Depuis
environs un mois, les voies de la capitale togolaise, notamment de
Lomé-Commune et de la Préfecture du Golfe apparaissent de plus en plus
larges, suite à des opérations de désencombrement des installations.
Mais, selon certaines opinions, il y a du favoritisme dans ces
opérations vu que certaines installations sont détruites par les
autorités municipales alors que d’autres sont laissées intactes. Mais,
selon les autorités municipales, en aucun cas, il n’y a pas du
favoritisme ; les installations laissées intactes sont régulièrement
établies ; même si cette autorisation a une durée de vie dans le temps
et peut être retirée s’il y a nécessité.
« Dans la commune de Lomé, il y a des gens qui se sont régulièrement installés. Ils ont adressé des demandes au maire de faire des terrassements, des hangars ; et ils paient mensuellement », a souligne hier chez nos confrères de Nana Fm, Léandre Gbényédzi, président de la Délégation Spéciale du 3ème Arrondissement. Donc, a-t-il poursuivi, « au cours des opérations de désencombrement, c’est tout à fait normal qu’on laisse ceux-là qui se sont installés régulièrement ». Mais attention, car l’intéressé a fait la mise au point selon laquelle ce n’est pas une autorisation d’installation définitive que ces derniers ont reçue de la Mairie.
« Il est normal qu’on épargne ceux-là qui ont eu une autorisation et qu’on vérifie voir ce qu’on peut faire, parce l’autorisation n’est pas définitive ; elle est toujours provisoire ou en d’autres termes une autorisation qui a une durée dans le temps », a-t-il déclaré. « Si la Commune décide aujourd’hui de transformer l’espace qui vous est accordé et bien de facto l’autorisation est suspendue et retirée », a renchéri M. Gbényédzi, sans oublier de rappeler l’objectif premier de ces opérations : « nous voudrions donner un nouveau visage à la ville de Lomé » ; car, étant tous citoyens de la ville, il pense que « ce n’est pas acceptable de voir notre ville se transformer en un lieu où chacun peut pousser anarchiquement des hangars ».
Rappelons que, bien avant Léandre Gbényédzi, c’est le président de la Délégation Spéciale de la Commune de Lomé, le Contre Amiral Fogan Adégnon, qui s’est prononcé sur ce même sujet le 11 mars dernier au micro de nos confrères de Kanal Fm. Pour lui, « il n’a pas été demandé de dégager tout le monde ; ça dépend des limites réglementaires qu’il faut observer ». Et pour plus d’informations sur ces limites réglementaires, il a invité les intéressés à s’approcher des Services Techniques de la Municipalité. Car, selon lui, « nous avons des règles dans la cité qu’il faut respecter ; dès lors, il s’avère que, avant de s’installer sur la voie publique, il faut une autorisation en bonne et due forme des autorités municipales ».
F.A / F.S (Telegramme228)
« Dans la commune de Lomé, il y a des gens qui se sont régulièrement installés. Ils ont adressé des demandes au maire de faire des terrassements, des hangars ; et ils paient mensuellement », a souligne hier chez nos confrères de Nana Fm, Léandre Gbényédzi, président de la Délégation Spéciale du 3ème Arrondissement. Donc, a-t-il poursuivi, « au cours des opérations de désencombrement, c’est tout à fait normal qu’on laisse ceux-là qui se sont installés régulièrement ». Mais attention, car l’intéressé a fait la mise au point selon laquelle ce n’est pas une autorisation d’installation définitive que ces derniers ont reçue de la Mairie.
« Il est normal qu’on épargne ceux-là qui ont eu une autorisation et qu’on vérifie voir ce qu’on peut faire, parce l’autorisation n’est pas définitive ; elle est toujours provisoire ou en d’autres termes une autorisation qui a une durée dans le temps », a-t-il déclaré. « Si la Commune décide aujourd’hui de transformer l’espace qui vous est accordé et bien de facto l’autorisation est suspendue et retirée », a renchéri M. Gbényédzi, sans oublier de rappeler l’objectif premier de ces opérations : « nous voudrions donner un nouveau visage à la ville de Lomé » ; car, étant tous citoyens de la ville, il pense que « ce n’est pas acceptable de voir notre ville se transformer en un lieu où chacun peut pousser anarchiquement des hangars ».
Rappelons que, bien avant Léandre Gbényédzi, c’est le président de la Délégation Spéciale de la Commune de Lomé, le Contre Amiral Fogan Adégnon, qui s’est prononcé sur ce même sujet le 11 mars dernier au micro de nos confrères de Kanal Fm. Pour lui, « il n’a pas été demandé de dégager tout le monde ; ça dépend des limites réglementaires qu’il faut observer ». Et pour plus d’informations sur ces limites réglementaires, il a invité les intéressés à s’approcher des Services Techniques de la Municipalité. Car, selon lui, « nous avons des règles dans la cité qu’il faut respecter ; dès lors, il s’avère que, avant de s’installer sur la voie publique, il faut une autorisation en bonne et due forme des autorités municipales ».
F.A / F.S (Telegramme228)
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