Tuesday, February 28, 2017
Togo/ OTR: le départ de Gaperi vu par la Presse
Le changement à la tête de l’Office togolais des recettes (OTR) fait la UNE des journaux de ce lundi. La quearion principale, Gaperi: limogé ou arrivé en fin de contrat? Les avis divergent dans la Presse en l’absence d’une explication officielle après le remplacement de M. Gaperi à la tête de l’OTR depuis samedi par le conseil des ministres.
Ce lundi, libre cours aux commentaires sur le changement à la tête de l’office Togolais des recettes (OTR). La Presse salue à l’unanimité cette décision qui ramène le Togolais Kodzo Adedze à la tête des deux régies financières.
Mais sur les raisons du départ du commissaire Henry Gaperi, chaque rédaction évoque ses arguments. Pour Forum de la semaine, Henry Gaperi est « viré pour Nepotisme ». Une information que le journal tire des indiscretions selon laquelle Henry Gaperi a commis des faits qui lui sont reprochés dont le nepotisme et l’emploi de ses compatriotes aux diplôme douteux, écrit le journal.
Liberté s’exclame: « Henry Gaperi enfin débarqué… ». Le journal trouve que « après l’échec et les malversations, un audit s’impose pour situer les responsabilités. Liberté se réjouit du fait que « le temps lui ait donné raison ». Il rappelle ses dénonciations: « Henry Gaperi sur le départ », un article de septembre 2016 dont des extraits sont ressortis pour montrer que la fumée était visible bien longtemps. Liberté pense que « les vraies déboires de l’OTR ont commencé depuis que l’arbre qui cachait la forêt a été déplacé…(ndlr: allusion à la sortie du puissant ministre de l’Economie et des finances Ayassor du gouvernement en août 2016) ».
Pour Nouvelle Opinion, c’est la « fin de mission pour Gaperi ». En revenant sur le communiqué du conseil des ministres, le journal rappelle: » au départ, beaucoup avait du mal à cerner les contours et la gestion de cette réforme économique opérée par les autorités togolaises (ndlr: en parlant de la mise en place de l’OTR) ».
Temps Nouveaux trouve que « Henry Gaperi est viré de l’OTR ». « Un chamboulement des plus inattendus s’est opéré à la tête de l’OTR », écrit le journal.
Togoreveil évoque aussi un limogeage du rwandais. Germain Pouli est revenu sur « le recrutement à polémique d’un étranger », tout en évoquant « les nouvelles perspectives à l’OTR »
Et Symphonie qui conclut: » Gaperi out… ». Le bimensuel note que cette décision est favorablement accueillie par l’opinion.
fulls news
Monday, February 27, 2017
La priorité n’est pas la même entre Enseignants et Gouvernants
En toile de fond des différentes revendications syndicales des enseignants, depuis quelques années, l’amélioration des conditions de vie et de travail. Mais apparemment, le Gouvernement ne semble pas être prêt à résoudre tous les problèmes. Deux raisons expliquent cette position de l’Exécutif togolais : le manque de moyens et la question de priorité dans les revendications. C’est ce qu’a fait comprendre le ministre Gilbert BAWARA.
« Il y a plusieurs problèmes qu’il faut régler », a reconnu le ministre BAWARA dans l’émission « D-12 » sur Pyramide Fm. Et ces problèmes sont selon lui, l’effectif insuffisant des enseignants, manque d’infrastructures, le renforcement de la formation et du système de recyclage et de perfectionnement des enseignants, manque d’équipements et de matériels didactiques et scolaires, et l’amélioration des conditions de vie et de travail des enseignants.
Malheureusement, le ministre en charge de la Fonction Publique dit regretter qu’« à ce jour, nous ne disposons pas de moyens pour répondre à certaines des revendications ». Raison évoquée : « c’est une question de moyens et de hiérarchisation des priorités », a-t-il justifié.
En d’autres termes, Gilbert BAWARA fait comprendre que la volonté du Gouvernement est d’aller certes vers une éducation de qualité qui voudrait qu’on résolve tous ces problèmes susmentionnés. « C’est en ce sens que nous sommes en train de travailler au niveau du groupe qui a été mis en place par le Gouvernement », a-t-il rassuré, tout en prévenant que tout ceci se fera « dans la limite des moyens et des ressources dont notre pays dispose ».Telegramme228
Téléphoner sans payer, c’est à partir du 31 mars 2017
Ce que l’on sait est qu’un Togolais à l’étranger, a la
possibilité d’utiliser encore sa carte SIM du Togo pour communiquer
grâce au « roaming ». Mais, à compter du 31 mars 2017, le « roaming »
sera gratuit, c’est-à-dire, il n’y aura plus de frais supplémentaires à
payer autres que les tarifs nationaux normaux de communication. Mais
attention, cette mesure ne concerne, pour le moment, que six pays de
l’Afrique de l’Ouest.
Un protocole d’accord à l’initiative du « free roaming » pour le Togo a été signé le 03 janvier 2017 à Dakar par la Ministère des Postes et de l’Économie Numérique. Pour cela, à partir du 31 mars 2017, « cet accord permettra aux Togolais qui se déplaceront au Sénégal, en Côte d’Ivoire, au Burkina-Faso, au Mali, en Guinée ou au Sierra Léone de ne plus payer de frais de roaming. Concrètement, il leur sera désormais possible d’utiliser leur carte SIM Togolaise au sein de ces pays sans payer de frais de communication supplémentaires », indique un communiqué dudit ministère.
L’objectif de ce « free roaming » est de faciliter la mobilité des populations à travers les télécommunications en réduisant les coûts de communication lorsque l’on se trouve dans la zone des États membres et favorise la cohabitation et la promotion d’un marché commun. La suppression des frais de roaming est régi le protocole d’accord sur les principes de base pour la mise en œuvre du « free roaming » fait à Abidjan le 28 novembre 2016.
Mais attention, pour l’heure, seuls les appels téléphoniques sont pris en compte par ce protocole d’accord ; les messages et la connexion à Internet n’en sont pas encore compris. Aussi ne faudra-t-il pas confondre le « roaming » à l’appel international. C’est une mesure qui concerne le « roaming » et non l’appel à l’international.
Le roaming est une fonctionnalité permettant d’utiliser son téléphone mobile, un Smartphone, une tablette, etc. même si le réseau de votre opérateur n’est pas disponible. Pour y souscrire, c’est simple au niveau des deux opérateurs de téléphonie mobile au Togo.
Chez « Moov », il n’y a pas de conditions particulières car tous les numéros prépayés disposent automatiquement des options Appel international et Appel en roaming. Et chez Togocellulaire, il suffit de composer « *104# » et lancer l’appel pour accéder à une liste d’options dont celle relative au roaming.
Jacques GAGNON
Un protocole d’accord à l’initiative du « free roaming » pour le Togo a été signé le 03 janvier 2017 à Dakar par la Ministère des Postes et de l’Économie Numérique. Pour cela, à partir du 31 mars 2017, « cet accord permettra aux Togolais qui se déplaceront au Sénégal, en Côte d’Ivoire, au Burkina-Faso, au Mali, en Guinée ou au Sierra Léone de ne plus payer de frais de roaming. Concrètement, il leur sera désormais possible d’utiliser leur carte SIM Togolaise au sein de ces pays sans payer de frais de communication supplémentaires », indique un communiqué dudit ministère.
L’objectif de ce « free roaming » est de faciliter la mobilité des populations à travers les télécommunications en réduisant les coûts de communication lorsque l’on se trouve dans la zone des États membres et favorise la cohabitation et la promotion d’un marché commun. La suppression des frais de roaming est régi le protocole d’accord sur les principes de base pour la mise en œuvre du « free roaming » fait à Abidjan le 28 novembre 2016.
Mais attention, pour l’heure, seuls les appels téléphoniques sont pris en compte par ce protocole d’accord ; les messages et la connexion à Internet n’en sont pas encore compris. Aussi ne faudra-t-il pas confondre le « roaming » à l’appel international. C’est une mesure qui concerne le « roaming » et non l’appel à l’international.
Le roaming est une fonctionnalité permettant d’utiliser son téléphone mobile, un Smartphone, une tablette, etc. même si le réseau de votre opérateur n’est pas disponible. Pour y souscrire, c’est simple au niveau des deux opérateurs de téléphonie mobile au Togo.
Chez « Moov », il n’y a pas de conditions particulières car tous les numéros prépayés disposent automatiquement des options Appel international et Appel en roaming. Et chez Togocellulaire, il suffit de composer « *104# » et lancer l’appel pour accéder à une liste d’options dont celle relative au roaming.
Jacques GAGNON
Sunday, February 26, 2017
Communiqué de l’ANVT
Le mardi 21 février 2017, un collectif d'anciens volontaires ont réclamé à travers des actions médiatiques leur maintien dans le système du volontariat, à travers des actions médiatiques, leur maintien dans le volontariat ou leur recrutement dans la fonction publique par le biais d’un concours qui leur serait spécialement dédié.
L’ANVT, dont la mission est d’offrir à la jeunesse togolaise des opportunités de participer aux solutions de développement du pays, tout en se faisant une première expérience du travail, tient à apporter une fois encore, des éclaircissements sur certains points importants.
• Le volontariat n’est pas un emploi.
