Le
Chef de la délégation de l’Union Européenne (UE), Nicolas
Berlanga-Martinez, a émis le 06 mars dernier, des impressions
« positives » par rapport à e qui se fait en matière d’autonomisation
économique de la femme rurale notamment à Agotové (environ 110 km au
nord-ouest de Lomé), l’une des 16 localités bénéficiaires du projet
« Femmes et paysans ouest africains contre la pauvreté ».
M Berlanga-martinez a fait cette intervention dans le cadre de la célébration de la Journée internationale de la femme, axée sous le thème : « L’égalité pour les femmes, c’est le progrès pour toutes et tous ».
Au Togo, le thème retenu est : « L’autonomisation économique de la femme : c’est le progrès pour toute et pour tous ».
« On a l’impression que c’est seulement à Lomé que les choses bougent dans ce schéma vers l’égalité des hommes et des femmes, mais ce n’est pas vrai », affirme-t-il en relevant que « les femmes rurales abordent des questions qui ne se posaient pas avant.
Comme exemple, M Berlanga-Martinez évoque la question de l’accès des femmes à la terre. Un sujet qui est d’actualité et qui est discutée dans les milieux ruraux.
A en croire ce dernier, il y a des gens qui sont formés sur le sujet pour aider les autorités traditionnelles à trouver des solutions à ces problèmes qui se posent dans les foyers, dans les couples et dans les communautés.
« Tout ça montre qu’il y a une vie active qui se passe dans les milieux ruraux, qu’il y a un dynamisme que l’Union Européenne ne peut qu’appuyer dans la mesure du possible », soutient le Chef de la délégation de l’UE.
Financé par l’UE, le projet est et a permis ainsi au groupement de femmes d’avoir accès à des terres cultivables, à des crédits, à des équipements agricoles et à l’électricité.
Dans son intervention, le Chef de la délégation de l’UE a également suggéré aux femmes de travailler ensemble, de ne pas laisser que les intérêts individuelles prévalent sur les intérêts collectifs, de continuer à créer les comités, de travailler en coopératives afin de continue à bénéficier de l’appui de son institution.
Aux autorités de prendre alors les dispositions pour les femmes, de les accompagner, de continuer à leur fournir des informations, de la formation, de l’éducation, pour que ces femmes dans les milieux ruraux continuent leur marche dans la voie du développement et de l’émergence.
Ce dernier n’a pas manqué d’inviter les hommes à soutenir « ce nouveau type de femmes autonomes » qui est en train de voir le jour.
PA LUNION
M Berlanga-martinez a fait cette intervention dans le cadre de la célébration de la Journée internationale de la femme, axée sous le thème : « L’égalité pour les femmes, c’est le progrès pour toutes et tous ».
Au Togo, le thème retenu est : « L’autonomisation économique de la femme : c’est le progrès pour toute et pour tous ».
« On a l’impression que c’est seulement à Lomé que les choses bougent dans ce schéma vers l’égalité des hommes et des femmes, mais ce n’est pas vrai », affirme-t-il en relevant que « les femmes rurales abordent des questions qui ne se posaient pas avant.
Comme exemple, M Berlanga-Martinez évoque la question de l’accès des femmes à la terre. Un sujet qui est d’actualité et qui est discutée dans les milieux ruraux.
A en croire ce dernier, il y a des gens qui sont formés sur le sujet pour aider les autorités traditionnelles à trouver des solutions à ces problèmes qui se posent dans les foyers, dans les couples et dans les communautés.
« Tout ça montre qu’il y a une vie active qui se passe dans les milieux ruraux, qu’il y a un dynamisme que l’Union Européenne ne peut qu’appuyer dans la mesure du possible », soutient le Chef de la délégation de l’UE.
Financé par l’UE, le projet est et a permis ainsi au groupement de femmes d’avoir accès à des terres cultivables, à des crédits, à des équipements agricoles et à l’électricité.
Dans son intervention, le Chef de la délégation de l’UE a également suggéré aux femmes de travailler ensemble, de ne pas laisser que les intérêts individuelles prévalent sur les intérêts collectifs, de continuer à créer les comités, de travailler en coopératives afin de continue à bénéficier de l’appui de son institution.
Aux autorités de prendre alors les dispositions pour les femmes, de les accompagner, de continuer à leur fournir des informations, de la formation, de l’éducation, pour que ces femmes dans les milieux ruraux continuent leur marche dans la voie du développement et de l’émergence.
Ce dernier n’a pas manqué d’inviter les hommes à soutenir « ce nouveau type de femmes autonomes » qui est en train de voir le jour.
PA LUNION
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