L’atelier
d’échange et de réflexion du HCRRUN sur les réformes politiques a
débuté ce lundi 11 juillet au Radison Blu 2 février. La présidente du
HCRRUN a fait une précision de taille aux 200 délégués notamment celle
qui consiste à opérer un diagnostic actualisé de la problématique des
réformes.
Selon Awa Nana Daboya, ils sont invités, au cours cet Atelier, à opérer un diagnostic sérieux et actualisé de la problématique des réformes au moyen des ressources conjuguées de l’imagination, de l’expérimentation, du raisonnement et du vouloir vivre ensemble des Togolaises et Togolais.
Pour la présidente a parlé avec émotion et s’est dit ravie de ce que c’est aussi leur contribution à l’histoire politique du pays. « Travaillons ensemble, sans arrière-pensées, pour aider les Politiques à opérer le saut qualitatif en toute lucidité. Pour cela, Mesdames, Messieurs, j’ai l’honneur de vous dire une fois encore merci d’être au service », a-t-elle suggéré.
Par ailleurs, elle a rappelé que beaucoup de difficultés ont jalonné le processus des réformes et sa réalisation depuis la signature de l’Accord Politique Global (APG), le 20 août 2006 et le Rapport de la CVJR d’avril 2012.
Néanmoins, devrait-elle poursuivre, les Togolaises et les Togolais se souviennent des Dialogues dits de Togo Telecom 1 et 2. « L’échec de ces tentatives trouve son explication immédiate dans les divergences politiques. Entre la restauration pure et simple de la Constitution du 14 octobre 1992 et les volontés exprimées ici et là de l’impulsion d’un nouveau modèle, mais aussi l’anticipation ou non des incidences systémiques sur l’équilibre de notre société, beaucoup de choses ont été suggérées. Il me semble que nous avons ici l’occasion de proposer aux acteurs politiques les possibilités de déconstruire les préjugés, en commençant par solder un passé plus ou moins lointain qui pèse démesurément sur les faits, nos gestes et nos attitudes », a déclaré Awa Nana Daboya.
Pour cela, a fait comprendre la présidente, il faut débattre, sereinement et, au-delà de la controverse, d’inciter à agir. « En refusant d’arpenter les sentiers battus, nous devrions emprunter les grands champs de la pensée et de voguer d’un sommet de montagne à l’autre. C’est le moment pour les uns et les autres de partager ce qu’ils ont reçu. Il s’agit pour chacun de formuler des propositions nouvelles ou de réitérer les anciennes en étant capables d’en consentir les sacrifices que le Togo appelle de notre part », a martelé la présidente du HCRRUN.
L’atelier d’échange et de réflexion du HCRRUN sur les réformes débuté ce lundi prendre fin le vendredi 11 juillet. La cérémonie d’ouverture a été présidée par le premier ministre Komi Klassou.
Germain D.
Selon Awa Nana Daboya, ils sont invités, au cours cet Atelier, à opérer un diagnostic sérieux et actualisé de la problématique des réformes au moyen des ressources conjuguées de l’imagination, de l’expérimentation, du raisonnement et du vouloir vivre ensemble des Togolaises et Togolais.
Pour la présidente a parlé avec émotion et s’est dit ravie de ce que c’est aussi leur contribution à l’histoire politique du pays. « Travaillons ensemble, sans arrière-pensées, pour aider les Politiques à opérer le saut qualitatif en toute lucidité. Pour cela, Mesdames, Messieurs, j’ai l’honneur de vous dire une fois encore merci d’être au service », a-t-elle suggéré.
Par ailleurs, elle a rappelé que beaucoup de difficultés ont jalonné le processus des réformes et sa réalisation depuis la signature de l’Accord Politique Global (APG), le 20 août 2006 et le Rapport de la CVJR d’avril 2012.
Néanmoins, devrait-elle poursuivre, les Togolaises et les Togolais se souviennent des Dialogues dits de Togo Telecom 1 et 2. « L’échec de ces tentatives trouve son explication immédiate dans les divergences politiques. Entre la restauration pure et simple de la Constitution du 14 octobre 1992 et les volontés exprimées ici et là de l’impulsion d’un nouveau modèle, mais aussi l’anticipation ou non des incidences systémiques sur l’équilibre de notre société, beaucoup de choses ont été suggérées. Il me semble que nous avons ici l’occasion de proposer aux acteurs politiques les possibilités de déconstruire les préjugés, en commençant par solder un passé plus ou moins lointain qui pèse démesurément sur les faits, nos gestes et nos attitudes », a déclaré Awa Nana Daboya.
Pour cela, a fait comprendre la présidente, il faut débattre, sereinement et, au-delà de la controverse, d’inciter à agir. « En refusant d’arpenter les sentiers battus, nous devrions emprunter les grands champs de la pensée et de voguer d’un sommet de montagne à l’autre. C’est le moment pour les uns et les autres de partager ce qu’ils ont reçu. Il s’agit pour chacun de formuler des propositions nouvelles ou de réitérer les anciennes en étant capables d’en consentir les sacrifices que le Togo appelle de notre part », a martelé la présidente du HCRRUN.
L’atelier d’échange et de réflexion du HCRRUN sur les réformes débuté ce lundi prendre fin le vendredi 11 juillet. La cérémonie d’ouverture a été présidée par le premier ministre Komi Klassou.
Germain D.
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