Les scandales dans la réalisation des infrastructures routières au
Togo se succèdent mais ne se ressemblent pas. Les malversations par ci,
le refus d’exécution par là, les obstructions par là encore pénalisent
les chantiers et laissent les riverains dans un calvaire implacable. De
Lomé à Dapaong, de Tchamba à Bassar, de Tabligbo à Aného ou d’Anfoin à
Vogan, les scandales sont suffisants. La voie qui suscite aujourd’hui
l’attention est celle reliant la frontière Togo Bénin, qui part de Notsè
pour aboutir à Tohoun. Depuis février 2015, trois entreprises malmènent
le tronçon et le souhait est qu’elles puissent être au rendez-vous du
31 aout 2017, date promise de remise de l’ouvrage. Voici les dessous
d’un retard et l’état des lieux après une descente sur le terrain de
notre équipe de rédaction.
C’est le chemin de croix pour aller à Tohoun depuis le premier coup
de pioche lancé par le Chef de l’Etat lui-même pour une route de 56 km
répartis entre trois entreprises. Le Groupe Midnightsun (MNS),
l’entreprise CECO BTP et le groupe allemand Martin Rose-Lukas Glaser.
Cet émiettement en trois d’un chantier de 56 km est la conséquence
d’une polémique que nous épargnons pour l’instant à nos lecteurs.
Mais aujourd’hui, presque un an après le lancement des travaux, les
résultats sont mi-figue mi-raisin. A certains niveaux avec certaines
entreprises, les populations saluent l’évolution. A d’autres niveaux,
c’est la catastrophe totale, une catastrophe qui laisse des villages
entiers sur des carrières meublées de poussières et de ravins sans
suite. Enfin à tout autre lieu, on semble revenir à de meilleurs
sentiments avec une reprise accélérée après un temps de léthargie. Les
responsables des différentes entreprises présentes sur le terrain
promettent d’être au rendez-vous le 31 aout prochain. Les villageois et
riverains sont sceptiques, ayant déjà vécu les pires expériences
d’abandon momentané, de déviations agressives et destruction de la
précédente voie qui paraissait mieux que l’état actuel de la route.
La gestion et l’évolution du chantier
D’après les informations recueillies auprès des différentes sociétés
et des autorités du Ministère des infrastructures, le coût total de la
voie Notsè Tohoun est de 36 milliards de FCFA. Après le lancement en
février 2015, l’ordre de service a été effectivement donné qu’en
septembre avec une première avance de 5 milliards de FCFA chacune faite
aux trois entreprises.
En effet, les trois entreprises, avant le démarrage des travaux se
sont constitués en groupement et selon les clauses du contrat,
l’entraide était autorisée. Si une des entreprises se trouv
e dans l’incapacité de poursuivre son tronçon, les autres seront
appelés à la rescousse puisque l’évaluation finale se fera non pas pour
chacune des entreprises prises individuellement, mais le groupement pris
ensemble.
Dès l’encaissement de la première tranche, c’est le groupe MNS qui
est passé à la vitesse supérieur. Aujourd’hui, sa partie ne souffre plus
d’inquiétudes. Les riverains s’en réjouissent et saluent le travail
fait. Il semble d’après les informations que les responsables de cette
entreprise ont mis par eux même la main à la poche pour arriver à
atteindre ce niveau du chantier. Le taux d’avancement à la dernière
réunion est de 67%.
Lorsque vous quittez Notsè pour Togo, vous serez satisfaits de rouler
sur plus d’une dizaine de kilomètres sur l’asphalte jusqu’à la lisière
de Mangotigomé. Un pont de fortune qui obligeait les usagers aux zigzags
a été refait et salué par les riverains. MNS a donc tiré sa partition.
Le tronçon qui suit celui de MNS appartient à l’entreprise CECO BTP.
C’est là où se trouve le chemin de croix. Déviations dangereuses, dalots
jetés pêle-mêle, amassement en plein milieu de la chaussé de latérite,
caniveaux abandonnés remplis d’eau et très dangereux pour les passants,
bref, CECO a failli à ses responsabilités dans la lisière du village
d’Asrama et est en train de rapatrier son matériel. Les populations
crient leur ras-le-bol.
La dernière réunion évaluation le classe en dernière position avec
23% de taux d’avancement. Reste à savoir s’il a techniquement atteint ce
taux.
Le dernier tronçon est celui de l’entreprise allemande Martin Rose.
Leur taux d’avancement est évalué à presque 25%. Les actionnaires
locaux de cette entreprise ont connu des problèmes au point où la
société soit confiée par deux fois déjà à des administrateurs
provisoires par la justice en attendant que la cour d’appel tranche sur
les différends.
