Sunday, July 31, 2016
Friday, July 29, 2016
L’Observatoire Togolais des Médias change de podium
C’est monsieur Aimé Ekpé qui dirigera l’Observatoire Togolais des
Médias (OTM) durant les deux prochaines années. Il a été élu mardi à
l’issue d’une assemblée générale. Le nouveau président de l’OTM remplace
Augustin Sizing en fin de ses deux mandats.
«Nous ferons de notre mandat un chemin de bataille pour faire en sorte que ces règles d’éthique et de déontologie soient appliquées. Nous avons à l’idée de voir dans quelle mesure vulgariser le document de l’éthique afin qu’il soit un bréviaire accessible et respecté par tous les journalistes. La confraternité étant une bataille de tous les jours, il faut que les journalistes s’approprient le code d’éthique et de la déontologie », ambitionnait le nouveau président. Il se nourrit également du souhait que la presse togolaise aille vers le professionnalisme
Officiant en animation des variétés musicales sur une radio de Lomé, Aimé Ekpé est le Directeur de Publication du journal « l’Equipe Sportive » et correspondant sur place pour le desk Sports de BBC Afrique.
L’Observatoire Togolais des Médias est une instance d’autorégulation et un tribunal des paires créé il y a 17 ans par les associations des journalistes d’alors. Il s’est doté d’un Code de déontologie des journalistes du Togo qu’il défend. Il œuvre pour la confraternité et procède au monitoring des journaux et d’autres médias. Mais le nouveau paysage médiatique et syndical en appelle à des réformes pour aboutir à un observatoire plus inclusif ouvert aux nouvelles organisations de la presse. Le Temps
«Nous ferons de notre mandat un chemin de bataille pour faire en sorte que ces règles d’éthique et de déontologie soient appliquées. Nous avons à l’idée de voir dans quelle mesure vulgariser le document de l’éthique afin qu’il soit un bréviaire accessible et respecté par tous les journalistes. La confraternité étant une bataille de tous les jours, il faut que les journalistes s’approprient le code d’éthique et de la déontologie », ambitionnait le nouveau président. Il se nourrit également du souhait que la presse togolaise aille vers le professionnalisme
Officiant en animation des variétés musicales sur une radio de Lomé, Aimé Ekpé est le Directeur de Publication du journal « l’Equipe Sportive » et correspondant sur place pour le desk Sports de BBC Afrique.
L’Observatoire Togolais des Médias est une instance d’autorégulation et un tribunal des paires créé il y a 17 ans par les associations des journalistes d’alors. Il s’est doté d’un Code de déontologie des journalistes du Togo qu’il défend. Il œuvre pour la confraternité et procède au monitoring des journaux et d’autres médias. Mais le nouveau paysage médiatique et syndical en appelle à des réformes pour aboutir à un observatoire plus inclusif ouvert aux nouvelles organisations de la presse. Le Temps
Togo :: Les jeunes entrepreneurs et les contours du label 'Made in Togo'
S'il est facile de se lever un petit
matin et donner le nom de Made in Togo, cela n'est pas possible pour
des jeunes entrepreneurs qui veulent avoir un label "Made in Togo" pour
différencier leurs produits. C'est ce que le promoteur de la première
édition de la Foire Made in Togo et les siens ont fait comprendre aux
exposants jeudi à travers une conférence débat.
« Nombreux sont-ils à exposer depuis le
22 juillet à la Foire Made in Togo au CETEF Togo mais peu seulement
savent que pour avoir des labels made in Togo il faut observer un
certain nombre de démarches. Nous avons voulu ce matin montrer à nos
jeunes entrepreneurs que pour arriver à s'imposer sur le marché
international voire national il faut obligatoirement observer des normes
mises en vigueur », a expliqué Johnson Kuéku-Banka.
A l'occasion des experts nationaux en
matière de la labellisation des produits togolais sont venus entretenus
les créateurs togolais. Selon les conférenciers avant d'avoir un label
made in Togo, apte à être incontournable sur le marché international, il
faut que des normes soient respectées.
Au terme de leurs présentations, il a
été facile de comprendre que pour s'imposer sur le marché extérieur, le
produit fabriqué doit respecter les normes de qualité, d'emballage et
des normes scientifiques entre autres.
"Il ne peut y avoir de productions
concurrentielles qui ne respectent pas les normes standards
préétablies", ont maintes fois lancé les conférenciers au rang desquels
le Conseil Boukari Loukoumanou, Conseil en propriété industrielle qui en
dehors de cette conclusion trouve la question de la labellisation des
produits togolais doit être plus une préoccupation du gouvernement.
Dans sa communication sur le concept du
label made in Togo, M. Boukari allègue que c'est plutôt l'Etat qui
devrait en principe susciter chez les Togolais cette envie et non une
simple entité comme le CETEF Togo.
Du côté des participants, le message est
bien passé et des dispositions pour être dans ces conditions vont
commencer à être réunies bientôt.
" Je comprends maintenant pour avoir du
poids sur le marché international il respecter un certain nombre de
normes. Et je peux vous assurer déjà que nous n'allons plus tarder à
nous mettre dans le bain", a indiqué un des participants.
Pour rappel, parallèlement au désir de
faire valoir les produits togolais à l'étranger, il vient d'être mis sur
pied une Centrale d'achat et de vente des productions locales.
Intitulée CAJENT, cette centrale a été présentée mardi au public de la
Foire Made in Togo qui continue par battre son plein au CETEF Togo
jusqu' au 02 août prochain. Togo breaking news
Togo :: Vers des mouvements dans les Universités, Nicoué Broohm supprime l’aide aux étudiants
Plus de la moitié des étudiants des
Universités du Togo sera prochainement privée des allocations de secours
de l’Etat aux étudiants. Pour cause, il n’y aura plus ces allocations
de secours pour les étudiants. Une nouvelle réforme de la politique de
bourses décidée par le ministère de l’enseignement supérieur supprime
les aides et ne retient que les bourses et ce sur le critère
d’excellence. Une réforme qui passera difficilement au niveau des
mouvements estudiantins.
En effet, le ministre de l’enseignement
supérieur et de la recherche, Octave Nicoué Broohm a décidé de mettre en
place un système adéquat d’assistance financière de l’Etat à
l’étudiant. Et pour cet enseignant des Universités du Togo, ce système
doit mettre l’accent sur l’excellence.
Ainsi, désormais, les étudiants pouvant
souscrire à la bourse devront avoir une moyenne supérieur ou égale à
12/20 pour prétendre à l’assistance financière de l’Etat. Et quand à
l’âge, il est limité à 22 ans pour ceux qui obtiennent le Baccalauréat.
Bonne nouvelle toute de même pour les
étudiants, le gouvernement entend créer un fonds d’appui aux études
supérieur (FAES) et la possibilité de prêt étudiant aux étudiants qui en
font la demande.
« Il s'agira de mettre en place une
structure qui, outre le soutien de l'Etat, combine d'autres sources de
revenus afin de mieux répondre aux attentes des jeunes togolais et à
leur permettre de mener à terme leur parcours de formation », a déclaré
Nicoué Broohm.
Pour le ministre, l’Etat compte adopter
ces mesures pour permettre aux étudiants de poursuivre leurs études dans
de meilleures conditions.
Si la mesure est adoptée en Conseil des
Ministres avant la rentrée universitaire prochaine, elle devra être
effective et il n’est pas sûr que les étudiants avalent facilement cette
pilule.
En effet si le gouvernement est imbu par
le souci d’excellence dans l’enseignement supérieur, il ne devrait pas
ignorer plusieurs réalités qui concourent à l’excellence dans les
études. Le social, les conditions d’étude, la pauvreté ambiante dans les
milieux ruraux, etc. ne sont pas des facteurs qui permettent aux fils
de pauvres d’exceller dans les études. Togo breaking News
Thursday, July 28, 2016
La diaspora togolaise ne veut pas se laisser compter l’émergence du Togo
Le Togo et ses 7 millions d’habitants
enregistrent un taux de croissance de 2,8% par an avec un PIB actuel de
5,5% qui devrait atteindre 5,9% en 2016. Estimée à 2 millions de
personnes, dont les 2/3 se trouvaient en Afrique, la diaspora togolaise
joue un rôle important dans les efforts de développement économique,
social et culturel du Togo.
C’est dans ce sens que les travaux du 1er forum socio-économique de la diaspora togolaise (FOSED) dénommé « Kpekpe-Togo 2016 » et placé sous le thème : « la diaspora, le levier d’un Togo émergent», ont démarrés ce mercredi à Lomé, couplé des Journées portes ouvertes sur l’administration publique, a constaté un reporter de l’Agence de presse Afreepress.
Cette initiative du FOSED, une plateforme panafricaine de promotion et de valorisation des contributions diasporiques au profit des pays d’origine en collaboration avec l’ONG Visions Solidaires (VS), a pour ambition de jeter les bases d’un cadre innovant de dialogue et d’échanges permanents entre la diaspora et les acteurs privés et publics.
Pendant cinq (5) jours, les participants mettront en exergue leurs besoins et leurs demandes, leurs potentiels et leurs offres, pour créer et promouvoir des conditions favorables à la pleine participation de la diaspora togolaise au développement socio-économique de la « mère-patrie ».
« Une personne de la diaspora aujourd’hui, d’après nos travaux, est potentiellement en lien avec 30 personnes dans son pays d’origine. Ceci est valable aussi bien pour la diaspora togolaise que pour toutes les diasporas. La diaspora est donc un acteur en puissance d’une part compte tenu des fonds que nous envoyons à nos parents au Togo mais aussi pour la capacité des frères de la diplomatie économique, pour la capacité d’aider au développement, en investissant, en aidant les autres à venir investir au Togo », a déclaré Kag Sanoussi, président de l’Institut international de gestion des conflits (IIGC).
A travers le projet « Kpekpe-Togo », le FOSED ambitionne de lancer le chantier qui permettra d’établir ce cadre tant attendu d’échanges et de partenariat entre les acteurs socio-économiques et politiques du Togo et leur diaspora, afin que cette dernière devienne un des leviers importants de l’émergence du Togo sur tous les plans.
Ouvrant les hostilités, l’Administrateur délégué du FOSED, Antoine Gbékobu a laissé entendre que l’attachement de la diaspora au Togo est incontestable.
« Si le gouvernement continue la mise en place de structures favorisant l’investissement, l’éclosion des talents, la participation politique et l’intégration harmonieuse de tous les fils et filles vivant à l’intérieur et à l’extérieur du pays, nous devons arrêter de labourer le vide dans des disputes de chapelles stériles, dans des antagonismes improductifs et dans des discussions inutiles. Il est grand temps qu’on comprenne que nous sommes les seuls capitaines de notre réussite et les seuls ingénieurs de la construction de ce nouvel édifice national dont nous rêvons », a-t-il ajouté. Afreepress
C’est dans ce sens que les travaux du 1er forum socio-économique de la diaspora togolaise (FOSED) dénommé « Kpekpe-Togo 2016 » et placé sous le thème : « la diaspora, le levier d’un Togo émergent», ont démarrés ce mercredi à Lomé, couplé des Journées portes ouvertes sur l’administration publique, a constaté un reporter de l’Agence de presse Afreepress.
Cette initiative du FOSED, une plateforme panafricaine de promotion et de valorisation des contributions diasporiques au profit des pays d’origine en collaboration avec l’ONG Visions Solidaires (VS), a pour ambition de jeter les bases d’un cadre innovant de dialogue et d’échanges permanents entre la diaspora et les acteurs privés et publics.
Pendant cinq (5) jours, les participants mettront en exergue leurs besoins et leurs demandes, leurs potentiels et leurs offres, pour créer et promouvoir des conditions favorables à la pleine participation de la diaspora togolaise au développement socio-économique de la « mère-patrie ».