Le volontaire est une personne qui s’engage en toute liberté et en toute connaissance de cause pour une cause désintéressée non rémunérée (Confère article 2, chapitre 1er de la Loi n°2011-001). Il ne peut donc s’identifier ni à un fonctionnaire, ni à un stagiaire mais se rapproche plus d’un bénévole. L’article 27 de la Loi n°2011-001, du 17 février 2011 portant institution et règlementation du volontariat national au Togo dispose en effet que : « Le contrat de volontariat ne relève ni du code du travail, ni du statut général de la fonction publique, sauf dispositions contraires expresses prévues par la présente loi».
Ainsi vu, l’agence n’a pas pour objectif d’offrir des emplois aux volontaires nationaux qui s’engagent mais de leur offrir un créneau pour se faire une première expérience du monde du travail et améliorer leur employabilité. Une employabilité qui leur permettra de décrocher des opportunités d’emploi ou de s’auto-employer dans l’avenir.
• Le volontaire reste un demandeur d’emploi
Un volontaire national est toujours au chômage, même en exerçant sa mission de volontariat dans une structure donnée. C’est pour cette raison que l’ANVT conseille toujours les volontaires de continuer les recherches d’emploi. Cette information est inscrite et mise en exergue sur toutes les fiches de candidature au volontariat national et est également présente sur la page des inscriptions en ligne sur le site web www.togoanvt.org .
Ainsi, les volontaires ayant fini leur mission ne « retournent » pas au chômage, puisqu’ils y sont depuis même leur entrée dans le volontariat.
Mais l’agence sensibilise régulièrement les structures d’accueil à offrir des opportunités d’emploi aux volontaires autant que possible.
• Le volontariat n’a pas pour finalité l’intégration tacite dans la fonction publique
Un volontaire mobilisé et déployé par l’ANVT a une mission bien déterminée qu’il doit remplir au sein d’une structure clairement identifiée et dans un délai d’un an. Au terme du délai d’un an, le contrat de volontariat peut –être renouvelé ou non, en fonction des disponibilités de la mission et des opportunités de l’agence (Confère article 28 de la loi n°2011-001 susmentionné).
Le volontaire cesse donc toute activité de volontariat à partir du moment où n’existe aucune convention entre lui et l’ANVT. Il n’est précisé nulle part que les volontaires en fin de mission devront « intégrer la fonction publique pour service rendu à la Nation ».
L’article 38 nouveau de la même loi stipule plutôt que « des prix d’excellence sont décernés aux volontaires nationaux, sur proposition du Ministre chargé du volontariat national par l’agence chargée de la gestion du volontariat, pour ses services et mérites rendus».
En ce sens, l’agence a décerné des prix à 5 meilleurs volontaires de l’année 2016 et espère poursuivre cette action en 2017 pour en faire une tradition.
Pour toutes informations complémentaires,
Saturday, February 25, 2017
Adhésion au Commonwealth : Puérile réaction de l’ANC
Une mission du Commonwealth a séjourné à Lomé pour évaluer la candidature du Togo, l’ANC n’est pas franchement emballé par cette perspective.
A la demande du Togo d’adhérer au Commonwealth, une mission de l’organisatin en séjour dans la capitale togolaise a rencontré les officiels, les partis politiques ainsi que les organisations de la société civile.
L’Alliance nationale pour le changement (ANC), le plus grand parti d’opposition, n’est pas vraiment enchanté par cette vision de la diplomatie togolaise conduite Robert Dussey. Cette adhésion n’est pas une « préoccupation de l’heure », selon l’ANC, une claire allusion aux revendications de l’opposition pour les réformes constitutionnelles et institutionnelles.
L’essentiel, c’est « rendre le Togo crédible », a déclaré Kossi Sévéaménou Dra, chef de la délégation de ce parti ayant rencontré les experts de cette institution. Une crédibilité qui passerait par l’application des réformes.
«Il faut faire en sorte que le Togo puisse devenir un Etat qui respecte les principes démocratiques et où l’alternance est effective avant d’intégrer ces organisations », affirme le chef de la délagation ANC.
Traduction : Le Commonwealth doit s’assurer de l’ancrage de la démocratie avant d’accepter leur adhésion.
«(…) pour le Commonwealth, la première règle d’intégration est de s’assurer que les pays respectent les droits de l’Homme, que la démocratie est en marche où qu’il y a des efforts qui se font pour l’atteindre », ajoute-t-il en guise Kossi Sévéaménou.
L’ANC a tout faux
Les leaders de l’ANC doivent savoir raison garder et ne pas s’enthousiasmer de regarder le monde par le petit bout de la lorgnette. Une vision holistique de la situation mériterait leur attention. La surenchère droit-de-lhommiste est une vision enfantine de la politique, des relations inter-Etats et même de ce qu’est un Etat moderne.
La démocratie est une question de timing, et le retard à l’allumage du Togo ne doit pas être un handicap pour son développement économique et le bien-être des populations. Ignorer les fonctions insoupçonnables que peut jouer la diplomatie dans le progrès des nations, c’est faire preuve de cécité politique.
Les Togolais ne doivent pas attendre l’avènement de la démocratie avant de chercher la voie voire la voix du développement.
Certes, le Commonwealth, communauté de 52 Etats ayant ou non un passé colonial avec le Royaume Uni, est un vaste marché ayant des atouts indéniables, même si le Togo sur le plan économique est quasi inexistant. Mais cette situation de dénuement industriel n’enlève rien à l’intérêt de l’offre. Au contraire.
Les avantages du Commonwealth
Tout d’abord, il suffit d’aller sur Wikipedia– Ah, partisans du moindre effort !- pour connaître des avantages. Et le premier objectif est politique : « Le Commonwealth fait la promotion d’une série de valeurs communes à ses membres telles que l’égalité, la non-discrimination, la démocratie et la primauté du droit. La déclaration de Harare de 1992 a reconnu l’importance particulière accordée aux droits de la personne, à l’éthique démocratique, à l’égalité des hommes, au développement durable et à la protection de l’environnement. »
On pourra objecter qu’il ne s’agit que d’une vue de l’esprit. La réalité est loin d’être aussi idyllique : sur le plan des droits de l’homme, le bilan est mitigé. Le Commonwealth n’accorde aucun avantage et ne dispose pas de moyens de pression sur ses membres. En réalité, pour des raisons d’ordre budgétaires, l’organisation ne fait que recenser les violations des droits de l’homme et peine à agir.
C’est d’ailleurs cette disposition qui pousserait le cynique régime togolais, spécialiste en violations des droits de l’homme à intégrer l’anglophonie. Mais ce n’est pas un groupe où l’impunité est garantie, les membres peuvent aller jusqu’à la très contraignante ONU.
Ensuite, pour les ressources humaines indispensables pour le développement des nations, il y a de l’espoir. Sur le plan du développement, les Etats bénéficient de l’appui de réseau d’organismes privés, bénévoles et professionnels. Il comprend entre autres des associations juridiques, médicales, d’universités et de parlementaires, des professionnels et des organisations médiatiques et sportives .
Puis, encore sur le plan économique, il y a un rôle important pour le progrès social et économique de ses membres. Le CFTC (Fonds du Commonwealth pour la coopération technique) soutient les efforts des pays membres en développement afin d’accélérer le rythme de leur croissance économique.
Il fournit des assistances techniques manquantes ou insuffisantes aux pays et un éventail de programmes de formation dans les secteurs considérés comme les piliers du développement économique.
Par exemple le Guyana a bénéficié dans ce cadre de la coopération de la Norvège pour protéger sa forêt équatoriale. Ce n’est pas rien !
Jean-Pierre Fabre, président de l’ANC, « chef de file de l’opposition »
Sortir du ghetto francophone
Bref, on pourra objecter qu’on trouve cet attirail dans n’importe quelle coopération multilatérale. Mais abondance de biens ne nuit pas. La multiplication des réseaux de coopération multilatérale, permet à la diplomatie togolaise d’offrir des moyens diversifiés à l’Etat du Togo mais aussi aux populations.
Enfin, une adhésion au Commonwealth peut permettre au Togo de sortir du ghetto de la Francophonie. Faut-il encore l’avouer, la francophonie est un frein pour les Etats africains restés dans un face-à-face avec la France.
Les perspectives d’entrer en anglophonie sont immenses, ne serait-ce que sur le plan culturel et scientifique.
Le Rwanda, concours de circonstance, certes, – le génocide et l’arrivée massive de citoyens anglophones en provenance d’Ouganda- mais aussi acuité de vision de Paul Kagame, a réussi à s’extraire de la sphère française et à s’ouvrir au monde extérieur. Loin des tares de la culture managériale à la française!
Le Rwanda a réussi à imposer la langue anglaise comme l’une des langues officielles, faisant de ces citoyens de bilingues. Les habitants de ce pays jouissent ainsi des avantages incommensurables en termes culturels et scienfitiques que d’avoir l’anglais comme langue de travail.
le temps
Friday, February 24, 2017
Togo / Santé : La FAO s’active pour une alimentation saine et décente au Togo
Les travaux d’échanges et de partage d’expérience sur la mise en place d’un cadre national de concertation sur la sécurité alimentaire et nutritionnelle au Togo, ont démarré mercredi à Lomé, a constaté un reporter de l’Agence de presse Afreepress. Prennent part à ces travaux, une soixantaine de techniciens et cadres venant des départements ministériels, des institutions internationales partenaires du Togo et des experts issus du Sénégal, du Cap-Vert et de la Bolivie impliqués dans la question de sécurité alimentaire et nutritionnelle dans leur pays respectif.
