Saturday, May 31, 2014

TOGO::Patrick Lawson : « On a eu un moment difficile mais grâce à l’investissement personnel facilitateur,

Patrick Lawson, le 1er vice-président de l’ANC et chef de délégation de ce parti au dialogue intertogolais qui se poursuit en ce moment à Togotélécom a livré à la fin de cette journée l’état d’avancement des travaux et surtout ce que la présence du facilitateur Mgr Barrigah a apporté aux discussions.
Vous avez eu aujourd’hui une journée particulière au cours de ce dialogue. Quelle a été la particularité de cette journée ?
patrick LAWSONPatrick Lawson : Toutes les journées que nous passons sont des journées particulières étant donné que les sujets sont variés et variables. Aujourd’hui nous avons traité des sujets qui sont aussi importants que ceux d’hier et je le repète encore que personne ne se fasse d’illusion. Ce n’est pas toujours l’harmonie mais nous la recherchons continuellement et permanemment. Il y a eu des moments difficiles mais nous avons su les régler, les surmonter surtout grce au facilitateur, la preuve qu’un facilitateur est nécessaire pour des discussions de cette nature où nous sommes venus d’horizon divers et ayant des positions différentes sur les sujets évoqués c’est ce qui s’est passé aujourd’hui. Le facilitateur a joué son rôle, les positions ont été exprimées, il a tenté de les rapprocher. Sa méthode n’est pas mauvaise. On a gardé beaucoup de points de désaccord, on a eu quelques points d’accord mais à partir de vendredi nous aurons encore trois sujets à traiter et tout le reste du temps nous allons mettre ça à profit pour rapprocher définitivement les positions aussi minimes que soient-elles. Cela nous permettra par la suite d’avoir le consensus sur au moins un certains nombre de sujets fondamentaux pour la solidité de nos institutions, pour l’apaisement du climat politique dans le pays pour l’organisation des élections transparentes et libres.
Quels ont été déjà les points d’accord qui vous semblent importants au cours de ce dialogue puisque le communiqué parle de points d’accord et de points de désaccord ?
Patrick Lawson : Vous savez ce n’est pas mon rôle de vous détailler le point d’accord tout comme je n’ai pas à détailler les points de désaccord. Mais ce n’est pas vous faire offense, c’est pour la bonne marche de ce que nous faisons. Nous tenons à aboutir si on commence à tout livrer cela peut poser des problèmes, causer des frustrations etc… Donc comprenez-moi que je ne pourrai pas vous parler du contenu des désaccords et des accords.
Patrick Lawson, est-ce que vous nourrissez des espoirs au regard de l’évolution de ce dialogue ?
Patrick Lawson : Vous me connaissez bien, vous savez que je suis un optimiste quand il s’agit de l’avenir de mon pays et pour cela rien ne peut me freiner. Je crois que c’est très difficile les discussions que nous menons mais je pense également qu’avec les mécanismes qui sont mis en place nous parviendrons à trouver des terrains de consensus.
Qu’est-ce qui fonde cet espoir ?
Patrick Lawson : La volonté de la plupart des parties prenantes de trouver à tout prix des solutions et ensuite la peur de décevoir les Togolais nous oblige à nous investir pour trouver des solutions à nos problèmes. Voilà ce qui fonde tous ce que je dis et nous vous disons que nous vous rendrons compte régulièrement mais là n’est pas le lieu ce serait manquer du respect au facilitateur qui était là lui-même, il y a les rapporteurs mais moi c’est en ami que j’ai accepté de vous dire ces quelques mots. Vendredi quand on va se voir on pourrait probablement approfondir mieux les choses.
Peut-on dire si le facilitateur n’était pas là, il y aura déjà clash ?
Patrick Lawson : Oui et non. Ça aurait été difficile parce qu’il a joué et est en train de jouer un grand rôle. On a eu un moment difficile mais grce à son investissement personnel, il a calmé les cœurs, il pensé les cœurs et nous avons repris les travaux comme s’il n’y a pas d’incident dans cette salle, ça c’est grce à lui. C’était magique parce que moi je croyais que c’était la fin des discussions mais on s’en ait sorti et tout le long après avoir travaillé trente minutes on rigolait deux minutes, je crois que ça promet et nous le souhaitons du moins, en tout cas pour ce qui concerne les partis de l’opposition et singulièrement à l’ANC nous allons nous investir pour que des résultats sortent.
Sur quel point du dialogue l’intervention du facilitateur a été déterminante ?
Patrick Lawson : Sur tous les points, il a essayé toujours de rapprocher les positions mais il y a eu une incompréhension à un moment donné, il a su également régler ce problème et ça c’est extrêmement important pour nous.

Friday, May 30, 2014

La Corée en 3 minutes !



Un concours de montage d’une vidéo de 3 minutes sur la Corée est organisé du 1er avril au 31 mai 2014 à l’intention des résidents ou non sur le sol coréen. Selon les termes du communiqué qui parle de ce concours, les candidats doivent se baser sur certains points dictés pour s’exprimer sur la Corée. Les résultats seront publiés le lundi 14 juillet 2014.
Monter une vidéo ne dépassant pas une durée de 3 minutes, la transférer sur You tube ou tout autre site légal, visiter le site (http://www.publicdiplomacy.go.kr/video.jsp), et enregistrer la vidéo. Et l’enregistrer en anglais ou en coréen, mais si la langue n’est pas anglaise ou coréenne, la vidéo pourrait être néanmoins sous titrée en anglais ou en coréen, sont certains critères retenus. C’est l’exercice auquel seront soumis les candidats à ce concours. Qu’est-ce qui vous vient à l’idée quand vous pensez à la Corée et pourquoi cela ? Avez-vous quelques expériences personnelles relatives à la Corée ou à sa culture, son peuple, son mode de vie, sa tradition et son tourisme ? Et si oui, que signifie pour vous la Corée ? Portez vous des intérêts à la Corée et à sa culture ? Et qu’est ce qui vous motive ? Ce sont là des questions auxquelles ils auront à répondre de par leurs œuvres.
Concernant les instructions sur la participation, d’abord les vidéos seront disqualifiées s’il y a plagia ou si elles ont été présentées dans d’autres concours. Ensuite, le ministre des Affaires Etrangères de la Corée aura le droit de poster, d’imprimer et d’utiliser les vidéos à d’autres fins. Enfin, toutes violations de droit d’auteur ou portrait relèvent de la responsabilité des participants. Parlant des prix, seuls 120 auteurs de vidéos seront primés. Le Grand Prix composé d’une voiture Kia Morning. Le second prix dénommé Prix Or offre au gagnant d’un ordinateur portable LG. Trois vidéos partiront avec le Prix Argent composé d’une Tablette Samsung. Le Prix Bronze composé d’un Appareil Photo Samsung ira à cinq (5) vidéos. Les Prix d’encouragement d’une Oreillette Bluetooth LG et de participation d’une Clé USB LG (64 Go) iront respectivement à trente (30) et soixante (60) vidéos. En ce qui concerne le Grand Prix, toutes les taxes et les coûts relatifs à l’enregistrement, au transport et à la livraison seront à la charge du gagnant. Au cas où aucune vidéo n’est qualifiée pour les prix dans ces catégories, elles seront éliminées ou soumises au changement.
Par ailleurs, c’est la date du lundi 14 juillet 2014 qui est choisie pour la publication des résultats et cela se fera sur le site (http://www.publicdiplomacy.go.kr/video.jsp).
E.T (Stagiaire), Lomé (Telegramme228)

Les pays fragiles en échange d’expériences en vue de la mobilisation des ressources



Depuis ce jeudi matin, ils sont une soixantaine de représentants de 19 pays membres du Groupe des Etats fragiles G7+ à prendre part à la 3ème réunion ministérielle à Lomé. Ouvert par le Premier ministre togolais, Kwessi Séléagodji Ahoomey-Zunu, ces assises de deux jours qui connaissent la participation des ministres d’une dizaine de pays membres seront une occasion pour tous d’échanger sur leurs relations avec les partenaires en développement, les institutions mondiales bancaires et autres bailleurs de fonds, et aussi de jeter les bases d’une formalisation de ce regroupement de pays ayant connu des crises politiques et économiques violentes ou des conflits armés.
Pour permettre aux uns et autres de mieux connaitre les fondements de l’engagement de l’Etat togolais au sein de ce regroupement et à abriter ces assises, le Premier ministre togolais a tenu à partager avec les participants, « le parcours du Togo depuis le début des années 90 ». Il ressort de cette narration que le pays « a connu de 1990 à 2005, une crise sociopolitique qui a eu des répercussions néfastes sur sa situation économique et sociale devenue comparable à celle des pays post-conflit ». D’après le chef de l’exécutif togolais, « l’expérience du Togo montre, que la construction de l’Etat et de la paix est un processus de longue haleine qui se nourrit essentiellement du dialogue et du bannissement de la violence dans toutes les démarches politiques ». M. Ahoomey-Zunu a aussi appelé les partenaires à « trouver les moyens et les instruments appropriés pour continuer à appuyer les nouveaux pays qui entre dans la sphère de la fragilité », car à son sens, « la suspension de la coopération parait être le pire ennemi pour la construction de la paix et de l’Etat ou de toute démarche vers le développement ». Il a pour finir invité « tous à échanger les points de vue et à développer une vision partagée des difficultés des pays membres du G7+, pour une meilleure efficacité des actions communes et un engagement conjoint de tous les pays fragiles et de tous les partenaires au développement ».
Pour sa part, le Sous Secrétaire général du PNUD en Afrique, Abdoulaye Mar Dieye, a assuré les représentants des 19 pays du G7+ de la mise à disposition d’un fonds d’aide aux pays fragiles. « La spécificité des Etats fragiles devra être prise en compte dans l’agenda 2015 », a-t-il informé. Il a aussi convié les différents acteurs à « conjuguer les efforts pour passer de la fragilité à l’émergence ». « Le G7+ peut compter sur le PNUD à prendre en compte les recommandations de la 3ème réunion de Lomé », a-t-il promis.
Association volontaire de pays ayant eu une expérience récente de conflits et classés par les institutions de Bretton Woods comme Etats fragiles, le G7+ est un mécanisme international qui permet de suivre, de rendre compte et d’attirer l’attention de la communauté internationale sur les défis uniques auxquels les Etats fragiles sont confrontés. Son actuelle présidente est l’ancienne ministre des Finances du Timor-Leste Mme Emilia Pires. Le G7+ a son secrétariat depuis 2010 à Dili, au Timor-Leste.
G.K, Lomé (Telegramme228)

Thursday, May 29, 2014

Conférence publique du PNUD / L’EMERGENCE DE L’AFRIQUE SOUS LES PROJECTEURS



Le Programme des Nations unies pour le développement (Pnud) a organisé une conférence publique sur le développement et l’émergence de l’Afrique ce mercredi 28 mai 2014 à Lomé.