« Une personne de la diaspora aujourd’hui, d’après nos travaux, est potentiellement en lien avec 30 personnes dans son pays d’origine. Ceci est valable aussi bien pour la diaspora togolaise que pour toutes les diasporas. La diaspora est donc un acteur en puissance d’une part compte tenu des fonds que nous envoyons à nos parents au Togo mais aussi pour la capacité des frères de la diplomatie économique, pour la capacité d’aider au développement, en investissant, en aidant les autres à venir investir au Togo », a déclaré Kag Sanoussi, président de l’Institut international de gestion des conflits (IIGC).
A travers le projet « Kpekpe-Togo », le FOSED ambitionne de lancer le chantier qui permettra d’établir ce cadre tant attendu d’échanges et de partenariat entre les acteurs socio-économiques et politiques du Togo et leur diaspora, afin que cette dernière devienne un des leviers importants de l’émergence du Togo sur tous les plans.
Ouvrant les hostilités, l’Administrateur délégué du FOSED, Antoine Gbékobu a laissé entendre que l’attachement de la diaspora au Togo est incontestable.
« Si le gouvernement continue la mise en place de structures favorisant l’investissement, l’éclosion des talents, la participation politique et l’intégration harmonieuse de tous les fils et filles vivant à l’intérieur et à l’extérieur du pays, nous devons arrêter de labourer le vide dans des disputes de chapelles stériles, dans des antagonismes improductifs et dans des discussions inutiles. Il est grand temps qu’on comprenne que nous sommes les seuls capitaines de notre réussite et les seuls ingénieurs de la construction de ce nouvel édifice national dont nous rêvons », a-t-il ajouté. Afreepress
Les miracles du FNFI, c'est la fierté du ministre Victoire Tomegah-Dogbé
Mme Victoire Tomégah-Dogbé, ministre du Développement à la Base
Le FNFI se compose de trois importants
produits, à savoir l’Accès des Pauvres aux Services Financiers (APSEF)
qui est d’une valeur de 30.000 F pour le premier cycle, 40.000 F pour le
second et 50.000 F pour les deux derniers cycles, de l’Accès des
Agriculteurs aux Services Financiers (AGRISEF), un produit d’une valeur
de 100.000 FCFA par cycle et Accès des Jeunes aux Services Financiers.
Un service qui peut atteindre les 300.000 F.CFA de prêt, apprend-on de
cette sortie médiatique.
A eux trois cumulés, ces produits
financiers ont profité à près de 800 mille bénéficiaires avec un taux de
remboursement atteignant les 90 %, se félicite Mme Victoire
Tomegah-Dogbé dans cette interview. « Le FNFI est la réponse du
Gouvernement, sur les instructions du Chef de l’Etat, à l’exclusion
financière qui touche une partie importante de la population togolaise
et notamment les plus pauvres. Comme vous le savez, moins de 30% de la
population togolaise avait accès aux services financiers de base. Il
s’agissait donc pour les pouvoirs publics de faire tomber la barrière
invisible qui empêche certains de nos compatriotes d’accéder aux crédits
pour lancer ou relancer leurs activités génératrices de revenus »,
s’est-elle expliqué dans cette interview.
Satisfaction et fierté, voilà les
sentiments qui se dégagent tout au long de cette interview de Mme
Victoire Tomégah-Dogbé. Après un peu plus de deux ans d’exercice, c’est
plus de 10 milliards de FCFA qui ont été mobilisés par le FNFI auprès
des institutions partenaires du Togo pour mener une lutte « acharnée »
contre l’extrême pauvreté dans le pays, surtout dans les localités de
l’intérieur.
L’exemple le plus significatif,
soutient-elle, est l’engouement que connaît le produit AGRISEF auprès
des bénéficiaires. « Le Produit AGRISEF, Accès des Agriculteurs aux
Services Financiers (Produit de 100.000 FCFA par cycle) a, en un peu
plus d’un an de mise en œuvre, permis à plus de 132.000 agriculteurs (50
% femmes et 50 % hommes) d’acquérir des intrants agricoles, engrais,
semences, de la main d’œuvre pour améliorer la pratique de l’agriculture
et ainsi améliorer leur productivité et production. Les paysans sont
très demandeurs de ce produit et il faut saluer la bonne synergie entre
le Ministère du Développement à la Base, le Ministère de l’Agriculture
et tous les services techniques d’appui pour la bonne mise en place de
ce produit sur le terrain par les Institutions de Microfinance »,
indique l’interviewée.
Quant aux perspectives, elles sont
« très bonnes », fait-elle noter. « Nous avons réussi l’enjeu de
l'opérationnalisation et maintenant nous devons gagner le pari de la
pérennisation des effets dans la vie des populations. Grâce à ce
partenariat technique et la mise en place de produits dédiés à chaque
catégorie, l’objectif d’inclusion financière est plus que jamais
atteignable. Ce qui est sûr, c’est que tous les instruments techniques
sont en place », confie-t-elle au journal Focus info.
Elle n’a pas manqué de « féliciter les
bénéficiaires » pour leur sens élevé de la responsabilité ce qui a
permis d’avoir un taux de remboursement bien supérieur aux attentes.
« Plus de 90% des crédits accordés par les partenaires du FNFI sont
remboursés. Si je prends la région des Savanes, par exemple, (qui
concentre les zones d’extrême pauvreté) les taux de remboursement
avoisinent les 100%. Enfin, d’un point de vue territorial, les actions
du FNFI ont permis à ce jour de toucher au moins 85 % des villages et
une stratégie est actuellement en cours d’élaboration pour que 100 % des
villages du Togo soient touchés », révèle-t-elle.
Il sera organisé avant la fin de l’année
en cours une revue à mi-parcours du FNFI, pour revisiter le schéma
directeur et discuter des mécanismes à mettre en place afin d’améliorer
la qualité des services. « Nous comptons aussi renforcer la
communication autour des remboursements et mettre l’accent sur les
localités jusqu’ici non encore touchées par le FNFI », affirme-t-elle
dans cet entretien.
A.Y.
Afreepress
Wednesday, July 27, 2016
Les rapports d’activités du PURISE bientôt remis à la Banque mondiale
Lancé en 2009 par la signature de l’accord de don initial et démarré effectivement en 2011, le Projet d’urgence de réhabilitation des infrastructures et des services électriques (PURISE) fait son bilan.
Ouverts ce lundi par le ministre de l’Urbanisme, de l’habitat et du cadre de vie, Me Kwadzo Fiatuwo Sessénou, en présence de la Représentante résidente de la Banque mondiale au Togo, Joëlle Businger, ces travaux de deux (2) jours vont permettre aux participants de se mettre d’accord sur les trois (3) rapports d’activités qui leur seront présentés, permettant notamment de jauger la performance du projet.
Améliorer l’accès des populations bénéficiaires aux infrastructures de base à travers l’assainissement, la voirie urbaine, l’eau potable, l’installation du réseau électrique et l’efficacité énergétique, tels sont les objectifs que s'est fixés le PURISE.
Ainsi, en matière de réhabilitation des infrastructures, le PURISE a permis de faire le curage de 120 km de caniveaux, la réhabilitation de 39 km de caniveaux, la réhabilitation de 5 bassins de rétention d’eau, la construction d’un centre pour sinistrés de catastrophes naturelles, la réhabilitation de plus de 18,5 km de voies primaires, la construction de 16 forages d’eau, la réhabilitation de 25 postes transformateurs électriques, la distribution de plus de 400 000 lampes fluorescentes compactes FLC et le raccordement de près de 13.000 foyers au réseau électrique de la Compagnie énergie électrique du Togo (CEET).
On compte parmi les points forts dudit projet, l’implication totale des riverains dans la mise en œuvre des activités, le relocation des commerçants occupant les emprises des ouvrages réalisés, le renforcement des capacités des acteurs impliqués et l’intégration de la dimension environnementale dans la mise en œuvre des actions.
Joëlle Businger a de son côté insisté sur les performances de ce projet. « C’est un projet jugé assez satisfaisant parce qu’on a été au-delà des objectifs fixés au début du projet, on a touché plus de communautés que prévu et eu plus d’infrastructures que prévu. La Banque mondiale n’a pas encore reçu les rapports du gouvernement sur les résultats du projet en termes d’objectifs, c’est-à-dire le nombre de bénéficiaires du projet. Une fois que ce sera fait, nous allons donner une note sur la performance qui joue aussi sur le financement futur de la Banque », a-t-elle déclaré.
Au nombre de trois (3), les rapports produits par les consultants seront fondus en un seul document qui sera transmis à la Banque mondiale.
Le PURISE est un projet du gouvernement togolais financé par la Banque mondiale et le Fonds pour l’environnement mondial (FEM) à hauteur de 41,82 millions de dollars, soit environ 20 milliards de francs CFA.
Telli K.
Ouverts ce lundi par le ministre de l’Urbanisme, de l’habitat et du cadre de vie, Me Kwadzo Fiatuwo Sessénou, en présence de la Représentante résidente de la Banque mondiale au Togo, Joëlle Businger, ces travaux de deux (2) jours vont permettre aux participants de se mettre d’accord sur les trois (3) rapports d’activités qui leur seront présentés, permettant notamment de jauger la performance du projet.
Améliorer l’accès des populations bénéficiaires aux infrastructures de base à travers l’assainissement, la voirie urbaine, l’eau potable, l’installation du réseau électrique et l’efficacité énergétique, tels sont les objectifs que s'est fixés le PURISE.
Ainsi, en matière de réhabilitation des infrastructures, le PURISE a permis de faire le curage de 120 km de caniveaux, la réhabilitation de 39 km de caniveaux, la réhabilitation de 5 bassins de rétention d’eau, la construction d’un centre pour sinistrés de catastrophes naturelles, la réhabilitation de plus de 18,5 km de voies primaires, la construction de 16 forages d’eau, la réhabilitation de 25 postes transformateurs électriques, la distribution de plus de 400 000 lampes fluorescentes compactes FLC et le raccordement de près de 13.000 foyers au réseau électrique de la Compagnie énergie électrique du Togo (CEET).
On compte parmi les points forts dudit projet, l’implication totale des riverains dans la mise en œuvre des activités, le relocation des commerçants occupant les emprises des ouvrages réalisés, le renforcement des capacités des acteurs impliqués et l’intégration de la dimension environnementale dans la mise en œuvre des actions.
Joëlle Businger a de son côté insisté sur les performances de ce projet. « C’est un projet jugé assez satisfaisant parce qu’on a été au-delà des objectifs fixés au début du projet, on a touché plus de communautés que prévu et eu plus d’infrastructures que prévu. La Banque mondiale n’a pas encore reçu les rapports du gouvernement sur les résultats du projet en termes d’objectifs, c’est-à-dire le nombre de bénéficiaires du projet. Une fois que ce sera fait, nous allons donner une note sur la performance qui joue aussi sur le financement futur de la Banque », a-t-elle déclaré.
Au nombre de trois (3), les rapports produits par les consultants seront fondus en un seul document qui sera transmis à la Banque mondiale.
Le PURISE est un projet du gouvernement togolais financé par la Banque mondiale et le Fonds pour l’environnement mondial (FEM) à hauteur de 41,82 millions de dollars, soit environ 20 milliards de francs CFA.
Telli K.
Tuesday, July 26, 2016
Incendies des grands marchés : Le principal accusé sous le coup de sévères tortures
Mohamed
Loum alias Toussaint Tomety, le principal présumé auteur des incendies
des grands marchés fait l'objet d'une décente aux enfers à la prison
civile de Kara. Les informations font état de ce qu’il est torturé, roué
de coups sur la tête. Il serait actuellement menotté et placé en
isolement.