Mais depuis l’arrivée du dernier administrateur provisoire, les
choses ont commencé à bouger. Le niveau début du tronçon à partir de
Tététou est mis en veilleuse pour régler les comptes au niveau de
Kpoguédé et de Adanléhoui où le grave est déjà passé sur la chaussée à
une épaisseur suffisante. Un autre front est ouvert par Martin Rose du
côté de la frontière après Tohoun pour permettre de rallier les deux
dans une logique à boucler le chantier dans le délai requis.
Il faut noter que l’entreprise allemande a commencé le chantier un
peu en retard par rapport à MNS, en Novembre 2015. Les responsables
attribuent les retards non seulement aux différends juridiques entre les
actionnaires, mais aussi à la mutilation de leur tronçon d’environ 9
kms pour les raisons liées au barrage d’Adjrala. Un tronçon qui était de
18,6 Km.
Les bailleurs de fonds, notamment la BOAD et l’Etat togolais sont
prêts à débloquer la deuxième avance si chacune des entreprises atteint
le taux d’avancement de 25%. Ce qui est presque acquis pour le Martin
Rose et d’ores et déjà effectif chez le Groupe MNS.
Raison suffisante pour l’entreprise Midnightsun d’hériter du tronçon
de CECO BTP que l’entreprise à des difficultés à réaliser. Ce sont les
termes du contrat du groupement.
Espérons que les deux entreprises restantes accélèrent les travaux
pour non seulement délivrer les populations riveraines du calvaire de
pratique de la voie, mais aussi d’être au rendez-vous de livraison des
travaux le 31 aout 2017.
Pour chacun d’eux d’ après nos informations, la promesse sera tenue,
puisque selon les termes, aucune entreprise ne se glosera d’avoir fini
et se faire réceptionner. C’est l’ensemble des 56 kilomètres qui sera
évalué et réceptionné.
C’est donc la course à la montre pour le Groupe MNS et Martin Rose
pour honorer les engagements vis-à-vis de l’Etat, des partenaires et des
populations.
La mission était passionnante, l’équipe de la rédaction, après avoir
traversé les carrières laissées par le chantier de CECO à Asrama ont
simulé le travail des ingénieurs et des conducteurs d’engins en montant
sur les graveuses et les dameuses dans une vibration à faire faire
perdre la virilité.
Pour les adja de la localité du canton d’Asrama et de la Préfecture
de moyen Mono, c’est le vœu que les travaux finissent dans le temps et
que les activités reprennent dans de bonnes conditions.
Ils n’oublient pas les promesses, surtout que les marchés des deux
localités, très célèbres sont dans un état piteux. Vivement que le PUDC
censé tout faire pour le bien-être des populations vienne au secours du
développement social des habitants du tronçon Notsè Tohoun.
Carlos KETOHOU
Friday, January 27, 2017
Légère hausse du prix des produits pétroliers à la pompe
durant l’année 2016, le prix des produits pétroliers repart à la
hausse au Togo. C’est en tout cas ce que l’on puisse dire vu que depuis
00 H ce vendredi, ces prix à la pompe connaissent une légère hausse.
Selon un arrêté interministériel rendu public hier jeudi, ces prix connaissent une hausse allant de 39 à 43 F cfa.
Ainsi, depuis ce vendredi matin, le Super Sans Plomb est passé de 433 F cfa à 476 F cfa. Le Gas-oil pour sa part est passé de 435 F cfa à 478 F cfa et le mélange 2 temps, précédemment vendu à 539 F cfa est désormais à 579 F cfa le litre. Quant au pétrole lampant, son nouveau prix est de 425 F cfa. Il a donc connu une hausse de 39 F cfa.
Comme ce fut le cas lors des baisses de prix durant toute l’année dernière, seul le gaz butane maintient son prix inchangé. La bonbonne de 12 Kg est toujours à 6500 F cfa et celle de 6 kg à 3150 F cfa.
T228
Selon un arrêté interministériel rendu public hier jeudi, ces prix connaissent une hausse allant de 39 à 43 F cfa.
Ainsi, depuis ce vendredi matin, le Super Sans Plomb est passé de 433 F cfa à 476 F cfa. Le Gas-oil pour sa part est passé de 435 F cfa à 478 F cfa et le mélange 2 temps, précédemment vendu à 539 F cfa est désormais à 579 F cfa le litre. Quant au pétrole lampant, son nouveau prix est de 425 F cfa. Il a donc connu une hausse de 39 F cfa.
Comme ce fut le cas lors des baisses de prix durant toute l’année dernière, seul le gaz butane maintient son prix inchangé. La bonbonne de 12 Kg est toujours à 6500 F cfa et celle de 6 kg à 3150 F cfa.
T228
Tuesday, January 24, 2017
Au nom de quoi Faure Gnassingbé aussi prend-il des armes contre son complice Yahya Jammeh ?
Au nom de quel droit Faure Gnassingbé se permet-il de prendre
des armes contre son « Partenaire En Crime » le Professeur El Hadj
Docteur Yahya Abdul-Aziz Jemus Junkung Nasiru Den Jammeh ?
