Intervenant
sur la chaîne satellitaire UbizNews samedi dernier, le ministre de
l’Administration territoriale, de la décentralisation et des
collectivités locales, Gilbert Bawara a classé le cadre électoral
togolais parmi « les plus progressistes » de la sous-région ouest
africaine.
Selon lui, depuis 2005, après « analyse
sereine et approfondie de tout ce qui constituait des facteurs de
contestation politique et d’agitation et de crispation », le cadre
électoral a été « complètement refondé » conformément aux exigences de
l’Accord politique global (APG) que les acteurs politiques ont signé le
20 août 2006.
« La CENI est composée de manière très
équilibrée, représentative de toutes les tendances, elle a toutes les
attributions pour organiser, contrôler et superviser les élections et
l’administration n’a qu’un seul objectif, mettre à sa disposition
l’ensemble des moyens et des ressources dont elle a besoin pour
organiser de manière convenable, des élections démocratiques, libres
transparentes et crédibles », a-t-il indiqué.
Outre la composition et les moyens dont
dispose la Commission électorale nationale indépendante (CENI), le
ministre a fait allusion à l’enrôlement biométrique des électeurs avec
délivrance imédiate de carte d’électeur « infalsifiable et sécurisé »,
l’amélioration des opérations de vote à travers les décomptes et la
transmission des résultats issus du scrutin.
Telli K.
Afreepress
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