Selon le quotidien Liberté, des témoignages ont révélé que Mohamed est victime de permanentes agressions dont la dernière date est celle du 23 juillet 2016 à la tombée de la nuit. Le prévenu serait alors roué de coups surtout au niveau de la tête par des codétenus dont un gendarme, lui aussi en détention.
« On lui demande de collaborer, mais personne ne lui dit la collaboration dont il est question. Certains responsables de ladite prison lui promettent l’enfer », rapporte le journal qui poursuit en signalant que l’avocat du détenu a été alerté de la situation, mais Loum a quand même été menotté jeté au trou (en isolement).
L’information a été reprise et confirmée sur les ondes de la radio Victoire Fm, mais là, avec emphase sur le rôle des agents pénitentiaires dans cette escapade de torture sur un accusé clé dans le dossier des incendies.
La chaîne, à son tour, a révélé ce matin que Mohamed Loum réclamerait bruyamment sa remise en liberté au point de gêner ses codétenus d’où la nécessité de le mettre à l’écart.
Depuis 3 ans, faut-il le rappeler, le dossier sur les incendies des grands marchés de Lomé et de Kara traîne lourdement dans les casiers de la justice.
Certains prévenus dans cette affaire y ont laissé leurs vies et d’autres à l’instar de Mohamed Loum vivent des jours sombres en détention, pendant que la société togolaise, en l'occurrence les victimes des incendies meurent d’envie de découvrir les criminels qui, par deux nuits de janvier 2013, ont réduits des milliards de l’économie en cendres. icilome
Selon le quotidien Liberté, des témoignages ont révélé que Mohamed est victime de permanentes agressions dont la dernière date est celle du 23 juillet 2016 à la tombée de la nuit. Le prévenu serait alors roué de coups surtout au niveau de la tête par des codétenus dont un gendarme, lui aussi en détention.
« On lui demande de collaborer, mais personne ne lui dit la collaboration dont il est question. Certains responsables de ladite prison lui promettent l’enfer », rapporte le journal qui poursuit en signalant que l’avocat du détenu a été alerté de la situation, mais Loum a quand même été menotté jeté au trou (en isolement).
L’information a été reprise et confirmée sur les ondes de la radio Victoire Fm, mais là, avec emphase sur le rôle des agents pénitentiaires dans cette escapade de torture sur un accusé clé dans le dossier des incendies.
La chaîne, à son tour, a révélé ce matin que Mohamed Loum réclamerait bruyamment sa remise en liberté au point de gêner ses codétenus d’où la nécessité de le mettre à l’écart.
Depuis 3 ans, faut-il le rappeler, le dossier sur les incendies des grands marchés de Lomé et de Kara traîne lourdement dans les casiers de la justice.
Certains prévenus dans cette affaire y ont laissé leurs vies et d’autres à l’instar de Mohamed Loum vivent des jours sombres en détention, pendant que la société togolaise, en l'occurrence les victimes des incendies meurent d’envie de découvrir les criminels qui, par deux nuits de janvier 2013, ont réduits des milliards de l’économie en cendres. icilome
Incendies des grands marchés : Le principal accusé sous le coup de sévères tortures
Mohamed
Loum alias Toussaint Tomety, le principal présumé auteur des incendies
des grands marchés fait l'objet d'une décente aux enfers à la prison
civile de Kara. Les informations font état de ce qu’il est torturé, roué
de coups sur la tête. Il serait actuellement menotté et placé en
isolement.
Selon le quotidien Liberté, des témoignages ont révélé que Mohamed est victime de permanentes agressions dont la dernière date est celle du 23 juillet 2016 à la tombée de la nuit. Le prévenu serait alors roué de coups surtout au niveau de la tête par des codétenus dont un gendarme, lui aussi en détention.
« On lui demande de collaborer, mais personne ne lui dit la collaboration dont il est question. Certains responsables de ladite prison lui promettent l’enfer », rapporte le journal qui poursuit en signalant que l’avocat du détenu a été alerté de la situation, mais Loum a quand même été menotté jeté au trou (en isolement).
L’information a été reprise et confirmée sur les ondes de la radio Victoire Fm, mais là, avec emphase sur le rôle des agents pénitentiaires dans cette escapade de torture sur un accusé clé dans le dossier des incendies.
La chaîne, à son tour, a révélé ce matin que Mohamed Loum réclamerait bruyamment sa remise en liberté au point de gêner ses codétenus d’où la nécessité de le mettre à l’écart.
Depuis 3 ans, faut-il le rappeler, le dossier sur les incendies des grands marchés de Lomé et de Kara traîne lourdement dans les casiers de la justice.
Certains prévenus dans cette affaire y ont laissé leurs vies et d’autres à l’instar de Mohamed Loum vivent des jours sombres en détention, pendant que la société togolaise, en l'occurrence les victimes des incendies meurent d’envie de découvrir les criminels qui, par deux nuits de janvier 2013, ont réduits des milliards de l’économie en cendres. icilome
Selon le quotidien Liberté, des témoignages ont révélé que Mohamed est victime de permanentes agressions dont la dernière date est celle du 23 juillet 2016 à la tombée de la nuit. Le prévenu serait alors roué de coups surtout au niveau de la tête par des codétenus dont un gendarme, lui aussi en détention.
« On lui demande de collaborer, mais personne ne lui dit la collaboration dont il est question. Certains responsables de ladite prison lui promettent l’enfer », rapporte le journal qui poursuit en signalant que l’avocat du détenu a été alerté de la situation, mais Loum a quand même été menotté jeté au trou (en isolement).
L’information a été reprise et confirmée sur les ondes de la radio Victoire Fm, mais là, avec emphase sur le rôle des agents pénitentiaires dans cette escapade de torture sur un accusé clé dans le dossier des incendies.
La chaîne, à son tour, a révélé ce matin que Mohamed Loum réclamerait bruyamment sa remise en liberté au point de gêner ses codétenus d’où la nécessité de le mettre à l’écart.
Depuis 3 ans, faut-il le rappeler, le dossier sur les incendies des grands marchés de Lomé et de Kara traîne lourdement dans les casiers de la justice.
Certains prévenus dans cette affaire y ont laissé leurs vies et d’autres à l’instar de Mohamed Loum vivent des jours sombres en détention, pendant que la société togolaise, en l'occurrence les victimes des incendies meurent d’envie de découvrir les criminels qui, par deux nuits de janvier 2013, ont réduits des milliards de l’économie en cendres. icilome
Foire Made in Togo: lever du rideau ce lundi
Le Centre Togolais des Expositions et Foires de Lomé (CETEF) est depuis ce 22 juillet, le pôle d’attraction des génies créateurs togolais. Démarrée calmement le 22 juillet 2016, la première édition de la « Foire Made in Togo », a pris son envol officiel ce 25 juillet. Il s’agit d’un carrefour d’exposition, de rencontre, d’échange entre tous les togolais animés par l’esprit de créativité et qui proposent des produits, services ou des innovations technologiques purement togolais.
En somme, 87 exposants venus de tous les
coins du Togo exposent sur une superficie de 1350 m2. Plusieurs
services et produits qui relèvent de l’agriculture, de
l’agroalimentaire, de l’ameublement, du dessin, de la pharmacopée
traditionnelle, du secteur de la zone franche… sont mis en exergues,
afin d’attirer l’attention du public et l’inviter à consommer Togolais.
Initiée par le CETEF , la Foire Made In Togo, vise principalement à « promouvoir
les produits, services et innovations d’origine togolaise afin
d’encourager leur consommation; et aussi être une vitrine du génie
créateur des jeunes entrepreneurs togolais », a déclaré Kuékou-Banka Johnson directeur du CETEF-Lomé, lors de la cérémonie d’ouverture.
La ministre du commerce et de la
promotion du secteur privé, Bernadette Legzim-Balouki, à l’issue de la
coupure du Ruben symbolique et de la visite des 87 stands d’expositions,
se dit « satisfaite, car les jeunes entrepreneurs togolais ont répondus nombreux et espère une suite favorables pour les exposants .»
Full News
Discours de Mme la ministre du Commerce, de l’Industrie, de la Promotion du secteur privé et du Tourisme, à l’occasion de l’ouverture officielle de la «Foire Made in Togo»
• Mesdames et Messieurs les Présidents des Institutions de la République,
• Mesdames, Messieurs les Membres du Gouvernement,
• Honorables Députés à l’Assemblée Nationale,
• Excellence Mesdames, Messieurs les Membres du Corps Diplomatique, Consulaire et les Représentants des Organisations Internationales,
• Monsieur le Préfet du Golfe,
• Monsieur le Président de la Délégation Spéciale de la Commune de Lomé,
• Vénérés Chefs traditionnels,
• Honorables Autorités Religieuses, Administratives et Politiques,
• Monsieur le Président de la Chambre de Commerce et d’Industrie du Togo,
• Monsieur le Président du Conseil National du Patronat du Togo,
• Monsieur le Président des Grandes Entreprises du Togo,
• Mesdames et Messieurs les Directeurs Généraux, Directeurs des Sociétés,
• Mesdames et Messieurs les Directeurs et Chefs de Service,
• Mesdames et Messieurs les Exposants,
• Distingués invités,
• Chers Amis de la Presse et des Médias,
• Mesdames et Messieurs.
C’est pour moi un réel plaisir et un honneur de présider cette cérémonie d’ouverture de la première édition de la foire Made In Togo et de vous souhaiter à mon tour la cordiale bienvenue à cette nouvelle manifestation commerciale.
Mesdames et Messieurs,
Nous voici arrivés à ce jour solennel d’ouverture de cette première édition, événement tant attendu depuis longtemps par les opérateurs économiques qui ont choisi de travailler pour la production des biens et services avec des matières premières locales.
Cette manifestation constitue un des moyens de faire rayonner l’image des produits de nos opérateurs économiques qui ne cessent d’innover dans ce secteur, de faire connaître le fruit de leur talent créateur au grand public et de stimuler leur consommation au niveau national, régional et international.
C’est pourquoi, je saisis cette occasion solennelle pour vous remercier, chers opérateurs économiques, d’avoir accepté répondre à notre appel, en décidant de participer si nombreux à la toute première édition de la Foire Made in Togo. Ce label Made in Togo présente un intérêt car il permet le développement de l’économie nationale.
Par votre mobilisation, vous démontrez ainsi au Gouvernement votre capacité et votre entière disponibilité à contribuer pleinement à la croissance et au développement économique de notre chère nation.
Mesdames et Messieurs les opérateurs économiques,
Chers exposants,
Vous allez passer de bons moments sur ce site devenu à jamais le haut lieu de la promotion et de l’épanouissement des affaires dans notre pays et dans la sous-région pour faire mieux connaitre vos produits et de réaliser de très bonnes affaires.
A cet égard, je voudrais vous assurer que le Gouvernement, sous la houlette de Son Excellence Monsieur Faure Essozimna GNASSINGBE, Président de la République, ne ménagera aucun effort pour vous apporter, comme il n’a jamais cessé de le faire, l’appui et le soutien nécessaire pour la promotion de vos activités.
C’est pourquoi, je vous invite à suivre avec beaucoup d’attention les différents thèmes des panels et conférences organisés en marge de cette foire afin de mieux appréhender le concept du label Made in Togo, les contraintes et les avantages liés à son utilisation, les différentes mesures prises par le gouvernement pour faciliter l’environnement des affaires.
Ces différents programmes ont été élaborés pour permettre également un partage d’expériences dans la réalisation et la gestion d’une entreprise.
Je ne saurais terminer mon propos sans remercier à mon tour tous ceux qui ont cru en ce projet qui est à sa première édition et en apportant au Centre Togolais des Expositions et Foires de Lomé leur modeste contribution pour sa réussite. Je citerai particulièrement :
- MOOV-TOGO ;
- l’Union Togolaise de Banque ;
- La Société Amina ;
- et la Brasserie BB LOME.