Je voudrais d’entré de jeux lever l’équivoque en disant qu’à part l’infime minorité gambienne, tout comme l’infime minorité Togolaise qui eux seuls profitent des richesses du pays, il est clair pour toute être humain doté t de bonne conscience que celui qui a instauré une dictature abjecte en Gambie et qui a mis tout son pays dans les fers pendant 22 ans, doit s’en aller !
Mais qui doit le déloger ?
Rappelons bien que Faure Gnassingbé a marché (baigné peut-être) dans le sang d’au moins 1000 Togolais pour s’accaparer du pouvoir que les Gnassingbés ont fini par confondre avec un trône royal.
Je n’ai jamais vu Yahya Jammeh, tout dictateur qu’il est, trucider plus de 1000 Gambiens pour s’accaparer du pouvoir. Je ne l’ai jamais vu louer des avions présidentiels à prix d’or, embarquer plus d’une douzaine de soi-disant collaborateurs et se promener dans les airs tout le temps aux prix du contribuable Gambien. Dites-moi : les prostitués, les marabouts et les mercenaires de tout acabit sont-ils aussi des collaborateurs d’un chef d’état ?
Nous nous rappelons tous le spectacle affligeant que sont donnés le tandem Gnassingbe-Jammeh en faisant tomber à l’eau le project d’incorporation de la limitation des mandats dans les chartes de la CEDEAO à Accra. Ce monsieur qui s’érige en donneur de leçon et qu’on envoie donner de l’estocade à Jammeh n’est pas mieux que ce dernier, loin s’en faut. Faure Gnassingbé et Yahya Jammeh sont des partenaires en crime et Faure devrait donner sa langue aux chiens si ce machin de la CEDEAO l’envoyait achever son ami. Faure Gnassingbé devrait se voir sept fois dans le mirror et déduire qu’il ressemble tellement à Yahya Jammeh qu’il ne peut se permettre de partir en mission contre lui.
La seule différence entre Yahya Jammeh et Faure Gnassingbé, tous deux dictateurs et autocrates, est que Faure Gnassingbé, à l’instar d’Alassane Ouattara en Côte d’Ivoire, est devenu le garçon de course des Américains, Israéliens et Français. Faure Gnassingbé a été utilisé à l’ONU pour torpiller le projet de reconnaissance du statut d’État à l’Israël. Faure sert les intérêts des Occidentaux en abritant le « pompeux » sommet sur la sécurité maritime, en construisant un aéroport de « haut standing » afin de désenclaver la sous-région pour les occidentaux, en laissant nos hôpitaux sont devenus des mouroirs, alors que Yahya Jammeh s’en donne de temps en temps dans des coups de gueule contre le projet des Occidentaux de faire de l’Afrique un véritable hub pour les prostitués homosexuels.
Faure n’a même pas le code et l’éthique morale des criminels. Quand on est partenaires en crime comme le sont Faure Gnassingbé et Yahya Jammeh, il y ce qu’on appelle l’omerta. Au lieu de dénoncer son partenaire en crime, on s’entredonne plutôt, on se cache mutuellement les derrières plutôt, au lieu de les exposer. Pourquoi ces machins de la CEDEAO, UA, et consorts tombent dans le panneau en envoyant des dictateurs ou amis des dictateurs balayer la maison d’autres dictateurs? Comment peut-on envoyer Alassane Ouattara s’impliquer dans le contentieux électoral Togolais ? Comment peut-on envoyer son excellence sérénité Edem Kodjo, patron de Pax-Africana, comme médiateur dans la crise Congolaise. Dieu merci, l’opposition Congolaise n’est pas aussi bête que la Togolaise (s’il en reste encore une). Heureusement que l’Episcopat Congolais n’est pas aussi dupe et aussi corrompu comme les Barrigah et autres au Togo.
Nous savons tous qu’il n’y pas un corps ensoutané ou enrobé qui soit aussi mieux protégé que les évêques et prêtres de l’Eglise Catholique. Le Vatican opère comme la mafia Sicilienne. On ne peut toucher impunément à un seul cheveu de leur membre à cause de la protection dont ils jouissent. L’Evêque Barrigah a été utilisé comme écran de fumé pour légitimer le pouvoir sanguinaire de Faure Gnassingbé. Pourquoi Barrigah ne va-t-il pas sonner Faure Gnassingbé et lui demander des comptes par rapport au document du CVJR qu’il a remis au chef de gang qui se veut président d’une république ? Pour connaitre la raison de la démission non avouée de Barrigah, peut-être devons-nous lorgner du côté de la Banque de Vatican pour savoir combien de notre argent spolié dort là-bas. Faure Gnassingbé se donne un mal de chien, comme pour se donner une bonne conscience, en s’impliquant activement dans les crises ici et là. C’est peine perdue ! Nous Africains savons depuis des lustres qu’un charognard ne peut prétendre détenir de pouvoirs pour guérir la calvitie ! Comment Faure Gnassingbé peut-il prétendre donner de l’éveil à Yahya Jammeh ?