Ces travaux sont l’œuvre de l’Organisation des Nations Unies pour l’Alimentation et l’Agriculture (FAO), en collaboration avec le gouvernement togolais et s’inscrivent, selon la FAO, dans le cadre du projet intitulé : « Intégrer le droit à une alimentation adéquate et la bonne gouvernance au sein des politiques, législatives et institutions nationales ». Un projet financé par l’Etat de Norvège et exécuté par la FAO. « Au cours de ces rencontres d’échanges et de partage d’expériences, plusieurs acteurs d’horizons divers, mais tous soucieux d’un monde libéré de la faim et de la malnutrition, vont discuter des approches de mise en synergie des actions multiples et variées qui sont réalisées sur toute l’étendue du territoire pour assurer un développement agricole durable », a confié M. Isaac Monteiro, Représentant de la FAO au Togo à Afreepress.
La Secrétaire générale du ministère de l’Agriculture, de l’élevage et de l’hydraulique, Nèmè Hélène Bali a mis l’accent sur l’importance de la rencontre, qui selon elle, permet aux participants de partager leurs « connaissances avec les éminents experts nationaux et du Système des Nations Unies sur les expériences réussies ou non de la mise en place d’un cadre de concertation sur la sécurité alimentaire et nutritionnelle ». Le Togo, a-t-elle poursuivi, pourra s’en inspirer pour mettre en place un cadre fonctionnel et aboutir de façon progressive à la réalisation concrète du droit à l’alimentation pour tous. Elle fait noter que d’importants progrès ont été enregistrés par le Togo sur le plan de la gouvernance politique, institutionnelle, administrative et économique.
A l’issue de ces deux (2) jours de travaux, il sera question de mettre en œuvre certaines recommandations importantes de la revue diagnostique conduite au Togo en 2015, sur la réalisation du droit à une alimentation décente. Ces travaux vont également contribuer à la mise en place d’un cadre de concertation au niveau national sur la sécurité alimentaire et nutritionnelle.
Bernadette A.
Afreepress
Agbéyomé Kodjo : Juste 10 milliards d’euros pour faire zéro chômeur grâce à l’agriculture
Avec un investissement d’environ 6 550 milliards de F CFA, le président
National de l’Organisation Pour Bâtir dans l’Union un Togo Solidaire
(OBUTS) garanti de faire du Togo, une puissance agricole et par
ricochet, réduire le chômage à néant. Ancien Premier ministre, Président
de l’Assemblée Nationale et Directeur Général de Port Autonome de Lomé
sous le règne du feu Général Eyadema, l’économiste s’exprimait dans une
émission radio en début de semaine.
Que peuvent faire les dirigeants africains pour sortir nos pays du gouffre ? Gabriel Agbéyomé Mensah Kodjo fustige d’abord le système et surtout la mauvaise foi des pays occidentaux à l’égard des pays africains lésés dans une sorte de coopération empoisonnée.
Les dirigeants africains, selon Agbéyomé Kodjo, seraient piégés dans un étau où, la moindre boude du système de spoliation de l’Afrique par l’occident résulte des conspirations de tout acabit, mettant leur vie en danger. Il cite le cas de l’ancien président ivoirien Laurent Gbagbo qui se serait à un moment donné, insurgé contre la mainmise de la France sur les ressources ivoiriennes. « Aujourd’hui, le cas Gbagbo apparaît comme un fait que nous vivons », a-t-il souligné.
Si tant est que selon le magazine Forbes, 8 des personnes les plus riches au monde détiendraient la moitié des revenus de la planète, c’est qu’il y a un sérieux problème. D’où l’interpellation de M. Agbéyomé à la communauté internationale : « pourquoi ne pas créer une fonds » qui financerait en Afrique avec un moratoire de 50 ans sur le remboursement ?
Le leader du parti OBUTS estime que l’Afrique a été tellement spoliée que les systèmes d‘accompagnement au développement du continent actuellement reviennent tout simplement à perpétuer la pauvreté avec les jeunes qui finissent par se «suicider» dans la méditerranée, dans leur rêve de rallier l’eldorado occidental.
Ce n’est pas non plus sans rebondir sur la mauvaise gouvernance, la corruption et surtout les cumuls de postes ou les séjours éternels dans l’administration.
Selon Agbéyomé Kodjo, c’est un agent vecteur du chômage galopant. Même si le sevrage ne vient pas du gouvernement, ces personnes à trois pâtes qui s’accrochent encore aux postes, non des moindres dans l’administration, devraient céder la place aux jeunes plein d’énergie.
icilome
A.Lemou
Que peuvent faire les dirigeants africains pour sortir nos pays du gouffre ? Gabriel Agbéyomé Mensah Kodjo fustige d’abord le système et surtout la mauvaise foi des pays occidentaux à l’égard des pays africains lésés dans une sorte de coopération empoisonnée.
Les dirigeants africains, selon Agbéyomé Kodjo, seraient piégés dans un étau où, la moindre boude du système de spoliation de l’Afrique par l’occident résulte des conspirations de tout acabit, mettant leur vie en danger. Il cite le cas de l’ancien président ivoirien Laurent Gbagbo qui se serait à un moment donné, insurgé contre la mainmise de la France sur les ressources ivoiriennes. « Aujourd’hui, le cas Gbagbo apparaît comme un fait que nous vivons », a-t-il souligné.
Si tant est que selon le magazine Forbes, 8 des personnes les plus riches au monde détiendraient la moitié des revenus de la planète, c’est qu’il y a un sérieux problème. D’où l’interpellation de M. Agbéyomé à la communauté internationale : « pourquoi ne pas créer une fonds » qui financerait en Afrique avec un moratoire de 50 ans sur le remboursement ?
Le leader du parti OBUTS estime que l’Afrique a été tellement spoliée que les systèmes d‘accompagnement au développement du continent actuellement reviennent tout simplement à perpétuer la pauvreté avec les jeunes qui finissent par se «suicider» dans la méditerranée, dans leur rêve de rallier l’eldorado occidental.
Ce n’est pas non plus sans rebondir sur la mauvaise gouvernance, la corruption et surtout les cumuls de postes ou les séjours éternels dans l’administration.
Selon Agbéyomé Kodjo, c’est un agent vecteur du chômage galopant. Même si le sevrage ne vient pas du gouvernement, ces personnes à trois pâtes qui s’accrochent encore aux postes, non des moindres dans l’administration, devraient céder la place aux jeunes plein d’énergie.
icilome
A.Lemou
Thursday, February 23, 2017
Offrir de nouvelles formations aux jeunes L’ESAG-NDE va enseigner les énergies renouvelables et l’agriculture
Pour
permettre aux jeunes de saisir de nouvelles opportunités d’emploi
qu’offre le marché de l’emploi, l’ESAG-NDE envisage offrir de nouvelles
formations à leur endroit.
C’est ce qu’à annoncé lundi à Lomé, la Directrice générale de ladite école, Sr Pauline Suka.
Ces nouvelles formations, a-t-elle déclaré, porteront entre autres sur les énergies renouvelables, l’agriculture et éventuellement la médecine. « Elles ont pour but d’aider davantage la société, les demandeurs de formations et les entreprises à disposer de cadres », a-t-elle ajouté.
L’ESAG-NDE souhaite également ouvrir ses portes dans les banlieues pour permettre à plus de monde de profiter de ses formations. Elle offre des diplômes reconnus par le CAMES.
Ces nouvelles formations, a-t-elle déclaré, porteront entre autres sur les énergies renouvelables, l’agriculture et éventuellement la médecine. « Elles ont pour but d’aider davantage la société, les demandeurs de formations et les entreprises à disposer de cadres », a-t-elle ajouté.
L’ESAG-NDE souhaite également ouvrir ses portes dans les banlieues pour permettre à plus de monde de profiter de ses formations. Elle offre des diplômes reconnus par le CAMES.
Wednesday, February 22, 2017
TOGO : Nouvelle grève de trois jours des enseignants : Poussé dans son dernier retranchement, le gouvernement contraint de dévoiler ses intentions
Les multiples tours de passe-passe et la diversion orchestrée par le gouvernement depuis plusieurs années semblent avoir atteint leur point de chute. Il n’est plus de secret pour personne que les principales revendications des syndicats d’enseignants tournent autour de la régularisation de certaines situations administratives et de l’octroi des primes inhérentes à la l’exercice de la fonction enseignante. Si pour le premier cas, le gouvernement a fini par agir sous la contrainte, la dribble programmée quant aux retombées financières n’a pas été effective. Les contraintes budgétaires seraient à l’origine de la non satisfaction des revendications. Mensonge d’Etat.
De quand datent ces revendications ? Ce qui se réclame aujourd’hui est inscrit dans la Réforme de l’enseignement de 1975. Les doléances réactivées il y a plusieurs années ont poireauté au Cadre Permanent de Concertation pendant cinq ans sans que rien ne se fasse. La CSET n’a pris le relais qu’en 2016 et ce, après avoir pris soin d’envoyer des correspondances qui sont restées sans suite. Le gouvernement a cru opérer une première dribble en reportant la rentrée au nom du Sommet sur la Sécurité Maritime pour lequel 13 milliards ont été débloqués et dilapidés.
Entre menaces, intimidations, précomptes fantaisistes, affectations punitives, conciliations et dialogue, le gouvernement lâche le mot : contraintes budgétaires. Si ce n’est une volonté délibérée de ne pas satisfaire les revendications, pourquoi n’avoir pas pris les mesures en amont avant l’adoption du budget quand on sait que ce n’est pas en 2017 que les réclamations ont commencé ? Pourquoi avoir fait perdurer les points inscrits sur la plateforme au CPC pendant 5 ans si Faure Gnassingbé et son gouvernement voulaient y accéder. Nulle part dans le budget 2017, il n’est inscrit une ligne relative à un quelconque sommet.