Mes encouragements vont à tous ceux qui vont œuvrer, durant cette période, pour la réussite de cette foire.
Il s’agit bien des forces de sécurité, des médias, les hôtesses d’accueil et surtout le personnel du CETEF à qui il revient d’assurer la parfaite coordination afin que cette foire puisse tenir toutes ses promesses.
Je vous invite par ailleurs à visiter tous les stands et surtout celui du Ministère de l’Agriculture, de l’Elevage et de l’Hydraulique pour découvrir les nouvelles dispositions prises par le gouvernement pour la valorisation des ressources agricoles dans toutes les régions économiques du Togo et les différents programmes à exécuter dans le cadre de cette politique qui sont également de grandes opportunités et de grands champs d’actions à saisir.
En vous souhaitant pleins succès, je déclare officiellement ouverte la première édition de la Foire Made in Togo.
Je vous remercie pour votre aimable attention.
Lomé, le 25 juillet 2016
Togo :: Refus de visa à un sportif togolais : Internet se déchaîne contre le Consulat de France
L’information est « chaudement » commentée sur les réseaux sociaux et le consulat de France au Togo en prend pour son grade dans l’affaire. Selon les informations rendues publiques lundi, il est rapporté que le consulat de France aurait refusé le visa au cycliste togolais Abdoul Raouf Akanga, invité à se rendre en France pour un stage.
Selon l’entourage du champion du Togo en titre et grande révélation du dernier tour cycliste du Bénin, le Consulat de France aurait émis des doutes sur la fiabilité des informations communiquées par le sportif togolais et les conditions de son séjour en territoire français.
«Après ses problèmes mécaniques et la perte du maillot jaune au dernier tour cycliste du Bénin, deux Français, messieurs Francis Caselli (entraîneur du club Melinoi ) et Mathieu Daniel Wagner (propriétaire de la société vente des vélos WAGNER) se sont associés pour offrir à Abdoul Raouf Akanga un vélo de dernière génération et se sont engagés à offrir un stage de perfectionnement avec leur club du 01 juillet au 20 août 2016. Le stage serait l’occasion aussi pour Raouf (qui rêvait d'un exploit au prochain tour du Faso) de réceptionner solennellement son nouveau vélo et le tester », rapporte Noel Kokou Tadégnon, journaliste reporter pour Reuters.
Une occasion que ne pourra pas saisir
Abdoul Raouf Akanga par faute de visa. Le précieux document lui a été
refusé par le Consulat de France, ce que ne comprennent pas les mordus
du cyclisme togolais et les réseaux sociaux.
Nous y reviendrons.
A.Y.
Afreepress
Monday, July 25, 2016
Les Ambassadeurs togolais présentés au public à travers une marche olympique
Pour
faire connaitre au grand public les athlètes qui représenteront le pays
au mois d’août prochain lors des Jeux Olympiques de Rio 2016, le Comité
National Olympique du Togo a organisé hier dimanche à travers les
artères de la ville de Lomé à la faveur de ces derniers, une marche
olympique.
« L’objectif de cette marche c’est pour montrer à la population que le Togo participe à cette grande fête du sport mondial et international et que nous avons aussi des athlètes qui vont nous représenter. Nous avons 5. Le groupe des entraineurs partent le 27 et les membres du bureau et les invités vont partir le 03 de sorte que nous puissions assister à la cérémonie d’ouverture », c’est ce qu’a expliqué au terme de la marche, le secrétaire général du CNO Togo, Etienne Degboe.
Entre autres lieux sillonnés par cette marche dans laquelle se trouvaient les athlètes, il y a les feux tricolores de Kodjoviakopé, le boulevard du 13 janvier, le carrefour de la BPEC, Déwoèvikpanou, le Stade municipal de Lomé, le terrain de handball. Avaient été également au programme de cette manifestation, des matches d’exhibition de tennis, de handball, de volleyball et de basketball des jeunes.
Pour rappel, les athlètes qui représenteront le Togo à Rio, sont Pessé Prénam 100m (Dames), Dabla Kokou 200m, Claire Ayivon (aviron), Kpossi Rebecca (50 krawl), et Kpegba Emeric (50 krawl).
Les JO de Rio se déroulent du 5 au 21 Août prochain.
G.K
« L’objectif de cette marche c’est pour montrer à la population que le Togo participe à cette grande fête du sport mondial et international et que nous avons aussi des athlètes qui vont nous représenter. Nous avons 5. Le groupe des entraineurs partent le 27 et les membres du bureau et les invités vont partir le 03 de sorte que nous puissions assister à la cérémonie d’ouverture », c’est ce qu’a expliqué au terme de la marche, le secrétaire général du CNO Togo, Etienne Degboe.
Entre autres lieux sillonnés par cette marche dans laquelle se trouvaient les athlètes, il y a les feux tricolores de Kodjoviakopé, le boulevard du 13 janvier, le carrefour de la BPEC, Déwoèvikpanou, le Stade municipal de Lomé, le terrain de handball. Avaient été également au programme de cette manifestation, des matches d’exhibition de tennis, de handball, de volleyball et de basketball des jeunes.
Pour rappel, les athlètes qui représenteront le Togo à Rio, sont Pessé Prénam 100m (Dames), Dabla Kokou 200m, Claire Ayivon (aviron), Kpossi Rebecca (50 krawl), et Kpegba Emeric (50 krawl).
Les JO de Rio se déroulent du 5 au 21 Août prochain.
G.K
Sunday, July 24, 2016
Recrudescence des accidents de la route
ont rendus public jeudi les chiffres des accidents de circulation
constatés durant le premier semestre de l’année en cours.
Lors de leur présentation, les deux membres du gouvernement ont indiqué
que les services de police et de gendarmerie ont enregistré 3407 cas
d’accidents sur l’année en cours. Cela a occasionné 239 morts et 4116
blessés. En tout, 75,57% des accidents constatés ont été causés par des
engins à deux roues.
Le Colonel Yark Damehame de la Sécurité et son homologue Ninsao Gnofam
des Transports ont ensuite fait remarquer ces chiffres sont en hausse
par rapport à ceux du dernier semestre de l’année écoulée. Fin 2015, le
Togo enregistrait 2206 cas d’accidents dont 250 morts et près de 2600
blessés.
Pour les deux ministres, cette recrudescence des accidents de
circulation est due à plusieurs causes. Ils ont mentionné le non-respect
du code de la route par certains usagers, les excès de vitesse et le
refus du port de casque. Yark Damehame et Ninsao Gnofam ont par ailleurs
regretté que l’usage du téléphone au volant et les surcharges continuent
malgré les multiples interdictions.
Inquiet des chiffres présentés au public, le gouvernement togolais
compte intensifier les sensibilisations à l’endroit des usagers de la
route. « Nous allons, par exemple, encourager les conducteurs à avoir un
permis opérationnel. Une fois qu’ils maîtrisent le code de la route,
plusieurs choses peuvent être évitées », a déclaré le Colonel Yark
Damehame.
Koffi Zounnadjala, nouveau secrétaire général de FENET-Togo
Axés
sur le thème "renforcement de solidarité syndicale pour des emplois
décents et protection sociale dans le secteur des services", le
séminaire panafricain des employés et le congrès statutaire ordinaire de
la Fédération Nationale des Employés et Techniciens du Togo
(FENET-Togo) ont permis aux participants venus du Togo, de la
sous-région voire de l'occident de passer au peigne fin les différents
maux qui minent le monde syndical togolais.
Au terme des travaux, des
recommandations ont été formulées et des résolutions ont été prises pour
favoriser de meilleures conditions de travail aux employés. Le temps
fort de ces assises a été l'élection du nouveau bureau de la
FENET-Togo.
C'est un nouveau de 7 membres chapeauté par Le Camarade Koffi Zounnadjala comme Secrétaire Général avec un mandat de 4 ans.
La mise en place d'une nouvelle équipe
dirigeante de la FENET-Togo s'attend comme le début d’une nouvelle ère à
la Confédération syndicale des travailleurs du Togo (CSTT), à en croire
Koffi Zounnadjala.
" C'est un sentiment de satisfaction qui
m'anime au sortie de ce congrès plus particulièrement de mon élection
parce que vous n'êtes pas sans savoir que la CSTT a traversé une période
de trouble et il est maintenant question que nous ouvrions le banc pour
restructurer la série des congrès en vue de restructurer les structures
de base. Le FENET-Togo vient de sortir de cette ornière et nous
souhaiterions que dans les jours à venir toutes les autres fédérations
affiliées à la CSTT nous emboitent le pas", a laissé entendre le
Secrétaire Général.
Et comme on pourrait déjà l'imaginer
beaucoup de défis attendent la nouvelle équipe dirigeante de la
FENET-Togo. Sur ce, un plan d'actions, de concert avec les
congressistes, le bureau national a fait sortir au cours de la
rencontre, un plan d'actions bien musclé pouvant aider à continuer par
préserver les intérêts des travailleurs.
Cependant avant tout il importe selon le Secrétaire Général de la Fédération que tous les membres savent ce qui syndicalisme.
" Le syndicalisme ne se fait ni sur les
médias ni dans les rues, le syndicalisme se fait dans les entreprises
et dans les structures syndicales", a-t-il rappelé.
Saturday, July 23, 2016
Togo :: Trois audiences à l’Assemblée Nationale
Le Président de l’Assemblée Nationale Dama DRAMANI, a reçu en
audience trois personnalités, le jeudi 21 juillet 2016 au siège de
l’institution à Lomé.
Dama DRAMANI a d’abord conféré avec M. Antoine GBEKOBU, administrateur Délégué du Forum Socio Economique de la Diaspora (FOSED). Celui-ci est venu informer le Président de l’Assemblée Nationale de la tenue du Forum de la Diaspora la semaine prochaine.
En deuxième audience, Dama DRAMANI s’est entretenu avec Abdoulaye FALL, vice président de la Banque d’Investissement de la CEDEAO (BIDC). M. FALL est allé rendre une visite de courtoisie au Président de l’Assemblée Nationale.
En troisième, Le Président l’Assemblée Nationale a conféré avec M. Saturnin EPIE, nouveau représentant résident du Fonds des Nations-Unies pour la population au Togo (UNFPA). Cette visite au Président de l’Assemblée Nationale s’inscrit dans le cadre d’une prise de contact après sa prise de fonction il y a huit (08) mois. RADIO LOME
Dama DRAMANI a d’abord conféré avec M. Antoine GBEKOBU, administrateur Délégué du Forum Socio Economique de la Diaspora (FOSED). Celui-ci est venu informer le Président de l’Assemblée Nationale de la tenue du Forum de la Diaspora la semaine prochaine.
En deuxième audience, Dama DRAMANI s’est entretenu avec Abdoulaye FALL, vice président de la Banque d’Investissement de la CEDEAO (BIDC). M. FALL est allé rendre une visite de courtoisie au Président de l’Assemblée Nationale.
En troisième, Le Président l’Assemblée Nationale a conféré avec M. Saturnin EPIE, nouveau représentant résident du Fonds des Nations-Unies pour la population au Togo (UNFPA). Cette visite au Président de l’Assemblée Nationale s’inscrit dans le cadre d’une prise de contact après sa prise de fonction il y a huit (08) mois. RADIO LOME
Togo :: la Ferrari, la star (Yemi Alade) et le président (Faure Gnassingbé)
La photo que Yemi Alade, la star nigériane de la chanson, a postée
le 11 juillet sur son compte Facebook et où on la voit serrer la main de
Faure Gnassingbé, le chef de l’État, suscite un emballement médiatique
au Togo.