Oui ! Yahya Jammeh doit partir, car il nous sort par le nez ! Mais qui doit et peut le déloger ? Tout le monde sauf Faure Gnassingbé !
Koffi Apati-Bassah
New-York City
USA
Je voudrais d’entré de jeux lever l’équivoque en disant qu’à part l’infime minorité gambienne, tout comme l’infime minorité Togolaise qui eux seuls profitent des richesses du pays, il est clair pour toute être humain doté t de bonne conscience que celui qui a instauré une dictature abjecte en Gambie et qui a mis tout son pays dans les fers pendant 22 ans, doit s’en aller !
Mais qui doit le déloger ?
Rappelons bien que Faure Gnassingbé a marché (baigné peut-être) dans le sang d’au moins 1000 Togolais pour s’accaparer du pouvoir que les Gnassingbés ont fini par confondre avec un trône royal.
Je n’ai jamais vu Yahya Jammeh, tout dictateur qu’il est, trucider plus de 1000 Gambiens pour s’accaparer du pouvoir. Je ne l’ai jamais vu louer des avions présidentiels à prix d’or, embarquer plus d’une douzaine de soi-disant collaborateurs et se promener dans les airs tout le temps aux prix du contribuable Gambien. Dites-moi : les prostitués, les marabouts et les mercenaires de tout acabit sont-ils aussi des collaborateurs d’un chef d’état ?
Nous nous rappelons tous le spectacle affligeant que sont donnés le tandem Gnassingbe-Jammeh en faisant tomber à l’eau le project d’incorporation de la limitation des mandats dans les chartes de la CEDEAO à Accra. Ce monsieur qui s’érige en donneur de leçon et qu’on envoie donner de l’estocade à Jammeh n’est pas mieux que ce dernier, loin s’en faut. Faure Gnassingbé et Yahya Jammeh sont des partenaires en crime et Faure devrait donner sa langue aux chiens si ce machin de la CEDEAO l’envoyait achever son ami. Faure Gnassingbé devrait se voir sept fois dans le mirror et déduire qu’il ressemble tellement à Yahya Jammeh qu’il ne peut se permettre de partir en mission contre lui.
La seule différence entre Yahya Jammeh et Faure Gnassingbé, tous deux dictateurs et autocrates, est que Faure Gnassingbé, à l’instar d’Alassane Ouattara en Côte d’Ivoire, est devenu le garçon de course des Américains, Israéliens et Français. Faure Gnassingbé a été utilisé à l’ONU pour torpiller le projet de reconnaissance du statut d’État à l’Israël. Faure sert les intérêts des Occidentaux en abritant le « pompeux » sommet sur la sécurité maritime, en construisant un aéroport de « haut standing » afin de désenclaver la sous-région pour les occidentaux, en laissant nos hôpitaux sont devenus des mouroirs, alors que Yahya Jammeh s’en donne de temps en temps dans des coups de gueule contre le projet des Occidentaux de faire de l’Afrique un véritable hub pour les prostitués homosexuels.
Faure n’a même pas le code et l’éthique morale des criminels. Quand on est partenaires en crime comme le sont Faure Gnassingbé et Yahya Jammeh, il y ce qu’on appelle l’omerta. Au lieu de dénoncer son partenaire en crime, on s’entredonne plutôt, on se cache mutuellement les derrières plutôt, au lieu de les exposer. Pourquoi ces machins de la CEDEAO, UA, et consorts tombent dans le panneau en envoyant des dictateurs ou amis des dictateurs balayer la maison d’autres dictateurs? Comment peut-on envoyer Alassane Ouattara s’impliquer dans le contentieux électoral Togolais ? Comment peut-on envoyer son excellence sérénité Edem Kodjo, patron de Pax-Africana, comme médiateur dans la crise Congolaise. Dieu merci, l’opposition Congolaise n’est pas aussi bête que la Togolaise (s’il en reste encore une). Heureusement que l’Episcopat Congolais n’est pas aussi dupe et aussi corrompu comme les Barrigah et autres au Togo.
