L’hôtel
Eda Oba a prêté son cadre mardi dernier à une Table ronde sur le thème
« Eau et Energie ». Organisée par l’ONG « Les Amis de la Terre » avec
l’appui financier de PASCRENA et Eau vive, cette rencontre d’après le
Président du conseil d’administration de cette structure, Rémi Komlan
Afoutou, a été « une belle occasion pour le parterre d’acteurs de
développement, de réfléchir, une fois encore sur les conditions
favorables d’accès à l’eau et à l’énergie ». C’est la voie tracée pour
poser les bases solides pour des lendemains meilleures.
En tout cas cela en valait la peine lorsqu’on sait, sur la base des chiffres fournis par les Nations Unies « qu’au cours des prochaines décennies, la demande en eau va continuer à augmenter parallèlement à la croissance des économies et des populations, exerçant de ce fait, la pression sur les ressources naturelles limitées et les écosystèmes ». Et comme le fait constater le représentant du préfet du Golfe, « le problème de l’eau ne se pose pas seulement en terme de qualité mais aussi de quantité ».
Mais bien avant cette échéance (les prochaines décennies), il est à noter que le rapport rendu public à l’occasion de la journée mondiale de l’eau cette année, met en garde contre une importante augmentation de la demande en eau et en énergie, surtout dans les pays émergents.
M. Afoutou a salué pour l’occasion, le fait que « depuis quelques années au Togo, le débat sur les liens entre la production et l’utilisation de l’énergie et l’eau est d’actualité. Ainsi, le gouvernement togolais a élaboré et fait adopter le 4 août 2010, la politique nationale de l’Eau. Une politique dont l’adoption permettait de mettre en œuvre le Code de l’Eau adopté la même année et qui visait à contribuer au développement durable et à la lutte contre la pauvreté ».
Il reste en tout cas convaincu que la question de l’eau, de sa qualité et de sa quantité suffisante pour une démographie de plus en plus galopante ainsi que celle de l’assainissement, occupent une place importante dans les voies et moyens mis en œuvre pour atteindre l’OMD relatif à l’eau potable et à l’assainissement tant en zones urbaines que rurales.
Et c’est donc ce qui justifie cette rencontre initiée pour approfondir avec les différents acteurs du secteur de l’eau et de l’assainissement les réflexions sur l’accès à cette denrée qui devient de plus en plus chère à la vie, et sur son utilisation adéquate dans le secteur énergétique.
A titre d’information « Les Amis de la Terre », interviennent dans plusieurs domaines à savoir : « Biodiversité et forêts, Changement climatique et énergie, Eau et assainissement, Agriculture durable, Mines, gaz et pétrole, Bonne gouvernance dans la Gestion des Ressources naturelles, Volontariat et développement communautaire, Lutte contre la désertification, Gestion durable des produits des produits chimiques et des déchets, Souveraineté alimentaire et lutte contre les OGM, Transparence économique et Renforcement des capacités lobbying et plaidoyer ».
G.K / F.S (Telegramme228)
En tout cas cela en valait la peine lorsqu’on sait, sur la base des chiffres fournis par les Nations Unies « qu’au cours des prochaines décennies, la demande en eau va continuer à augmenter parallèlement à la croissance des économies et des populations, exerçant de ce fait, la pression sur les ressources naturelles limitées et les écosystèmes ». Et comme le fait constater le représentant du préfet du Golfe, « le problème de l’eau ne se pose pas seulement en terme de qualité mais aussi de quantité ».
Mais bien avant cette échéance (les prochaines décennies), il est à noter que le rapport rendu public à l’occasion de la journée mondiale de l’eau cette année, met en garde contre une importante augmentation de la demande en eau et en énergie, surtout dans les pays émergents.
M. Afoutou a salué pour l’occasion, le fait que « depuis quelques années au Togo, le débat sur les liens entre la production et l’utilisation de l’énergie et l’eau est d’actualité. Ainsi, le gouvernement togolais a élaboré et fait adopter le 4 août 2010, la politique nationale de l’Eau. Une politique dont l’adoption permettait de mettre en œuvre le Code de l’Eau adopté la même année et qui visait à contribuer au développement durable et à la lutte contre la pauvreté ».
Il reste en tout cas convaincu que la question de l’eau, de sa qualité et de sa quantité suffisante pour une démographie de plus en plus galopante ainsi que celle de l’assainissement, occupent une place importante dans les voies et moyens mis en œuvre pour atteindre l’OMD relatif à l’eau potable et à l’assainissement tant en zones urbaines que rurales.
Et c’est donc ce qui justifie cette rencontre initiée pour approfondir avec les différents acteurs du secteur de l’eau et de l’assainissement les réflexions sur l’accès à cette denrée qui devient de plus en plus chère à la vie, et sur son utilisation adéquate dans le secteur énergétique.
A titre d’information « Les Amis de la Terre », interviennent dans plusieurs domaines à savoir : « Biodiversité et forêts, Changement climatique et énergie, Eau et assainissement, Agriculture durable, Mines, gaz et pétrole, Bonne gouvernance dans la Gestion des Ressources naturelles, Volontariat et développement communautaire, Lutte contre la désertification, Gestion durable des produits des produits chimiques et des déchets, Souveraineté alimentaire et lutte contre les OGM, Transparence économique et Renforcement des capacités lobbying et plaidoyer ».
G.K / F.S (Telegramme228)
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