L’Afrique comme les autres continents aspire au changement. C’est dans ce cadre qu’une conférence publique a rassemblé les partenaires en développement du Togo en présence des medias, étudiants, etc.

Autour de cette idée maîtresse, les panelistes composés du Directeur Afrique du Pnud, M. Abdoulaye Mar Dieye, le ministre de la planification, Mawussi Semondji, le représentant de l’Union européenne au Togo, M. Nicolas Matinez Berlanga, les professeurs d’université, juristes et d’autres cadres, ont tenté, à travers leurs exposés, de transformer la faiblesse de l’Afrique en force en tenant compte de ses potentialités.

« Perspectives croisées sur le développement et l’émergence », c’est le thème de cette conférence publique.

M. Abdoulaye Mar Dieye a aussi félicité le Togo à travers sa vision 2030.

TOGO:: Mgr BARRIGAH sur le dialogue « Nous voulons tous qu’il ait un avancement. »




Le dialogue intertogolais se poursuit depuis le lundi 26 mai 2014 sous la facilitation de Mgr Nicodème Barrigah au siège de Togotelecom à Lomé.

Ce mardi 27 mai, les discussions ont tourné autour du régime politique, de la limitation du mandat présidentiel, de la création du Sénat, de la réforme de la Cour constitutionnelle et du mode de scrutin pour les scrutins présidentiels, législatifs et locales.

« Nous voulons tous qu’il ait un avancement. (…). Je pense que le peuple togolais peut attendre que ce dialogue aboutisse », a déclaré le facilitateur, Mgr Barrigah.

Notons que 12 points sont à l’ordre du jour des discussions entre les partis politiques parlementaires qui se sont fixés la date du 31 mai pour boucler les discussions.
PA LUNION

TOGO:: CEB : 30 après leurs expropriations, ils observent un sit-in pour réclamer leurs droits


Les populations des villages d’Atinédji, Assanté et Akparé dans la préfecture de l’Ogou ont observé un sit-in ce mardi 27 mai 2014, près des installations du barrage de la Communauté électrique du Bénin (CEB), environ 45 km à l’est du chef lieu de ladite préfecture. Le sit-in qui devrait avoir lieu devant la direction de la CEB n’a pas été autorisé en raison des mesures sécuritaires qui entourent le lieu et les manifestants ont été priés d’observer leur mouvement à quelques kilomètres plus loin où tout s’est déroulé dans le calme.

sit-in devant CEB NangbetoIl faut dire qu’au début de la manifestation, le préfet de la préfecture de l’Ogou, M. Alagbé Ayéna accompagné du représentant du directeur de la CEB a tenu à rassurer les manifestants que le sit-in n’était pas interdit. S’agissant des indemnisations qui sont l’une des raisons de la manifestation, le préfet a déclaré que les démarches sont en cours pour trouver solution à cette situation.

Pour sa part, le représentant du directeur général de la CEB, s’est montré compréhensif vis-à-vis des manifestants et a promis transmettre les doléances à qui de droit. « J’ai entendu vos plaintes, je vais les transmettre à qui de droit. C’est entendu par le préfet, c’est entendu par moi aussi, je rendrai compte mais il revient aux autorités sous lesquelles nous aussi nous sommes de prendre des décisions », a-t-il déclaré.

Après ces mots, les deux autorités se sont retirées laissant la place aux manifestants qui ont scandé des slogans hostiles à la CEB et exhibé des pancartes.
Dans une déclaration lue à la fin de la manifestation, le porte-parole des populations affectées, M. Ayena Logo dénoncé l’oppression, la mauvaise foi, le gangstérisme d’un organisme international qu’est la CEB.
« Lorsque nous étions approchés à l’époque pour être déplacées, nous n’avions pensé à aucun instant que nos conditions de vie s’apparenteraient à l’enfer puisque les promoteurs nous ont rassurées d’un lendemain meilleur », a déclaré M. Ayena, rappelant qu’ils sont décidés à faire entendre leur voix jusqu’à la manifestation de la vérité.

Il est à noter que ces populations réclament une juste indemnisation des déplacés, la construction des infrastructures socio-culturelles. Elles menacent d’observer d’autres mouvements devant le ministère des mines si leurs revendications ne sont pas satisfaites. Ces populations ont été affectées il y a trois décennies à la suite de la construction du barrage Nangbéto.
Cette manifestation est organisée par le Mouvement Martin Luther King, La Voix des sans voix.
PA LUNION

TOGO:: Humilié, le Pr KOMI WOLOU tente de se justifier.



Prié de quitter les travaux du dialogue inter togolais ouvert depuis plusieurs sous la facilitation de Mgr Nicodème Barrigah alors qu’il s’y était présenté au nom de l’ADDI (Alliance des Démocrates pour un Développement Intégral), le Pr Komi Wolou, secrétaire général du PSR ( Parti Socialiste pour le Renouveau) a tenté hier de se justifier à travers une longue démonstration juridique. Sans convaincre.

wolou1Comme son compère Me Zeus Ajavon, également obligé de quitter les travaux du dialogue inter togolais ouvert dans les locaux de Togo Télécom, le Pr Komi Wolou, ne décolère pas. Il s’en prend au couple UNIR-UFC, à qui il impute la décision de ne pas l’accepter dans les discussions comme délégué d’ADDI. Il dit être obligé de publier une réaction après avoir mesuré grâce à cet incident, «  la profondeur du mal togolais. » Après une longue démonstration juridique portant entre autres sur la finalité de la règle de droit, les notions de personne morale et de personne physique, celle du mandat, l’agrégé de droit résume la problématique de cet incident essentiellement à une question : une personne morale (un parti politique) peut-il donner mandat à une personne physique qui n’en est pas membre pour agir en son nom et pour son compte ?

Malgré une démonstration « académiquement » séduisante, le bras droit de Me Abi Tchessa peine à convaincre, y compris les traditionnels soutiens à l’opposition. En effet, ce qu’il ne relève pas suffisamment et semble marginalisé, est que la matière ici est éminemment politique. L’appréhender sous le seul prisme du droit, serait une belle erreur. La tenue même de ce dialogue n’obéît à aucune logique juridique, puisqu’il est curieux à priori que la question des réformes institutionnelles et constitutionnelles ne soit pas connue par le Parlement, lieu par excellence du débat républicain et incarnation la plus aboutie du suffrage populaire, et donc de la légitimité populaire. C’est donc sur la base d’une décision politique, assumée par ailleurs, que se tiennent ces discussions dont le cadre et le fonctionnement, ne reposent là également non pas sur des règles de droit, mais sur l’expression commune de volonté des participants. Donc par essence purement subjectif et exclusif, puisque bon nombre d’acteurs (partis extra parlementaires, société civile et même gouvernement etc) en sont exclus.

De fait, enfermer les conditions de ce dialogue dans du juridisme académique serait emprunter une pente glissante, de vouloir une chose et son contraire.
Dans aucune discussion, aucun dialogue politique au monde, les parties invitées ne mandatent un tiers pour les représenter, quelque puisse être l’expertise de celui-ci. C’est parce qu’on estime que ce sont elles les mieux concernées et donc d’elles dépendront la solution aux problèmes qui se posent, que celles-ci sont conviées, à l’exclusion de toute autre. Il ne viendrait à l’esprit des Palestiniens de l’OLP de mandater un expert Guinéen pour débattre avec les Israéliens lors d’un round de négociations ou que le FPI ( Front Populaire Ivoirien) de Laurent Gbagbo donne pouvoir au Lider de Mamadou Koulibaly aux fins de parler en son nom, dans le dialogue qui s’ouvre entre ce parti et les autorités ivoiriennes. Certes, une compétence, un avis d’expert peuvent être toujours utile pour chaque participant afin d’affiner sa position.

Mais ils doivent être requis en amont ou en aval. Le cadre de discussion peut valablement aussi y faire recours. C’est ainsi par exemple que lors des travaux du CPDC rénové, Me Zeus Ajavon et d’autres avaient été sollicités pour apporter leur expertise à l’ensemble des participants sur les différents types de régime par exempls. Au surplus, dans l’histoire politique contemporaine togolaise qui compte déjà une vingtaine de dialogue, ce cas de figure ne s’est jamais posé. Pour beaucoup, les deux hommes de loi auraient dû simplement admettre leur maladresse et s’en excuser, au lieu de verser dans l’invective et la stigmatisation, s’en prenant à leurs adversaires qui continuent à discuter avec leurs homologues, au risque de faire planer l’éventualité d’une échec sur des travaux dont tout le monde attend beaucoup ; par simple égoïsme.