Nous savons tous qu’il n’y pas un corps ensoutané ou enrobé qui soit aussi mieux protégé que les évêques et prêtres de l’Eglise Catholique. Le Vatican opère comme la mafia Sicilienne. On ne peut toucher impunément à un seul cheveu de leur membre à cause de la protection dont ils jouissent. L’Evêque Barrigah a été utilisé comme écran de fumé pour légitimer le pouvoir sanguinaire de Faure Gnassingbé. Pourquoi Barrigah ne va-t-il pas sonner Faure Gnassingbé et lui demander des comptes par rapport au document du CVJR qu’il a remis au chef de gang qui se veut président d’une république ? Pour connaitre la raison de la démission non avouée de Barrigah, peut-être devons-nous lorgner du côté de la Banque de Vatican pour savoir combien de notre argent spolié dort là-bas. Faure Gnassingbé se donne un mal de chien, comme pour se donner une bonne conscience, en s’impliquant activement dans les crises ici et là. C’est peine perdue ! Nous Africains savons depuis des lustres qu’un charognard ne peut prétendre détenir de pouvoirs pour guérir la calvitie ! Comment Faure Gnassingbé peut-il prétendre donner de l’éveil à Yahya Jammeh ?
Oui ! Yahya Jammeh doit partir, car il nous sort par le nez ! Mais qui doit et peut le déloger ? Tout le monde sauf Faure Gnassingbé !
Koffi Apati-Bassah
New-York City
USA
Absence de Jean-Pierre Fabre à la cérémonie de présentation des vœux : L’agacement de la classe politique de l’opposition
Comme de coutume, les corps constitués
de la société togolaise ont entamé leur série de présentation de vœux
de nouvel an au chef de l’Etat Faure Gnassingbé, des cérémonies qui ont
pris fin vendredi dernier au Palais de la Présidence à Lomé.
Les diplomates, l’administration
publique, les chefs traditionnels et les présidents des institutions de
la république notamment la Haute Autorité de l’Audiovisuel et de la
Communication (HAAC), la Cour Constitutionnelle, la Commission Nationale
des Droits de l’Homme (CNDH), le Haut-Commissariat à la
Réconciliation et au Renforcement de l’Unité Nationale (HCRRUN), se
sont soumis à la tradition.
La coutume a été par ailleurs respectée
aussi par les religieux notamment les représentants de la conférence
épiscopale, du Conseil chrétien et de l’Union musulmane. Les
responsables des partis politiques sont aussi allés faire leurs
civilités au Chef de l’Etat. La plus remarquée au cours de ces
cérémonies est celle du Chef de file de l’opposition et des cadres de sa
formation politique Jean-Pierre Fabre.
Le chef de l’opposition togolaise, qui a
envoyé au cours de la semaine écoulée un courrier de demande d’audience
au chef de l’Etat n’a pas fait le déplacement du nouveau palais pour la
cérémonie de présentation des vœux. Une absence qui est critiquée par
ses camarades de lutte de l’opposition qui estiment que l’homme aurait
pu profiter de cette occasion pour parler de vive voix avec le premier
des magistrats et réaffirmer son désir de le rencontrer.
Théophile K.
Afreepress
Wednesday, January 11, 2017
TOGO / Les nombreuses réformes réalisées ces dix dernières années
Le gouvernement togolais a depuis plus de dix ans entrepris des réformes considérables dans le secteur de l’enseignement. Le chef de l’Etat a, lors de son discours du 6 janvier, réaffirmé sa volonté de poursuivre les efforts pour doter le Togo d’un système éducatif performant.
Les différentes actions entreprises ont permis au secteur de l’éducation de connaître des évolutions. Qu’il s’agisse des infrastructures d’accueil, de la formation et l’encadrement des enseignants, du
renforcement de la qualité du service éducatif, l’Etat n’a ménagé aucun effort pour améliorer ces différents aspects. Plus encore, le gouvernement a mis en place de bonnes conditions incitatives à la
fonction enseignante. Sous l’impulsion du chef de l’Etat, les ministres de tutelles ont rempli à différents niveaux de multiples tâches. Ces dernières se présentes comme suit :
En matière d’infrastructures d’accueil :
Construction de cinq (5) nouvelles Ecoles Normales d’Instituteurs pour porter l’effectif à six (6) afin de former en quantité et en qualité des enseignants pour une éducation de qualité ;
Construction de plus de cinq mille (5000) salles de classes équipées sur ressources propres et sur les projets BID, PERI, PAREC ; d’autres constructions sont encore en cours sur BID III, PERI 2, PAREC
Construction de 229 Salles équipées, câblées pour les TIC dans le cadre du Programme d’Urgence de Développement Communautaire (PUDC) ;
Construction de plus de 2500 nouvelles latrines dans les écoles
Réalisation de plus de 300 forages en vue de doter les écoles bénéficiaires en eau potable.
Formation et déploiement des enseignants et du personnel d’encadrement :
Instauration de la formation initiale obligatoire des enseignants principalement dans le primaire depuis 2010 ;
Reprise du recrutement et formation de trois vagues de 2 904 élèves-maîtres dans les ENI ; un concours est organisé en 2016 et les résultats seront communiqués incessamment pour la formation d’une autre cohorte de 1500 élèves- maîtres ;
Reprise du recrutement et formation des enseignants à l’Ecole Normale Supérieure d’Atakpamé pour former les enseignants pour le premier cycle du secondaire ;
Recrutement cumulé de 17 645 nouveaux enseignants dont 5 000 volontaires du Primaire à la charge des parents ;
Déploiement de 1495 maîtres sortis des ENI et 270 professeurs de CEG sortants de l’ENS au cours de cette année scolaire 2016-2017 ;
Recrutement et formation de cent (100) inspecteurs de l’éducation nationale et soixante-deux (62) conseillers pédagogiques pour un meilleur encadrement de proximité des enseignants.