Le commentaire qui l’accompagne : « Merci beaucoup, Sir, and I am
still waiting for my #Ferrari ! », signifie-t-il que le président a
promis une voiture de luxe à la meilleure artiste féminine des MTV
Africa Music Awards alors que « des hôpitaux togolais manquent de
moyens ? » s’indignent les internautes les plus virulents.Le FAGACE tient la 8ème session du Conseil des gouverneurs ce vendredi à Lomé
Le Fonds africain de garantie de coopération économique (FAGACE) tient ce vendredi à Lomé la 8ème
session ordinaire du conseil des gouverneurs. Les travaux ont été
ouverts par le ministre togolais de l’Economie et des finances, Adji
Otèth Ayassor, président en exercice du Conseil des gouverneurs depuis
juin 2015.
C'est en présence des ministres de l’économie et des finances des quatorze (14) pays du FAGACE.
A cette session de Lomé,
d’importantes décisions relatives au fonctionnement, au développement
des activités et à l’avenir du Fonds seront prises, avec en toile de
fond le rapport que le Conseil d’administration du fonds a soumis au
Conseil des gouverneurs.
« Notre
réunion se tient au moment où la croissance économique de notre
continent est au ralenti, en raison de la baisse du prix des matières
premières, notamment du pétrole, et du ralentissement de l’activité des
grandes économies partenaires de l’Afrique. En dépit de ce contexte
économique difficile et d’une situation sécuritaire préoccupante, en
2015, pour la deuxième année consécutive, la croissance économique a
dépassé 6 %, portée par les investissements dans les infrastructures,
une consommation privée vigoureuse et de bonnes performances agricoles
qui, hélas, pourraient être affectées par la sécheresse dans plusieurs
de nos pays, cette année », a déclaré le ministre.
En 2009, des actions
visant au redressement et à la relance des activités de l’Institution
ont été menées. Ce qui a conduit à l’augmentation du capital qui est
passé de 100 milliards à 350 milliards FCFA avec en 2016, un appel d’une
tranche du capital à hauteur de 22,953 milliards de FCFA pour permettre
la recapitalisation du Fonds, le développement progressif des
activités opérationnelles avec 13 projets avalisés à hauteur de 30, 724
Milliards en 2015 dans les domaines les télécommunications, l’industrie,
la micro finance, la manutention portuaire et l’hôtellerie.
On note aussi deux accords
de siège ont été signés par le Fonds avec la République du Cameroun et
la République du Rwanda en vue du renforcement de ses activités
opérationnelles en Afrique centrale et en Afrique de l’Est.
Néanmoins, beaucoup restent encore à faire, a insisté le ministre togolais.
Le FAGACE a pour mission,
de contribuer au développement économique et social des Etats membres en
facilitant le financement et la réalisation des projets de
développement à travers la garantie des prêts à moyen ou long terme
destinés au financement ou au refinancement d’investissements
productifs, la garantie des prêts à court terme visant à promouvoir le
commerce ou les productions locales, à renforcer les Institutions
financières ou internationales, notamment les Institutions de micro
finance (IMF), l’allègement des conditions d’emprunt par la bonification
du taux d’intérêt ou l’allongement de la durée de crédit, le
financement des projets de développement, la prise de participation dans
le capital social d’entreprises nationales ou régionales et la gestion
de fonds pour le compte de tiers.
Il comprend 14 pays africains à savoir
le Bénin, le Burkina Faso, le Cameroun, la Centrafrique, le Congo
Brazzaville, la Côte d’Ivoire, la Guinée Bissau, le Mali, la Mauritanie,
le Niger , le Rwanda, le Sénégal, le Tchad et le Togo.
Telli K.
Afreepress
Friday, July 22, 2016
Un Centre de jeu d’échecs ouvert à Lomé
Un centre d’initiation aux jeux d’échecs
est installé à Lomé. Objectif, inculquer le savoir aux jeunes,
autrement. Une initiative du Togolais Enyonam Sewa Fumey.
Selon le promoteur, le Centre “Chess-On
Chess-Up” devra permettre de contribuer à rendre meilleure la jeunesse
par le savoir, l’éducation et la culture en instaurant une atmosphère
conviviale et amicale pour apprendre et échanger. Des cours de jeu
d’échecs et d’informatique y seront donnés selon les explications
d’Enyonam Sewa Fumey, Secrétaire général de la Confédération africaine
des échecs et de la Fédération togolaise des échecs.
Le
Centre prévoit accueillir chaque semaine, un concours d’échecs blitz
chaque semaine, un concours d’échecs rapide chaque mois et une concours
classique chaque trimestre.
Au-delà de l’initiation et le
perfectionnement dans les jeux d’échecs, il est offert la possibilité de
suivre des cours d’Anglais, d’informatique et bien d’autres, à en
croire le promoteur.
Le Centre est situé à côté du nouveau
marché au cœur de Baguida, à une quinzaine de kilomètres de Lomé, la
capitale, non loin de l’immeuble dit “Batovi”,
Africa rdv
Le Togo émet ses premières obligations islamiques et vise la mobilisation de 150 milliards de FCFA
Après
le Côte d'Ivoire et le Sénégal, en Afrique de l'ouest, la république
togolaise a aussi procédé au lancement d'un sukuk (emprunt obligataire
compatible à la loi islamique), avec pour objectif de mobiliser 150
milliards de FCFA. Au total, ce sont 15 millions de titres d'une valeur
de 10 000 FCFA, qui sont proposés dans le cadre d'un appel d'offre qui
court depuis le 20 juillet et devrait rester ouvert jusqu'au 10 août
2016. L'offre est assortie d'un taux d'intérêt de 6,5% pour une maturité
qui ira jusqu'en 2026.
Le
principal arrangeur de l’opération est la Islamic Corporation for the
Development of the Private Sector, la branche de la Banque Islamique de
Développement en charge du secteur privé.
SGI
Africaine Bourse, filiale d'Attijariwafa Bank, Coris Bourse, Ecobank
Development Corporation, la Société de gestion et d’intermédiation du
Togo et BOA Capital Securities du groupe marocain BMCE Bank of Africa,
agiront comme co-chefs de file du syndicat de placement.
De
Tunis à Johannesburg, en Afrique du sud, la finance islamique et ses
différents produits séduisent les gouvernements africains, dont les
principaux responsables soulignent la souplesse des conditions. Malgré
sa progression importante, elle aura encore du chemin à faire,
cependant, pour atteindre les volumes des emprunts en dollars US et ceux
libellés en devises nationales effectués par les pays de la région.
(Agence Ecofin)
Lomé accueille la 2è édition du forum AfricTalents en octobre prochain
« AfricSearch organise la seconde
édition du forum AfricTalents Lomé les 21 et 22 octobre 2016 au centre
de conférence ETI. Une campagne de sélection des meilleurs candidats est
en cours afin de répondre au mieux aux attentes de nos partenaires
recruteurs », précise le communiqué.
En 2015 à la première édition de
AfricTalents, plus de 700 candidats y ont pris part avec notamment la
présence des grands groupes industriels, financiers et bancaires du Togo
dont Togocel, Boad, Sodigaz, Orabank, Total, Brasserie BB Lomé, BSIC,
Grant Thornton, Boa, CCT Batimat, GTA C2A, LCT etc.
« Vous êtes jeune diplômé ou cadre
expérimenté, vous êtes à l'écoute du marché et vous souhaitez donner un
nouvel élan à votre carrière, inscrivez vous dès à présent sur www.africtalents.com », conseillent les organisateurs du prochain forum aux potentiels candidats de la prochaine édition de AfricTalents.
Organisée annuellement par AfricSearch,
l'initiative est née d'une volonté de participer au développement du
continent africain. Premier cabinet de recrutement et de conseil en
ressources humaines pour l'Afrique, AfricSearch est créé par le togolais
Didier Acouetey. Depuis 1999, AfricTalents s'est distingué dans la
continuité naturelle d'identification des ressources humaines à la
recherche d'opportunités professionnelles sur le continent et des
entreprises en quête de futurs collaborateurs qualifiés.
« Vous cherchez le meilleur moyen de
rencontrer les hauts potentiels du Togo, d'Afrique et dans le monde,
contactez nos équipes au +228 22 20 21 04 ou via
africtalents-lome@africsearch.com. Nous nous ferons un plaisir de vous accompagner dans votre développement », promettent les organisateurs du forum.
AfricTalents c'est cinq (5) villes
européennes et africaines dont Paris, Dakar, Abidjan, Lomé et Douala.
C'est aussi des interventions de dirigeants et de Directeurs des
ressources humaines (DRH), des conférences d'experts liées à des thèmes
d'actualités en Afrique ou encore des ateliers animés par des coaches
expérimentés.
DBD
Thursday, July 21, 2016
OCE: le Collectif qui appelle les togolais à l’espoir s’annonce
Un nouveau Collectif d’artistes
togolais vient d’être mis en place par la structure Joker Group. Il
s’agit de faire de la musique un parfait canal pour d’autres fins, comme
inciter les jeunes à croire en leur potentiel et à l’avenir.
En effet, de tout temps, la musique est
perçue comme étant simplement une activité ludique tant au niveau des
artistes que des consommateurs. Alors qu’elle représente beaucoup plus.
Le collectif OCE est composé des
artistes comme : Kaporal Wisdom, Guen, Ozane, Daphne, Diana, Kang The
Dreamer, Kaleef, Doven’D, Yaovi Kheteti et Tom le Griot.
Les artistes du Collectif sont des messagers qui ont pour rôle de véhiculer des messages pour venir à bout d’un problème.
Le groupe « On Chante l’Espoir » vient
de sortir un premier single éponyme. Dans le morceau, les artistes
s’adressent plus aux personnes dépassées par les problèmes de la vie de
garder l’espoir que le lendemain sera meilleur.
Par le projet « On chante l’espoir », le
label Joker Groupe compte constituer un album qui stimule l’envie de se
battre des Jeunes togolais pour un avenir meilleur.
Le projet prévoit des concerts, des concours de poèmes, des débats et projection de film inédits.
Les structures comme DreamRecords et LiveYDream soutiennent également l’initiative.
Togo Breaking News
Togo :: Impunité : Bavures à répétition des forces de l’ordre
Au Togo, les forces de sécurité et de défense
sont passés maîtres de toutes sortes d’abus et de violences physiques et
morales envers la population civile. Ces abus restent naturellement
impunis comme bien d’autres crimes commis par les corps habillés dans ce
pays.
Un agent tire une grenade lacrymogène sur une voiture au PAL
Kagnikopé : Mardi, un agent des forces de l’ordre
prend cible une voiture personnelle à bord de laquelle se trouvaient un
homme, sa femme leur nouveau-né de 6 mois. L’agent tire sans sommation
une grenade lacrymogène sur la voiture dans la zone portuaire de Lomé.
La voiture « aurait été prise par erreur » pour un véhicule de
trafiquants d’essence frelatée « Boudé ».
Source : 27 avril
Un agent tire une grenade lacrymogène sur une voiture au PAL
Kagnikopé : Mardi, un agent des forces de l’ordre
prend cible une voiture personnelle à bord de laquelle se trouvaient un
homme, sa femme leur nouveau-né de 6 mois. L’agent tire sans sommation
une grenade lacrymogène sur la voiture dans la zone portuaire de Lomé.
La voiture « aurait été prise par erreur » pour un véhicule de
trafiquants d’essence frelatée « Boudé ».Un gendarme tire sur un jeune homme à Danyi
Danyi Todomé : Il y a deux semaines, un gendarme a tiré à bout portant sur un jeune homme de 28 ans. La raison, ce jeune se querellait avec son frère ! Il s’en sort un bras amoché malgré son bracelet-amulette « Faure Gnassingbé »Source : 27 avril
Wednesday, July 20, 2016
L’optimisme d’Awa Nana-Daboya pour les réformes institutionnelles
Les grandes assises nationales
d'échange et de partage et du Haut-Commissariat pour la Réconciliation
et le Renforcement de l'Unité Nationale (HCCRUN) sur les réformes
politiques et institutionnelles viennent de rentrer dans l'histoire. Du
11 au 15 juillet, acteurs politiques, cadres de la République, juristes,
magistrats, organisations de la société civile et experts nationaux et
internationaux entre autre ont eu à explorer des pistes devant conduire
à l'opération des réformes.
