de la nutrition au ministère de la santé, Dr Bouraima Mouawiyatou.
La cérémonie d’ouverture a connu la présence du ministre de la Santé, Prof Moustapha Mijiyawa, du directeur de l’Organisation Ouest Africain de la Santé-OOAS, et de plusieurs délégués venus des pays de l’espace CEDEAO.
Le nombre d’enfants de moins de 5 ans souffrant de malnutrition chronique est de 20 millions en 1990 et de 28 millions en 2014 soit une augmentation de près de 41 %. Au Togo, les résultats de la dernière enquête démographique et de santé (EDST 2003) montrent que près de 7% des enfants de moins de 5 ans souffrent de malnutrition aiguë, 27% des enfants de moins de cinq ans souffrent de malnutrition chronique. En dehors des malnutritions par carence, on enregistre l’émergence du surpoids qui affecte 2 % des enfants de 5 ans.
Le gouvernement togolais a mené plusieurs actions pour faire baisser le rythme du fléau dans le pays. « Face à cette situation, le ministère de la santé ne croise les bras.
Il y a des actions qui sont menées. Les actions c’est quoi ? Il y a des interventions spécifiques à la nutrition que le gouvernement togolais par l’intermédiaire du ministère de la santé est entrain de mettre en œuvre dans les régions, dans les centres sanitaires du pays. La supplémentation en micronutriment, en vitamine A et en fer. En routine ou pendant les campagnes c’est la promotion de l’allaitement maternelle exclusif aux enfants de 0 à 6 mois », a souligné le chef service de la nutrition au ministère de la santé, Dr Bouraima Mouawiyatou.
Insécurité grandissante à Lomé/Les bourreaux du militaire à la main coupée à plus de 95% arrêtés
La nouvelle du braquage d’un militaire
dont la main a été coupée à plus de 95 % par ces bourreaux, le 3
novembre dernier, a fait le tour du Togo mais également des réseaux
sociaux ces derniers jours. Et bien, les auteurs de cet acte qui
visiblement voulaient retirer au soldat sa moto n’ont pas eu assez de
temps pour courir. Selon une information livrée hier lundi par le Chef
d’escadron Bédiani Béléi, les auteurs de ce forfait ont été appréhendés.
« Le jour de ce forfait, l’un des malfaiteurs avait été appréhendé. Il nous a aidés à retrouver les autres qui sont aujourd’hui entre nos mains », c’est ce qu’a indiqué ce responsable des forces de l’ordre et de sécurité qui présentait hier les deux hommes qui ont d’ailleurs reconnu être les auteurs de cet acte ignoble, et ont indiqué être à leur cinquième coup pour deux réussites. Selon les noms donnés par ces derniers, il s’agit de Koffi Assamoua et d’Atiyodé Lagbayi. Ces deux supposés criminels ont, face à la presse décliné leur mode opératoire.
Le Chef d’escadron Bédiani Béléi a ainsi appelé les Togolais à plus de collaboration pour que de pareils réseaux soient démantelés. Un vœu d’ailleurs des populations qui attendent toujours que les nombreuses initiatives mises en branle par les autorités en charge de la sécurité dans le pays ne portent leurs fruits pour un retour de la quiétude au sein de la société togolaise.
F.S
FORUM
« Le jour de ce forfait, l’un des malfaiteurs avait été appréhendé. Il nous a aidés à retrouver les autres qui sont aujourd’hui entre nos mains », c’est ce qu’a indiqué ce responsable des forces de l’ordre et de sécurité qui présentait hier les deux hommes qui ont d’ailleurs reconnu être les auteurs de cet acte ignoble, et ont indiqué être à leur cinquième coup pour deux réussites. Selon les noms donnés par ces derniers, il s’agit de Koffi Assamoua et d’Atiyodé Lagbayi. Ces deux supposés criminels ont, face à la presse décliné leur mode opératoire.
Le Chef d’escadron Bédiani Béléi a ainsi appelé les Togolais à plus de collaboration pour que de pareils réseaux soient démantelés. Un vœu d’ailleurs des populations qui attendent toujours que les nombreuses initiatives mises en branle par les autorités en charge de la sécurité dans le pays ne portent leurs fruits pour un retour de la quiétude au sein de la société togolaise.