Renforcement de la qualité du service éducatif
Octroi d’une subvention de fonctionnement aux écoles pour un montant de sept cent vingt millions (720 000 000) FCFA ; pour le premier trimestre 2016-2017, cette subvention à toutes écoles officielles a été versée dès la seconde semaine de la rentrée scolaire.
L’octroi de subventions à 1 650 écoles primaires publiques identifiées sur la base de critères de performance ;
Formation de 682 directeurs de collège d’enseignement général ;
Formation continue de 2014 professeurs de français ;
Formation de 1 382 professeurs de sciences à la conduite d’un enseignement basé sur l’expérimentation ;
La construction de laboratoires et de bibliothèques équipés dans les collèges bénéficiaires des Projets BID III et PAREC ;
implantation de 308 cantines scolaires en milieu très pauvres pour plus de quatre-vingt-cinq (85 000) bénéficiaires en vue d’accroitre le taux de fréquentation et limiter la déperdition scolaire ;
les réformes curriculaires en cours au préscolaire et au primaire avec introduction d’un nouveau manuel de CPI et CP2 pour tous les élèves et enseignants de toutes les écoles de tous ordres pour compter de cette année scolaire 2016-2017 et expérimentation du manuel de CE1 en vue de son introduction officielle dans les écoles en 2017-2018 ; déjà, le manuel de CPI est disponible dans toutes les régions pour être utilisé ; le processus s’étendra jusqu’en classe de CM2 ;
création et ouverture de deux lycées scientifiques pilotes à Lomé et à Kara
Conditions incitatives à la fonction enseignante :
revalorisation des salaires des enseignantes dont l’accroissement du salaire brut de base, en 2015, était de 70,96% pour les plus hauts salaires (ancienne catégorie A1) et 114,51% pour les salaires les plus bas (ancienne catégorie C) ; ces taux sont nettement dépassés en 2016 ;
instaurations et payement permanent d’autres primes (rentrée, bibliothèque, incitation à la fonction enseignante)
la création d’une coopérative d’épargne et de crédit des enseignants du Togo.
Tant de mesures constamment renforcées pour le bien du système éducatif au Togo. Le gouvernement a réaffirmé sa volonté de discuter avec les acteurs de l’éducation notamment les grévistes pour trouver des solutions définitives aux problèmes qui minent le secteur.
Depeches togo
Friday, January 6, 2017
Les jeunes élèves et le système D
Occupées par les études, les élèves ne devraient pas être des grands fêtards mais à voir surtout les jeunes filles des collèges et
lycées s’engager en période de fête, on se demande si ces dernières ont
un secret en la matière.
La jeune fille a été remarquable à la plage ce 1er janvier avec sa jolie robe assortie de chaussures et un sac à main. C’est Déborah Amenouvo, élève en classe de 4ème au Collège Protestant. Elle assure qu’en ce qui concerne ses dépenses en cette période de fête, ce sont ses parents qui les ont pris en charge. Beaucoup d’autres comme elles rencontrées ce 1er janvier 2017 à la plage ont assuré être « financées » par leurs parents.
Par contre, d’autres filles se sont débrouillées elles-mêmes pour s’accoutrer à l’instar de Charlotte en classe de seconde, âgée de 16 ans. « La fête de cette année n’est pas bonne, cette année mes parents n’ont pas pu m’acheter ceux dont j’ai besoin, je me suis débrouiller moi-même », a-t-elle affirmé avant de s’éclater de rire à la question de savoir comment elle s’est débrouillée elle-même.
Sa collègue Edwige Kamassa n’a pas entouré de mystère la question. « Moi-même je vends des biscuits à l’école donc j’ai cotisé une somme de 20000 F cfa, ce qui m’a permis d’acheter mes vêtements », a-t-elle déclaré.
En effet, les moyens de trouver les sous pour la fête chez ces jeunes scolaires divergent d’une personne à une autre mais le déroulé de la fête semble invariable. Réjouissance en famille, boite, plage, réveillon à l’église étaient l’essentiel du programme. « La fête a été belle. Le 31 on avait fait un bridge à l’église et le 1er nous avons été dans une boite de la capitale », a indiqué Déborah Amenouvo. C’est presque le même son chez Edwige Kamassa. « J’ai été à la plage après je me suis promenée et j’ai rendu visite à mes amis puis nous sommes allés en boite », a-t-elle déclaré.