Pourtant le gouvernement s’active pour organiser le sommet Afrique-Israel à Lomé cette année. Il en est de même pour les élections locales dont aucune trace des sources de financement ne se trouve dans le budget 2017. De quoi veut-on parler alors aux enseignants ? En tout état de cause, le gouvernement est dans son dernier retranchement.
Et ce n’est pas la horde de soi-disant parents d’élèves qu’on a fait venir à la Primature pour déverser des inepties qui le sauver. Le débrayage reprend ce mardi. Et l’on attend de voir.
le correcteur
Tuesday, February 21, 2017
Les juridictions et services pénitentiaires ont besoin de moyens
Un rapport d’audit de
l’inspection générale et juridictions pénitentiaires recommande plus de
moyens pour un meilleur rendement de la justice.
L’audit des juridictions et de
l’inspection générale des services juridictionnels et pénitentiaires a
été validé. Cet audit vient « parachever le processus des études de
diagnostic pour identifier les leviers capables d’accélérer la
modernisation et d’affiner le ciblage des axes d’intervention des
partenaires».
L’étude appelait à analyser l’adéquation
entre les attributions et les moyens des services du ministère, de
dégager les causes de dysfonctionnements éventuels.
Cette étude a pris en compte la Cour suprême, les Cours d’Appel de Lomé et de Kara, le Tribunal de première instance (TPI) de 1ère classe de Lomé, les TPI de 2ème classe de Kara et d’Atakpamé, les TPI de 3ème classe de Tsévié et de Bafilo ainsi que l’Inspection Générale des Services Juridictionnels et Pénitentiaires (IGSJP).
Les résultats recommandent le
renforcement du personnel de la Cour suprême en magistrats et greffiers,
l’augmentation de son budget, l’intensification de la résorption du
passif des dossiers, la stabilisation du fonctionnement des cabinets
d’instruction, l’adoption du projet de texte sur les assignations et le
traitement en ligne, la modernisation de la justice sociale et la
construction d’un tribunal pour enfants.
A propos des statistiques au niveau de la
justice togolaise, jusqu’en décembre 2016, le ministre en charge de la
Justice a indiqué que « l’ensemble de l’effectif en place au sein du
ministère s’élevait à 1345 agents, dont 18% de magistrats, 15% de
greffiers, 18% de personnel administratifs, 35% de surveillants de
l’administration pénitentiaire, 13% de volontaires et bénévoles et 1% de
contractuels».
Les défis conjoncturels et structurels
demeurent nombreux. « Nous pouvons affirmer que la justice togolaise a
emprunté courageusement la voie de la réforme en profondeur de son mode
de fonctionnement pour aboutir à un système performant qui, tout en
étant un levier essentiel du développement économique du pays, assure la
protection efficace des droits et libertés des citoyens»
letemps
Monday, February 20, 2017
TOGO : REMISE OFFICIELLE DE MANUELS SCOLAIRES AUX ELEVES DE L’EPP NYEKONAKPOE
Le ministère de l’enseignement primaire, secondaire et de la
formation professionnelle en collaboration avec le partenariat mondial
pour l’éducation (PME) à procédé le jeudi 16 février 2017 à Lomé au
lancement de distribution gratuite de manuels scolaires aux élèves du
CP1 de toutes les régions du Togo.
Cette distribution de manuels scolaires de français et des mathématiques et les guides du maître pour l’enseignant, s’inscrit dans le cadre du projet Education et Renforcement Institutionnel phase 2 (PERI-2), prend en compte tous les apprenants sur toute l’étendue du territoire nationale y compris les écoles confessionnelles et privées.
L’élaboration de ces nouveaux manuels pour les élèves et des guides du maitre au primaire engagée par le gouvernement s’est faite dans le but de rendre les programmes plus pertinent et plus lisible aux élèves et aux enseignants .
Pour le représentant de la représentante résidente de la Banque Mondiale au Togo monsieur Godwill KAN TANGE , la distribution de 825.426 manuels de mathématiques et de français pour les cours de CP1 dont 42.000 guides du maitre sont une réussite concrète de la mise en œuvre du PERI-2 pour une meilleure approche pédagogique.
Le ministre de l’Enseignement Primaire, Secondaire et de la Formation Professionnelle, monsieur Komi TCHAKPELE qui a présidé la séance, a estimé que le lancement officiel de la gratuité des manuels participe à la volonté du gouvernement d’assurer l’égalité d’accès a l’école à tous les enfants quelque soit la situation socio- économique de leur parents. Il par ailleurs encouragé les enseignants à faire un bon usage pédagogique des documents afin d’améliorer la qualité de l’éducation au Togo.
RADIO LOME
Cette distribution de manuels scolaires de français et des mathématiques et les guides du maître pour l’enseignant, s’inscrit dans le cadre du projet Education et Renforcement Institutionnel phase 2 (PERI-2), prend en compte tous les apprenants sur toute l’étendue du territoire nationale y compris les écoles confessionnelles et privées.
L’élaboration de ces nouveaux manuels pour les élèves et des guides du maitre au primaire engagée par le gouvernement s’est faite dans le but de rendre les programmes plus pertinent et plus lisible aux élèves et aux enseignants .
Pour le représentant de la représentante résidente de la Banque Mondiale au Togo monsieur Godwill KAN TANGE , la distribution de 825.426 manuels de mathématiques et de français pour les cours de CP1 dont 42.000 guides du maitre sont une réussite concrète de la mise en œuvre du PERI-2 pour une meilleure approche pédagogique.
Le ministre de l’Enseignement Primaire, Secondaire et de la Formation Professionnelle, monsieur Komi TCHAKPELE qui a présidé la séance, a estimé que le lancement officiel de la gratuité des manuels participe à la volonté du gouvernement d’assurer l’égalité d’accès a l’école à tous les enfants quelque soit la situation socio- économique de leur parents. Il par ailleurs encouragé les enseignants à faire un bon usage pédagogique des documents afin d’améliorer la qualité de l’éducation au Togo.
RADIO LOME
Togo : Les juridictions et services pénitentiaires ont besoin de moyens
Un rapport d’audit de
l’inspection générale et juridictions pénitentiaires recommande plus de
moyens pour un meilleur rendement de la justice.
L’audit des juridictions et de
l’inspection générale des services juridictionnels et pénitentiaires a
été validé. Cet audit vient « parachever le processus des études de
diagnostic pour identifier les leviers capables d’accélérer la
modernisation et d’affiner le ciblage des axes d’intervention des
partenaires».
L’étude appelait à analyser l’adéquation
entre les attributions et les moyens des services du ministère, de
dégager les causes de dysfonctionnements éventuels.
Cette étude a pris en compte la Cour suprême, les Cours d’Appel de Lomé et de Kara, le Tribunal de première instance (TPI) de 1ère classe de Lomé, les TPI de 2ème classe de Kara et d’Atakpamé, les TPI de 3ème classe de Tsévié et de Bafilo ainsi que l’Inspection Générale des Services Juridictionnels et Pénitentiaires (IGSJP).
Les résultats recommandent le
renforcement du personnel de la Cour suprême en magistrats et greffiers,
l’augmentation de son budget, l’intensification de la résorption du
passif des dossiers, la stabilisation du fonctionnement des cabinets
d’instruction, l’adoption du projet de texte sur les assignations et le
traitement en ligne, la modernisation de la justice sociale et la
construction d’un tribunal pour enfants.
A propos des statistiques au niveau de la
justice togolaise, jusqu’en décembre 2016, le ministre en charge de la
Justice a indiqué que « l’ensemble de l’effectif en place au sein du
ministère s’élevait à 1345 agents, dont 18% de magistrats, 15% de
greffiers, 18% de personnel administratifs, 35% de surveillants de
l’administration pénitentiaire, 13% de volontaires et bénévoles et 1% de
contractuels».
Les défis conjoncturels et structurels
demeurent nombreux. « Nous pouvons affirmer que la justice togolaise a
emprunté courageusement la voie de la réforme en profondeur de son mode
de fonctionnement pour aboutir à un système performant qui, tout en
étant un levier essentiel du développement économique du pays, assure la
protection efficace des droits et libertés des citoyens»
LE TEMPS
Sunday, February 19, 2017
Cérémonies d’échanges de vœux au siège de l’ANC
Ils étaient environs 2000 militantes et militants à avoir pris
d’asseau le siège du parti ce mercredi 8 février 2017, pour la cérémonie
d’échanges de vœux de l’ANC.
Dès 10 h du matin, c’est au son de tam-tams et de chants que les délégations des fédérations des Lacs, de Vo, de Yoto, du Haho, du Zio, de l’Avé, de Kloto, du Bas Mono, de l’Amou et des 14 fédérations de Lomé et Golfe, ainsi que celles des associations des femmes commerçantes des marchés de Lomé, celles des conducteurs de taxis motos et des amicales de ressortissants de certaines préfectures du Togo, sont accueillies au siège de l’ANC.
C’est vers 15 heures que le Président National a rejoint le siège de l’ANC où l’attendaient, outre les délégations des fédérations et des associations, les membres des structures du parti : Comité exécutif, Comité politique, Bureau National, Groupe parlementaire ANC, Dames de l’ANC (DNC) et la Jeunesse de l’ANC (JNC).