Wednesday, May 28, 2014

Mort du Togolais Evoda en Allemagne : Trois organisations des droits de l'Homme montent au créneau


Trois organisations de défense des droits de l'Homme au Togo montent au créneau mercredi dans la capitale togolaise dans l'affaire Michel Evoda, togolais vivant en Allemagne plus précisément dans la ville de Cologne où il a été abattu froidement par la Police allemande.



Il s'agit de la Ligue Togolaise des Droits de l'Homme (LTDH), de
l'Association des Victimes contre la torture au Togo (ASVITTO) et du
Mouvement Martin Luther King (MMLK).

M.Evoda a été abattu froidement par la police allemande qui dit
intervenir pour mettre fin à une dispute entre Michel et son épouse
Catherine le 12 décembre 2013.

La sortie des trois organisations vise à demander à ce que la lumière
soit faite sur cette affaire, car, elles estiment que, M.Evoda a été
assassiné de la manière la plus crapuleuse. Pour les organisations, le
temps passe et il faut faire vite.

A travers une déclaration, les trois organisations demandent au gouvernement togolais qui est déjà informé de l'assassinat du compatriote, de se mettre rapidement à l'oeuvre pour
pouvoir suivre le dossier de près pour que la lumière soit faite.

Les organisations des droits de l'Homme demandent à l'Allemagne le
respect de la dignité humaine et que les auteurs du crime soient
poursuivis devant les juridictions compétentes

Voici l'intégralité de la déclaration des trois organisations de
défense des droits de l'Homme


Déclaration liminaire sur la tragique disparition du rugbyman
togolais, Michel Evoda

Le jeudi 12 décembre 2013, Michel Evoda, jeune togolais de 28 ans,
évoluant dans le club de rugby de la Cologne a été abattu dans des
conditions controversées par la police allemande. Selon les versions
servies, tantôt Michel aurait été touché par une balle perdue au bras,
tantôt il aurait été atteint de deux balles au niveau de la tête. Ce
qui semble constant, c'est que la police allemande qui serait
intervenue pour mettre fin à une dispute entre Michel et son épouse
Catherine, a cru bon de tirer sur ce jeune togolais. Vous convenez
chers amis de la presse que les circonstances de cet assassinat
demeurent floues et méritent que des dispositions soient prises pour
que lumière soit faite.

Saisies du dossier, les organisations de défense des droits de
l'homme, notamment la Ligue Togolaise des Droits de l'Homme (LTDH),
l'Association des Victimes de la Torture au Togo (ASVITTO) et le
Mouvement Martin Luther King (MMLK), au regard des différents
témoignages recueillis se sont posées un certain nombre de questions.


Comment la police allemande réputée en ce qui concerne le maintien
d'ordre dans le respect de la vie humaine et des droits des individus,
qui qu'ils soient, n'a eu d'autres choix que de tirer sur un homme qui
n'était pas armé?

La police allemande ne pouvait elle pas recourir à un autre moyen
qu'un tir tendu en vue de maitriser la victime et la mettre à la
disposition de la justice, si tant est qu'il est vrai que la dispute
qui l'opposerait à son épouse a pris des allures inquiétantes ?

Quelles dispositions les autorités allemandes ont pris depuis décembre
2013 pour situer les responsabilités et fixer l'opinion togolaise en
général et la famille de Michel Evoda en particulier, sur les
circonstances du drame ? Que compte faire le Togo pour élucider cette
tragédie ? Autant de questions que nous nous posons en tant
qu'organisations de défense des droits humains et que toute personne
éprise de respect du caractère sacré de la vie humaine et de la
justice doit se poser.

Dans notre démarche de recueillir des informations et des conseils de
part et d'autres, nous avons rencontré différentes personnalités et
institutions notamment le Haut Commissariat des Nations Unies pour les
Droits de l'Homme (HCDH) Bureau du Togo, l'Ambassade d'Allemagne au
Togo et le Ministère des Affaires Etrangères. Ces différentes
institutions n'ont pas caché leur émoi face à la tragique disparition
de Michel Evoda et assurées de leur disponibilité à oeuvrer pour que
la lumière soit faite.

A ce jour, nous attendons toujours d'être reçus par le Ministre des
Droits de l'Homme et le bureau de la Commission Nationale des Droits
de l'Homme (CNDH). Des courriers ont été envoyés à ces institutions à
cet effet.

Il est opportun d'informer l'opinion que nous avons adressé aussi une
correspondance au Premier Ministre togolais, Chef du Gouvernement,
pour l'informer et inviter à travers lui, l'Etat togolais à prendre
les dispositions idoines pour tirer cette affaire au clair.

Pour notre part nous tenons à réitérer en tant qu'organisations de
défense des droits humains, notre attachement au respect scrupuleux
du droit à la vie.

En attendant d'en savoir plus sur les circonstances exactes qui ont
conduit au décès de notre compatriote, nous soutenons avec force qu'il
est inadmissible qu'en ce siècle de modernité, où les droits
fondamentaux de la personne humaine sont prônés par tous les pays
parties aux différentes chartes et conventions internationales en la
matière, que la police, de surcroit d'un pays comme l'Allemagne,
puisse faire usage d'une arme à feu face à un citoyen aux mains nues,
alors même qu'elle n'était pas en situation de légitime défense.

La LTDH, le MMLK et ASVITTO renouvellent leurs sincères condoléances
au peuple togolais, au public sportif notamment aux joueurs de rugby,
à la famille de Michel Evoda, et spécialement à sa mère Madame
Amélamédji Adjo, inconsolable, qui attend toujours la vérité sur ce
qui est arrivé à son fils.

La LTDH, le MMLK et ASVITTO lancent un appel à l'Etat togolais pour
qu'il prenne sans délai des mesures conséquentes par rapport à la
gravité de la situation en vue d'obtenir des autorités allemandes,
toute la lumière sur ce drame.

La LTDH, le MMLK et ASVITTO déplorent les zones d'ombre qui entourent
les circonstances de la mort de Michel Evoda et demandent l'ouverture
d'une enquête conduite par une commission composée d'organisations
internationales de défense des droits de l'homme, pour élucider les
circonstances du drame.

Justice pour Michel EVODA !!!

Ont signé :
Pour la LTDH
Me Raphael Kpande-Adzare

Pour ASVITTO
Monsieur Olivier Amah POKO

Pour le MMLK
Pasteur Komi EDOH

TOGO - VIDEO/ Vive tension au Dialogue: l'UFC provoque la colère de l'ADDI sur l'affaire des incendies

La tension est montée d'un cran au Dialogue. Jean-Claude Homawoo (UFC) accuse les leaders du CST d'être les commanditaires des incendies des marchés, provoquant la colère d'Alphonse Kpogo (secrétaire général de l'ADDI emprisonné dans ce dossier) qui quitte la table des discussions et exige des excuses

Togovisions

TOGO: Dialogue en cours - Deux délégués ont failli en venir aux mains

Le huitième (8ème) point à l’ordre du jour du dialogue inter-togolais, c’est-à-dire les mesures d’apaisement, avec en toile de fond les incendies des marchés de Kara et de Lomé ont failli provoquer la bagarre entre Alphonse Kpogo de l’Alliance des Démocrates pour le Développement Intégral (ADDI) et Jean-Claude Homawoo de l’Union des Forces de Changement (UFC). C’est ce qu’a appris l’Agence Afreepress chez le confrere independant express



selon ce site les délégués de l’Alliance Nationale pour le Changement (ANC) et de l’ADDI, tous deux partis membres du Collectif « Sauvons le Togo » (CST) ont souhaité attendre le procès en préparation dans cette affaire, mais ont exigé la libération « des personnes arrêtées et détenues ».

« C’est ainsi que le délégué de l’UFC, Jean-Claude Homawoo a attaqué sans retenue les autres partis d’opposition, notamment l’ANC et l’ADDI » en déclarant que si les résultats d’enquêtes les identifient et que la justice les inculpe, c’est qu’ils sont les auteurs de ces incendies. « Il n’est pas question de libérer un seul des vôtres, je ne suis pas d’accord », aurait-t-il jeté à l’endroit des délégués de l’ANC et d’ADDI.

Pour toute réaction, c’est Alphonse Kpogo, l’une des personnes ayant passé plusieurs mois en détention qui aurait vigoureusement réagi, ajoute le site d’information et les deux hommes auraient failli en venir aux mains, n’eut été l’intervention des autres.

Les esprits se sont calmés quelques heures après et les travaux ont continué.

Telli K.
Source : AfreePress

TOGO:: Deux nouveaux points abordés au fond au dialogue politique mercredi

La troisième journée de discussion sur les sujets inscrits au dialogue a permis d’aborder deux (2) points dont les mesures d’apaisement du climat politique, et l’amélioration du cadre électoral, portant ainsi à neuf (9) le nombre de points épurés sur les douze (12) inscrits au chronogramme.




D’après un communiqué ayant sanctionné la fin de cette troisième journée, « les échanges ont permis de recueillir les positions de chacune des parties prenantes. Des points d’accord ont été obtenus sur certains sujets et des points de désaccord ont été actés ».

Interrogé sur le contenu des discussions, Patrick Lawson, député de l’Alliance Nationale pour le Changement (ANC), a estimé que ce serait un manque de respect à la procédure que de se prononcer sur les points de vue des parties prenantes.