F.S
FORUM
Tuesday, November 17, 2015
Togo/Une plate-forme nationale pour réduire les accidents routières
Afin de parvenir à une réduction
considérable des accidents de route, les organisations de la société
civile veulent accompagner le gouvernement togolais à travers diverses
actions. C’est d’ailleurs ce qui justifie la tenue d’une
journée de réflexion ce 12
novembre à Lomé autour du thème « Un nouvel élan en faveur de la
sécurité routière au Togo.» L’initiative est à l’actif du réseau des
organisations de promotion des actions citoyennes.
L’année dernière environ 5000 accidents ont occasionné 524 morts et 1338 blessés. Des statistiques qui font froid au dos à l’opinion publique. Face à cette situation, les organisations de la société
civile ont voulu réfléchir sur des thématiques afin d’apporter des approches de solutions pour la réduction des accidents sur les routes togolaises.
Selon les initiateurs de la journée de réflexion, il est à constater que les initiatives qui sont prises pour limiter les accidents routiers ne sont souvent pas faites en concertation. « C’est pourquoi nous voulons analyser la situation et voir comment mettre en place une plate-forme nationale
qui va pouvoir conjuguer tous leurs efforts en vue de l’éradication de l’insécurité routière au Togo. », a affirmé l’un des organisateurs.
C’est également cette préoccupation de haute taille qui a permis au niveau mondial en Mars 2010, l’adoption de la résolution proclamant la décennie 2011-2020 comme une décennie d’action pour la sécurité routière en vue de réduire le nombre de décès imputables aux
accidents de la route dans le monde.
Pour accompagner le gouvernement togolais à mettre en œuvre cette recommandation, les organisations de la société civile entendent à travers la mise en place de cette plate-forme, mener des actions de sensibilisation envers les populations sur les mesures sécuritaires à
adopter sur la route.
Cette journée de réflexion a permis aux participants de réfléchir profondément sur les stratégies à adopter afin d’accompagner l’autorité publique face aux préoccupations liées à l’insécurité routière.
Atsou Kudaho
L’année dernière environ 5000 accidents ont occasionné 524 morts et 1338 blessés. Des statistiques qui font froid au dos à l’opinion publique. Face à cette situation, les organisations de la société
civile ont voulu réfléchir sur des thématiques afin d’apporter des approches de solutions pour la réduction des accidents sur les routes togolaises.
Selon les initiateurs de la journée de réflexion, il est à constater que les initiatives qui sont prises pour limiter les accidents routiers ne sont souvent pas faites en concertation. « C’est pourquoi nous voulons analyser la situation et voir comment mettre en place une plate-forme nationale
qui va pouvoir conjuguer tous leurs efforts en vue de l’éradication de l’insécurité routière au Togo. », a affirmé l’un des organisateurs.
C’est également cette préoccupation de haute taille qui a permis au niveau mondial en Mars 2010, l’adoption de la résolution proclamant la décennie 2011-2020 comme une décennie d’action pour la sécurité routière en vue de réduire le nombre de décès imputables aux
accidents de la route dans le monde.
Pour accompagner le gouvernement togolais à mettre en œuvre cette recommandation, les organisations de la société civile entendent à travers la mise en place de cette plate-forme, mener des actions de sensibilisation envers les populations sur les mesures sécuritaires à
adopter sur la route.
Cette journée de réflexion a permis aux participants de réfléchir profondément sur les stratégies à adopter afin d’accompagner l’autorité publique face aux préoccupations liées à l’insécurité routière.
Atsou Kudaho
Monday, November 16, 2015
Togo : des journalistes s’insurgent contre l’introduction des peines de prison pour les délits de presse
(Agence
Ecofin) - Depuis le 2 novembre 2015, les syndicats de journalistes et
les organes de presse manifestent leur opposition au nouveau Code pénal
de la République du Togo. La raison de cette levée de bouclier réside en
l’article 497 du nouveau recueil des crimes et châtiments du pays. En
effet, cet article institue la prison pour les journalistes reconnus
coupables de délit de presse. Jusqu’alors, la profession de journaliste,
régie par Code de la presse et de la communication adopté en août 2004
par l’Assemblée Nationale, ne souffrait que d'amendes identiques à
celles prévues par le nouveau Code pénal.