Les fêtes se succèdent mais ne se ressemblent pas et chaque génération à sa formule en la matière.
Rachel D.
T228
La jeune fille a été remarquable à la plage ce 1er janvier avec sa jolie robe assortie de chaussures et un sac à main. C’est Déborah Amenouvo, élève en classe de 4ème au Collège Protestant. Elle assure qu’en ce qui concerne ses dépenses en cette période de fête, ce sont ses parents qui les ont pris en charge. Beaucoup d’autres comme elles rencontrées ce 1er janvier 2017 à la plage ont assuré être « financées » par leurs parents.
Par contre, d’autres filles se sont débrouillées elles-mêmes pour s’accoutrer à l’instar de Charlotte en classe de seconde, âgée de 16 ans. « La fête de cette année n’est pas bonne, cette année mes parents n’ont pas pu m’acheter ceux dont j’ai besoin, je me suis débrouiller moi-même », a-t-elle affirmé avant de s’éclater de rire à la question de savoir comment elle s’est débrouillée elle-même.
Sa collègue Edwige Kamassa n’a pas entouré de mystère la question. « Moi-même je vends des biscuits à l’école donc j’ai cotisé une somme de 20000 F cfa, ce qui m’a permis d’acheter mes vêtements », a-t-elle déclaré.
En effet, les moyens de trouver les sous pour la fête chez ces jeunes scolaires divergent d’une personne à une autre mais le déroulé de la fête semble invariable. Réjouissance en famille, boite, plage, réveillon à l’église étaient l’essentiel du programme. « La fête a été belle. Le 31 on avait fait un bridge à l’église et le 1er nous avons été dans une boite de la capitale », a indiqué Déborah Amenouvo. C’est presque le même son chez Edwige Kamassa. « J’ai été à la plage après je me suis promenée et j’ai rendu visite à mes amis puis nous sommes allés en boite », a-t-elle déclaré.
Les fêtes se succèdent mais ne se ressemblent pas et chaque génération à sa formule en la matière.
Rachel D.
T228
Wednesday, January 4, 2017
Après la cathédrale de Lomé, les marchés d’Efoukpa et de Kpèlè visités par le feu
L’incendie qui a ravagé la cathédrale Sacré-Cœur de Lomé située au cœur du Grand a fait l’objet de discussions au Conseil des ministres tenu le 3 janvier 2017 sous l’autorité du Président de la République, Faure Gnassingbé. Selon les informations données par le Conseil des ministres, l’incendie a débuté vers 16 heures à la cathédrale de Lomé et a été maitrisé vers 17h 30.
« Grâce aux efforts conjugués des sapeurs-pompiers et de la population, il n’y a pas de victimes à déplorer mais les dégâts matériels sont importants », rapporte le gouvernement qui appelle les Togolais à redoubler de « vigilance » en cette période d’harmattan et à prendre toutes les mesures de sécurité dans les habitations et lieux publics en débranchant les appareils lorsqu’ils ne sont pas utilisés et en éteignant les bougies et autres sources à risques dès usage.
Selon le ministre de la Communication, Guy Madjé Lorenzo, deux autres incendies se sont déclarés au cours de la même période dans les marchés de Kpèlè (Préfecture de HAHO) et de Klabè Efoukpa (préfecture de WAWA). Ils ont très vite été maitrisés par les sapeurs-pompiers, se félicite le gouvernement qui rapporte néanmoins, qu’il y a eu d’importants dégâts matériels dans ces deux incendies comme à la cathédrale de Lomé.
Théophile K. Afreepress
Tuesday, January 3, 2017
Togo : Misère et Injustice à quelques pas de la Présidence de la République.
Après plus de 56 ans d’indépendance, certains
quartiers de la capitale togolaise présentent encore des images des
années avant Jésus-Christ. Et l’on se demande si les dirigeants ont
vraiment à cœur le bien-être de leurs concitoyens.
Les Togolais auront tout vu avec ce régime en place. La semaine dernière, notre équipe de reportage s’est transportée à Koumakokopé, localité située juste derrière le siège de la Fédération Togolaise de Football et à 300 mètres en face du Palais de la Présidence de la République. Là, les populations vivent dans des conditions on ne peut plus misérables. Des cases en banco, couvertes en pailles, l’électricité inexistante, les habitants sont contraints de parcourir au minimum deux kilomètres avant de trouver de l’eau. On se croirait à un village des années avant Jésus-Christ. Et pourtant nous sommes au cœur de la ville de Lomé. Le puits qui servait de source d’eau pour toute la localité a été simplement cassé et fermé par des forces de l’ordre du régime qui veulent leur ôter leurs terres de force.