Tour à tour, les porte-paroles des délégations présentes ont pris la parole pour présenter leurs vœux aux premiers responsables du parti et apporter leur soutien à la politique et à la clairvoyance de Jean-Pierre FABRE, Président National de l’ANC
La vice-présidente, Manavi Isabelle AMEGANVI, en sa qualité de présidente du groupe parlementaire ANC a, au nom des députés, témoigné sa reconnaissance au Président national et à tout le parti pour le soutien dont ils ont bénéficié tout au long de cette législature et particulièrement durant l’année écoulée. Elle a brossé l’immense travail abattu à l’Assemblée nationale, par les députés de l’ANC, au cours de l’année 2016. Elle a précisé que 30 textes de lois ont été adoptés au parlement et que l’opposition parlementaire a procédé à 12 interpellations et questions au gouvernement au titre du contrôle de l’action gouvernementale.
Touché par les vœux et les marques de sympathie, le Président national a imploré la grâce divine sur le parti, sur les militantes et militants ainsi que sur toute la Nation togolaise. Puis, il a présenté ses vœux de santé, de bonheur et d’amour à l’assistance. Il a assuré, à travers ceux qui étaient présents, toutes les populations togolaises, de sa détermination à poursuivre la lutte avec détermination jusqu’à la victoire finale.
Le Président Jean-Pierre FABRE, a par ailleurs informé l’assistance sur le contenu de l’entretien qu’il a eu avec la Commission de réflexion sur les réformes, présidée par Mme Awa Nana. A ce propos, le Président National a déclaré que cette commission n’a aucune légitimité et n’inspire aucune confiance. Il a réaffirmé la nécessité de procéder rapidement à la mise en œuvre des réformes institutionnelles, constitutionnelles et électorales dans le respect absolu de l’esprit et la lettre de l’Accord politique global (APG) signé depuis onze ans. Jean-Pierre FABRE a rappelé que la seule démarche pour la mise en œuvre de l’APG est le consensus et qu’aucune commission ne peut se substituer à elle.
Jean-Pierre FABRE a saisi l’occasion pour condamner la fermeture de LCF et City Fm, par la HAAC en violation des lois des la République. Il a rappelé, à cet effet, que l’ANC a à maintes reprises condamné l’instrumentalisation des institutions de la République par le régime RPT/UNIR pour régler des problèmes politiques et se maintenir au pouvoir contre la volonté du peuple togolais. A ce sujet, Jean-Pierre FABRE a également rappelé le contenu de la lettre qu’il avait adressé au Chef de l’Etat, le 13 janvier dernier.
ANC TOGO
Dès 10 h du matin, c’est au son de tam-tams et de chants que les délégations des fédérations des Lacs, de Vo, de Yoto, du Haho, du Zio, de l’Avé, de Kloto, du Bas Mono, de l’Amou et des 14 fédérations de Lomé et Golfe, ainsi que celles des associations des femmes commerçantes des marchés de Lomé, celles des conducteurs de taxis motos et des amicales de ressortissants de certaines préfectures du Togo, sont accueillies au siège de l’ANC.
C’est vers 15 heures que le Président National a rejoint le siège de l’ANC où l’attendaient, outre les délégations des fédérations et des associations, les membres des structures du parti : Comité exécutif, Comité politique, Bureau National, Groupe parlementaire ANC, Dames de l’ANC (DNC) et la Jeunesse de l’ANC (JNC).
Tour à tour, les porte-paroles des délégations présentes ont pris la parole pour présenter leurs vœux aux premiers responsables du parti et apporter leur soutien à la politique et à la clairvoyance de Jean-Pierre FABRE, Président National de l’ANC
La vice-présidente, Manavi Isabelle AMEGANVI, en sa qualité de présidente du groupe parlementaire ANC a, au nom des députés, témoigné sa reconnaissance au Président national et à tout le parti pour le soutien dont ils ont bénéficié tout au long de cette législature et particulièrement durant l’année écoulée. Elle a brossé l’immense travail abattu à l’Assemblée nationale, par les députés de l’ANC, au cours de l’année 2016. Elle a précisé que 30 textes de lois ont été adoptés au parlement et que l’opposition parlementaire a procédé à 12 interpellations et questions au gouvernement au titre du contrôle de l’action gouvernementale.
Touché par les vœux et les marques de sympathie, le Président national a imploré la grâce divine sur le parti, sur les militantes et militants ainsi que sur toute la Nation togolaise. Puis, il a présenté ses vœux de santé, de bonheur et d’amour à l’assistance. Il a assuré, à travers ceux qui étaient présents, toutes les populations togolaises, de sa détermination à poursuivre la lutte avec détermination jusqu’à la victoire finale.
Le Président Jean-Pierre FABRE, a par ailleurs informé l’assistance sur le contenu de l’entretien qu’il a eu avec la Commission de réflexion sur les réformes, présidée par Mme Awa Nana. A ce propos, le Président National a déclaré que cette commission n’a aucune légitimité et n’inspire aucune confiance. Il a réaffirmé la nécessité de procéder rapidement à la mise en œuvre des réformes institutionnelles, constitutionnelles et électorales dans le respect absolu de l’esprit et la lettre de l’Accord politique global (APG) signé depuis onze ans. Jean-Pierre FABRE a rappelé que la seule démarche pour la mise en œuvre de l’APG est le consensus et qu’aucune commission ne peut se substituer à elle.
Jean-Pierre FABRE a saisi l’occasion pour condamner la fermeture de LCF et City Fm, par la HAAC en violation des lois des la République. Il a rappelé, à cet effet, que l’ANC a à maintes reprises condamné l’instrumentalisation des institutions de la République par le régime RPT/UNIR pour régler des problèmes politiques et se maintenir au pouvoir contre la volonté du peuple togolais. A ce sujet, Jean-Pierre FABRE a également rappelé le contenu de la lettre qu’il avait adressé au Chef de l’Etat, le 13 janvier dernier.
ANC TOGO
Saturday, February 18, 2017
Développement : 92 millions de F CFA du Japon en faveur des projets à caractère social
L’Ambassadeur du Japon
au Togo Hiroshi KAWAMURA et une délégation ont signé ce mercredi 15
février 2017 à Lomé, une convention de financement à un coût global de
92 millions de francs CFA avec le Togo. Cette convention se situe dans
le cadre du projet de construction de forages dans trois villages du
canton de Baguida et un projet de construction et d’équipement au profit
de l’école publique de Kpalimé-Nogou.
Au cours de cette convention la somme de
45 millions de francs CFA est allée au projet de construction et
d’équipement de l’école publique Kpalimé-Nogou. Il sera question selon
les donateurs, de la construction de trois salles de classes en dur, un
bureau de directeur, un magasin et des cabines d’hygiène, de la
fourniture de 120 tables-bancs et 4 bureaux d’instituteurs. Ceci pour
améliorer les conditions de vie et de travail des élèves et des
enseignants de cette localité. Une enveloppe de 46 millions de francs
CFA est allée au projet de construction de forages dans trois villages
du canton de Baguida à savoir Dévégo centre, Darrah Kopé et Wolibo Kopé.
Théophile K.
Afreepress
Friday, February 17, 2017
Togo : Au nom de l’apaisement!
Le 06 février dernier, la Haute Autorité
de l’Audiovisuel et de la Communication (HAAC) a pris la décision de
retirer les fréquences à LCF et à City FM au motif que ces organes n’ont
obtenu aucune autorisation régulière d’installation et d’exploitation
auprès de la Haute Autorité.
Pour ceux qui connaissent un tant soit peu le dossier, il est en effet patent que les deux chaînes n’ont pas satisfait aux exigences encadrant l’obtention de fréquences radiophoniques dans notre pays et n’ont dès lors pas signé de conventions avec la HAAC précisant leurs cahiers de charges. Il est aussi un secret de polichinelle que l’arrivée de ces médias s’est faite dans des conditions encore floues, voire opaques, dénoncées en son temps, par la presse. C’est d’ailleurs pour cela que les différentes initiatives prises pour éviter la fermeture des deux stations, l’ont été de façon discrète et les plaidoyers en faveur d’une poursuite des activités, fondés non pas sur le droit mais sur la nécessaire préservation de l’espace de liberté. C’est aussi pour cela que les intervenants dans le dossier, ont suggéré pour la plupart, que les concernés évitent des postures ou déclarations, susceptibles d’être vues comme établissant un rapport de force ou créant les conditions d’un affrontement par médias ou réseaux interposés, avec instrumentalisation de la situation.
Cependant, en choisissant de procéder à la fermeture de LCF et de City FM, alors même qu’à notre sens, les discussions multiformes ne sont pas encore épuisées, la HAAC n’a laissé guère de chance à la possibilité d’une solution qui préserve l’espace de libre expression ainsi que l’emploi. Même sans avoir été régulière à sa naissance, LCF s’est installée dans le paysage médiatique togolais depuis bientôt 10 ans, constituant l’une des chaînes les plus regardées. Elle contribuait à la diversité et au pluralisme médiatique et proposait certaines émissions de qualité, qui avaient leurs publics. Au surplus, après avoir laissé presqu’une décennie une situation de fait, exister sans aucun problème, aucune urgence n’imposait que le couperet tombe aussi rapidement. La mesure est d’autant plus amère qu’elle signifie pour plusieurs dizaines de confrères et autres petites mains, la fin d’une belle aventure, pire, l’inscription au chômage.
Elle est aussi annonciatrice d’une période de tensions entre la HAAC et les professionnels de médias, à l’heure où justement plusieurs questions cruciales se posent à la corporation qui nécessiteraient une synergie d’actions et d’initiatives, mais dans un climat de sérénité. Le Togo, dans ce contexte, va également devoir s’attendre à être épinglé sur le plan international comme prédateur de la presse, fondée ou pas que fût la décision sur le plan administratif ou juridique.