Désormais, selon l'article 497 du nouveau Code pénal, « la
publication, la diffusion ou la reproduction par quelque moyen que ce
soit de nouvelles fausses, de pièces fabriquées, falsifiées ou
mensongèrement attribuées à des tiers lorsque, faite de mauvaise foi,
elle trouble la paix publique, ou est susceptible de la troubler est
punie d'une peine d'emprisonnement de 6 mois à 2 ans et d'une amende de
500 000 à 2 millions de FFCA ou de l'une de ces deux peines. » Pour les journalistes Togolais, cet article représente les prémisses d’un musèlement de la presse.
Dans
une lettre adressée au président de la République Faure Gnassingbé, les
organisations de presse l’ont interpellé sur le danger que représente
le nouveau Code pénal pour la liberté d’expression des médias. Elles
menacent de lancer des appels à manifestation et à mobiliser tous les
médias africains si l’article 497 qu’elles considèrent comme un acte
répressif déguisé n’est pas abrogée.
Justifiant
l’introduction de la prison contre les journalistes, le gouvernement
togolais a expliqué que cette mesure cadre avec la modernisation des
textes de la procédure pénale. Elle vise à doter la justice nationale
d'instruments efficaces, adéquats pour rendre la justice en toute
impartialité, sans impression de favoritisme envers un corps particulier
constitué de citoyens soumis aux lois de la République.
Muriel Edjo
Sunday, November 15, 2015
Communiqué du MRC critiquant les marches à venir du CAP 2015
La roue de l’histoire politique du Togo,
depuis le triste avènement du 05 février 2005, tourne. Elle tourne
encore, pas dans le sens d’exprimer le renforcement d’un Etat de droit,
ni l’enracinement des libertés. Pourtant, elle tourne toujours sur des
coups de rebondissement d’événements qui participent à noyer la paisible
population togolaise dans un état incommensurable de divisions et de
précarité démocratique.
Très malheureusement pour nous, une fois encore, cette roue a rattrapé le 12 novembre 2015 des individus se réclamant du CAP 2015 qui, après avoir rejeté les voix des électeurs de toutes les CELI du nord y compris bien sûr celle de Mango pour cause de contestation lors de la dernière élection présidentielle, tentent contre vents et marées d’intoxiquer les populations. Ce n’est ni plus ni moins de la récupération malsaine.
Le MRC déplore en premier lieu ce douloureux événement qui a vu mourir de valeureux Togolais de Mango. Le MRC soulève vivement sa voix pour présenter ses condoléances aux familles éplorées. Tout inutilement, le Togo vient de faire encore des victimes sur un sujet jadis très sensible de la faune de Mango que tous les Togolais savent bien. Notre horrible déception est la mauvaise gestion que le ministre en charge a fait de l’événement. André Jonhson, le versatile militant de l’UFC, qui a passé ses vacances sordides à l’ANC et qui revient tactiquement sur ses vomissures pour chercher la prédilection dans un gouvernement dit de large union. Un ministre qui donne l’impression de travailler pour le peuple alors que ses intérêts se trouvent ailleurs.
Sinon, qu’est-ce qui explique la prise de position des partis constitués du CAP 2015 dans l’échec d’un projet fastidieux de rallongement d’un parc animalier qui fait le joyau d’un pays entier et de son économie ? Pourquoi le CAP 2015 se propose d’organiser des marches sempiternelles dénudées de tous fondements politiques dans les localités de Lomé, Atakpamé et de Sokodé, alors que c’est Mango qui est concerné par un douloureux événement ? Peut-être, veulent-ils voir étendre l’hécatombe sur le pays entier et faire de nouveaux cadavres ? Sinon, quel est l’intérêt du peuple quand le CAP 2015 se déploie à corps et à cris de récupérer l’événement ?