Tout calcul bien fait, cet atelier du
HCCRUN est le 23ème dialogue entre togolais en vue de parvenir à un
consensus pour aller vers un Etat démocratique de façon générale.
Cette fois-ci les initiateurs affirment
qu'ils se sont parvenus à de nombreux points de convergences pouvant
faire bouger très bientôt les lignes.
"Nous avons eu cinq jours de travaux
intenses et ce dont nous réjouissons c'est que nous nous sommes parvenus
à beaucoup de points convergents", a laissé entendre Awa Nana Daboya,
Présidente du HCRRUN lors de la conférence de presse de clôture.
Les points de convergence dont parle Mme
Nana-Daboya font état entre autres d'un reformatage du dispositif
parlementaire, de la nécessité de la consolidation de la place
républicaine non seulement de l'armée mais aussi toutes les forces de
défense et de sécurité et de la gestion des identités ethniques,
régionalistes et tribalistes.
Des avis convergents, il y en a eu aussi sur la limitation des mandats et le mode du scrutin après des échanges de 48 heures.
"La discussion sur la limitation du
mandat et le mode du scrutin nous a pris deux journées sur les cinq.
Sauf que comme tous les autres points cités plus haut, je ne peux pas
vous dire ici que la limitation du mandat est retenue ou pas de même
que si le mode de scrutin est défini; car le rôle de notre atelier n'est
pas de décider mais de proposer ou tout simplement de faire des
recommandations", a ajouté Madame la Présidente.
Tous ces points de vue identiques des
participants sont consignés dans un document de synthèse annexé au
rapport final de l'atelier qui va être remis au Chef de l'Etat dans les
jours à venir.
Et quand on a demandé à l'ex présidente
de la Commission Nationale Electorale de 1998, quelle garantie a-t-elle
que ces propositions seront prises en compte par le Président de la
République elle a laissé entendre que la garantie c'est le Chef de
l'Etat l'avait déléguée comme première responsable de HCCRUN.
"Je ne sais pas ce que vous appelez par
garantie mais ce que je peux vous dire c'est que la seule garantie que
j'ai que ces recommandations seront prises en compte, c'est la garantie
que le Chef de l'Etat a en me nommant Présidente du HCCRUN", a-t-elle
agencé.
Rappelons que les échanges se sont
déroulés en l'absence de l'ANC de Jean Pierre Fabre, du CDPA de Brigitte
Kafui Adjamagbo Johnson, du PRR de Nicolas Lawson et du PT d'Alberto
Olympio qui ont eu à démontrer que cet atelier était un atelier de
trop. Togo breaking News
Dama Dramani et Liu Yuxi échangent sur le nouveau palais de l’Assemblée nationale en construction
Les travaux de construction du nouveau
palais de l’Assemblée nationale togolaise, travaux confiés à la société
chinoise Yang Xu Nantong Group n°3 Construction Group Company Limited,
ont été au cœur des discussions ce mardi entre le Président de
l’Assemblée nationale, Dama Dramani et l’Ambassadeur de Chine au Togo,
Liu Yuxi.
Au sortir de l’entretien, le diplomate
chinois n’a pas clairement donné le contenu des discussions. Les
travaux prendront fin dans quelque vingt (20) mois. Ce nouveau siège de
l’Assemblée nationale va coûter une enveloppe de 12 milliards de francs
CFA.
Les deux (2) personnalités ont également fait cas des rapports entre le Togo et le géant chinois.
« Nous avons eu l’occasion de faire un
tour d’horizon de la coopération. Nos deux parties sont déterminées à
approfondir et à raffermir les relations de coopération dans tous les
domaines, y compris entre les deux assemblées nationales. Nous avons eu
l’occasion de parler du projet de construction du nouveau palais de
l’Assemblée du Togo », a indiqué M. Yuxi.
Telli K.
Afreepress
Monday, July 18, 2016
Togo-éducation : Le BAC 2016 sera proclamé ce mercredi
C’est par centaines que les candidats au Baccalauréat 2ème
partie ont fait le déplacement de leurs différents centres d’écrit ce
lundi à Lomé. Objectif, s’enquérir de leurs résultats. C’est en vain
qu’ils ont attendu.
Le ministère de l’Enseignement supérieur
et de la recherche, par un communiqué lu ce lundi à la télévision
nationale (TVT), informe les candidats que les résultats seront
proclamés ce mercredi sur toute l’étendue du territoire national.
Cependant, précise le communiqué, les résultats seront déjà disponibles par SMS ce mardi à partir de 18 heures.
Cette année, ils sont plus de 53.000 candidats à prendre part à cet examen qui ouvrent les portes de l’Université.
Telli K.
Afreepress
Togo : Une trentaine de professionnels des médias togolais aguerris en journalisme d’investigation
L’atelier sur le journalisme
d’investigation, une spécialité du journalisme qui consiste à mener des
recherches approfondies pour révéler des informations cachées au moyen
d’enquête, dans un temps relativement long, sur un sujet d’impact et
d’intérêt public, organisé du 11 au 15 juillet par l’Ambassade des
Etats-Unis au Togo à l’endroit d’une trentaine de journalistes togolais,
a pris fin ce vendredi avec la remise aux participants d’un certificat
de participation, a constaté l’Agence de presse Afreepress.
Afreepress
Mike Pryor (1er à gauche de
la photo), Directeur de la section des affaires publiques de l’Ambassade
des Etats-Unis au Togo, a dans son mot de clôture, invité les
récipiendaires à mettre en pratique les connaissances acquises dans les
colonnes des journaux et sur les antennes.
« Le journalisme d’investigation, ce
n’est pas nécessairement le fait d’exposer les délits comme la
corruption à un haut niveau. Cela peut commencer par ce qui se passe
dans votre communauté, le succès et les échecs d’un projet municipal,
avec ces possibles conséquences sur la société, c’est déjà le fruit
d’une bonne investigation. Le plus important, c’est que votre article ou
votre reportage soit issu d’un travail personnel ou collectif de
recoupement, des informations brutes, et de preuves avancées par
plusieurs sources, qu’elles soient anonymes ou affirmées », a-t-il
rappelé aux participants.
« Pourquoi des armes illicites circulent
autant alors que les autorités font de leur mieux pour faire respecter
la loi ? Pourquoi une école primaire ne dispose pas de cantine ou de
toilettes pour les élèves, alors que les frais de scolarité y sont
élevés ? Où va l’argent des taxes collectées ? Comment l’usage
incontrôlé des engrais chimiques dans l’agriculture agit-il sur la santé
de la population ? Comme le fonds d’aide local a boosté
l’entrepreneuriat des jeunes ? Comment expliquer qu’une route construite
avec des dizaines de milliards de francs s’effrite seulement trois mois
après, et cause des accidents ? Pourquoi un nombre anormalement élevé
de malades décèdent dans un hôpital donné sans que l’autorité ne
réagisse ? ». Voilà autant d’exemples que le collaborateur de David
Gilmour a touchés du doigt pour appeler les uns et les autres à leur
rôle.
Pendant cinq (5) jours, les journalistes
ont été initiés à la maîtrise de l’enquête journalistique, la collecte,
le traitement, l’analyse et la diffusion de l’information. C’est à
travers des communications sur l’investigation et ses techniques,
l’approche comparative de la loi sur la liberté d’accès à l’information
et à la documentation, le traitement des sources d’information et
l’utilisation du data journalisme.
A la fois théorique et pratique, cette
formation se situe dans le cadre des activités de promotion de l’Etat de
droit et d’accompagnement du professionnalisme dans les médias au Togo.
Elle a été assurée par Elizabeth Bryant (1ère
à droite de la photo), une journaliste américaine basée à Paris en
France et formatrice d’Africa Regional Services et Franck Ayawo Assah (2ème
à partir de la droite), Coordinateur du Programme africain pour les
reportages d’investigation (PAIR) et correspondant de Media Foundation
for West Africa au Togo.
L’Agence de presse Afreepress y a été représentée.
Telli K.
Afreepress
Sunday, July 17, 2016
Le Togo représenté à Busan par Emmanuel Agbenonwossi
Education à la citoyenneté mondiale et les dix-sept Objectifs de
développement durable (ODD). C’est le thème débattu depuis quelques
jours en résidence d’étude à l’Université de l’étude étrangère de Busan
en Corée du Sud par 10 jeunes africains dont le togolais Emmanuel Vitus
Agbenonwossi. L’initiative vient de l’UNESCO.
Plusieurs thèmes seront discutés par ces jeunes leaders rassemblés à Busan sous la houlette de l’UNESCO. Il s’agit notamment d’encourager le respect de tous, susciter un sentiment d'appartenance à une humanité commune et aider les apprenants à devenir des citoyens du monde, responsables et actifs…
Durant leurs résidences d’études, les jeunes leaders vont partager leur expérience et analyser les systèmes éducatifs de leurs pays respectifs face aux enjeux économiques de la mondialisation.
Les dix-sept Objectifs de développement durable (ODD) qui devraient permettre de construire le futur des 8,5 milliards d’habitants attendus sur la planète dans quinze ans vont aussi passer au scanner de ces jeunes leaders. Il s’agit pour les Nations unies de mettre fin à la pauvreté à travers ces jeunes d’ici à 2030 et « de transformer les vies tout en préservant la planète ».
Le Centre d’échange de l’UNESCO sur l'éducation à la citoyenneté mondiale (APCEIU) dont le siège se trouve à Séoul en Corée du Sud va également donner aux apprenants les moyens d’assumer un rôle actif pour affronter et résoudre les défis mondiaux et apporter une contribution active dans leurs pays à la mise en place d’un monde plus paisible, plus tolérant, plus inclusif et plus sûr. Togo breaking news
Plusieurs thèmes seront discutés par ces jeunes leaders rassemblés à Busan sous la houlette de l’UNESCO. Il s’agit notamment d’encourager le respect de tous, susciter un sentiment d'appartenance à une humanité commune et aider les apprenants à devenir des citoyens du monde, responsables et actifs…
Durant leurs résidences d’études, les jeunes leaders vont partager leur expérience et analyser les systèmes éducatifs de leurs pays respectifs face aux enjeux économiques de la mondialisation.
Les dix-sept Objectifs de développement durable (ODD) qui devraient permettre de construire le futur des 8,5 milliards d’habitants attendus sur la planète dans quinze ans vont aussi passer au scanner de ces jeunes leaders. Il s’agit pour les Nations unies de mettre fin à la pauvreté à travers ces jeunes d’ici à 2030 et « de transformer les vies tout en préservant la planète ».
Le Centre d’échange de l’UNESCO sur l'éducation à la citoyenneté mondiale (APCEIU) dont le siège se trouve à Séoul en Corée du Sud va également donner aux apprenants les moyens d’assumer un rôle actif pour affronter et résoudre les défis mondiaux et apporter une contribution active dans leurs pays à la mise en place d’un monde plus paisible, plus tolérant, plus inclusif et plus sûr. Togo breaking news
L’optimisme d’Awa Nana-Daboya pour les réformes institutionnelles
Les grandes assises nationales
d'échange et de partage et du Haut-Commissariat pour la Réconciliation
et le Renforcement de l'Unité Nationale (HCCRUN) sur les réformes
politiques et institutionnelles viennent de rentrer dans l'histoire. Du
11 au 15 juillet, acteurs politiques, cadres de la République, juristes,
magistrats, organisations de la société civile et experts nationaux et
internationaux entre autre ont eu à explorer des pistes devant conduire
à l'opération des réformes.