« Vous aurez tous les détails le vendredi », a-t-il indiqué.
Par ailleurs le communiqué précise que les travaux seront « suspendus le jeudi en raison de la fête de l’Ascension et reprendront le vendredi 30 mai avec la poursuite des autres points de l’agenda ».

Selon le chronogramme, les discussions sont censées prendre fin le 31 mai prochain, et toutes les parties prenantes se disent « optimistes » quant à l’issue « favorable » de ce dialogue.

Gaël N.
Source : AfreePress

TOGO:: Faure reçoit le soutien de l’AFPF Dékon




Les commerçantes et commerçants apportent leur soutien au Chef de l’Etat du Togo à travers la mise en place d’une association.

L’Association des Fans du Président Faure Gnassingbé (AFPF-Dékon ) regroupe des commerçantes et commerçants du quartier Déckon, le grand quartier commercial au centre de Lomé très prisé à la fois et foyer de tension et de troubles politiques.

Avec AFPF Déckon, les commerçants du lieu veulent montrer à travers des initiatives comme des sensibilisations et prise de conscience afin de prouver qu’ils ne sont pas des bandits contrairement à ce que pensent bon nombre de personnes.

"Nous entendons enlever de la tête des jeunes du Togo, l’idée de vengeance" et "apporter notre soutien aux efforts de paix et de réconciliation entrepris par les autorités du pays", a déclaré Mesan Asri Messan Yovo, président de l’AFPF-Dékon.

Dans les jours à venir des campagnes de sensibilisation à « l’esprit de tolérance dans le cœur de tous les Togolais, et faire comprendre qu’aucun développement n’est possible sans la paix et l’amour du prochain » seront entamées à l’endroit des populations.

TOGO:: La ministre Dédé Ahoéfa Ekoué a célébré l’évènement avec les mères du CHR d’Atakpamé



Pour rendre hommage aux mères, la Ministre de l’Action sociale, de la Promotion de la Femme et de l’Alphabétisation, Mme Dédé Ahoéfa Ekoué, a dans la cadre de la célébration de la fête des mères de cette année, remis des dons au nom du Chef de l’Etat à 16 femmes qui ont accouché au Centre Hospitalier Régional (CHR) d’Atakpamé, dans les 48 heures qui ont précédé le 25 mai, jour de la fête.
Démarrée le samedi 24 mai 2014, la tournée de Madame Dédé Ahoéfa Ekoué s’est poursuivie jusqu’au dimanche 25 mai dernier, jour de la fête des mères. A l’étape d’Atakpamé dans les Plateaux, ce 25 mai, elle s’est rendue au Centre Hospitalier Régional (CHR) de la ville où elle l’a célébré avec des femmes de la maternité.
Elle a remis des dons à 16 femmes qui venaient d’accoucher. Les dons sont composés de couverture pour les bébés, de détergents, de désinfectants et de tissu-pagnes pour mère. « Ce geste vise à rendre hommage aux mères et constitue un témoignage de reconnaissance à leur endroit pour les sacrifices consentis pour le bien-être de leurs familles », a précisé Mme Dédé Ahoéfa Ekoué. Pour « cette catégorie de femmes, ont traversé un moment critique et était plus vulnérables. Donc c’est pour leur témoigner la sympathie que le président Faure Essozimna Gnassingbé a à leur endroit qu’il a pensé à eux à travers ce don », a-t-elle poursuivi.
Mme Ekoué et sa suite ont visité les salles de la maternité du CHR d’Atakpamé, pour remettre les emballages de cadeaux et de bouquets de fleurs à ces femmes.
« Nous remercions le Président Faure pour tous ces cadeaux qu’il vient de nous donner. Nous remercions aussi Madame la Ministre qui est venue nous saluer à l’hôpital et nous a apporté tous ces cadeaux là. Toutes les femmes leur disent merci », a confié Koumongou Eméfa, une des bénéficiaires.
Notons qu’au total deux cents (200) femmes dans les cinq régions administratives du pays ont été touchées par ce don.
A.I, Atakpamé (Telegramme228)

Tuesday, May 27, 2014

TOGO:: Faure GNASSINGBE écrit à l’inventeur de « Foufoumix » pour le féliciter.

Le Président de la République, Faure Gnassingbé vient d’envoyer un courrier de félicitations à l’inventeur de la machine appelée « Foufoumix » qui a obtenu récemment un Prix de l’Innovation au Nigéria. « Cette distinction est une source de fierté pour notre pays et un encouragement pour tous ceux qui s’investissent dans la recherche et l’innovation » écrit Faure Gnassingbé à Jules Minsob Logou qui avait bénéficié d’une aide de 25 millions accordée par le Programme d’appui au secteur agricole (PASA). Dans sa parution numéro 111, FOCUS INFOS lui avait consacré un sujet. Nous vous en proposons l’intégralité.


Il s’appelle Logou Minsob Jules, jeune électrotechnicien de son état. Il est le concepteur du tout premier robot de cuisine africaine dénommé le « Foufoumix ». A 38 ans seulement, cet inventeur très apprécié par ses clients compte à son actif une demi-douzaine d’inventions protégées par des brevets. Parmi ces inventions, figure en bonne place le Foufoumix qui fait aujourd’hui le bonheur des ménages et restaurants du Togo qui proposent cette pâte élastique obtenue à base d’ignames ou d’autres tubercules, à leur menu.

Présentation du Foufoumix

Cette invention, selon son auteur, est imaginée pour répondre à un problème local à propos de la préparation du Foufou. C’est en voyant, notamment chez sa mère, les efforts et la fatigue qu’engendre la préparation du foufou que M. Logou s’est mis en tête de trouver une solution alors qu’il était en classe de 4e. Il met au point un prototype lorsqu’il arrive en classe de 2nde, une machine directement inspirée du système de pilon traditionnel qui est de nature à plus fatiguer les ménagères avec beaucoup d’insécurités autour.

Le jeune apprenant du lycée technique d’Adidogomé (Lomé) va poursuivre sans relâche ses recherches et à force de travail, il parviendra à découvrir le secret du Foufou. Il n’est pas forcément nécessaire de piler les tubercules avant d’obtenir un effet de malaxage suffisant et le compte est bon.

FOUFOUMIXDe cette découverte, il va créer une merveille technologie qu’il baptise le « Foufoumix », une machine composée de deux petites palettes fixées sur un axe rotatif qui malaxent les morceaux d’igname jusqu’à l’obtention d’une pâte homogène. Un brevet lui est accordé en 2000 pour cette invention qui vient révolutionner la cuisine africaine essentiellement traditionnelle.

Aux files des années, cette machine est améliorée pour obtenir finalement un robot se présentant sous la forme d’un engin lunaire. Il peut fonctionner pendant plus de dix ans en utilisation intensive, il est d’ailleurs commercialisé avec une garantie d’une année, confie fièrement l’homme.

Pour mieux répondre aux besoins des clients, deux versions de ce robot existent : l’une de 0,75 KW adapté aux ménages et pouvant préparer du foufou pour la famille de huit (8) personnes en un temps record et l’autre de 1,1 KW destiné aux restaurants et professionnels de la préparation du Foufou.

Techniquement, insiste l’inventeur, le Foufoumix permet d’économiser de l’énergie humaine, du temps et consomme peu d’énergie électrique (10F CFA pour 15 plats).

L’engouement des petits ménages et autres grands restaurateurs togolais et africain pour cette machine se fait de plus en plus ressentir. Cependant, confie avec mélancolie M. Jules Logou, la cadence de production « artisanale » est trop lente et ne suit pas la demande trop croissante.

De ce fait, il faut aujourd’hui compter 295 000F pour acquérir le modèle de ménage du Foufoumix et 350 000F pour le modèle professionnel en vente actuellement dans deux boutiques de Lomé : l’une située à Adido-Adin, fin pavé et l’autre en face de la station Total à côté des galeries Tountouli.


Lauréat du Prix de l’innovation pour l’Afrique 2014machine

Le Foufoumix a reçu plusieurs prix d’excellence et fut le produit le plus innovant de la Foire internationale de Lomé 2010.

Mais le plus prestigieux reste celui du Prix de l’innovation pour l’Afrique 2014, le 5 mai dernier à Abuja, au Nigéria. Logou Minsob a arraché la seconde place après le candidat de l’Afrique et dépassant celui du Nigéria. Pour les membres du jury, l’invention de M. Logou présente « le plus grand potentiel commercial ».

Cependant, confrontée au manque de soutien et de partenaires d’affaires, la demi-douzaine d’inventions à l’actif de ce « génie » togolais de l’invention agonise dans son magasin. Le Foufoumix qui a reçu à sortir la tête du lot malgré les difficultés économiques et la cherté des matériaux, est aujourd’hui menacé par le génie de la contrefaçon, avec la complicité tacite de ressortissants togolais et de pays limitrophes du Togo.

« Les informations qui nous parviennent sur les tentatives de contrefaçon de notre produit ne sont pas de nature à nous rassurer. Nous n’avons de cesse de lancer un appel au secours aux autorités de notre pays et aux hommes d’affaires désireux de faire équipe avec nous. Rejoignez-nous pour sauver cette invention purement africaine qui a fait ses preuves et continue de monter ses qualité à la face du monde », a déclaré l’homme au bord des larmes.