Le pays devra aussi se résoudre à perdre probablement des points dans le classement annuel de Reporters sans Frontières, tout comme auprès des différents mécanismes d’évaluation de la situation de la liberté de presse dans le monde. Et sans doute dans le processus pourtant bien engagé du Millenium Challenge Account. C’est dire donc que le coût du retrait des fréquences sera cher payé pour des gains aléatoires. Il est encore temps de récupérer la situation en permettant aux deux chaînes, de régulariser leur dossier. C’est ce que les Sénégalais ont fait au départ d’Abdoulaye WADE, dont le régime avait laissé s’installer des médias en violation de la législation en vigueur. Ceux-ci ont été invités tout simplement à régulariser leur situation, suite aux interventions des organisations de presse.
Il y a une bonne leçon à tirer de cet évènement. Quel que soit notre niveau de pouvoir et quelle que fut notre influence, ayons l’humilité et le réflexe citoyen de respecter scrupuleusement les textes. Nul en effet ne lit l’avenir.
Pour ceux qui connaissent un tant soit peu le dossier, il est en effet patent que les deux chaînes n’ont pas satisfait aux exigences encadrant l’obtention de fréquences radiophoniques dans notre pays et n’ont dès lors pas signé de conventions avec la HAAC précisant leurs cahiers de charges. Il est aussi un secret de polichinelle que l’arrivée de ces médias s’est faite dans des conditions encore floues, voire opaques, dénoncées en son temps, par la presse. C’est d’ailleurs pour cela que les différentes initiatives prises pour éviter la fermeture des deux stations, l’ont été de façon discrète et les plaidoyers en faveur d’une poursuite des activités, fondés non pas sur le droit mais sur la nécessaire préservation de l’espace de liberté. C’est aussi pour cela que les intervenants dans le dossier, ont suggéré pour la plupart, que les concernés évitent des postures ou déclarations, susceptibles d’être vues comme établissant un rapport de force ou créant les conditions d’un affrontement par médias ou réseaux interposés, avec instrumentalisation de la situation.
Cependant, en choisissant de procéder à la fermeture de LCF et de City FM, alors même qu’à notre sens, les discussions multiformes ne sont pas encore épuisées, la HAAC n’a laissé guère de chance à la possibilité d’une solution qui préserve l’espace de libre expression ainsi que l’emploi. Même sans avoir été régulière à sa naissance, LCF s’est installée dans le paysage médiatique togolais depuis bientôt 10 ans, constituant l’une des chaînes les plus regardées. Elle contribuait à la diversité et au pluralisme médiatique et proposait certaines émissions de qualité, qui avaient leurs publics. Au surplus, après avoir laissé presqu’une décennie une situation de fait, exister sans aucun problème, aucune urgence n’imposait que le couperet tombe aussi rapidement. La mesure est d’autant plus amère qu’elle signifie pour plusieurs dizaines de confrères et autres petites mains, la fin d’une belle aventure, pire, l’inscription au chômage.
Elle est aussi annonciatrice d’une période de tensions entre la HAAC et les professionnels de médias, à l’heure où justement plusieurs questions cruciales se posent à la corporation qui nécessiteraient une synergie d’actions et d’initiatives, mais dans un climat de sérénité. Le Togo, dans ce contexte, va également devoir s’attendre à être épinglé sur le plan international comme prédateur de la presse, fondée ou pas que fût la décision sur le plan administratif ou juridique.
Le pays devra aussi se résoudre à perdre probablement des points dans le classement annuel de Reporters sans Frontières, tout comme auprès des différents mécanismes d’évaluation de la situation de la liberté de presse dans le monde. Et sans doute dans le processus pourtant bien engagé du Millenium Challenge Account. C’est dire donc que le coût du retrait des fréquences sera cher payé pour des gains aléatoires. Il est encore temps de récupérer la situation en permettant aux deux chaînes, de régulariser leur dossier. C’est ce que les Sénégalais ont fait au départ d’Abdoulaye WADE, dont le régime avait laissé s’installer des médias en violation de la législation en vigueur. Ceux-ci ont été invités tout simplement à régulariser leur situation, suite aux interventions des organisations de presse.
Il y a une bonne leçon à tirer de cet évènement. Quel que soit notre niveau de pouvoir et quelle que fut notre influence, ayons l’humilité et le réflexe citoyen de respecter scrupuleusement les textes. Nul en effet ne lit l’avenir.
Thursday, February 16, 2017
Togo : Affrontements entre populations autochtones et nomades dans la préfecture de l’Oti : Le chef de l’Etat appelle au calme
Le chef de l’Etat Faure Gnassingbé a dépêché
mercredi, les ministres Yark Damehame de la Sécurité et de la
Protection Civile et Mme Yentcharé Kolani de la Protection sociale,
dans la localité de Tamkpamba dans la préfecture de l’Oti suite à un
braquage à main armée intervenu dans cette partie du pays dans la nuit
du 8 au 9 février dernier où trois citoyens ont perdu la vie. Un crime
qui a suscité la réaction violente des familles et proches des trois
personnes entrainant des heurts entre populations autochtones et nomades
(accusés du crime). Des heurts ayant occasionné des morts et
d’importants dégâts matériels dans les localités de Nali, Kountouaré et
Koumongou.
En effet des suspects de ce braquage identifiés comme des bergers peulh, seront à leur tour attaqués, eux et leur communauté, faisant cinq morts ce qui porte le bilan à 8 personnes tuées dans ces rixes entre populations. Une situation qui ne laisse pas indifférent le premier des Togolais qui a dépêché une délégation sur place pour présenter ses « condoléances aux familles éplorées et leur apporter un message de paix et de retenue», a appris l’Agence de presse Afreepress.
Les ministres dépêchés dans la localité ont appelé les populations au calme et à la retenue. Elles ont été exhortées à cultiver les valeurs du vivre-ensemble, l’acceptation mutuelle et la tolérance. Le ministre Yark les a particulièrement appelées à faire preuve de vigilance pour alerter la police sur tout individu suspect. Aux forces de l’ordre, il a demandé d’éviter la « compromission » et de redoubler d’effort afin de « préserver et d’assurer la sécurité des populations ».
Il faut rappeler que les affrontements dans la localité de Tankpamba et ses avirons ont occasionné le déplacement de milliers de personnes en majorité des peulh.
Fabian A.
Afreepress
En effet des suspects de ce braquage identifiés comme des bergers peulh, seront à leur tour attaqués, eux et leur communauté, faisant cinq morts ce qui porte le bilan à 8 personnes tuées dans ces rixes entre populations. Une situation qui ne laisse pas indifférent le premier des Togolais qui a dépêché une délégation sur place pour présenter ses « condoléances aux familles éplorées et leur apporter un message de paix et de retenue», a appris l’Agence de presse Afreepress.
Les ministres dépêchés dans la localité ont appelé les populations au calme et à la retenue. Elles ont été exhortées à cultiver les valeurs du vivre-ensemble, l’acceptation mutuelle et la tolérance. Le ministre Yark les a particulièrement appelées à faire preuve de vigilance pour alerter la police sur tout individu suspect. Aux forces de l’ordre, il a demandé d’éviter la « compromission » et de redoubler d’effort afin de « préserver et d’assurer la sécurité des populations ».
Il faut rappeler que les affrontements dans la localité de Tankpamba et ses avirons ont occasionné le déplacement de milliers de personnes en majorité des peulh.
Fabian A.
Afreepress
Wednesday, February 15, 2017
Agbéyomé Kodjo avertit : « Plus vous prétendez comprimer la presse, plus l’explosion sera forte »
par
Gabinho
On l’a moins entendu se prononcer sur le dossier de la fermeture des radio et télévision, City Fm et LCF, toutes du groupe Sud Média. Le président national du parti politique OBUTS, Gabriel Messan Agbéyomé Kodjo a donné son avis ce mardi à travers un post dans les groupes de discussions sur WhatApps.
Pour l’ancien Premier ministre du président Gnassingbé Eyadéma, « la fermeture de la chaîne de télévision LCF, et de la Radio City FM est une grave entorse faite à la liberté d’expression et à la démocratie en construction dans notre pays ». Raison pour laquelle, au nom de son parti, il « exhorte le Président de la HAAC à rapporter sans délai sa décision et à engager des discussions avec le Groupe Sud Média afin que celui ci se conforme aux dispositions administratives en vigueur ».
Il en appelle ainsi au bon sens vu qu’une telle décision de la HAAC de mettre sous éteignoir ces deux organes de presse, « en ces temps de crise économique sévère, … alourdit le nombre de chômeurs, et accentue la précarité dans notre pays ».
Et comme conseil d’ami aux actuels gouvernants du pays, il se fonde sur la citation de René de Chateaubriand selon laquelle, « plus vous prétendez comprimer la presse, plus l’explosion sera forte. Il faut donc vous résoudre à vivre avec elle ».
En attendant la suite dans ce feuilleton HAAC vs LCF-City Fm, il est à noter que ce mardi 14 Février, à l’appel des organisations de la Société civile, des auditeurs et téléspectateurs de ces deux organes ont battu le pavé pour réclamer la réouverture. Une marche qui s’est avérée pacifique mais qui n’a pas abouti au point de chute à savoir la HAAC mais qui s’est plutôt arrêtée au Carrefour de Lomégan, à plusieurs centaines de mètres de la cette instance de régulation de la presse. Lieu où a été livrée la déclaration liminaire dont la transmission, non plus n’a pas été effective. Les manifestants étant arrivés dans les locaux de la HAAC au moment où les occupants des lieux étaient à la pause de midi. Ils promettent de retourner ce mercredi, 2ème jour de leur manifestation.
