Commanditée par l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) en collaboration la structure d’étude sur la faim, au Sénégal et au Togo dans sa phase pilote, l’étude sur l’impact de l’intégration des questions de genre dans les processus politiques du droit à l’alimentation fait plusieurs révélations.
Au Togo, l’étude révèle que la femme participe activement à tous les processus de la production à la transformation et à la consommation. Il y a aussi dans le pays plusieurs instruments politiques, juridiques et opérationnels qui prônent et qui militent pour la promotion du genre. Cependant, il y a des domaines dans lesquels les améliorations sont possibles.
Ce mercredi à Lomé, les acteurs sénégalais et togolais consultés lors de la conduite de cette étude se sont réunis en présence d’Antonio Isaac Monteiro, le Représentant résident de la FAO au Togo.
Cette rencontre de deux (2) jours, selon les informations, vont permettre aux uns et aux autres de s’approprier les résultats du rapport, de les amender au besoin afin de faciliter sa diffusion.
Modeste K.
Afreepress
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