De grâce, ce n’est pas dans la sauce des autres qu’il faut mettre le sel. Et c’est pour cette noble raison que le MRC condamne avec la dernière rigueur tous ceux qui de près ou de loin tentent de participer à la division des populations du nord. Ce n’est pas dans cette déplorable affaire de cadavres qu’il faut chercher à rebondir et tapis dans l’ombre, veulent se nourrir du sang des autres.
Comme quoi, le Togo a marre des prétentieux avides de bon sens et qui se ressemblent toujours par des idées anodines, odieuses, abjects, très corrosives et éternellement irrévérencieuses.
Enfin, le MRC demande au gouvernement d’ouvrir sans délai des enquêtes et des négociations avec les populations concernées aux fins de situer toutes les responsabilités.
Fait à Lomé, le 13 novembre 2015
Le Président national
Abass E. F. KABOUA
Très malheureusement pour nous, une fois encore, cette roue a rattrapé le 12 novembre 2015 des individus se réclamant du CAP 2015 qui, après avoir rejeté les voix des électeurs de toutes les CELI du nord y compris bien sûr celle de Mango pour cause de contestation lors de la dernière élection présidentielle, tentent contre vents et marées d’intoxiquer les populations. Ce n’est ni plus ni moins de la récupération malsaine.
Le MRC déplore en premier lieu ce douloureux événement qui a vu mourir de valeureux Togolais de Mango. Le MRC soulève vivement sa voix pour présenter ses condoléances aux familles éplorées. Tout inutilement, le Togo vient de faire encore des victimes sur un sujet jadis très sensible de la faune de Mango que tous les Togolais savent bien. Notre horrible déception est la mauvaise gestion que le ministre en charge a fait de l’événement. André Jonhson, le versatile militant de l’UFC, qui a passé ses vacances sordides à l’ANC et qui revient tactiquement sur ses vomissures pour chercher la prédilection dans un gouvernement dit de large union. Un ministre qui donne l’impression de travailler pour le peuple alors que ses intérêts se trouvent ailleurs.
Sinon, qu’est-ce qui explique la prise de position des partis constitués du CAP 2015 dans l’échec d’un projet fastidieux de rallongement d’un parc animalier qui fait le joyau d’un pays entier et de son économie ? Pourquoi le CAP 2015 se propose d’organiser des marches sempiternelles dénudées de tous fondements politiques dans les localités de Lomé, Atakpamé et de Sokodé, alors que c’est Mango qui est concerné par un douloureux événement ? Peut-être, veulent-ils voir étendre l’hécatombe sur le pays entier et faire de nouveaux cadavres ? Sinon, quel est l’intérêt du peuple quand le CAP 2015 se déploie à corps et à cris de récupérer l’événement ?
De grâce, ce n’est pas dans la sauce des autres qu’il faut mettre le sel. Et c’est pour cette noble raison que le MRC condamne avec la dernière rigueur tous ceux qui de près ou de loin tentent de participer à la division des populations du nord. Ce n’est pas dans cette déplorable affaire de cadavres qu’il faut chercher à rebondir et tapis dans l’ombre, veulent se nourrir du sang des autres.
Comme quoi, le Togo a marre des prétentieux avides de bon sens et qui se ressemblent toujours par des idées anodines, odieuses, abjects, très corrosives et éternellement irrévérencieuses.
Enfin, le MRC demande au gouvernement d’ouvrir sans délai des enquêtes et des négociations avec les populations concernées aux fins de situer toutes les responsabilités.
Fait à Lomé, le 13 novembre 2015
Le Président national
Abass E. F. KABOUA
Togo : 2004-2015, onze ans de carrière. Quel bilan pour les Agents des Eaux et Forêts « Promotion SAMON KORTHO » du Ministère des Ressources Forestière?
Les Agents des Eaux et Forêt de
la promotion 2004 baptisée « SAMON KORTHO » se sont retrouvés ce
vendredi 13 Novembre 2015 autour du thème : « Les enjeux de la gestion durable des ressources forestière au Togo »
au Ministère des Ressources Forestières sous le signe de retrouvaille,
de partage, d’échange et de ce fait, de faire un bilan des onze années
d’expérience au sein du dit ministère afin de se projeter dans l’avenir.
