Débutée
depuis hier lundi, les festivités inscrites à l’ordre du jour de la
commémoration de la Semaine Internationale des Ouvriers du Transport
(lTF), se sont poursuivies ce mardi 7 octobre à Lomé. Et au deuxième
jour de cette célébration qui coïncide avec la Journée Mondiale pour le
Travail Décent, la Coordination nationale de l’ITF-Togo a, au cours
d’une causerie-débat, instruit des délégués de différents syndicats de
base œuvrant dans le secteur du transport autour du thème : « Travail
précaire et emploi décent ». la communication ayant été assuré par Komi
Mawunam Viagbo, Inspecteur du Travail et des Lois Sociales.
Dans sa communication, l’Inspecteur du Travail a défini la notion du travail précaire comme un emploi « atypique » « mal rémunéré », « non protégé » et qui ne garantit pas au travailleur, un minimum de sécurité sociale. En terme clair, selon l’orateur, un travail précaire sous-entend « un travail qui ne permet pas à l’employé de subvenir à ses besoins, même les plus primaires et vitaux ».
S’agissant de ses caractéristiques, M. Viagbo ajoute qu’un travail précaire, par ricochet indécent, s’identifie par un accès difficile au travail, un niveau faible de rémunération, l’inexistence d’une représentation ou d’organisation syndicale pouvant porter les doléances auprès de l’employeur, la non garantie de retraite ni de sécurité sociale puis l’accès difficile des services compétents de contrôle sur les lieux de travail.
Par contre, à l’antipode du travail indécent et dégradant, se trouve le travail décent qui a aussi fait l’objet de la communication de Komi Viagbo. Il l’a défini t relevé ses caractéristiques.
Selon lui, le travail décent repose sur quatre piliers essentiels. Notamment l’accès à l’emploi, la protection sociale, le droit du travailleur et le dialogue social. Ces caractéristiques permettent à accéder à un « emploi productif » à travers des valeurs cardinales telles la liberté, l’équité, la sécurité et la dignité, lesquelles créé les conditions favorables à l’émergence d’un « travail décent ».
Un débat général a permis aux participants de lever le voile sur certaines zones restées jusque là encore non élucidées. La célébration se poursuit ce mercredi 8 octobre avec une tournée dans les gares routières de Lomé. Objectif, sensibiliser les conducteurs routiers sur la nécessité de se mobiliser autour de la Convention Collective des Entreprises des Transports Routiers.
M.T, Lomé (Telegramme228)
Dans sa communication, l’Inspecteur du Travail a défini la notion du travail précaire comme un emploi « atypique » « mal rémunéré », « non protégé » et qui ne garantit pas au travailleur, un minimum de sécurité sociale. En terme clair, selon l’orateur, un travail précaire sous-entend « un travail qui ne permet pas à l’employé de subvenir à ses besoins, même les plus primaires et vitaux ».
S’agissant de ses caractéristiques, M. Viagbo ajoute qu’un travail précaire, par ricochet indécent, s’identifie par un accès difficile au travail, un niveau faible de rémunération, l’inexistence d’une représentation ou d’organisation syndicale pouvant porter les doléances auprès de l’employeur, la non garantie de retraite ni de sécurité sociale puis l’accès difficile des services compétents de contrôle sur les lieux de travail.
Par contre, à l’antipode du travail indécent et dégradant, se trouve le travail décent qui a aussi fait l’objet de la communication de Komi Viagbo. Il l’a défini t relevé ses caractéristiques.
Selon lui, le travail décent repose sur quatre piliers essentiels. Notamment l’accès à l’emploi, la protection sociale, le droit du travailleur et le dialogue social. Ces caractéristiques permettent à accéder à un « emploi productif » à travers des valeurs cardinales telles la liberté, l’équité, la sécurité et la dignité, lesquelles créé les conditions favorables à l’émergence d’un « travail décent ».
Un débat général a permis aux participants de lever le voile sur certaines zones restées jusque là encore non élucidées. La célébration se poursuit ce mercredi 8 octobre avec une tournée dans les gares routières de Lomé. Objectif, sensibiliser les conducteurs routiers sur la nécessité de se mobiliser autour de la Convention Collective des Entreprises des Transports Routiers.
M.T, Lomé (Telegramme228)
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