Les enfants, torses nues, manquent de quoi s’habiller. Les parents en difficultés financières, sont incapables de scolariser ces enfants. La famine bat son plein puisqu’à chaque temps que les populations veulent faire leurs activités agricoles, le gouvernement s’interpose par des Caterpillars pour tout détruire. En pleine capitale, cette zone est semblable à la forêt d’Amazonie puisque les habitants reçoivent souvent la visite des reptiles. L’Etat, étant absent et incapable d’aménager le milieu, refuse à la population de le faire elle-même. Ne sont-ils pas des Togolais ? Certains, désireux de construire leurs maisons en ciment ce sont vus ramasser leur matériel de travail par des hommes armés. On se demande ce que gagne le gouvernement en plongeant ces citoyens dans la misère. Selon certains habitants des lieux, l’ancien ministre Adodo leur avait promis que leur situation changerait s’ils intégraient tous le parti de Faure Gnassingbé. Mais aucun signe d’un lendemain meilleur ne se fait sentir jusqu’à ce jour. La capitale doit impérativement présenter une bonne image plus que ce qu’on observe actuellement.
Faudra-t-il toute une éternité à ce régime en place pour développer du moins la capitale?
Il est tout à fait clair que les Togolais ne doivent plus attendre grand-chose de ce régime vieux de cinquante ans. Les tenants de ce pouvoir démontrent de par leurs actions qu’ils sont incapables de bien gérer ce pays. Ce n’est pas après un demi-siècle de pouvoir, qu’on commencera par réfléchir aux besoins essentiels et élémentaires que sont l’eau potable, l’électricité, la santé et l’éducation. Sachant bien que ce ne sont pas les moyens qui manquent. A voir le train de vie de la minorité pilleuse du pays, on ne devrait pas attendre toute une éternité avant de voir ce pays se développer.
C’est déplorable de voir un quartier en plein cœur de la capitale présenter l’image d’un zoo. Un quartier qui est dans le collimateur de certaines autorités qui veulent coûte que coûte devenir par la force les maitres du lieu, malgré la décision de la justice de rendre les terres aux autochtones. Dommage.
Source : Eyram Akakpo, Corps Diplomatic Togo
Les Togolais auront tout vu avec ce régime en place. La semaine dernière, notre équipe de reportage s’est transportée à Koumakokopé, localité située juste derrière le siège de la Fédération Togolaise de Football et à 300 mètres en face du Palais de la Présidence de la République. Là, les populations vivent dans des conditions on ne peut plus misérables. Des cases en banco, couvertes en pailles, l’électricité inexistante, les habitants sont contraints de parcourir au minimum deux kilomètres avant de trouver de l’eau. On se croirait à un village des années avant Jésus-Christ. Et pourtant nous sommes au cœur de la ville de Lomé. Le puits qui servait de source d’eau pour toute la localité a été simplement cassé et fermé par des forces de l’ordre du régime qui veulent leur ôter leurs terres de force.
Les enfants, torses nues, manquent de quoi s’habiller. Les parents en difficultés financières, sont incapables de scolariser ces enfants. La famine bat son plein puisqu’à chaque temps que les populations veulent faire leurs activités agricoles, le gouvernement s’interpose par des Caterpillars pour tout détruire. En pleine capitale, cette zone est semblable à la forêt d’Amazonie puisque les habitants reçoivent souvent la visite des reptiles. L’Etat, étant absent et incapable d’aménager le milieu, refuse à la population de le faire elle-même. Ne sont-ils pas des Togolais ? Certains, désireux de construire leurs maisons en ciment ce sont vus ramasser leur matériel de travail par des hommes armés. On se demande ce que gagne le gouvernement en plongeant ces citoyens dans la misère. Selon certains habitants des lieux, l’ancien ministre Adodo leur avait promis que leur situation changerait s’ils intégraient tous le parti de Faure Gnassingbé. Mais aucun signe d’un lendemain meilleur ne se fait sentir jusqu’à ce jour. La capitale doit impérativement présenter une bonne image plus que ce qu’on observe actuellement.
Faudra-t-il toute une éternité à ce régime en place pour développer du moins la capitale?
Il est tout à fait clair que les Togolais ne doivent plus attendre grand-chose de ce régime vieux de cinquante ans. Les tenants de ce pouvoir démontrent de par leurs actions qu’ils sont incapables de bien gérer ce pays. Ce n’est pas après un demi-siècle de pouvoir, qu’on commencera par réfléchir aux besoins essentiels et élémentaires que sont l’eau potable, l’électricité, la santé et l’éducation. Sachant bien que ce ne sont pas les moyens qui manquent. A voir le train de vie de la minorité pilleuse du pays, on ne devrait pas attendre toute une éternité avant de voir ce pays se développer.
C’est déplorable de voir un quartier en plein cœur de la capitale présenter l’image d’un zoo. Un quartier qui est dans le collimateur de certaines autorités qui veulent coûte que coûte devenir par la force les maitres du lieu, malgré la décision de la justice de rendre les terres aux autochtones. Dommage.
Source : Eyram Akakpo, Corps Diplomatic Togo
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