Il
fut quelques jours, nous vous informions de ce que, à la sortie d’une
émission chez nos confrères de Radio Kanal, le président du PRR (Parti
pour le Renouveau et la Rédemption), Nicolas Lawson, a été victime d’une
tentative d’agression de la part des individuels identifiés suivant les
attaques verbales comme étant membres de l’ANC de Jean-Pierre Fabre.
A travers un courrier adressé ce mercredi à la ministre de la Communication, des Arts, de la Culture et de la formation civique, le candidat malheureux à la présidentielle de 2010 juge que, « en vue d’aider à la clarification et permettre à l’opinion publique d’être édifiée, nos compatriotes qui n’ont pas participé aux dernières élections législatives se joignent à nous pour solliciter dès à présent des débats entre les candidats aspirants. Je vous demande respectueusement de faire organiser le premier débat à la télévision nationale (TVT) entre Mr Jean-Pierre Fabre (candidat présidentiel en 2010) et moi-même, Nicolas Lawson (candidat présidentiel en 2003, en 2005 et en 2010) ».
Par ce débat républicain qu’il réclament, Nicolas Lawson entend débattre avec son adversaire politique « de nos visions, de nos projets, de notre foi dans les valeurs démocratiques et nous ferons comprendre à nos militants que la politique ne consiste pas à jeter de l’huile rouge contre les adversaires, à les calomnier, à professer des incantations et des menaces et à refuser des critiques en appelant au lynchage, etc ». « Nous travaillons au PRR pour préserver la paix civile, l’unité nationale et à faire émerger une société de bien-être et respectée à l’extérieur. En faisant organiser ces débats, vous contribuerez amplement au renouveau démocratique et à la paix civile », a poursuivi le communiqué signé par le patron du PRR.
Constats faits par M. Lawson, « les événements politiques dans notre pays suivent leur cours et naturellement la vie n’arrive pas à s’en abstraire. Notre avenir sera encore plus agité et obéré si nous laissons le régime des partis continuer à étaler sa nocivité. Il se noue et se dénoue sans relâche l’écheveau des intrigues, des expressions d’intolérance et des entrainements de violences. Les problèmes de longue haleine comme ceux de l’éducation, de la santé, des logements, de l’environnement et des réformes économiques et sociales sont ajournés et s’accumulent. L’immense majorité de la population est prise en otage et vit sous la condition humaine, donc manipulable par des démagogues de tout acabit. Quant à l’opposition, elle est traversée par des discordes entre les extrémistes et les modérés ».
P.S, Lomé (Telegramme228)
A travers un courrier adressé ce mercredi à la ministre de la Communication, des Arts, de la Culture et de la formation civique, le candidat malheureux à la présidentielle de 2010 juge que, « en vue d’aider à la clarification et permettre à l’opinion publique d’être édifiée, nos compatriotes qui n’ont pas participé aux dernières élections législatives se joignent à nous pour solliciter dès à présent des débats entre les candidats aspirants. Je vous demande respectueusement de faire organiser le premier débat à la télévision nationale (TVT) entre Mr Jean-Pierre Fabre (candidat présidentiel en 2010) et moi-même, Nicolas Lawson (candidat présidentiel en 2003, en 2005 et en 2010) ».
Par ce débat républicain qu’il réclament, Nicolas Lawson entend débattre avec son adversaire politique « de nos visions, de nos projets, de notre foi dans les valeurs démocratiques et nous ferons comprendre à nos militants que la politique ne consiste pas à jeter de l’huile rouge contre les adversaires, à les calomnier, à professer des incantations et des menaces et à refuser des critiques en appelant au lynchage, etc ». « Nous travaillons au PRR pour préserver la paix civile, l’unité nationale et à faire émerger une société de bien-être et respectée à l’extérieur. En faisant organiser ces débats, vous contribuerez amplement au renouveau démocratique et à la paix civile », a poursuivi le communiqué signé par le patron du PRR.
Constats faits par M. Lawson, « les événements politiques dans notre pays suivent leur cours et naturellement la vie n’arrive pas à s’en abstraire. Notre avenir sera encore plus agité et obéré si nous laissons le régime des partis continuer à étaler sa nocivité. Il se noue et se dénoue sans relâche l’écheveau des intrigues, des expressions d’intolérance et des entrainements de violences. Les problèmes de longue haleine comme ceux de l’éducation, de la santé, des logements, de l’environnement et des réformes économiques et sociales sont ajournés et s’accumulent. L’immense majorité de la population est prise en otage et vit sous la condition humaine, donc manipulable par des démagogues de tout acabit. Quant à l’opposition, elle est traversée par des discordes entre les extrémistes et les modérés ».
P.S, Lomé (Telegramme228)
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