Zeus Ajavon: si ma présence doit bloquer la situation, je préfère me retirer


Le dialogue a eu dû mal à démarrer ce matin. La présence de Zeus Ajavon (CST) et Komi Wolou (PSR), dans la délégation de l'ANC et de l'ADDI, ne plait pas pas au pouvoir. Ces deux imminents juristes ont préféré quitter pour l'instant la table de discussion pour éviter le blocage
Source: Togovisions

TOGO:: Le groupe des 5 exhorte les parties prenantes au dialogue à trouver un "consensus" sur les réformes

 Les représentations des missions des Nations Unies, de l’Union Européenne, des Etats-Unis, de la France et de l’Allemagne ont félicité les partis politiques parlementaires de l’opposition et de la majorité au dialogue politique pour le recours à la facilitation sur les réformes politiques.C’est par le biais d’un communiqué publié ce lundi 26 mai 2014 et dont l’Agence Afreepress a reçu copie.

Selon le communiqué, « suite à des échanges internes au groupe, les chefs de mission du groupe des 5 se félicitent de la reprise du dialogue politique et l’accord des parties sur le recours à la facilitation de Mgr Barrigah ».
Khardiata Lo N’diaye, Nicolas Berlanga-Martinez, Robert Whitehead, Nicolas Warner et Joseph Weiss n’ont pas ensuite manqué d’encourager le pouvoir et l’opposition « à tout faire » pour aboutir à un consensus sur les réformes nécessaires à l’apaisement et la consolidation de la démocratie au Togo.

Il faut rappeler que reprises ce lundi, les discussions ont connu dès les premières heures des débats houleux sur la composition de la délégation de l’Alliance Nationale pour le Changement (ANC) et de l’Alliance des Démocrates pour le Développement Intégral (ADDI).
Les travaux ont repris beaucoup plus sereinement quelques heures plus tard.

Telli K.
Source : AfreePress

Monday, May 26, 2014

TOGO: « Seuls les responsables du CST savent les raisons pour lesquelles ce point leur tient à cœur »



Interview au Président de la commission, Emploi et Bien Être social du parlement de la CEDEAO, ex Vice-Président de l’Union des Forces de Changement (UFC) et actuel Président de l’Association APDHDS, Nicodème Habia. Le dialogue inter togolais, les incendies des marchés de Lomé et de Kara, l’affaire de coup d’état, le parti annoncé suite à leur exclusion du parti UFC, voilà les sujets autour desquels, le Président de la commission, Emploi et Bien Être social du parlement de la CEDEAO, Nicodème Habia a voulu répondre dans une interview exclusive accordée à la rédaction de iciLome.com. Lecture.
iciLome.com : Bonjour ?
Nicodème Habia : Bonjour iciLome
iciLome.com : Vous avez annoncé sur ce site, la naissance d’une formation politique qui sera pilotée par les personnes exclues de l’UFC. Mais voilà, il y a quelques jours, l’une des exclues comme vous, vient d’être portée à la tête d’un parti, le Front des Patriotes pour la Démocratie (FPD). Est-ce le parti que vous avez promis aux Togolais ?
Nicodème Habia : En effet nous vous l’avons promis, mais le fait qu’un des nôtres soit porté à la tête d’un parti ne signifie pas qu’on soit de facto membre dudit parti. L’essentiel est de se mobiliser pour mener à bon port le processus.
iciLome.com : En l’espace de deux semaines, trois partis politiques ont vu le jour. Est-ce des formations politiques de plus pour le Togo ?
Nicodème Habia : Je ne le pense pas, mais ce dont je suis convaincu, notre paysage politique, est en pleine mutation et cela va se traduire par l’émergence de nouveaux leaders d’opinions plus aguerris. Ainsi, les méthodologies de travail, les stratégies de lutte et les approches de solutions prendront en compte les diverses préoccupations de nos populations.
iciLome.com : Le 19 Mai 2014, les partis politiques à l’assemblée nationale et le parti au pouvoir renouent avec le dialogue tant entendu. Quel est votre appréciation de l’ouverture du dialogue réclamé par l’opposition ?
Nicodème Habia : Vous savez, personne ne peut être contre un dialogue politique ou social entre les différents acteurs de la vie d’une nation. L’important c’est le résultat auquel cela va aboutir et les impacts que cela aura sur le vécu quotidien des différentes couches sociales du pays. Dans le cas actuel de notre pays, n’attendons nous pas à des miracles. Il suffit de remettre la constitution de 92 à sa place et arriver à trouver une porte de sortie honorable au Président actuel. L’important c’est le résultat auquel cela va aboutir et les impacts que cela aura sur le vécu quotidien des différentes couches sociales du pays.
iciLome.com : Le parti ADDI est désigné unanimement par les partis au dialogue pour diriger les débats ? Est-ce une chance une fois encore pour l’opposition ?
Nicodème Habia : En négociation politique, c’est la ruse et l’habileté, il n’y a pas de question de chance.
iciLome.com : Les mesures d’apaisement du climat politique (sécurité des militants des partis politiques, libération des personnes détenues et annulation des poursuites dans l’affaire des incendies des marchés de Kara et de Lomé, libération des condamnés dans l’affaire d’atteinte à la sûreté de l’Etat, désignation des chefs traditionnels) est le point 12 retenu au dialogue comme sujet à débattre. Ne pensez-vous pas que, l’opposition, notamment le CST qui a pointé un doigt accusateur sur le pouvoir comme celui qui a brûlé les marchés est tombé dans son propre piège en mettant ce point comme revendication à mettre sur la table du dialogue ?
Nicodème Habia : Seuls les responsables du CST savent les raisons pour lesquelles ce point leur tient à cœur. J’estime que la meilleure option pour le règlement de ce problème, puis que personne ne fait confiance à la justice, est de demander la création d’une commission d’enquête parlementaire ou internationale et à défaut, aller au procès. L’appréciation sera faite par l’opinion nationale et internationale.
Pour ce qui concerne les personnes accusées d’atteinte à la sûreté d’Etat, ma préférence va directement à l’endroit des travailleurs dont les sociétés ont été dissoutes. En outre il y a aussi ce problème récurrent de désenclavement de nos campagnes difficiles d’accès en ces périodes de pluies à cause de ces ouvrages qui ne résistent pas aux temps et aux intempéries (les pistes et les ponceaux).
source: telegramme228

TOGO: L’UCT en parle aux femmes



Le relais de la caisse de Lomé sert de cadre à un forum national ce 26 Mai 2014. Initié par l’Union des Communes du Togo avec l’appui du PASCRENA, et du ProDe/GIZ. Plus d’une centaine de femmes prennent part au forum qui s’achève le 27 Mai prochain.

Axé sur le thème « rôle et responsabilité du leadership féminin dans le développement local », le forum national est une occasion d’entretenir les participants sur différentes thématiques.

Il s’inscrit dans le cadre du projet « Contrôle citoyen de l’action publique locale : rôle et responsabilité du leadership féminin ».
PA LUNION

Saturday, May 24, 2014

Dédé Ahoéfa Ekoué : les « Mères » jouent un rôle extraordinaire dans l’édification de notre pays


Le 25 mai prochain, c’est la fête des mères. A l’occasion, la ministre de la Promotion de la Femme, de l’Action Sociale et de l’Alphabétisation, Dédé Ahoéfa Ekoué a souhaité samedi une bonne fête à toutes les mères.

Dans un communiqué dont l’Agence Afreepresqs a reçu copie, la ministre invite la population togolaise « à poser des gestes concrets de reconnaissance » à leur endroit « pour tous les sacrifices consentis ».

« Ensemble célébrons le courage et la détermination de ces femmes qui jouent un rôle extraordinaire dans l’édification de notre pays », a-t-elle ajouté.

La fête des Mères est une fête annuelle célébrée par les enfants en l'honneur de leur mère dans de nombreux pays.
À cette occasion, les enfants offrent des cadeaux à leur mère, des gâteaux ou des objets qu'ils ont confectionnés à l'école. Cette fête est également célébrée par les adultes de tous âges pour honorer leur mère.

Telli K.
Source : AfreePress

TOGO:: Mgr Nicodème Barrigah-Bénissan présidera le dialogue politique à partir de lundi 26 mai


Suite au consensus trouvé jeudi sur la conduite des discussions du dialogue politique par un facilitateur, c'est Monseigneur Nicodème Barrigah-Bénissan qui aurait accepté de jouer ce rôle, à en croire le député de l’Alliance des Démocrates pour le Développement Intégral (ADDI), Alphonse Kpogo.


L’ancien président de la Commission Vérité Justice et Réconciliation (CVJR) revient ainsi aux affaires pour permettre à ce que les différentes parties prenantes à ce dialogue se mettent d’accord sur les douze (12) points définis sous la présidence du bureau provisoire.
Il aurait donc été préféré au révérend pasteur de l’Eglise méthodique, Charles Klagba, indisponible pour cause d’absence du pays.

Dans un entretien accordé à l’Agence de presse Afreepress, le député a précisé que le premier point à attaquer ce lundi sera la question du régime politique, « point sur lequel chaque protagoniste a un point différent », a-t-il rappelé.

« Sous l’égide de Mgr Barrigah, nous allons commencer le lundi par le premier point qui est le régime politique. Nous nous sommes dit que nous allons épurer un certain nombre de point chaque jour. Nous allons donc commencer lundi et nous verrons ce que ça va donner », a-t-il confié.

Il estime par ailleurs que même si les points de vue divergent sur la question, le dialogue permettra de pouvoir argumenter les positions, de se comprendre, et de s’entendre sur un point commun qui ira dans l’intérêt du développement politique du Togo, et pour le bien-être des populations.

Commencé le 19 mai dernier, le dialogue politique auquel prennent part les cinq (5) partis politiques parlementaires n’a pas eu lieu ce vendredi. Le bureau provisoire du dialogue en a profité pour faire des tractations auprès du prélat.