Le Togo en matière des ressources
forestières tire son existence grâce à l’arrivé des colons allemands
dans les années 1908. Ces derniers ont vite enrichi la couverture
forestière qui était pauvre. Le secteur forestier togolais a pu
connaitre des moments de gloire et des moments de crise. A la période
de redécollage du secteur forestier depuis 2003, la Promotion ‘’SAMON
KHORTHO’’ fait face à des défis à relever.
La position géographique de la côte
togolaise face aux côtes océaniques, les effets de changement climatique
et l’évolution démographique du pays qui entraine une forte
consommation de la couverture forestière, sont quelques maux qui minent
le secteur forestier dans les moments actuels.
La population étant l’agent moteur pour
renverser la tendance auquel fait face le secteur forestier togolais, le
Commandant des Eaux et Forêts, Pyoabalo ALABA, trouve l’implication de
la population comme un atout favorable en plus de la formulation de
nouvelles stratégies pour recréer la couverture forestière au Togo.
Ils étaient au nombre de 101 agents à
débuter leur carrière en 2004 mais la promotion ‘’SAMON KORTHO’’ se
retrouve au nombre de 95 en date de ce jour pour des raisons
nécrologiques et autres.
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Togo/Emmanuel ADEBAYOR: "Je leur ai dit les quatre vérités"
Absent contre l’Ouganda lors de la
défaite (1-0) du Togo ce jeudi dans le cadre du deuxième tour aller des
éliminatoires de la Coupe du Monde, Russie 2018, Emmanuel Adebayor Sheyi
a participé tant bien que mal à cette rencontre.
D’abord aux côtés de ses coéquipiers lors de l’ultime séance d’entrainement avant le match, l’ancien joueur d’Arsenal a été présent dans les tribunes pour suivre les prestations de ses compatriotes.
Vexé par le comportent d’Alaixys Romao et ses équipiers sur la pelouse- puisque menés 1-0 (39è)- Adebayor s’est rendu dans les vestiaires pour parler aux poulains de Tom Saintfiet. Une descente qui n’est pas bien vue par une partie du public à l’issue de la contre performance des Eperviers. Ce samedi, Emmanuel Adebayor s’est expliqué au téléphone sur une radio privée du Togo, Radio Sport fm.
«A la mi-temps, j’ai discuté avec Alaixys Romao, j’ai parlé avec les deux Ayité. Je leur ai dit que c’est eux les cadres, de tout faire pour gagner le match, à eux de montrer un autre visage en deuxième mi-temps. Parce que, ce qu’ils nous ont montré en première mi-temps, franchement ce n’est pas suffisant. Pour gagner un match, ce n‘était pas suffisant, je leur dis que voilà, qu’il n’avait personne pour faire des appels, personne pour mouiller le maillot à fonds, il n’y avait pas l’état d’esprit.
Je n’étais pas à l’hôtel avec eux, je ne connaissais pas leur conviction, parce que il y’a des joueurs qui sont arrivés lundi et qui sont fatigués de leur voyage. Je ne me mêle pas. Mais tout ce que j’allais leur dire, c’est de montrer quelque de chose de différent par rapport à ce qu’ils vont nous montrer en deuxième temps ».
« J’ai eu la chance de côtoyer Arsene Wenger, j’ai eu la chance de côtoyer José Mourinho, j’ai eu la chance de côtoyer Didier Deschamps, Roberto Manchini, donc quatre meilleurs entraineurs au monde, je sais plus ou moins comment parler à un joueur à la mi-temps. Je suis entré à la mi-temps, vous pouvez demander à tous les joueurs.