Tout calcul bien fait, cet atelier du
HCCRUN est le 23ème dialogue entre togolais en vue de parvenir à un
consensus pour aller vers un Etat démocratique de façon générale.
Cette fois-ci les initiateurs affirment
qu'ils se sont parvenus à de nombreux points de convergences pouvant
faire bouger très bientôt les lignes.
"Nous avons eu cinq jours de travaux
intenses et ce dont nous réjouissons c'est que nous nous sommes parvenus
à beaucoup de points convergents", a laissé entendre Awa Nana Daboya,
Présidente du HCRRUN lors de la conférence de presse de clôture.
Les points de convergence dont parle Mme
Nana-Daboya font état entre autres d'un reformatage du dispositif
parlementaire, de la nécessité de la consolidation de la place
républicaine non seulement de l'armée mais aussi toutes les forces de
défense et de sécurité et de la gestion des identités ethniques,
régionalistes et tribalistes.
Des avis convergents, il y en a eu aussi sur la limitation des mandats et le mode du scrutin après des échanges de 48 heures.
"La discussion sur la limitation du
mandat et le mode du scrutin nous a pris deux journées sur les cinq.
Sauf que comme tous les autres points cités plus haut, je ne peux pas
vous dire ici que la limitation du mandat est retenue ou pas de même
que si le mode de scrutin est défini; car le rôle de notre atelier n'est
pas de décider mais de proposer ou tout simplement de faire des
recommandations", a ajouté Madame la Présidente.
Tous ces points de vue identiques des
participants sont consignés dans un document de synthèse annexé au
rapport final de l'atelier qui va être remis au Chef de l'Etat dans les
jours à venir.
Et quand on a demandé à l'ex présidente
de la Commission Nationale Electorale de 1998, quelle garantie a-t-elle
que ces propositions seront prises en compte par le Président de la
République elle a laissé entendre que la garantie c'est le Chef de
l'Etat l'avait déléguée comme première responsable de HCCRUN.
"Je ne sais pas ce que vous appelez par
garantie mais ce que je peux vous dire c'est que la seule garantie que
j'ai que ces recommandations seront prises en compte, c'est la garantie
que le Chef de l'Etat a en me nommant Présidente du HCCRUN", a-t-elle
agencé.
Rappelons que les échanges se sont
déroulés en l'absence de l'ANC de Jean Pierre Fabre, du CDPA de Brigitte
Kafui Adjamagbo Johnson, du PRR de Nicolas Lawson et du PT d'Alberto
Olympio qui ont eu à démontrer que cet atelier était un atelier de
trop.
Togo breaking news
Saturday, July 16, 2016
Togo :: Accident de circulation du convoi de Faure Gnassingbé
Le cortège du Chef de l’Etat a fait un grave accident de circulation hier après-midi dans le quartier Hédjranawoé.
Selon les informations, l’un des véhicules du convoi de Faure Gnassingbé, au cours du trajet, aurait déraillé et fini sa course en percutant violemment un véhicule de l’Agence de sécurité Intercom garé au bord de la route.
Un accident de circulation que bon nombre de témoins attribuaient à un excès de vitesse du convoi.
Il faut noter que l’accident s’est produit non loin de l’école Défitech, alors que le chef de l’Etat rentrait de Kara où il a assisté aux Evala édition 2016.
ICILOME
Selon les informations, l’un des véhicules du convoi de Faure Gnassingbé, au cours du trajet, aurait déraillé et fini sa course en percutant violemment un véhicule de l’Agence de sécurité Intercom garé au bord de la route.
Un accident de circulation que bon nombre de témoins attribuaient à un excès de vitesse du convoi.
Il faut noter que l’accident s’est produit non loin de l’école Défitech, alors que le chef de l’Etat rentrait de Kara où il a assisté aux Evala édition 2016.
ICILOME
27e sommet de l’UA : L’offensive diplomatique de Faure Gnassingbé à Kigali
Le Chef de l’Etat Faure Essozimna Gnassingbé séjourne depuis samedi à Kigali (Rwanda) où il assistera dimanche à l’ouverture du 27e sommet de l'UA. A Kigali, le Chef de l’Etat et sa délégation discuteront avec l’Union Africaine des préparatifs du sommet sur la sécurité maritime en Afrique. Un sommet qui aura lieu en octobre prochain à Lomé et organisée par la commission Paix et sécurité de l'UA et l'Etat togolais.
Les Chefs d'Etats africains présents à
Kigali discuteront également de plusieurs autres sujets portant sur la
protection des femmes et le droit des minorités, la succession à la tête
de la commission africaine de Nkosazana Zuma, la lutte contre le
terrorisme, la crise burundaise, et la mise en place d'un passeport
africain.
Dernier sommet d’envergure avant celui
de Lomé sur la sécurité maritime, les autorités togolaises entendent
saisir l’occasion pour procéder aux derniers réglages avant octobre.
Selon son entourage, le Chef de l’Etat « tient particulièrement à la
réussite de cette rencontre qui adoptera pour la première fois une
charte africaine sur la sécurité maritime destinée à mettre en œuvre une
politique de lutte contre la piraterie, les trafics de drogue et
d’armes et la pêche illégale ».
Ce 27e sommet de l’UA est
placé sous le thème : « 2016, l’année africaine des droits de l’Homme
avec une attention particulière pour les droits des femmes ».
A.Y.
Afreepress
Togo :: Les acteurs de lutte contre le VIH/Sida au Togo revoient leur copie
Entre 2000 et 2015 qu’est ce qui a
changé en matière de prévention de VIH /Sida et de prise en charge des
personnes vivant avec le VIH (PVVIH) au Togo? Quelles sont les
difficultés et les défis à relever par l’Etat togolais? Autant
d’interrogations auxquelles les acteurs impliqués dans la lutte contre
le Sida doivent apporter des réponses et proposer des solutions afin de
mettre fin à cette maladie.
C’est à cet exercice que le 3ième
forum national des partenaires de mise en œuvre des interventions de
VIH et de la tuberculose organisé par le Secrétariat permanent du Comité
national de lutte contre le Sida et les infections sexuellement
transmissibles (SP/CNLS-IST), soumet les acteurs de ces secteurs ce
jeudi à Lomé, a constaté l’Agence de presse Afreepress.
Les travaux de ce forum national qui
prend fin ce vendredi 15 juillet ont été ouverts par le, Pr SONGNE, en
présence de Pr Vincent Pitché, Coordonnateur national du.
Selon le professeur Badjona Sogné,
Conseiller Santé du Président de la République, depuis plusieurs années,
les plus hautes autorités de l’Etat ont pris la mesure du problème de
l’épidémie du VIH dans le pays. Ceci s’est matérialisé depuis 2001 par
la mise en place du CNLS-IST, présidé par le chef de l’Etat.
« Depuis 15 ans, le Togo a enregistré
des résultats notables dans la lutte contre cette épidémie, mais malgré
ces progrès, l’infection par le VIH/Sida reste encore une priorité de
santé publique au Togo, car il existe d’énormes défis à relever par
notre pays pour mettre fin à cette épidémie. C’est pourquoi en mars
2016, toutes les parties prenantes ont validé le nouveau Plan
stratégique national de lutte contre le Sida pour 2016-2020 », a-t-il
rappelé.
L’organisation de ce forum, selon lui,
permettra à toutes les parties prenantes de débattre des résultats et de
diagnostiquer les principaux problèmes opérationnels rencontrés au
cours de la mise en œuvre des interventions sur le terrain et à tous les
niveaux, afin de proposer des solutions idoines.
En termes d’impact à la fin de l’année
2015, le taux de prévalence était de 2.4%, le nombre de nouvelles
infections a baissé de 63% entre 2000 et 2015. Le nombre de PVVIH était
de 43.000 avec une réduction de la mortalité de 44% en 10 ans, le
nombre des enfants orphelins vulnérables a été divisé par deux, passant
de 45.000 à 23000, a précisé le Coordonnateur du Secrétariat permanent
du CNLS/IST, Pr Vincent Pitché.
« Ces résultats pourraient être
meilleurs avec un impact plus important si toutes les faiblesses et les
goulots identifiés au cours de nos précédentes fora avaient été résolus.
En effet, nous avons encore des indicateurs faibles en matière de
couverture de prise en charge médicale des PVVIH, le taux de couverture
en ARV n’est que de 40%, avec une acuité pour l’accès à la charge virale
qui représente peine de 2% des PVVIH sont sous ARV », a-t-il
souligné.
Les travaux de ce troisième forum prennent fin ce vendredi.
Mathurin A.
Afreepress
Friday, July 15, 2016
Feu Gnassingbé Eyadéma revient au Palais des Congrès de Kara
Le chef de l’Etat togolais remet les pendules à l’heure. La statue de
son vénéré père refait surface au palais des congrès de Kara. Elle a
été inaugurée par le fils Faure samedi à l’occasion du démarrage de la
fête traditionnelle Evala en pays kabyè. Cette place désignée « place
Gnassingbé Eyadèma » est construite sur 1310 m² devant le palais de
congrès. Elle est composée de deux bassins d’eau d’un mètre d’épaisseur
implantée à la symétrie du monument principal et alimentée par un forage
à haut débit d’eau. Le monument en forme de pyramide est doté d’un
système de jets d’eau lumineux. L’eau des bassins est animée par 374
jets d’eau et 332 lampes avec une alimentation énergétique de 60KVA. Il
est prévu un système de vidéo surveillance pour contrôler le mouvement
autour du monument. Les promoteurs soutiennent que sa forme pyramidale
révèle l’esprit d’équilibre, d’ordre, de discipline et de
complémentarité ainsi que la statue qui flotte au-dessus d’un cylindre
d’eau jaillissante pour appeler la garde de la persévérance.
Démolie du palais des congrès de Lomé par des manifestants à la faveur des mouvements de revendication démocratique en 1990, le bronze de feu Eyadéma est de nouveau replanté à Kara, chef-lieu de la troisième région la plus pauvre du pays, selon les chiffres de la Banque Mondiale. L’eau jaillissante de cette stèle contraste avec l’eau de boue utilisée pour la consommation dans les ménages dans la région. L’érection de cette statue, certainement à coût très onéreux et exagéré, frise la décence confortant ainsi la thèse de ceux qui pensent qu’un culte de la personnalité outragé et de la dictature sont en complot contre le peuple togolais.
Déjà que les villes sont en mal de continuer par supporter les posters géants de campagne électorale de 2015 de Faure encore visibles aux carrefours et panneaux géants, une statue de Faure Gnassingbé, dit-on, est en phase terminale pour être érigée au niveau du rond point GTA à Lomé : du «luxe au royaume des Gnassingbé»
LE TEMPS
Démolie du palais des congrès de Lomé par des manifestants à la faveur des mouvements de revendication démocratique en 1990, le bronze de feu Eyadéma est de nouveau replanté à Kara, chef-lieu de la troisième région la plus pauvre du pays, selon les chiffres de la Banque Mondiale. L’eau jaillissante de cette stèle contraste avec l’eau de boue utilisée pour la consommation dans les ménages dans la région. L’érection de cette statue, certainement à coût très onéreux et exagéré, frise la décence confortant ainsi la thèse de ceux qui pensent qu’un culte de la personnalité outragé et de la dictature sont en complot contre le peuple togolais.
Déjà que les villes sont en mal de continuer par supporter les posters géants de campagne électorale de 2015 de Faure encore visibles aux carrefours et panneaux géants, une statue de Faure Gnassingbé, dit-on, est en phase terminale pour être érigée au niveau du rond point GTA à Lomé : du «luxe au royaume des Gnassingbé»
LE TEMPS
De nombreux blessés dans un grave accident de circulation à Bafilo
Un grave accident de circulation est
survenu jeudi matin sur la national n°1 au niveau du contournement de
Bafilo, peu avant le rond-point de Soudou.