Gaël N.
Source  AfreePress

Friday, May 23, 2014

TOGO: Vers la désignation d'un facilitateur sur les réformes institutionnelles et constitutionnelle

Togo : Vers la désignation d'un facilitateur sur les réformes institutionnelles et constitutionnelle 
LOME  - Les partis politiques parlementaires togolais, en discussions depuis lundi à Lomé sur les réformes constitutionnelles et institutionnelles, se sont accordés jeudi sur le principe de désignation d'un facilitateur, a indiqué jeudi un communiqué cosigné par les protagonistes. 

Les parties prenantes aux assises se sont également entendues sur les modalités des discussions, la mise en œuvre des propositions qui seront retenues et sur l'agenda détaillé, précise le communiqué.
Le nouveau dialogue inter-togolais devrait prendre fin le 31 mai et déboucher sur des réformes constitutionnelles et institutionnelles, dans la perspective des prochaines élections présidentielles de mars 2015.
Le facilitateur aura pour principale mission de modérer les débats et d'amener les parties au consensus, chaque fois que des risques de blocage viendraient à planer sur ces pourparlers, a dit à Xinhua un représentant d'un parti dans les couloirs des discussions.
Au cours des dernières 72 heures, des supputations sont portées, aussi bien dans les milieux politiques que médiatiques, sur l'archevêque togolais Mgr Nicodème Barrigah et les ex-présidents mozambicain Joaquim Chissano et cap-verdien Piedro Pires comme étant les potentiels facilitateurs.
Prennent part à ces pourparlers, l'Union pour la République (majorité présidentielle), l'Alliance nationale pour le changement (Principale formation de l'opposition depuis les législatives de juillet dernier), l'Alliance pour la démocratie et le développement, la coalition Arc-en-ciel regroupant 7 partis dont le Comité d'action pour le renouveau et la Convention démocratique des peuples africains.
Source: xinhua

TOGO:: Les partis politiques ont convenu de la conduite des discussions par un facilitateur

 
Le dialogue entre les partis politiques parlementaires vient de s’entendre sur la désignation d’un facilitateur et des démarches sont déjà en cours pour s’accorder sur la personne, a appris l’Agence Afreepress d’un communiqué produit par le dialogue.

Entre autres décisions prises par les partis, l’accord sur les modalités de discussions, la mise en œuvre des propositions qui seront retenues et l’agenda détaillé des discussions.
Mercredi, le chef de la délégation de l’Alliance Nationale pour le Changement (ANC), Patrick Lawson a déclaré à la fin des discussions que « plus personne ne s’oppose à la question de la médiation ».

Présidés provisoirement par un bureau, les travaux des quatre (4) jours auront désormais accouché de la conduite des discussions par un facilitateur, une personne qui sera chargée durant la dizaine de jours qui restent, de « faciliter » le déroulement des discussions.

Débutées le 19 mai 2014, ces discussions doivent permettre de se situer sur les réformes constitutionnelles et institutionnelles devant permettre au Togo de « résoudre définitivement la crise politique ».
Afreepress

La Reine du Kamou, Finiki est décédée


 L’artiste de la chanson togolaise, Finiki est décédée jeudi après avoir souffert d’une courte maladie, a appris l’Agence de presse Afreepress vendredi des proches de l’artiste.


Surnommée « la Reine du Kamou », Finiki a consacré sa carrière artistique à la promotion du Kamou, une danse traditionnelle typiquement kabyè.

La dernière prestation internationale de la Reine du Kamou remonte à son spectacle du 27 avril 2013 qu’elle a offert en Allemagne, lors de la célébration du 53ème anniversaire de la fête de l'indépendance du Togo.

Cette sortie a précédé une mini-tournée européenne de deux (2) mois de Finiki en France, Italie et Allemagne.

Ce fut l’occasion pour l’artiste à la voix « aigüe » de faire revisiter son coffret discographique « Araba ».
Source : AfreePress

TOGO / VIDEO: : Zeus Ajavon: au CST nous souhaitons que cet ènième dialogue soit le dernier


22/5/2014 - Me Zeus Ajavon, coordinateur du Collectif "Sauvons le Togo" (CST) intervient lors d'e la conférence de presse organisée par le CST à à l'issue de la quatrième journée du dialogue politique au Togo.
TOGOVISIONS

Wednesday, May 21, 2014

Pax Africana dénonce la duplicité du MNLA au nord-Mali

Pax Africana dénonce la duplicité du MNLA au nord-Mali 
PAX AFRICANA, fondation basée à Lomé, vient de s'insurger contre la position ambiguë du MNLA (Mouvement national de libération de l'Azawad) dans les différends historiques au nord-Mali, à la faveur d'une visite du PM malien Moussa Mara le week-end écoulé au nord-est du Mali. Voici la teneur de cette Déclaration. Elle est intitulée: "Plus de recours à la logique guerrière au Mali". 

"PAX AFRICANA (Forum Panafricain pour la Paix et le Développement) a suivi avec une profonde inquiétude les scènes d'une rare violence qui ont marqué la visite du Premier Ministre malien, Moussa Mara, à Kidal (1.500 km au nord-est de la capitale Bamako) entre le 16 et le 18 mai 2014.
Ces violences qui ont engendré la mort de 36 personnes (dont 08 militaires et plusieurs fonctionnaires locaux) et qui se sont soldées par des enlèvements suivis d'élargissements de fonctionnaires illustrent la situation de ni paix ni guerre que connaît le nord-Mali, en dépit du retour à la stabilité politique depuis août 2013. Ces nouvelles pertes en vies humaines au Nord-Mali appellent de la part de PAX AFRICANA une vive condamnation et dénonciation de la position ambiguë du MNLA (Mouvement national de libération de l'Azawad)dans le cadre des efforts de réconciliation entrepris au Nord-Mali. La Fondation PAX AFRICANA exprime à ce titre son profond étonnement devant les réactions molles provenant de la communauté internationale autour du développement du différend au Nord-Mali, en l'occurrence toutes les Organisations internationales et puissances mondiales qui ont œuvré pour un rapide retour à l'ordre constitutionnel sur le sol malien, au lendemain de "l'Opération Serval".
Aujourd'hui plus que jamais, tout doit être mis en œuvre auprès des partenaires du Mali par la communauté internationale, dans le cadre de pourparlers inter-maliens, pour une clarification de la situation. Aucune partie aux négociations visant le Nord-Mali ne peut s'arroger le droit de s'insurger contre ou de défier un emblème du pouvoir central de Bamako, alors qu'au même moment, elle reconnaît l'exercice de la souveraineté des actuelles autorités maliennes sur l'ensemble du territoire national. Dans cette logique, les actes de violences imputables au MNLA ces derniers mois ne doivent plus être passés sous silence par la communauté internationale qui au même moment, ne rate aucune occasion pour inciter régulièrement toutes les parties maliennes à se remettre autour de la table du dialogue.
Cette nouvelle montée des enchères dans le nord-Mali constitue en outre des violations répétées des accords conclus en juin 2013 à Ouagadougou, entre le pouvoir transitoire de Bamako et les rebelles du MNLA, en prélude à la présidentielle 2013 dans ce pays.
PAX AFRICANA salue toutefois la libération de 28 otages par le MNLA ce 19 mai 2014. Leur rapt a eu lieu durant les affrontements armés de la fin de semaine dernière entre MNLA et forces maliennes de défense. Hâter la réconciliation entre tous les fils et filles du Mali à travers la mise en oeuvre d'une solution consensuelle et cohérente doit demeurer le principal leitmotiv de tous les acteurs engagés dans la recherche d'une paix durable au nord-Mali.
 
Fait à Lomé, le 20 mai 2014
La Fondation « PAX AFRICANA»
 
 ** Portée sur les fonts baptismaux en juillet 2010 à Lomé (Togo) et présidée par Edem KODJO, ancien Secrétaire général de l’OUA (devenue Union Africaine), ancien Premier Ministre du Togo, Membre fondateur de la CEDEAO, « PAX AFRICANA» est une Fondation à but non lucratif à vocation internationale dont l’objectif essentiel est de garantir la paix et le développement en Afrique par la construction de l’Unité du Continent.
 Elle fait du panafricanisme la pierre de touche de ses actions. Elle procède à l’analyse des conflits et à leur prévention au moyen de la négociation ou de la médiation. Elle s’est illustrée dans un passé récent dans des pays comme la Guinée, la Côte d’Ivoire, le Sénégal, Madagascar, le Mali, etc.".
Par E. G.
 

Moov-Togo propose le foot en direct à ses abonnés



Un nouveau produit de la société de téléphonie mobile Moo-Togo est annoncé. Ceci pour satisfaire les amoureux du ballon rond.

Désormais, les utilisateurs des smartphones pourront recevoir directement l’actualité sportive via « Sports Connect » par SMS à travers le réseau de Moov-Togo c’est possible.