Je ne leur ai pas dit un mot. J’ai parlé avec Prince ( Segbefia) je lui ai dit, si on doit gagner le match, comme c’est lui qui est entrain de rentrer sur le terrain, puisqu’il était sur le banc, que c’est à lui de nous faire gagner le match. Après le match, vous (les journalistes) n’étiez pas contents, on n’était pas content et je suis descendu dans les vestiaires et je leur ai dit les quatre vérités. Je leur ai dit que si c’est comme ça, il faut jouer en sélection, il ne faut même pas répondre à l’appel. Si moi je dois venir malgré le fait que je ne suis pas en forme, malgré le fait que je ne m’entraine pas avec un club, je m’entraine tous les mardis et Jeudis à Totsi (quartier de Lomé) et je dois venir jouer comme ça, je préfère rester dans mon canapé, je préfère rester dans mon jardin gentiment. Je suis vraiment désolé ».
Dominé par les Cranes à Lomé, le Togo doit refaire son retard à Kampala ce dimanche, lors du match retour. Une rencontre qui se jouera sans le Marseillais Jacques Alaixys Romao, le Bastias Floyd Ayité et son frère, Jonathan qui ont préféré quitté la barque pour des raisons diverses.
D’abord aux côtés de ses coéquipiers lors de l’ultime séance d’entrainement avant le match, l’ancien joueur d’Arsenal a été présent dans les tribunes pour suivre les prestations de ses compatriotes.
Vexé par le comportent d’Alaixys Romao et ses équipiers sur la pelouse- puisque menés 1-0 (39è)- Adebayor s’est rendu dans les vestiaires pour parler aux poulains de Tom Saintfiet. Une descente qui n’est pas bien vue par une partie du public à l’issue de la contre performance des Eperviers. Ce samedi, Emmanuel Adebayor s’est expliqué au téléphone sur une radio privée du Togo, Radio Sport fm.
«A la mi-temps, j’ai discuté avec Alaixys Romao, j’ai parlé avec les deux Ayité. Je leur ai dit que c’est eux les cadres, de tout faire pour gagner le match, à eux de montrer un autre visage en deuxième mi-temps. Parce que, ce qu’ils nous ont montré en première mi-temps, franchement ce n’est pas suffisant. Pour gagner un match, ce n‘était pas suffisant, je leur dis que voilà, qu’il n’avait personne pour faire des appels, personne pour mouiller le maillot à fonds, il n’y avait pas l’état d’esprit.
Je n’étais pas à l’hôtel avec eux, je ne connaissais pas leur conviction, parce que il y’a des joueurs qui sont arrivés lundi et qui sont fatigués de leur voyage. Je ne me mêle pas. Mais tout ce que j’allais leur dire, c’est de montrer quelque de chose de différent par rapport à ce qu’ils vont nous montrer en deuxième temps ».
« J’ai eu la chance de côtoyer Arsene Wenger, j’ai eu la chance de côtoyer José Mourinho, j’ai eu la chance de côtoyer Didier Deschamps, Roberto Manchini, donc quatre meilleurs entraineurs au monde, je sais plus ou moins comment parler à un joueur à la mi-temps. Je suis entré à la mi-temps, vous pouvez demander à tous les joueurs.
Je ne leur ai pas dit un mot. J’ai parlé avec Prince ( Segbefia) je lui ai dit, si on doit gagner le match, comme c’est lui qui est entrain de rentrer sur le terrain, puisqu’il était sur le banc, que c’est à lui de nous faire gagner le match. Après le match, vous (les journalistes) n’étiez pas contents, on n’était pas content et je suis descendu dans les vestiaires et je leur ai dit les quatre vérités. Je leur ai dit que si c’est comme ça, il faut jouer en sélection, il ne faut même pas répondre à l’appel. Si moi je dois venir malgré le fait que je ne suis pas en forme, malgré le fait que je ne m’entraine pas avec un club, je m’entraine tous les mardis et Jeudis à Totsi (quartier de Lomé) et je dois venir jouer comme ça, je préfère rester dans mon canapé, je préfère rester dans mon jardin gentiment. Je suis vraiment désolé ».
Dominé par les Cranes à Lomé, le Togo doit refaire son retard à Kampala ce dimanche, lors du match retour. Une rencontre qui se jouera sans le Marseillais Jacques Alaixys Romao, le Bastias Floyd Ayité et son frère, Jonathan qui ont préféré quitté la barque pour des raisons diverses.
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