T228
On l’a moins entendu se prononcer sur le dossier de la fermeture des radio et télévision, City Fm et LCF, toutes du groupe Sud Média. Le président national du parti politique OBUTS, Gabriel Messan Agbéyomé Kodjo a donné son avis ce mardi à travers un post dans les groupes de discussions sur WhatApps.
Pour l’ancien Premier ministre du président Gnassingbé Eyadéma, « la fermeture de la chaîne de télévision LCF, et de la Radio City FM est une grave entorse faite à la liberté d’expression et à la démocratie en construction dans notre pays ». Raison pour laquelle, au nom de son parti, il « exhorte le Président de la HAAC à rapporter sans délai sa décision et à engager des discussions avec le Groupe Sud Média afin que celui ci se conforme aux dispositions administratives en vigueur ».
Il en appelle ainsi au bon sens vu qu’une telle décision de la HAAC de mettre sous éteignoir ces deux organes de presse, « en ces temps de crise économique sévère, … alourdit le nombre de chômeurs, et accentue la précarité dans notre pays ».
Et comme conseil d’ami aux actuels gouvernants du pays, il se fonde sur la citation de René de Chateaubriand selon laquelle, « plus vous prétendez comprimer la presse, plus l’explosion sera forte. Il faut donc vous résoudre à vivre avec elle ».
En attendant la suite dans ce feuilleton HAAC vs LCF-City Fm, il est à noter que ce mardi 14 Février, à l’appel des organisations de la Société civile, des auditeurs et téléspectateurs de ces deux organes ont battu le pavé pour réclamer la réouverture. Une marche qui s’est avérée pacifique mais qui n’a pas abouti au point de chute à savoir la HAAC mais qui s’est plutôt arrêtée au Carrefour de Lomégan, à plusieurs centaines de mètres de la cette instance de régulation de la presse. Lieu où a été livrée la déclaration liminaire dont la transmission, non plus n’a pas été effective. Les manifestants étant arrivés dans les locaux de la HAAC au moment où les occupants des lieux étaient à la pause de midi. Ils promettent de retourner ce mercredi, 2ème jour de leur manifestation.
T228
Tuesday, February 14, 2017
TOGO : Pitang Tchalla imperturbable : « Nous à la HAAC nous sommes formels, il n’y a aucun dossier »
lamer la réouverture de ces deux chaines fermées depuis le 06 Février
dernier, la HAAC et son président semblent imperturbables dans leur
démarche.
Dans une interview accordée à nos confrères de Forum de la Semaine, parue hier lundi, le président de la HAAC, Pitang Tchalla a laissé entendre qu’ « il n’y a pas de crise interne à la HAAC ; elle fonctionne normalement et je félicite les collègues ainsi que le personnel pour la sérénité, la sagesse et l’esprit d’équipe dont ils font preuve. La seule déception, c’est de voir " les secrets dehors". Mais nous faisons confiance à la Cour Suprême et nous constituons plus que jamais une équipe décidée à remplir sa mission. Quant aux condamnations, nous les comprenons, car il y a une campagne très forte pour faire accepter le fait accompli, auquel cas, se serait trahir la mission de la HAAC ».
Quant à la contestation de la décision de la HAAC de retirer les fréquences aux deux médias du groupe Sud Média et contestée depuis son sein par un membre qui a d’ailleurs saisi la Cour suprême, le premier responsable de l’autorité de régulation de la presse au Togo, ne semble pas être secoué. « Les divergences au sein de la mandature sont normales et à l’honneur de ceux qui ont fait confiance à cette équipe en tenant compte du pluralisme d’opinions. Mais après les débats parfois houleux, une décision est prise et elle engage toute la mandature. Généralement, en tant que président, je privilégie le consensus. Dans le cas d’espèce, nous avons appliqué la procédure et les neuf membres ont participé aux débats et personne n’a boycotté la décision finale. Les chantages, intimidations et menaces actuelles n’y peuvent rien, les membres ayant décidé en accord avec leurs intimes convictions. L’affaire étant pendante devant la Cour Suprême, nous ne pouvons pas nous étendre là-dessus », c’est ce qu’il a répondu au confrère sur la question.
Sans trop de commentaire sur les documents que les responsables de LCF et City Fm brandissent pour justifier la légalité de ces documents, le président de la HAAC, indique, « je ne vais pas douter de leur authenticité. Mais nous à la HAAC nous sommes formels, il n’y a aucun dossier ».
Et en opposition à ceux qui soutiennent que les deux médias exerçaient depuis une dizaine d’années et sont reconnus comme légaux par précédentes mandatures de la HAAC, bien qu’il n’y a pas de dossier comme il le soutient, Pitang Tchalla oppose deux petites questions : « Est-ce parce qu’une situation illégale aurait perduré pendant longtemps qu’elle devient légale ? Est-ce que c’est parce qu’on a seriné un mensonge pendant longtemps qu’il deviendrait vérité ? », avant de conclure, « nous disons non et soutenons qu’il faut mettre un terme à cette situation et permettre qu’elle devienne normale et régulière ».
T228
Dans une interview accordée à nos confrères de Forum de la Semaine, parue hier lundi, le président de la HAAC, Pitang Tchalla a laissé entendre qu’ « il n’y a pas de crise interne à la HAAC ; elle fonctionne normalement et je félicite les collègues ainsi que le personnel pour la sérénité, la sagesse et l’esprit d’équipe dont ils font preuve. La seule déception, c’est de voir " les secrets dehors". Mais nous faisons confiance à la Cour Suprême et nous constituons plus que jamais une équipe décidée à remplir sa mission. Quant aux condamnations, nous les comprenons, car il y a une campagne très forte pour faire accepter le fait accompli, auquel cas, se serait trahir la mission de la HAAC ».
Quant à la contestation de la décision de la HAAC de retirer les fréquences aux deux médias du groupe Sud Média et contestée depuis son sein par un membre qui a d’ailleurs saisi la Cour suprême, le premier responsable de l’autorité de régulation de la presse au Togo, ne semble pas être secoué. « Les divergences au sein de la mandature sont normales et à l’honneur de ceux qui ont fait confiance à cette équipe en tenant compte du pluralisme d’opinions. Mais après les débats parfois houleux, une décision est prise et elle engage toute la mandature. Généralement, en tant que président, je privilégie le consensus. Dans le cas d’espèce, nous avons appliqué la procédure et les neuf membres ont participé aux débats et personne n’a boycotté la décision finale. Les chantages, intimidations et menaces actuelles n’y peuvent rien, les membres ayant décidé en accord avec leurs intimes convictions. L’affaire étant pendante devant la Cour Suprême, nous ne pouvons pas nous étendre là-dessus », c’est ce qu’il a répondu au confrère sur la question.
Sans trop de commentaire sur les documents que les responsables de LCF et City Fm brandissent pour justifier la légalité de ces documents, le président de la HAAC, indique, « je ne vais pas douter de leur authenticité. Mais nous à la HAAC nous sommes formels, il n’y a aucun dossier ».
Et en opposition à ceux qui soutiennent que les deux médias exerçaient depuis une dizaine d’années et sont reconnus comme légaux par précédentes mandatures de la HAAC, bien qu’il n’y a pas de dossier comme il le soutient, Pitang Tchalla oppose deux petites questions : « Est-ce parce qu’une situation illégale aurait perduré pendant longtemps qu’elle devient légale ? Est-ce que c’est parce qu’on a seriné un mensonge pendant longtemps qu’il deviendrait vérité ? », avant de conclure, « nous disons non et soutenons qu’il faut mettre un terme à cette situation et permettre qu’elle devienne normale et régulière ».
T228
Monday, February 13, 2017
Réformes politiques : Pour le CAR, la commission d’Awa Nana est « illégitime » et « viciée »
La Commission de réflexion et de
proposition sur les réformes politiques, constitutionnelles et
institutionnelles a rencontré le 10 février dernier les premiers
responsables du comité d’Action pour le Renouveau (CAR, opposition) dans
le cadre de la tournée qu’elle a entreprise en vue de consulter les
formations politiques togolaises et recueillir leurs avis et
appréciations sur la mission à elle confiée par le chef de l’Etat.
Selon un communiqué rendu public vendredi par le CAR et signé de son président, Me Yawovi Agboyibo, les échanges ont effectivement porté sur la question des réformes politiques, institutionnelles et constitutionnelles et l’analyse que le parti fait de la mission confiée à la commission dirigée par Mme Awa Nana Daboya.
« La délégation du CAR se référant à la position exprimée par le parti lors de son congrès extraordinaire des 13 et 14 janvier 2017, a fait savoir à la délégation reçue que la commission dite de réflexion est viciée à la source pour avoir été créée sans concertation avec l’opposition, violant ainsi les dispositions et l’esprit de l’Accord Politique Global de 2006», rapporte le communiqué du CAR. Me Yawovi Agboyibo a selon le parti, conseillé Awa Nana Daboya l’ouverture d’un « dialogue politique structuré entre le pouvoir et l'opposition ». Lequel dialogue peut-être accompagné par les experts si les parties prenantes y marquent leur accord.