La société de téléphonie Moov-Togo a noué un partenariat avec une société basée aux Etats-Unis pour permettre aux utilisateurs des smartphones de recevoir par sms les actualités, ceci sur abonnement gratuit au 9911 à Sports Connect. Ceci va leur permettre de recevoir en direct l’actualité sportive africaine et internationale, notamment le football fournie par Goal.com

« Avec la Coupe du Monde prévue dans quelques semaines au Brésil, les Togolais pourront suivre la compétition en direct sur leur mobile », a déclaré pour sa part Inderpal Singh Mumick, président de Kirusa.
PA LUNION

La communauté nigérienne au Togo sensibilisée par une délégation du ministre des Affaires Etrangères



Qu’est-ce qui est fait des recommandations du 1er Forum tenue en 2012 ? Quelles sont les préoccupations de la diaspora nigérienne partout dans le monde ? Comment les identifier ces Nigériens vivant à l’étranger ? Comment faire pour associer cette diaspora aux projets de développement du Niger ? C’est pour répondre à toutes ces préoccupations, et en prélude au 2ème Forum qui se tiendra, probablement au mois d’août prochain à Niamey, qu’une délégation de sensibilisation et d’identification en tournée, était hier dimanche 18 mai, à Lomé, à l’Ambassade du Niger au Togo, pour échanger avec la diaspora dudit pays. La cérémonie s’est déroulée en présence de l’Ambassadeur de la République du Niger au Togo, son Excellence, Hassane Harouna Maîga, les membres de la délégation et la Communauté nigérienne au Togo.
Pour une deuxième fois, les fils et filles de la République du Niger vivant au pays et à l’étranger vont se retrouver autour d’un seul évènement pour plancher sur le développement de leur pays. Il s’agit du Forum national, qui selon les organisateurs, se tiendra certainement courant le mois d’août à Niamey au Niger. Selon l’Ambassadeur de la République du Niger au Togo, Hassane Harouna Maîga, ce 2ème forum de la diaspora nigérienne, fait suite au 1er forum tenu du 2 au 5 août 2012. « Pendant ce 1er forum, il y a eu des échanges, il y a eu des recommandations. Ce second forum va faire le suivi de ces recommandations et aussi faire de nouvelles recommandations », a-t-il souligné.
A en croire Ousman Sanda Boubacar, Chef de la Délégation et Conseiller Technique du Ministre d’Etat, Ministre des Affaires Etrangères, de la Coopération, de l’Intégration Africaine et Nigérienne de l’Extérieure, ce second forum va tourner beaucoup sur l’investissement immobilier de la Diaspora. « Nous voulons inviter ses gens à venir et voir dans quelle mesure nous pouvons leur faciliter l’accès au logement. C’est une seule thématique qui va être abordé à ce niveau », a-t-il précisé.
Revenant sur l’objectif de leur mission, Ousman Sanda Boubacar a estimé qu’au niveau du Niger, ils étaient en train de mettre une nouvelle politique en matière de la diaspora structurée en plusieurs points qu’ils ont élaborée en plan d’action, et qu’ils avaient tenu justement, après cela, à identifier les Nigériens qui sont à l’extérieur. « Après toutes ces démarches, nous avons voulu faire un 1er forum qui a eu lieu en 2012, et là, nous nous sommes revenus sur ces gens pour leur expliquer tout ce qui s’est fait, l’après forum comment ça été pris en compte. Quelles sont les recommandations qui ont été données et comment ces recommandations ont été traduites », a-t-il rappelé.
D’après le Conseiller Technique, leur mission, c’est une mission de sensibilisation et d’appel à identification des gens et en plus de voir dans quelle mesure ils peuvent organiser ce 2ème forum pour voir les évolutions qui ont été faites. Il a saisi l’opportunité pour exhorter ses compatriotes à se faires recenser que ce soit au plan national ou international, soit en faisant leur carte d’identité avant de partir ou quand ils sont sur place, de faire la carte consulaire qui fait d’eux, vraiment des Nigériens.
« La diaspora contribue plus que l’aide au développement qu’on reçoit. C’est pour cette raison que nous voulons associer la diaspora à tous les projets de développement au Niger. Pour ce second forum, on espère avoir plus de participants qu’au 1er. Puisque nous avons tenu compte de leur préoccupation primordiale qui est l’accès au logement, l’accès au terrain », a-t-il précisé.
Avant le Togo, la délégation a posé sa valise de sensibilisation et d’identification au Bénin, en Côte d’Ivoire, au Burkina Faso. Après le Togo, la délégation poursuit sa mission au Ghana et au Sénégal. Ensuite la mission va se poursuivre en Afrique Centrale, aux USA, en Europe, au Moyen-Orient, au Koweït, en Arabie Saoudite, au Soudan, et enfin au Nigéria.
A.A / F.S (Telegramme228)

Total Togo fait sa toilette avec le programme T-air



T-air (Total Amélioration de l’Image Réseau), c’est le nom du programme de transformation de couleurs et des services, lancé ce vendredi à Lomé par la société Total Togo. Ce fut au cours d’une cérémonie grandiose à sa direction générale dans la zone aéroportuaire de la capitale togolaise.
Pour l’occasion, le directeur général de cette référence dans la distribution des produits pétroliers au Togo, Abel Koné Nandiolo, a donné des détails sur le bien-fondé de ce programme. Selon lui, « au-delà d’être un simple changement de couleur, T-air est un programme de transformation qui a pour objectif l’amélioration de l’image du réseau de Total ». Transmettant les idées forces d’une telle démarche, il a assuré que « cette transformation prend en compte, le confort et le bien-être des clients », « le respect de l’environnement », et « l’utilisation rationnelle des Ressources Energétiques mises en œuvre pour l’exploitation des points de vente ».
Quand au ministre togolais des Transports et des Travaux Publics, Ninsao Gnofam, qui représentait pour l’occasion, sa collègue du Commerce, tout en assurant Total Togo de l’accompagnement de l’Etat togolais, il s’est réjouit de ce que le déploiement de ce programme crée de l’emploi pour les Togolais. A titre d’information, ces travaux de transformation de l’image de marque de cette société pétrolière mobilise en permanence quatre entreprises togolaises et génère 28 emplois directs pour chacun des 76 chantiers, a expliqué le directeur réseau, Eloi Assogba. Pour ce dernier, l’idée de ce programme est partie d’une enquête réalisée auprès des clients et dont les conclusions ont amené à penser à une harmonisation de cette image (forgée sur un assemblage de stations d’essence issues pour certaines des défunts BP, pour d’autres d’Elf et de Mobile) et à la tendance vers la modernité.
Il est à noter que le déploiement de ce programme T-air, qui allie harmonisation et modernisation, vient mettre fin à une image qui date d’il y a une vingtaine d’années. Il devra « couvrir l’ensemble des soixante seize stations Total existantes sur le territoire togolais sur une période de trois ans ». Pour les 20 premières stations pris en compte pour cette première année, le coût global sera, à en croire le directeur d’exploitation, Frédéric Péré, de 900 millions de F cfa.
G.K, Lomé ( Telegramme228)

Des représentants des partis politiques formés sur la paix par l’éducation à la tolérance


Amener vingt représentants d’une dizaine de partis politiques à se faire des canaux d’information et de sensibilisation sur l’adoption des attitudes verbales en rapport avec les principes de la tolérance ; c’est le but visé par l’Association togolaise de défense et de promotion des droits humains (ATDPDH) en organisant un atelier du 15 au 16 mai 2014 à la Salle Caritas au CESAL à Lomé.
Ces représentants de partis politiques qui sont des points focaux sur la notion de la tolérance au sein de leur formation verront leur capacité renforcée en la matière au cours de cette formation de deux jours à travers diverses communications notamment : la tolérance comme respect et acceptation de la diversité ; la tolérance comme la reconnaissance des droits universels de la personne humaine et la tolérance comme une porte ouverte pour la justice sociale. Ils ont aussi passé en revue, les signes encourageants d’indicateurs de tolérance et correspondant sociaux au Togo et les formes d’intolérance présentes au Togo. Etant en outre des points focaux appelés à former leurs co-partisans, ils ont été aussi édifiés sur les techniques d’animation de débats éducatifs et les activités d’apprentissage pour la tolérance.
Cet atelier entre dans le cadre de la mise en œuvre de la deuxième phase de projet « Promotion de la culture de la Paix par l’éducation à la Tolérance », initié par l’ATDPDH avec le soutien financier de l’institut allemand des Relations Culturelles Etrangères (IFA). Dans son mot aux participants, ELLY Holali Hivers, Directeur exécutif de l’Association a rappelé que cette activité a démarré depuis septembre 2013 et se poursuit avec cette troisième phase jusqu’en décembre 2014. Elle permettra d’inculquer les vertus de la tolérance à ces représentants de partis politiques qui se chargeront à leur tour de le promouvoir auprès de leurs camarades de partis.
Pour sa part, le représentant du ministre des Droits de l’Homme, de la Consolidation de la Démocratie, Chargé de la mise en œuvre des recommandations de la CVJR, Laré Yembabou, a salué l’initiative de l’ATDPDH qui, selon lui, « …vient à point nommé pour apporter un éclairage et des critiques sur ces comportements qui gangrènent notre pays afin de les éradiquer ».
Il faut noter que 10 partis politiques sont représentés à cette formation notamment, le PDR, la CDPA, l’OBUTS, le CAR, l’UNIR, le PDP, l’ANC, la CPP, le PRR, et Sursaut Togo. Pour le Directeur exécutif de l’ATDPDH, la formation sera étendue aux autres formations politiques dès que les moyens seront réunis.
A.B, Lomé (Telegramme228)