Selon les informations, un bus malien de
60 places qui a vu ses freins lâchés a ramassé un autre bus avant
d’aller cogner un titan stationné sur le bord de la route.
Au bilan, aucun décès n’est dénombré. Mais une dizaine de blessés graves sont enregistrés.
Les témoins de l’accident ont déploré le retard fou accusé par les secours avant d’arriver sur les lieux de l’accident.
Les secouristes et les sapeurs-pompiers
étant tôt ce matin à la finale des Evala qui a eu lieu ce jeudi matin
dans le canton de Pya.
Heureusement qu’il y avait des touristes
français dans la localité qui ont administré les premiers soins aux
blessés. Ces derniers sont transportés par ambulance vers le CHR Kara.
Togo breaking news
Thursday, July 14, 2016
«Faire des réformes exhaustives et non personnalisées, adaptées aux réalités du Togo» : Dr. Afandé Kumélio Koffi
Les
travaux de l’atelier national du HCRRUN ont été sanctionnés mercredi
par une synthèse présentée en conférence de presse. C’est le premier
rapporteur Evalo Wiyao qui s’est prêté à l’exercice, faisant le point
des sujets marquant de la journée.
Les panels de mercredi portaient sur divers sujets comme ‘’la République de demain face aux enjeux et défis’’.
Les conférenciers ont alors partagé les expériences sur le processus de
réconciliation qui ont réussies dans d’autres pays à l’instar du Ghana
et du Rwanda. En conclusion, et eu égard à l’histoire politique du Togo,
il est recommandé « des réformes exhaustives et non personnalisées, adaptées aux réalités du Togo »,
a soutenu Dr. Afandé Kumélio Koffi, juge à la chambre d’appel des
Tribunaux Pénaux Internationaux pour l’ex-Yougoslavie et le Rwanda.
On retient aussi de cette journée de mercredi l’exposé sur la question ‘’de la démocratie et de la gouvernance locale’’.
Deux experts en ont eu la responsabilité. Mensah Amlalo et Alhaji Yar
(venu du Ghana) ont déblayé les concepts de démocratie locale, de
gouvernance locale et de décentralisation. Mensah Amlalo du ministère de
l’administration territoriale a fait me point sur les réformes depuis
2004 en ce sens.
Les travaux ont été clôturés avec le
débat portant sur les enjeux et défis de la mise en œuvre des réformes
dans le processus de réconciliation nationale et de renforcement de
l’Etat de Droit au Togo.
Togo : Les propriétaires de forages et de sociétés de Pure water non agréés disposent encore d’un mois
A Lomé comme à l’intérieur du pays,
l’eau est mise à la disposition d’une population de plus en plus grande
par les forages privés et les sociétés de « Pure water ». Ces forages
privés et sociétés d’eau mise en sachets deviennent nombreux au jour le
jour qu’il est permis de douter de la qualité de l’eau servie.
Les ministres de l’Agriculture, de
l’élevage et de l’hydraulique, le colonel Ouro-Koura Agadazi, de la
Santé et de la protection sociale, Pr Moustapha Mijiyawa et du Commerce,
de l’industrie, de la promotion du secteur privé et du tourisme,
Bernadette Legzim-Balouki tapent du poing sur la table.
« Tous les producteurs non agréés sont
invités à se mettre impérativement en règle dans un délai d’un mois à
compter de la date de signature du présent communiqué. Passé ce délai,
les contrevenants s’exposent aux sanctions prévues par le code de l’eau
en son article 171 », indique un communiqué conjoint des trois (3)
ministres.
L’obtention d’un agrément
interministériel par les producteurs d’eau embouteillée et/ou en sachets
est prévue par la loi n° 2010-004 du 14 juin 2010 portant code de
l’eau, notamment en son article 74 qui dispose : « le captage et la
distribution d’eau destinée à la consommation humaine à partir des
réseaux privés ainsi que son embouteillage et sa mise en sachets sont
soumis respectivement à l’autorisation préalable délivrée par le
ministre chargé de l’eau sur avis du ministre chargé de la santé ».
Telli K.
Afreepress
Wednesday, July 13, 2016
Togo: de l’APG au HCRRUN, le chemin parcouru
Le Haut-commissariat à la Réconciliation
et au Renforcement de l'Unité Nationale (HCRRUN), à la fin des travaux
de la première journée, a animé un point de presse pour faire le
point.
La première journée des travaux de l' atelier national de réflexion et d'échanges sur les réformes politiques et institutionnelles est marquée par une conférence inaugurale sur le concept des réformes politiques et institutionnelles, une communication préliminaire sur le thème "De l'APG au HCRRUN: L'esprit et la lettre des réformes telles que contenues dans les recommandations de la CVJR" et un panel sur le thème "Les Républiques d'hier et la République d'aujourd'hui".
Mgr Nicodème Barrigah dans son exposé sur la communication préliminaire a relevé les principes, les objectifs et le but qui ont guidé la CVJR dans ses recommandations.
Pour sa part, N'sinto Lawson dans sa présentation n'a pas caché l'intérêt d'une réforme de la Constitution de la IV ème République. Car, dit-il, 25 ans après son adoption, la IV ème République a pris des rides.
Mme Assemboni, quant à elle, a procédé à une analyse du fonctionnement de la IV ème République qui regorge des points positifs et négatifs dans la pratique de la démocratie.
L'atelier se poursuit mardi avec deux panels inscrits à l'ordre du jour tels que la République de demain: la capitalisation des bonnes pratiques, expériences d'ici et d'ailleurs et la République de demain dans sa conception.
Maurice Agbossou
Golfe News
La première journée des travaux de l' atelier national de réflexion et d'échanges sur les réformes politiques et institutionnelles est marquée par une conférence inaugurale sur le concept des réformes politiques et institutionnelles, une communication préliminaire sur le thème "De l'APG au HCRRUN: L'esprit et la lettre des réformes telles que contenues dans les recommandations de la CVJR" et un panel sur le thème "Les Républiques d'hier et la République d'aujourd'hui".
Mgr Nicodème Barrigah dans son exposé sur la communication préliminaire a relevé les principes, les objectifs et le but qui ont guidé la CVJR dans ses recommandations.
Pour sa part, N'sinto Lawson dans sa présentation n'a pas caché l'intérêt d'une réforme de la Constitution de la IV ème République. Car, dit-il, 25 ans après son adoption, la IV ème République a pris des rides.
Mme Assemboni, quant à elle, a procédé à une analyse du fonctionnement de la IV ème République qui regorge des points positifs et négatifs dans la pratique de la démocratie.
L'atelier se poursuit mardi avec deux panels inscrits à l'ordre du jour tels que la République de demain: la capitalisation des bonnes pratiques, expériences d'ici et d'ailleurs et la République de demain dans sa conception.
Maurice Agbossou
Golfe News
Reprise du ramassage des ordures à Aného sur fonds de la SAFER
Les cahiers de charge des points de péage donnent obligation aux
exploitants de participer aux actions communautaires. Les recettes
générées par l’exploitation des péages du Togo permettent en principe
d’accompagner les communautés dans la réalisation de quelques projets et
travaux de développement.
Le péage de Vodougbé (non loin de la ville d’Aného) vient de répondre à une telle préoccupation pour soulager les populations riveraines. C’est la mairie de la ville qui a bénéficié d’un camion offert par la Société Autonome de Financement de l’Entretien Routier (SAFER). Ce camion est destiné au ramassage d’ordures ménagères dans la commune et singulièrement du côté ouest du pont et du quartier Apounoukpa.
La ville d’Aného avait suspendu sa propreté au gré des ramasseurs occasionnels, un travail confié parfois mal exécuté par ces nombreuses entreprises privées. Le don de la SAFER vient relancer la collecte des ordures dans la commune. Les populations ont régulièrement dénoncé l’état d’insalubrité de la ville. La mairie s’y attellera désormais comme une obligation et une priorité pour la beauté de la ville et le bien-être des populations.
L’insalubrité publique gagne du terrain dans les villes du Togo et les délégations spéciales semblent impuissantes et incapables face au phénomène. Elle devient une source d’insécurité pour les citadins. Mais à côté de l’impuissance et de l’incapacité de ces délégués c’est peut-être qu’il faudrait indexer l’incompétence de ces commis de l’état de définir des politiques consensuelles pour la gestion participative des collectivités territoriales. Malgré la création de l’Agence Nationale de Salubrité Publique (ANASAP), la mayonnaise prend difficilement alors que nos villes ont besoin d’être reluisantes.
Le Temps
Le péage de Vodougbé (non loin de la ville d’Aného) vient de répondre à une telle préoccupation pour soulager les populations riveraines. C’est la mairie de la ville qui a bénéficié d’un camion offert par la Société Autonome de Financement de l’Entretien Routier (SAFER). Ce camion est destiné au ramassage d’ordures ménagères dans la commune et singulièrement du côté ouest du pont et du quartier Apounoukpa.
La ville d’Aného avait suspendu sa propreté au gré des ramasseurs occasionnels, un travail confié parfois mal exécuté par ces nombreuses entreprises privées. Le don de la SAFER vient relancer la collecte des ordures dans la commune. Les populations ont régulièrement dénoncé l’état d’insalubrité de la ville. La mairie s’y attellera désormais comme une obligation et une priorité pour la beauté de la ville et le bien-être des populations.
L’insalubrité publique gagne du terrain dans les villes du Togo et les délégations spéciales semblent impuissantes et incapables face au phénomène. Elle devient une source d’insécurité pour les citadins. Mais à côté de l’impuissance et de l’incapacité de ces délégués c’est peut-être qu’il faudrait indexer l’incompétence de ces commis de l’état de définir des politiques consensuelles pour la gestion participative des collectivités territoriales. Malgré la création de l’Agence Nationale de Salubrité Publique (ANASAP), la mayonnaise prend difficilement alors que nos villes ont besoin d’être reluisantes.
Le Temps
Pour des institutions fortes !
Acteurs sociopolitiques,
communautés traditionnelles et religieuses du Togo réfléchissent à la
République Togolaise de demain. Ils sont invités à cet exercice par le
Haut commissariat à la réconciliation et au renforcement de l’unité
nationale (HCRRUN) dans le cadre de son mandat de travailler à la mise
en œuvre des recommandations de la CVJR-Commission vérité justice et
réconciliation-.
Se pencher sur le sens qu’il faut donner
aux réformes appelées de tous les vœux au Togo reste un exercice
périlleux. Mais le Haut commissariat à la réconciliation et au
renforcement de l’unité nationale (HCRRUN) invite tous les acteurs
sociopolitiques à s’y donner. Le premier ministre Komi Klassou a ouvert
lundi, l’atelier national, cadre des réflexions communes sur les
questions des réformes au Togo.
Pour quatre jours, le HCRRUN invite les
acteurs de la vie sociopolitique à définir les contours d’une République
aux institutions fortes et répondant aux aspirations du peuple
Togolais. C’est pourquoi, le premier ministre a invité les participants à
travailler avec « le sens de l’efficacité, de l’honneur et de l’intérêt national.»
Il s’agit pour cette énième rencontre d’ « opérer un diagnostic sérieux et actualiser de la problématique des réformes »,
selon l’invitation du professeur Dodzi Kokoroko lors de la conférence
inaugurale de la rencontre. Le Togo reste un laboratoire de démocratie.
Le HCRRUN plaide alors pour que les acteurs concernés « travaillent ensemble, sans arrière pensée, dans la fraternité, avec foi et sans considération de bord politique ».
« Il faut tourner le dos au mimétisme, dira le professeur Kokoroko, », car ajoutera-t-il en paraphrasant le président américain Barack Obama, « le Togo n’a pas besoin d’hommes forts mais des institutions fortes.» FULL NEWS
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