Le niveau de développement des infrastructures des pays membres de la des quinze (15) pays membres de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’ouest (CEDEAO) en matière de transport, d’énergie, des technologies de l’information et de la communication (TIC) et les ressources en eau est faible par rapport à la demande et à la croissance démographique.
Néanmoins, l’importance de ces infrastructures dans le commerce intra-régional et l’effectivité de l’intégration sous régionale n’est plus à démontrer.
Voilà pourquoi en 2012, les chefs d’Etat et de gouvernement de la CEDAO ont opté pour le Programme de développement des infrastructures en Afrique, un programme capable de remédier à ces problèmes d’infrastructures dans les trois (3) prochaines décennies.
La validation du plan directeur de cet ambitieux programme, gage d’une intégration sous régionale complète réunit depuis ce mercredi à Lomé les experts des 15 pays membres de la CEDEAO.
Selon Dr Morlaye Bangoura, Commissaire des mines au sein de l’organisation sous régionale, cette rencontre de Lomé est un pas important vers la mise en œuvre de ce programme de développement des infrastructures en Afrique.
« Le plan directeur fait le diagnostic de tout ce que nous avons comme défaut, comme non atteint et établir des projets pour résoudre les différents problèmes, identifier les projets au niveau hydraulique, de l’énergie, des transports et des TIC. Ces projets étant identifiés, on passe à la mobilisation des ressources pour les réaliser », a-t-il indiqué.
Sont membres de la CEDEAO, le Bénin, le Burkina Faso, le Cap Vert, la Côte d'Ivoire, la Gambie, le Ghana, la Guinée, la Guinée Bissau, le Liberia, le Mali, le Niger, le Nigeria, le Sénégal, la Sierra Leone et le Togo.
Bernadette A.
Afreepress
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