La FESYTRAT a fomé ses membres sur l’importance de la Communication


Dans le cadre de la mise en œuvre du projet CAW-FESYTRAT, la Fédération Syndicale des Travailleurs des Transports du Togo (FESYTRAT) a organisé le samedi 17 mai 2014 à Lomé, une session de formation à l’intention de ses membres.
Placé sous le thème, « Communication comme outil pour favoriser la participation des membres aux activités syndicales », cette formation s’est faite à travers deux communications et a connu la pleine participation des membres de la FESYTRAT.
Selon Emmanuel Agbénou, Secrétaire général de la FESYTRAT, cette formation vise à « amener les participants à s’intéresser et à participer massivement aux activités de leurs organisations de base, leur faire comprendre l’importance de la communication au sein des syndicats qui sont des mouvements sociaux des travailleurs, amener les responsables syndicaux à gérer de façon participative leurs organisations avec consultation suffisante de la base ».
« Pour mieux cerner la quintessence de ces thématiques, nous avons fait appel à un éminent communicateur qui est le coordonateur du programme Organising de la CSI-Afrique pour nous entretenir », a-t-il ajouté.
Il a également indiqué que « c’est l’ éducation ouvrière et la formation qui permettent aux organisations syndicales d’outiller leurs membres sur plusieurs thématiques pour en faire des cadres syndicaux compétents, capables de jouer pleinement leur rôle qui consiste à défendre le droit des travailleurs, à protéger leurs intérêts et à faire en sorte que leurs conditions de travail et de vie soient véritablement améliorées ».
Par ailleurs il a invité tous les participants à prêter une oreille attentive aux communications qui seront données.
Quant à Atsou Kodjovi, Secrétaire général du SYNTRASTROTO, cette session de formation va apporter un plus à leur organisation. Il a dès lors invité « tous les séminarices à plus de sérieux et plus d’attention ».
R.D, Lomé (Telegramme228)

TOGO:: Trois personnes tuées, plusieurs blessés et des dégâts matériels importants



On ne cessera de dire que les litiges fonciers sont des bombes à retardement. Il nous souvient qu’à travers une interview accordée à nos confrères de « Le Reflet du Palais » en janvier dernier, la présidente de la Chambre Nationale des Notaires du Togo, Me Molgah Kadjaka-Abougnima, indiquait qu’il « devient urgent que le législateur donne les outils juridiques au juge pour sécuriser le foncier afin de protéger les acquéreurs de bonne foi ». Ici, il n’est pas question d’acquéreur mais de conflit entre deux collectivités qui a tourné au vinaigre. Selon le communiqué du ministre de la Sécurité, Yark Damehame, des affrontements mi-mai entre habitants d’Essowazina (préfecture de Tchaoudjo) à propos d’un litige foncier ont provoqué la mort de trois personnes, plusieurs blessés et des dégâts matériels.
Le récit des faits indique que « dans la nuit du 12 au 13 mai 2014, des affrontements consécutifs à un litige foncier ont opposé les populations de la collectivité Nayo et celle de la Collectivité Môla dans une localité communément appelée « Essowazina » dans la préfecture de Tchaoudjo ». « Ces deux communautés se disputent depuis longtemps propriété des terres favorables aux activités agricoles de Tawourada. L’affaire est pendante devant la justice qui a ordonné la suspension de tous les travaux de construction. L’incident est survenu lorsque les sieurs Moumouni Akoho et Kouroukpara Moutarou de la collectivité Nayo ont entrepris la reconstruction d’un bâtiment servant de boutique qui, entre temps, était endommagé par la pluie qui s’est abattue sur le village. Cette situation a suscité le mécontentement de l’autre partie qui a choisi de démolir le dit-bâtiment dans la nuit provoquant des affrontements violents entre les deux communautés. Cet incident a malheureusement occasionné trois (3) morts, plusieurs blessés graves et de dégâts matériels importants », informe le communiqué.
Il a donc fallu « l’intervention conjuguée des forces de sécurité et des autorités locales a permis de ramener le calme dans la localité et d’opérer certaines interpellations ».
Il est à noter que fidèle à ses habitudes dans de pareilles circonstances, le ministère de la Sécurité a condamné ces actes qu’il juge d’incivique et qui n’honorent pas ces communautés et au-delà le pays tout entier. Ces communautés sont donc conviées à faire confiance aux institutions de la République en proscrivant de leurs actes toute forme de vengeance privée.
Il a été promis que les auteurs qui seront reconnus coupables au terme de l’enquête diligentée seront traduits devant les autorités judiciaires compétentes.
Y.G, Lomé (Telegramme228)

Ouattara et Faure se prononcent sur le Boko Haram




Le Chef de l’Etat, Faure Gnassingbé a achevé ce mardi, une visite de travail de quelques heures avec son homologue ivoirien, Alassane Ouattara.

M. Gnassingbé a été accueilli à l’aéroport international Félix Houphouët-Boigny de Port-Bouët (Sud d’Abidjan) par le Premier ministre Daniel Kablan Duncan qu’accompagnaient notamment le ministre d’Etat, ministre des affaires étrangères Charles Diby Koffi et son collègue de l’intégration africaine et des Ivoiriens de l’extérieur, Ally Coulibaly.

Cette visite de travail et d’amitié qui s’inscrit dans le cadre de la coopération entre la Côte d’Ivoire et le Togo, a permis aux deux Chefs d’Etat, de faire le point de leurs relations bilatérales et d’évoquer des questions de sécurité, notamment au Mali et au Nigeria.

Les deux personnalités ont souhaité l’urgente nécessité de mettre un terme aux nuisances du groupe Boko Haram au Nigeria voire dans les pays limitrophes

Le président Faure Gnassingbé était attendu à Abidjan en mars dernier pour présenter ses vœux de « prompt rétablissement » à Alassane Ouattara après son opération chirurgicale d’une sciatique en France. Mais, M. Gnassingbé n’avait pas pu effectuer le déplacement.

Les Notaires du Togo s’imprègnent des innovations



Depuis le 5 mai 2014, l’acte uniforme de l’OHADA a été révisé. Ainsi des modifications majeures en droit positif des sociétés dans l’espace OHADA ont été apportées. Il s’agit de modification touchant au droit des sociétés commerciales et du groupement d’intérêt économique. Pour s’imprégner de toutes ces innovations, les Notaires du Togo sont en atelier de formation depuis hier lundi à l’Ecole Nationale des Auxiliaires Médicaux de Lomé. Durant droit jours, ces membres de la Chambre des Nationale des Notaires du Togo, avec le concours de la Commission Nationale de l’OHADA, auront à travers plusieurs communications à se familiariser avec les nouvelles règles introduites dans cet acte uniforme.
De l’avis de la présidente de la Chambre Nationale des Notaires du Togo, Me Molgah Kadjaka-Abougnima, il importe que chacun puisse « s’approprier ces innovations et surtout de mieux les interpréter, pour l’obtention des résultats probants dans l’exécution de nos devoirs professionnels  ». Ce qui justifie d’ailleurs le thème de cet atelier, « Les innovations de l’acte uniforme OHADA relatif au droit des Sociétés commerciales et du Groupement d’intérêt économique entré en vigueur le 5 mai 2014  ».
Entre autres innovations introduites dans l’acte uniforme OHADA, il ressort celle jusque là inconnu relative à « la Société par Actions Simplifiées (SAS) » et les impacts occasionnés par cette réforme, sur la constitution des sociétés commerciales, leur organisation et leur fonctionnement. L’on attend donc de cet atelier, une mise à jour globale des connaissances acquises sur la base de l’ancien Acte uniforme.
Pour le Directeur de cabinet du ministère en charge de la justice et des relations avec les institutions de la République, Kossivi Egnetonyo, cet atelier en valait peine dans la mesure où, les théoriciens et praticiens se sont mis à corriger les insuffisances que comportait par le passé l’Acte Uniforme relatif au droit des sociétés commerciales et du Groupement d’Intérêt économique (AUSCGIE). Il est revenu sur le chemin parcouru pour que cette réforme devienne effective. Il voit déjà dans cette réforme, des avantages comme, « l’ouverture de la création de la SARL et du rabais du capital social minimum  » et le fait que « les entrepreneurs modestes qui restent dans l’informel seront encouragés à formaliser la création de leurs entreprises  ». « Soyez rassurés que le Gouvernement ne ménagera aucun effort en vue d’accompagner cette nouvelle dynamique de renforcement de vos capacités », avait-il promis.
L’atelier prend fin  mercredi.
D.A, Lomé (Telegramme228)

TOGO::La Une de « Le Télégramme du Togo » N°005 de ce mardi


- Nouveau dialogue politique / Face-à-face pouvoir-opposition depuis hier : Douze jours chrono, pour assainir le cadre politique
- Dialogue en vue des réformes / Djimon Oré n’y croit pas : « Tout ça, c’est de la poudre aux yeux, c’est pour amuser la galerie »
- Litige foncier entre deux collectivités à Sokodé : Trois personnes tuées, plusieurs blessés et des dégâts matériels importants
- Lancement du « Projet Dunéfa » : Quatre OSC prêchent pour la sécurité, la paix et la réconciliation au Togo
- Diaspora africaine / Transfert d’argent, un gisement inexploité : Le Togo (10,7 %) cité parmi les importants bénéficiaires
(Telegramme228)

Tuesday, May 20, 2014

TOGO/ VIDEO: Dialogue politique J1: les partis se sont accordés sur la coordination et les points de discussion


Communiqué final de la première journée du dialogue politique. Les partis parlementaires se sont retrouvés ce matin pour débuter des discussions en vue de s'accorder sur les réformes institutionnelles et constitutionnelles nécessaires pour un apaisement de la vie politique au Togo.
Les partis politiques parlementaires présentes sont l'Union pour la République (UNIR), l'Alliance Nationale pour le Changement (ANC), la coalition Arc-en-ciel, l'Alliance des Démocrates pour le Développement Intégral (ADDI) et l'Union des Forces de Changement (UFC). Les travaux ont démarré à 10 heures au siège de la société d'état Togo Télécom.