Il faut rappeler que les mêmes positions ont été défendues par les formations politiques consultées auparavant par la commission à l’instar de l’Alliance nationale pour le changement (ANC) et l'Alliance des Démocrates pour le Développement Intégral (ADDI). Aimé Tchabouré Gogué, le président national d’ADDI, qui a été rencontré par la commission d’Awa Nana Daboya dans la soirée du vendredi 10 février, a préconisé la mise en place d’une commission plus élargie et regroupant des représentants de l’opposition et du parti au pouvoir, dont la mission sera de réfléchir et régler les problèmes liés aux réformes et à la gestion du pays.
Le lundi 13 février, ce sera le tour du Mouvement citoyen pour la démocratie et le développement (MCD) de Me Mouhamed Tchassona-Traoré d’accueillir la commission de Mme Awa Nana Daboya pour le même exercice.
A.Y.
Selon un communiqué rendu public vendredi par le CAR et signé de son président, Me Yawovi Agboyibo, les échanges ont effectivement porté sur la question des réformes politiques, institutionnelles et constitutionnelles et l’analyse que le parti fait de la mission confiée à la commission dirigée par Mme Awa Nana Daboya.
« La délégation du CAR se référant à la position exprimée par le parti lors de son congrès extraordinaire des 13 et 14 janvier 2017, a fait savoir à la délégation reçue que la commission dite de réflexion est viciée à la source pour avoir été créée sans concertation avec l’opposition, violant ainsi les dispositions et l’esprit de l’Accord Politique Global de 2006», rapporte le communiqué du CAR. Me Yawovi Agboyibo a selon le parti, conseillé Awa Nana Daboya l’ouverture d’un « dialogue politique structuré entre le pouvoir et l'opposition ». Lequel dialogue peut-être accompagné par les experts si les parties prenantes y marquent leur accord.
Il faut rappeler que les mêmes positions ont été défendues par les formations politiques consultées auparavant par la commission à l’instar de l’Alliance nationale pour le changement (ANC) et l'Alliance des Démocrates pour le Développement Intégral (ADDI). Aimé Tchabouré Gogué, le président national d’ADDI, qui a été rencontré par la commission d’Awa Nana Daboya dans la soirée du vendredi 10 février, a préconisé la mise en place d’une commission plus élargie et regroupant des représentants de l’opposition et du parti au pouvoir, dont la mission sera de réfléchir et régler les problèmes liés aux réformes et à la gestion du pays.
Le lundi 13 février, ce sera le tour du Mouvement citoyen pour la démocratie et le développement (MCD) de Me Mouhamed Tchassona-Traoré d’accueillir la commission de Mme Awa Nana Daboya pour le même exercice.
A.Y.
Afreepress
Lutte contre le Sida, la Tuberculose et le paludisme
Il était hier mercredi chez Faure Gnassingbé. Lui c’est Mark Dybul,
directeur exécutif du Fonds mondial de lutte contre le sida, la
tuberculose et le paludisme.
Reçu en audience par le Chef de l’Etat togolais, il a échangé les vues avec le présidnet togolais sur les différentes actions que mène le Togo dans la lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme. Aussi, a-t-il été question de l’accompagnement du Fonds mondial au Togo dans cette lutte.
Pour ce qui est de cet accompagnement, le Togo va bénéficier, de 2018 à 2020 d’une aide financière de 37 milliards FCFA de la part du Fonds mondial. Il s’agit d’un appui financier qui permettra au gouvernement de renforcer au plan national la lutte contre le VIH, la tuberculose et le paludisme.
Cette visite de Mark Dybul à Lomé vient confirmer le dynamisme des relations entre le Togo et le Fonds mondial.
On se souvient encore que déjà en septembre 2016, le chef de l’Etat togolais avait pris part à la 5ème conférence de reconstitution des ressources du Fonds mondial de lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme pour la période 2017-2019.
Reçu en audience par le Chef de l’Etat togolais, il a échangé les vues avec le présidnet togolais sur les différentes actions que mène le Togo dans la lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme. Aussi, a-t-il été question de l’accompagnement du Fonds mondial au Togo dans cette lutte.
Pour ce qui est de cet accompagnement, le Togo va bénéficier, de 2018 à 2020 d’une aide financière de 37 milliards FCFA de la part du Fonds mondial. Il s’agit d’un appui financier qui permettra au gouvernement de renforcer au plan national la lutte contre le VIH, la tuberculose et le paludisme.
Cette visite de Mark Dybul à Lomé vient confirmer le dynamisme des relations entre le Togo et le Fonds mondial.
On se souvient encore que déjà en septembre 2016, le chef de l’Etat togolais avait pris part à la 5ème conférence de reconstitution des ressources du Fonds mondial de lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme pour la période 2017-2019.
Friday, February 3, 2017
Le gouvernement adopte un décret portant création de l’Agence nationale de la protection civile
La Protection civile aura désormais une agence. Il a pour nom,l’Agence nationale de la Protection civile. Réuni en Conseil des
ministres hier mardi, le gouvernement a adopté à cet effet, un décret
portant création, organisation et fonctionnement de cette agence.
Il est indiqué que « face à la récurrence des catastrophes du fait des facteurs humains et naturels, la création de l’agence nationale de la protection civile dote notre pays d’un dispositif de pilotage efficace dans la protection des populations ».
Ainsi, dans ses charges, l’Agence nationale de la Protection civile aura pour missions « de coordonner l’ensemble des actions de prévention et de gestion des situations d’urgence, de superviser les opérations de secours et de sauvetage et la mise à jour des différents plans de prévention et de gestion de catastrophes, d’intervenir dans la préparation et l’organisation des exercices de simulation, l’information et l’éducation des populations en matière de protection civile, la formation des acteurs intervenant dans le domaine de la protection civile et de jouer le rôle d’appui-conseil dans la mise en place des plans d’intervention dans les administrations et activités de développement ».
Toujours, parlant de la protection civile, le ministre en charge de ce portefeuille, renseigne le communiqué du Conseil des ministres, a présenté à ses pairs, la nouvelle politique nationale de la protection civile à l’horizon 2030 , ses objectifs spécifiques et ses axes stratégiques.
D’après le ministre Yark Damehame, « cette nouvelle politique, d’une manière spécifique, vise à contribuer significativement à la réduction des mortalités liées aux catastrophes, à la préservation des biens des ménages, à la réduction des dégâts des infrastructures économiques, sociales et collectives, à l’atténuation des aléas environnementaux et à assurer la prise en compte de nouvelles menaces ainsi que les incendies, inondations et autres catastrophes ».
Il faut s’attendre à un prochain séminaire gouvernemental sur cette nouvelle politique, dans le futur pour permettre « une meilleure appropriation du sujet et de bénéficier des contributions des autres départements ministériels ».
T228
Il est indiqué que « face à la récurrence des catastrophes du fait des facteurs humains et naturels, la création de l’agence nationale de la protection civile dote notre pays d’un dispositif de pilotage efficace dans la protection des populations ».
Ainsi, dans ses charges, l’Agence nationale de la Protection civile aura pour missions « de coordonner l’ensemble des actions de prévention et de gestion des situations d’urgence, de superviser les opérations de secours et de sauvetage et la mise à jour des différents plans de prévention et de gestion de catastrophes, d’intervenir dans la préparation et l’organisation des exercices de simulation, l’information et l’éducation des populations en matière de protection civile, la formation des acteurs intervenant dans le domaine de la protection civile et de jouer le rôle d’appui-conseil dans la mise en place des plans d’intervention dans les administrations et activités de développement ».
Toujours, parlant de la protection civile, le ministre en charge de ce portefeuille, renseigne le communiqué du Conseil des ministres, a présenté à ses pairs, la nouvelle politique nationale de la protection civile à l’horizon 2030 , ses objectifs spécifiques et ses axes stratégiques.
D’après le ministre Yark Damehame, « cette nouvelle politique, d’une manière spécifique, vise à contribuer significativement à la réduction des mortalités liées aux catastrophes, à la préservation des biens des ménages, à la réduction des dégâts des infrastructures économiques, sociales et collectives, à l’atténuation des aléas environnementaux et à assurer la prise en compte de nouvelles menaces ainsi que les incendies, inondations et autres catastrophes ».
Il faut s’attendre à un prochain séminaire gouvernemental sur cette nouvelle politique, dans le futur pour permettre « une meilleure appropriation du sujet et de bénéficier des contributions des autres départements ministériels ».
T228
Yark libère gratuitement les motos
Selon un communiqué rendu public le 1er février dernier, le ministère de la Sécurité et de la Protection civile a décidé de remettre gratuitement les motos saisies par les agents de la police routière pour cause d’infraction au code de la route.
Le document signé par le ministre Yark Damehame indique que « les conducteurs et propriétaires de motos immobilisées pour diverses infractions au code de la route depuis 2014 jusqu’au 31 décembre 2016 dans toutes les sections de Division de la Sécurité Routière (DSR) à Lomé, Tsévié, Atakpamé, Sokodé, Kara et Dapaong à se présenter dans ces différentes unités, du 06 au 11 février 2017 » à s’y rendre « pour les formalités de retrait de leurs engins ».
Il est demandé à ces derniers de « se munir des pièces justificatives ».
Bonne nouvelle pour ces conducteurs et propriétaires de motos immobilisée, « les formalités de retrait des motos durant cette période se dérouleront sans paiement d’amendes forfaitaires ni de frais de fourrière ».
Ils sont donc conviés à vite se présenter dans les sections de Division de la Sécurité Routière, vu que la mesure n’est pas permanente et que, « passé ce délai, les engins non retirés feront l’objet d’une procédure judiciaire ».
T228
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